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Entre colocs , ça va roxer ! ☆Rowan

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Les vacances de Canada s'étaient achevés il y a peu. J'avais repris mon train train quotidien , la routine de tout les jours quoi. Les cours , le travail de baby sitter , les journées entre amis , m’occuper de ma fille tant aimée. En bref , les études me prenaient beaucoup de temps mais essentiellement le fait de prendre soin de ma petite princesse. J'en avais même fait chuter mes notes et ma prof me l'a clairement fait comprendre , je n'en étais pas fière... Je m'étais promis cependant de progresser et m'améliorer , elle sait que je suis une élève studieuse et que je me mets à fond dans les études très sérieusement. Je sais que c'est pour mon avenir , donc il fallait que j'étudie plus sérieusement. J'habitais avant avec des colocataires qui sont , au fur et à mesure , tous partit. Bien que j'aimais cette colocation , ça ne me faisait pas de mal que de déménager. Alors j'avais décider de vivre avec mon amie et ma confidente , ma copiiiine de fiesta et tout , Rowan. Je l'adore , on est comme cul et chemises ensemble et c'est fou ce qu'on peux faire les folles. Nous vivons donc en ce moment même à deux et ce n'est pas plus mal , il y avait nos deux chiens et bientôt j'allais récupérer ma fille de deux ans, également qui allait vivre avec nous. Nous habitons Inman Square , dans une villa magnifique et spacieuse. On pourrait vivre à plusieurs mais nous préférons qu'être toutes les deux , au moins niveau désordre et tout ça quoi , c'est mieux. Sait-on jamais si il y aurait des disputes. Rowan est aussi , ou du moins a était , une grande actrice , mais ce n'est absolument par pour ça que je suis amie avec elle , au contraire. Elle est super sympa quoi , comment ne pas l'adorer. Bref , une fois bien installées et tout , je pris soin de donner les croquettes et de l'eau à nos chiens. Ma coloc allait sûrement bien rentrer. Je décidais alors de préparer un petit apéro , ben quoi il est dix huit heures et il fallait fêter cette colocation. Avec un fond de musique , je commençais à me déhanchais , j'avais juste hâte de pouvoir commencer cette colocation comme il le faut.

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En ce moment... Je n'avais pas beaucoup de temps pour moi et pour mes amies, puisque ma vie avait tendance à se limiter à mes cours de biologie et de médecine, que je suivais à l'université de Harvard et mon travail à l'hôpital de Cambridge. D'ailleurs, je passais la plus grosse partie de mon temps à l'hôpital où je suis interne en chirurgie générale et il faut dire que ce n'était pas de tout repos. Car, chaque jour que je passais à exercer la médecine était une nouvelle journée et celle-ci ne ressemblait en rien à la précédente. Puisque, je pouvais tomber sur des patients plus ou moins commodes et je devais faire en fonction de leurs désirs, de leurs humeurs, de leurs choix et je n'étais pas toujours d'accord avec eux. De plus, je pratiquais des opérations qui pouvaient durer deux heures, six heures où plus et je ne devais pas baisser ma vigilance, ni avoir le moindre signe de fatigue. Car, si c'était le cas... Je pouvais mettre la vie de mon patient en danger et je pouvais lui donner la mort, ce qui était la hantise de tout les internes. Alors, oui ma vie d'interne en chirurgie n'était pas de tout repos. Puisqu'il m'arrivait également être bipé pour me rendre d'urgence aux urgences parce qu'il y avait eu un accident de voiture, un crash où toutes sortes de choses et dans ses cas-là, je devais courir en direction des urgences afin d'aider les infirmiers, mes collègues qu'ils soient internes où chirurgiens... et il pouvait même m'arriver de pratiquer l'opération sur place afin de sauver la vie de cette personne. Alors, oui ma vie d'interne en chirurgie n'était pas de tout repos. Puisqu'il m'arrivait également être bipé pour me rendre d'urgence aux urgences parce qu'il y avait eu un accident de voiture, un crash où toutes sortes de choses et dans ses cas-là, je devais courir en direction des urgences afin d'aider les infirmiers, mes collègues qu'ils soient internes où chirurgiens... et il pouvait même m'arriver de pratiquer l'opération sur place afin de sauver la vie de cette personne. Alors, comme je le disais ma vie professionnelle n'était vraiment pas de tout repos. Du coup, lorsque j'étais de congé et que je n'avais pas cours, j'en profitais pour me reposer, prendre soin de moi, faire la fête avec ma confidente où encore pour retrouver mon amant... Mais aujourd'hui, j'ai fini ma journée à dix-sept trente et je n'avais qu'une envie, qui se trouvait être celle de passer du temps avec ma superbe et grande amie, mais également la plus choute des confidente, ma super colocataire et ma grandiose amie de soirée ! Oui, ce soir j'étais attendue par Paige et j'avais vraiment hâte de me retrouver en sa compagnie et de voir Riagan mon beauceron. Du coup, je m'étais rhabiller en tenue civile à toute vitesse puis, j'avais attrapée mon casque de moto et mes clefs. Je suis ensuite partie dehors et j'ai marchée en direction de ma moto. Je l'ai ensuite chevauchée puis, j'ai démarrée ma moto et je suis partie en direction de la magnifique ville que je partage avec Paige. Certes, notre villa n'était pas si loin que cela et j'aurais très bien pût aller à pied. Mais, je ne ratais jamais l'occasion de sortir ma splendide moto et puis, il faut dire que c'est une de mes grandes passions. Je suis donc arrivée devant la villa dix minutes plus tard. J'ai ouvert le portail et j'ai attendu quelques instants afin que celui-ci s'ouvre comme il faut et je suis partie en trombe devant la villa. J'ai garée ma moto et je l'ai éteints. Je me suis ensuite mise debout tout en mettant la cale sur ma moto. J'ai enlevée le casque et j'ai passée ma main dans mes cheveux afin de les remettre en place et pendant que je faisais cela, j'ai commencé à entendre la musique que Paige avec mit. " Qu'est-ce qu'elle à bon goût en musique''. Suite à cela, je me suis mise à esquisser un petit sourire avant de pensée '' on va encore passer une bonne soirée !''. De toute façon, je ne peut passée que de bonne soirée, lorsque je me trouve aux côtés de ce petit bout de femme que j'admire et qui est si courageuse. Hé oui.. Paige J Dewan est une des amies que j'adore et qui compte énormément pour moi. Une fois prête, je me mets à marcher en direction de la porte d'entrée et je l'ouvre quelques instants plus tard. Je referme la porte puis, je marche en direction du salon où je vois Riagan qui coure vers moi. Alors, je me baisse puis et le caresse doucement afin de lui dire bonjour. Je me relève et je m'adosse contre le mur et j'observe Paige qui se déhanche, ce qui me fit esquisser un sourire.

- Ouai...Ouai...Ouai..déhanche toi Paige !

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Les journées sont de plus en plus difficiles. En réalité , elles demandent beaucoup de concentration et d'énergie. Les cours devenaient intenses et j'avais bien du mal à me concentrer ces temps-ci , parce qu'évidemment mes notes commence à bien baisser malheureusement. Ce n'est pourtant pas dans mes habitudes , mais je pense que le fait de m'occuper constamment et tout les jours non stop de ma fille y fait beaucoup. Oui , c'est bien normal que je fasse passer ma fille en première , bien que je sois une élève studieuse normalement. Ma prof n'étais pas très ravie de mes notes , elle sait comment je suis bonne d'habitude et elle était déçue , elle m'a malgré tout encourager à les remonter. Je lui ai bien entendu promis parce que surtout elle disait ça pour mon avenir surtout. Elle a déjà tracer le sien. C'est certain que je n'abandonnerais pas mes études , je suis bien trop forte et courageuse pour cela , puis de plus je ne lâche jamais rien et c'est pour mon avenir , j'ai de l'ambition quand même. J'ai une fille à élever seule , bien que ma tante soit toujours présente et je compte très bien être une mère parfaite à ses yeux. Je ne veux pas merder dans mes études et surtout je veux réaliser mon rêve de devenir une avocate réputée. Etre avocate n'est pas que pour défendre les criminels , c'est aussi beaucoup de responsabilités et il faut avoir un minimum de génie , ça ne se fait pas comme ça. Ma mère et ma tante sont agent fédéral , elles affrontent les criminels chaque jour et elles n'ont pas froid aux yeux , elles veulent faire intégrer la loie , oui parce que dans ce monde de fous il y en a qui la comprennent pas et font comme bon leur semble , comme ces terroristes là. Ils sont malades , un gros problème mental. Ils ont surtout besoin d'aide psychologique et ne parlant de ça , je suis aussi étudiante en psychologie. J'essaie de comprendre ce qui se passe dans leur têtes , mais bien dès fois où je ne comprend pas , d'accord ils n'ont pas eu une vie facile ou ont subis un traumatisme, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut s'en prendre à des innocents à tout va. Ce n'est pas un jeu ou un film , c'est la dure réalité de ce monde. Toujours est il que je me retrouvais dans cette immense villa que je partage avec ma colocataire , ma confidente et ma copine de soirée , je l'aime beaucoup quoi je tiens trop à elle , Rowan. J'avais préparé des verres , deux beaux cocktails alcoolisés , ben quoi faut en profiter , nous n'allons pas conduire non plus. Donc du coup , je fais ça trop bien , je m'applique avec le coeur , je prépare même les chips et tout ça sur la table basse. J'avais mis la musique à fond , une bonne musique que j'aime. Je ne pu m'empêcher de me déhenchait, comme si je dansais sur une piste de danse en boîte de nuit. Une vraie furie quoi , mais j'étais en accord et en rythme avec la musique qui tapait fort. Même mon petit chien tout pleins de poils blancs qu'on aurait dit une peluche tellement il est magnifique , se mit à sautiller de partout. Sans m'y attendre , Rowan fit son entrée et s'adosait contre le mur en me regardant avec le sourire. Je m'arrêtais de danser et couru vers elle comme une folle furieuse. «  ROROOOO ! C'est la fiesta , tu le sais comme d'habitude hein. » Je la sers dans mes bras et lui déposais un bisou sur sa joue. Après avoir terminé notre étreinte , je m'éloigne afin de lui présenter la table , préparé par mes mains et avec le coeur , affichant un sourire. « TADAAA ! Apéro prêt. »

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Il était temps... Il était vraiment temps que je rentre chez moi, dans cette magnifique villa que je partage avec Paige ma colocataire et nos deux adorables chiens. Oui, j'avais vraiment besoin de me changer les idées et d'arrêter de pensée à la journée que je venais de passer. Cette journée si difficile psychologiquement et physiquement. Enfin, si ma journée fût difficile physiquement cela n'avait rien à avoir avec le fait que je me sois levée à quatre heures du matin pour aller travailler à cinq heures, parce que ça à la limite ce n'était pas grave et puis, j'ai l'habite de me coucher et de me lever à n'importe quelle heure. Non... Ce qui fût difficile à la fois psychologiquement et physiquement fût ce que j'ai été témoins et que j'ai dû faire certaines choses à laquelle je ne m'y fais pas et à laquelle, je ne m'y ferais jamais. Car, aujourd'hui j'ai dû partir avec les urgentistes afin d'intervenir sur un carambolage. Du moins, c'est tout ce que nous savions, mais mes collègues urgentistes reçurent un appel de leur patron sur le trajet qui nous menaient au lieu de l'accident et c'est là, qu'ils m'ont annoncé qu'on allait avoir affaire à un carambolage géant qui avait été causée par le verglas et la neige de ses derniers jours. Du coup, je me suis préparée psychologiquement afin que j'affronte ce que j'allais bien pouvoir voir. Mais, une fois sur le lieu de l'accident. Je me suis bien rendu compte que cela n'avait servi à rien. Car, il y avait des gens qui hurlaient, du sang, des voitures contre des camions, mais également des flammes qui provenaient des camions accidentés et un gros risque d'explosions. En fait... J'avais l'impression de me rendre sur une zone en guerre et ce fût très difficile de mon calme et mon sang froid. Pourtant, c'est ce que j'ai fait. J'ai triée les victimes que les pompiers sortaient des carcasses de voiture où qui arrivaient par vagues autour de moi et je les ai triés par ordres de gravité. Du coup, cela allait de la simple coupure, entorse et compagnie à la personne décédée et je dois dire qu'il y en avait beaucoup. Bien sûr et heureusement pour moi, je n'étais pas la seule personne à pratiquer les premiers soins, qu'ils soient vitaux où non, parce que quand on a cent victimes de la route ont se retrouve très vite débordée. Du coup, j'ai très vite pût pratiquer les premiers soins vitaux des personnes qui se trouvaient dans un état critique, mais j'en ai malheureusement perdu trois sur place et c'était très dur à supporter, surtout qu'ils avaient entre dix-huit et vingt-cinq ans. Mais, je n'avais pas le droit de craquer. Alors, j'ai continué à faire mon travail. Du moins, jusqu'à ce que je voie une petite fille âgée de six où sept ans au milieu de voiture en flamme et appelant sa maman. C'était vraiment dur à voir. Alors, j'ai couru vers elle, puisque personne d'autre à par moi semblait l'avoir remarqué et je l'ai prise dans mes bras peu de temps avant que les flammes ne prennent de l'ampleur. Puis, elle descendit de mes bras et me prit la main afin de m'emmener jusqu'à sa maman. J'avais pris son pouls et j'ai vu qu'il Une fois, que la petite puce fût en sécurité, elle me prit la main et m'emmena vers une dame, certainement sa maman. J'ai pris le pouls de cette femme et je vit qu'il n'y avait plus rien à faire. Alors, je l'ai prise dans mes bras et j'ai dû lui expliquer, qu'elle ne reverra plus sa maman... Alors, oui ! Après cette journée où cette petite fille a vécu l'enfer et où j'ai donnée tout ce que j'avais pour sauver un maximum de vie, j'avais vraiment besoin de faire un break et de pensée à autre chose... Du coup, lorsque j'ai vu Paige ce déhancher et faire sa petite folle sur une des nombreuses musiques qu'elle aime, je n'ai pas pût m'empêcher de sourire et de l'encourager. Puis, elle s'arrêta de danser et couru vers moi comme une petite folle, mais c'est Paige, elle est comme cela et c'est aussi une des nombreuses raisons qui font, que je l'adore. D'autant plus, que c'est pile poil ce dont j'avais besoin. Oui, j'avais besoin de sa légèreté, sa joyeuseté et sa bonne humeur. Car, cela me ramenait un peu à la vie et me rappelait que je ne vivais pas, que dans un monde remplis de malheur et de pleurs, mais que je vivais également dans un monde où règne le bonheur et la bonne humeur. Je l'écoute parler tout en gardant ce petit sourire, qui ne m'a quittée depuis que je l'ai vu ce déhancher. Cependant, je pose mon casque par terre et j'enlève ma veste tout en l'écoutant attentivement puis, je me relève afin de l'observer.


- Mademoiselle Paige Dewan...Vous savez que vous assurez ?!

Lui dis-je tout en la serrant doucement dans mes bras, puis elle me déposa un bisous sur ma joue. Alors, je fis de même et j'esquisse un petit sourire tout en mettant fin à notre étreinte. Paige n'était peut-être pas ma petite soeur de sang et de coeur, mais elle était au même niveau que fût ma meilleure amie où ma petite soeur, que je ne vois plus. Puis, quelques temps après notre étreinte, je vis Paige s'éloigner. Alors, je mets à l'observer avec un petit regard remplit de curiosité et lorsque je vois deux beaux cocktails alcoolisée et des chips sur la table basse, je lui fais de grand yeux avec un grand sourire. Puis, je pars la rejoindre d'un pas rapide et je la prends dans mes bras.

- Non seulement tu assures, mais tu lis dans mes pensées ma coloc d'enfer ! Car, c'est vraiment ce dont j'ai besoin. Un magnifique et délicieux cocktail avec des chips le tout posée sur une table basse joliment dressée, mais dis moi que je suis en pleins rêves ? *Dis-je avec un grand sourire et les yeux pétillants.* Paige...Merci, merci d'avoir fait tout ça pour moi, cela me touche énormément.
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Les journées de cours pour ma part commençaient à se faire longs , très longs. J'avais qu'une hâte qu'elle se termine , d'autant plus qu'en ce moment je ne suis pas très attentive et ça , ma prof de droit me l'avait bien fait remarqué à cause de mes notes qui ont trop vite baissés. En même temps , elle pensais que je faisais la fête comme tout ces étudiants à mon âge. J'aurais pu , mais ce n'est pas du tout le cas , je n'ai pas le temps pour faire la fête et quand bien même , je préfère amplement m'occuper de ma fille , je ne veux pas que plus tard elle dise que je n'ai jamais était à ses côtés pour elle et que c'est seulement ma tante qui l'a élevée. Je dois admettre que je ne voudrais pas ressembler à ma mère ou même mon père qui n'étaient jamais là. C'est ma grand mère maternelle qui m'a éduquée et je l'aime plus que tout , même si elle n'est plus là désormais. Je l'aimerais toujours , j'aurais toujours ce sourire en repensant à elle et ses souvenirs par exemple lorsqu'elle préparait des cookies et que plus tard , mon meilleur ami Théo viens à la maison et s'en goinfre. Théo , il me manque aussi , même s'il n'est pas loin et que je le vois chaque fois que je peux le voir , par exemple étant en vacances. Il ne le savait pas que j'avais une fille et il avait mal pris le fait que je lui ait cacher , mais comment dire que je ne voulais pas que son père l'apprenne et veuilles la récupérer. Je comprend qu'il l'ait mal pris , on a jamais de secrets l'un pour l'autre. N'empêche qu'il a rigoler quand je lui ait dit que je l'ai appeler Théa parce que c'est le féminin de son prénom. Et oui , que voulez-vous une grande amitié comme la notre ça ne s'effacera jamais et de plus Théa c'est très joli comme prénom. Autant dire , qu'il l'a très mal pris que je ne lui ai pas parlé de mon ex qui me frappait pour aucune raison et qui allait jusqu'à me suivre partout tellement il avait peur que je le trompe. Oui , il voulait aller le frapper aussi , mais j'ai essayer de le calmer et il a frapper dans un mur. Réaction atypique de Théo , mais après on s'est serrer dans nos bras et on est passer à une autre conversation. En repensant à tout ça , je me suis dit que j'avais besoin d'un bon remontant , un bon apéro et en plus je ne voyais pas mon amie , ma soeur de coeur , ma confidente , mon amie de soirées et surtout ma colocataire arriver , je suppose qu'elle a dû avoir une dure journée. Une fois qu'elle arrivée , je la sers dans mes bras et lui montre l'apéro que je lui avais préparé. Elle me rejoins , avec le sourire aux lèvres qu'elle n'a pas quitter lorsqu'elle m'a vu danser , en disant que j'assure. Je lui fis un petit clin d'oeil et elle me sers une nouvelle fois dans ses bras. J'avais bien penser alors , elle en avait vraiment besoin de cet apéro. On se sers dans nos bras doucement et ça faisait du bien de la prendre dans mes bras et de savoir que je pouvais toujours compter sur quelqu'un en dehors de Léonora et Clea. Oui , ce sont vraiment les trois seules femmes en qui j'ai une totale confiance. Nous avions terminé notre étreinte et je réalise qu'on se connaît trop bien , comme si nous nous connaissons depuis des années. Je me mis à rire légèrement lorsqu'elle me disait que javais lu dans ses pensées et qu'elle complimente mon apéro. Je prend mon verre et celui de Rowan dans l'autre main , puis m'approchant d'elle , je lui tend son verre afin qu'elle puisse le prendre et trinquer avec moi. « Derien , Rowan. Je savais que tu en aurais le plus grand besoin. Je suis voyante , que veux-tu? Non mais sincèrement , vu l'heure qui passait , je me suis dit que tu avais dû passer une dure journée et je voulais que tu l'oublies avec tout ça. Alors je suis ravie que j'ai réussit mon coup. » Des paroles sincères. Rowan , c'est comme une soeur , je l'aime fort et jamais rien ni personne ne pourrait changer cela. Une fois qu'elle ait pris son verre , nous levons nos veres afin de trinquer. Trinquer à quoi? Ben y a pas forcément de raisons hein. Mais en tout cas je pense à notre colocation d'enfer là. « Ma coloc , à la notre ! A cette villa qui nous appartient et surtout , à notre amitié ! » Dis-je d'un grand sourire , tapant doucement mon verre contre le sien. Puis je but une gorgée , il est délicieux , je m'épate moi-même. Je dois reconnaître qu'il est super. Je regardais à nouveau ma colocataire. « Alors , je suppose que cette journée fut difficile? »

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