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mira ☼ hello darkness my old friend

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J'essayais de me remémorer mon cours d'histoire de l'art tout en zigzagant entre les tables, un plateau de bières et d'hamburgers à la main. Rester à la lowell house pour réviser mes prochains examens m'aurait franchement arrangé mais il fallait aussi que je paye pour ma nourriture et tous les autres frais que ma bourse ne prenait pas en charge. Alors, j'avais rejoins les locaux du bukowski tavern dès que j'étais sortie du studio d'art à six heures et demie du soir. Le pub était pratiquement surpeuplé aujourd'hui non seulement parce que c'était un vendredi soir mais parce que les bruins de boston jouaient et tous les clients étaient scotchés aux téléviseurs. En Irlande, j'étais habituée aux matchs de football et je n'avais toujours pas vraiment compris l'engouement pour le hockey sur glace qu'il y avait ici.

Alors que je déposais une assiette de bâtonnets de mozarella frits sur une table, la lumière s'éteignit soudainement et une seconde plus tard la pièce entière était plongée dans le noir "Merde !", mais je n'arrivais même pas à m'entendre sous les exclamations agacés des clients. Les télévisions ne marchaient plus et pendant qu'on commençait à y voir plus clair avec les nombreux téléphones qui s'allumaient j'essayais de me frayer un chemin pour retrouver Mira, la jolie quincy qui travaillait avec moi. "Tu peux aller voir le disjoncteur? Je vais essayer de les calmer, je te rejoins si tu as besoin d'aide."
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Soir de match, il était évident que je serai sollicité pour bosser au pub ce soir. Pour un jeune étudiant, ça ne devait pas être l'extase de bosser un vendredi soir, mais pour ma part, ça ne me dérangeait pas plus que ça. J'avais encore mon samedi soir, pour sortir m'amuser, et ça me faisait de l'argent en plus , car plus il y a de monde au bar, plus nombreux sont les pourboires, et encore plus quand l'équipe favorite mène le match avec quelques buts d'avance.
Enfin ce soir je n'ai pas vraiment le temps de regarder le score sur un des écrans de télévision, je n'ai, à vrai dire, même pas le temps de regarder si j'ai des messages sur mon téléphone portable . Mais l'occasion se présente bien plus rapidement que ce que je pensais, lorsque le pub se retrouve plongé dans l'obscurité. Petits problèmes technique ou véritable coupure d’électricité ? Je ne sais pas mais les cris d'exclamations ne tardent pas à fuser, et ce, malgré le noir absolu.
Je n'ai pas vraiment le temps de réagir alors que Pia se retrouve devant moi et me charge d'aller m'occuper de l’électricité. Je lève légèrement les yeux au ciel sans avoir eu le temps de protester, j'ai déjà peur lorsque je dois changer une ampoule chez moi, alors je ne pense pas être la personne la plus compétente pour ce genre de chose, mais je me dirige tout de même vers l'arrière du bar, passant par la réserve pour me retrouver dans une pièce, dans lequel je ne mets jamais les pieds. Je m'éclaire comme je peux avec la lumière de mon téléphone, pour me retrouver devant le disjoncteur, enfin plutôt devant une série de boutons et d'interrupteur dont je ne connais absolument pas l'utilité. Je n'ose vraiment toucher à rien de peur que quelque chose explose ou que le disjoncteur prenne feu devant moi. «  tu veux pas qu'on échange plutôt ? J'y comprends rien, C'est du chinois ! ! » criai-je pour que Pia m'entende du pub... Je n'écoutais pas vraiment en cours de physique, enfin fallait-il encore que j'y aille pour écouter, alors les volts, les ampères et tous les trucs du genre, c'est du mandarin pour moi
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Mira n'a pas l'air très contente lorsqu'elle disparait dans la petite pièce à l'arrière du bar, mais je n'ai même pas le temps d'y penser. Je me fais bousculer par un homme qui semble avoir la trentaine et un peu trop d'alcool dans le sang et j'essaye une nouvelle fois de me frayer un chemin au milieu de la foule qui était de plus en plus agacée par la situation. Au moins, on partageait le même avis sur ce point là. Arrivée devant une table je me lève dessus de façon à ce que les clients puissent me voir et essaye de parler assez fort pour qu'ils puissent m'entendre au dessus des cris d'exclamations de certains. "Nous nous excusons pour ce petit problème technique, l'électricité devrait revenir dans un court instant. Merci de patienter, on est proche de la mi-temps de toute façon." Je redescends alors que tout le monde m'adresse la parole en même. "Comment ça vous vous excusez? J'ai pas payé pour rater le match !" "Quel manque de professionnalisme ! Vous avez perdu un client, ça je peux vous le dire !" "Elle revient quand la lumière, vous avez vérifié?".

J'arrive cependant à entendre la voix de Mira alors que je me rapproche de la pièce dans laquelle elle se trouve. J'étais habituée aux disjoncteurs, ma tante n'avait pas assez d'argent pour payer l'électricité parfois. Alors que je presse quelques boutons et que la lumière était censée revenir, la pièce est encore plongée dans le noir. Je me retourne vers la blonde en face de moi. "Ça ne vient pas d'ici, je ne sais pas ce qui ce passe." Avant que je puisse faire un pas en avant, une femme passe devant la porte et celle-ci se ferme brutalement. Alors que j'essaye de l'ouvrir, elle reste fermée. "On est coincées. T'as tes clés?"
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L’électricité, les câbles électriques, les disjoncteurs. Je n'ai jamais aimé les cours de physique sur l’électricité... je n'ai jamais aimé les orages car j'ai toujours eu peur de la foudre, de toute l’électricité qu'un simple éclair contenait, capable de griller des êtres humains, des animaux, des arbres en une fraction de seconde. Ces pensées sont loin d'être rassurante lorsque l'on se retrouve devant un disjoncteur, qui pourrait faire des étincelles et foutre le feu dans la petite pièce où je suis... Je ne suis pas certaine que je fasse long feu. Je n'ose toucher à rien, de peur de faire plus de dégâts qu'autres chose. Je préfère appelé à l'aide Pia, quitte à passer pour une blonde bonne à rien, pour le coup c'est un peu la vérité de toute façon.
Je laisse la place à Pia face au disjoncteur lorsqu'elle arrive. J'observe la manière dont elle trifouille à tous les boutons, boutons qui servent à je ne sais quoi. Malheureusement rien de ce qu'elle fait ne fait revenir la lumière dans le bar. Je pousse un profond soupir, le noir et l'obscurité ne sont pas vraiment mes couleurs favorites. « c'est peut-être une coupure générale » peut-être que les autres habitations n'ont plus de courant non plus. Ce n'est pas forcément un problème qui vient du pub. Je doute que le patron ait oublié de payer la facture d’électricité. Rester ici ne sert à rien, autant sortir et essayer de retenir les clients jusqu'à ce que l’électricité revienne. Mais lorsque l'on s'apprête à sortir la porte se referme, je fronce les sourcils, qu'est-ce que ça veut dire ? Je secoue la tête face à la question de Pia. « non...elles sont de l'autre côté de la porte... » Et si c'était un coup monté... plus personne n'est dans le bar pour surveiller... on peut nous dévaliser, prendre la caisse, piquer l'alcool, les télés écran plat. « il n'y a pas un moyen de l'ouvrir de l'intérieur » A part le disjoncteur et quelques cartons, il n'y a rien dans cette pièce, même pas une fenêtre « Faut qu'on sorte d'ici. » la panique commence à s'emparer de moi alors que je me rapproche de la porte pour frapper sur cette dernière et à crier en espérant que quelqu'un m'entende.
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L'orage était de plus en plus puissant, on pouvait entendre d'ici le son de la foudre et de la pluie alors que la pièce ne contenait aucune fenêtre et se trouvait au fond du bar. De nature courageuse, je me disais que je contrôlais la situation mais ça n'avait apparemment pas l'air d'être le cas pour Mira. Même si je ne pouvais pas la voir, je pouvais sentir sa respiration se faire de plus en plus rapide et ses gestes de plus en plus nerveux et nombreux. J'étais consciente que la pièce remplie de circuits électriques dans laquelle nous étions était loin d'être le choix le plus stratégique pour se réfugier et j'essayais d'ignorer l'idée qu'elle pouvait prendre feu d'une minute à l'autre. Alors que la lumière ne revenait pas, la jeune blonde suggère que c'était peut être une coupure générale. "Sûrement."

Il n'y avait aucun moyen de sortir de la pièce et j'avais le sentiment qu'on allait rester ici pour un bon moment. "Ok, on va trouver un moyen." Je n'allais surtout pas désespérer mais je savais que les chances étaient faibles et je voulais surtout calmer Mira. D'ailleurs, elle se mit à frapper sur la forte et à crier tellement fort que j'avais peur qu'elle était en pleine crise de panique. Je n'étais peut être pas claustrophobe mais je n'appréciais pas pour autant être enfermée alors que des attaques à la bombe, des agressions et des prises otages avaient eu lieu dans la même ville. Cependant, je n'avais pas la même façon de gérer ce qui venait d'arriver que Mira et je me rendais compte que j'étais restée immobile pendant à peu près dix secondes à la regarder flipper. J'élevais la voix pour qu'elle puisse m'entendre à travers ses cris "Mira," en m'avançant à l'aveuglette pour l'attraper mon avant bras heurta quelque chose et je sentis une douleur me remonter jusqu'au coude "Aïe, merde !". Je fis quelques pas en avant en tendant les bras pour pouvoir la retrouver jusqu'à ce que je puisse l'attraper par les épaules pour l'arrêter, "Eh, il n'y a plus personne, tout le monde s'en allait quand je suis arrivée ici. Ne t'inquiètes pas on risque rien, ok? Le patron va sûrement entendre ce qui s'est passé et il sera là bientôt", j'essayais de prendre la voix la plus calme et réconfortante que je pouvais, on allait sortir d'ici j'en étais sûre.

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Être enfermée dans une pièce, sans fenêtre, rempli de câble électrique lors d'un orage, c'est loin d'être rassurant. Je ne sais pas qui accepterait ça, y trouverait un certain plaisir. Moi ça me panique, je suis totalement paniqué à cet instant précis. J'arrive pas à lâcher la poignée de la porte, ne cessant pas de l'actionner alors que je sais pertinemment qu'il faudrait un miracle pour que le verrou cède de lui-même. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas croire que l'on était enfermé pour de bon. Je m'accrochai à cet unique espoir qu'une personne encore présente dans le bar vienne à notre secours, et nous ouvre la porte, n'ayant pas dans l'idée de voler la caisse et de se barrer évidemment, alors je me mis à m'égosiller la gorge, faisant peut-être plus de bruit que le bruit du tonnerre provenant de l'orage à l'extérieur du bar, certainement responsable de cette fichue coupure de courant. Mais je voyais pas d'autre solution, d'autre issues de secours, cette pièce ne devait pas faire plus de 5 m², sans fenêtre, les cartons que nous avions à nos pieds ne nous seraient certainement d'aucune utilité, et je doute que Pia et moi ayons assez de force pour défoncer la porte.
Lorsqu'elle m'attrape par les épaules pour me forcer à lâcher la poignée de la porte et m'éloignait de ce dernier, je réalise vraiment que ça ne sert à rien, comme elle dit, ils sont certainement déjà tous partis. Qui se soucierait des deux p'tites serveuses ? Je pousse un profond soupire avant de me laisser glisser contre la porte pour m'asseoir par terre. J'ai du mal à respirer, pourtant je ne pense pas être claustrophobe, je me suis déjà retrouvée dans des pièces, enfermées, lorsque j'étais petite, tel que mon garage, et pourtant ; là, j'avais beaucoup de mal à garder mon calme. Peut-être est-ce l'étroitesse de la pièce ? « Comment....comment tu peux rester aussi calme ? » Je supporte pas de rester sans rien faire, alors, je retire lentement mon briquet de ma poche et l'actionne pour avoir un peu de lumière, certainement pas très recommandée ici, mais on n'est de toute façon, pas dans l'endroit le plus rassurant. De mon autre main j'attrape le premier carton qui me vient sous la main. «  T'as pas un couteau ? Fouiller me calmera... » S'il y a de la bouffe là-dedans ça sera encore mieux !


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Mira c'est une jolie fille. Elle a ce charme naturel qui rend tout le monde jaloux, elle n'a pas besoin d'artifices parce qu'elle a cette délicatesse naturelle qui la rend presque angélique. Les cheveux blonds, les yeux bleu assez foncés pour indiquer que son passé était peu être un peu plus sombre qu'elle était rayonnante. Et puis elle avait ce regard plein de gentillesse et de bonnes attentions qui montrait qu'elle savait ce que c'était que de souffrir. Parfois elle m'intimidait un peu, parce que finalement ce n'était pas vraiment les grandes gueules ou les fils de riches qui m'impressionnaient ici mais les gens intelligents qui savaient se montrer sensibles. Mais je ne la connaissais pas trop Mira. On travaillaient ensemble mais je ne lui avais jamais vraiment parlé à part lorsqu'il s'agissait du boulot, et puis j'étais pas très douée pour aller vers les autres ou m'ouvrir.

En la voyant perdre ses moyens, c'était comme un déclic. Je la voyais sous un autre angle, elle avait peur, elle avait du mal à respirer, elle était humaine. Je la sens glisser contre la porte et je la suis, le dos contre le mur, attrapant mon bras qui tremble encore après avoir heurté quelque chose que je n'avais toujours pas identifié. Elle me demande comment je fais pour rester calme et je hausse les épaules avant de me rendre compte qu'on est encore dans le noir. Avec le temps j'avais appris à me contrôler, à ne plus avoir peur. "Je ne sais pas."  Elle sort un briquet et je tourne la tête, je peux voir la moitié de son visage. J'affiche le regard le plus calme et rassurant possible, "il va rien nous arriver, Mira." Elle attrape un carton et en guise de réponse je brandis mes clés avant de l'ouvrir. Des mouchoirs et une boite de cinq salières. J'ouvre un autre carton. Des doritos et des sachets de cacahuètes. "Bingo, au moins on a de la nourriture gratuite." Je la laisse découvrir le contenu du carton avant d'ouvrir un paquet de chips et de le lui tendre. "J'espère que t'avais rien de prévu pour ce soir."
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L'obscurité ça ne m'a jamais posé de problèmes auparavant, mais être enfermé ici, sans la moindre source de lumière, ça me rend nerveuse, stressé. J'ai envie de m'enfuir en courant, de quitter cette pièce pour aller allumer toutes les lumières qu'ils existent dans le bar, comme si je pensais que la lumière allait me protéger d'un quelques conques malheurs. Ce pour quoi je n'hésite pas à sortir mon briquet de ma poche et à l'actionner, nous permettant ainsi de profiter d'un minimum de lumières. Cette pointe de lumière, me permet de dévisager la pièce dans laquelle nous sommes enfermés. À mes pieds et tout autour de moi se trouvent des boîtes en carton par dizaines, contenant certainement de la nourriture et peut-être quelques bouteilles d'alcool. Et vers le fond je peux distinguer quelques balais et serpillières que je n'ai jamais utilisés. Je relève lentement les yeux vers Pia en haussant les épaules . «  tu penses vraiment que le patron va débarquer ? » l'espoir n'arrive pas à percer dans ma voix. Je ne sais pas qu'elles sont ses relations avec lui, mais avec moi c'est vraiment relation employée / patron. Je ne suis jamais à l'aise en sa présence, n'arrivant pas à être décontracté. Mais en attendant un quelconque secours, l'idée de fouiner me semble intéressante pour faire passer le temps . Dans des moments de détresse comme celui-ci, la nourriture peut toujours apporter un peu de réconfort selon moi.Mes yeux se posèrent sur les mains de Pia qui tentèrent d'ouvrir quelques cartons à l'aide de ses clés ; je lui adresse un léger sourire avant d'attraper un paquet de cacahuètes que j'ouvre à mon tour. « avec un peu de chance on trouvera une bonne bouteille de whisky » Quoi que l'idée d'être bourré ici ne m'enchante pas non plus. Je posai mon zipper au sol en faisant attention qu'il n'y ait aucun risque de brûler quelque chose.  «À la base, les soirs comme celui-ci, lorsque je rentre je m'effondre sur mon lit ! » dis-je avec un petit sourire crispé, n'arrivant pas à me détendre totalement. « Et toi ? Qu'est-ce que tu fais en dehors de ce fabuleux boulot ? » Si on doit rester enfermé jusqu'au petit matin, autant apprendre à faire connaissance, car même si cela faisait un sacré moment que l'on travaillait ensemble, on n'avait jamais vraiment pris le temps de discuter toutes les deux. Et tout comme la nourriture, les questions peuvent faire passer le temps.
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