COKA ಇ une nouvelle aventure.

Petite visite de la forêt amazonienne en amoureux

Eh ben voilà, nous y voilà ! En...Amazonie. Nous allons devoir vivre comme Tarzan et Jane pendant deux semaines...ou pas. Une chose est certaine, peut importe l'endroit, je suis heureuse de pouvoir passer ces deux semaines en terre inconnue avec mon mari. En effet, monsieur m'avait invité indirectement, parce que monsieur ne savait pas m'inviter directement vous voyez, il était beaucoup trop...timide ?. Ouai ça devait être ça, au fond, je l'intimide tellement qu'il ne trouve jamais les mots. Voyons Cody, je ne mords pas. Je suis un ange, un ange tout droit descendu du ciel pour égayer ta vie. Rhaaaaa cet homme, je l'aime de plus en plus, de jour en jour mon amour pour lui ne fait que grandir. Depuis ce jour, depuis le moment où nos lèvres se sont touchées, depuis cet instant mon corps s'était comme réveillé du feu de la passion. Et je n'avais que le brunet en tête. A chaque fois que je le voyais, j'avais des papillons aux ventres, j'avais les yeux qui brillaient de mille étoiles, j'avais le coeur qui battait à tout rompre. A chaque fois que je le voyais, j'avais envie d'embrasser chaque partielle de sa peau, de m'enivrer de son odeur, de le blottir contre moi, de sentir son coeur battre, de le caresser tendrement, d'embrasser son front, ses joues, ses lèvres... Je suis folle de cet homme et j'en suis devenue totalement accro. Je l'aime tellement que si un jour il venait à me briser, je serais irréparable. Pour moi, ce serait le début d'un cauchemar sans fin, de ma descente en enfer, de mon interminable chagrin d'amour. Je l'aime un point c'est tout et je ne peux plus m'imaginer sans lui, voilà pourquoi j'avais accepté de l'accompagner à son voyage. Parce que pour moi, deux semaines auraient été beaucoup trop long sans lui, ça m'aurait pas paru une éternité. Anyway, en cette nouvelle journée de voyage qui se poursuivait, mon bien-aimé et moi avions décidé de faire une petite excursion en tête-à-tête pour aller découvrir la forêt amazonienne dans sa splendide nature. L'attendant près de l'entrée, je déposais mon sac au sol dans le but de vérifier si je n'avais rien oublié, mais non, le kit de survie était bien là au cas où. « Merde ! J'ai oublié d'prendre un téléphone satellite ! » Marmonnais-je en me donnant un petit coup sur la tête et en grimaçant. Ce n'est pas grave, je suis certaine que mon chéri pensera à tout ça. On aura qu'à utiliser son téléphone satellite puis voilà. Du coup, je refermais mon sac et le remettais au dos. Ah et pour vendre du rêve à mon homme, j'étais vêtu ainsi, sauf que ce n'est pas le numéro 17, mais plutôt le numéro 26. Et j'avais détaché mes cheveux en enfilant une casquette -jean- sur le côté. Aux pieds, j'avais de jolis baskets bleus et beiges. Mon visage lui, était plutôt naturel, juste un petit gloss à lèvres rose bonbon et un petit contour noir des yeux. Fin voilà, j'étais sexy, mignonne et rebelle à la fois, manquait plus que mon homme maintenant.

Dooooonc, c’est au fin fond de l’Amazonie que Cody venait d’emmener sa petite amie. Destination de rêêêêêve, hôtel quatre étoiles, spa chauffant, jacuzzi, sauna, petit déjeuner inclus dans le prix de la chambre, chaleuuuuur, nature, animaux, insectes … AHALALALALALA, Cody savait s’y prendre avec Dia ! Enfin, il ne l’avait pas invité après tout, elle était libre d’accepter ou non et, maintenant qu’elle avait dit oui, il fallait qu’elle assume son choix. MOUAHAHAHAH. Non il ne l’avait pas invité, il avait qualifié ça ’d’échange de bons procédés’. Bref, le mec, il savait parler à sa nana, comme vous pouviez le constater. Quoiqu’il en soit, aujourd’hui, il consacrait toute sa journée à elle. Ils décidèrent de se promener à deux dans la forêt, d’explorer un peu les environs, en mode Indiana Jones quoi. Cody espérait sincèrement qu’ils croiseraient un certain nombre de danger, histoire qu’il puisse prouver à sa belle qu’il était un warrior, qu’il la protégerait face à n’impoooorte quel animal sauvage ou plante carnivore. C’est donc avec sa tenue d’aventurier qu’il alla voir Diamantika à l’orée de la forêt. NOOOON, j’déconne, il était habillé comme il l’était à Cambridge et s’avançait vers sa petite amie tel un touriste, les mains dans les poches, un sac à dos avec un peu de bouffe dedans sur le dos et that’s all. T’façon, il comptait sur Diamantika pour s’occuper de toute la logistique, amener la trousse de secours, le téléphone, tout çaaaa, tu vois. Il afficha un grand sourire dès qu’il la vit et lança ; « Numéro 26 est dans la place ! Il court, court, couuuurt jusqu’à la ligne d’arrivéeeee… » Sur ce, il s’approcha de Diamantika à grandeeees enjambées avant de glisser son bras dans son dos et de l’attirer contre lui ; « Et il maaaaaarrrrqueeeee ! Le match est gagné ! Vous pouvez embrasser la mariée. » Et, par la suite, il joignit chaleureusement ses lèvres aux siennes pour une courte étreinte, avant de jeter un coup d’œil à l’immensité de la forêt dans laquelle ils s’apprêtaient à s’aventurer. « T’es ready to go ? J’pense qu’on devrait aller tout droit. Toujours tout droit. Comme ça, on ne se perdra pas. » En théorie. Suivant la logique bleekerienne, quoi.

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L'amasonie, je n'ai jamais vraiment visité, mais je sais une chose néanmoins, là, Cody se sentira un peu comme chez lui en mode tarzan ou homme des cavernes parce que tout était traditionnel ici, à l'ancienne. Et en parlant du lowell, c'est lui l'homme, c'est lui qui devait se trouver là en premier à m'attendre, mais c'est moi qui l'attendais plutôt et après monsieur osait se plaindre sur la durée d'une femme à se préparer. Ah ! En parlant du loup, le voilà qui montre le bout de sa queue. « Numéro 26 est dans la place ! Il court, court, couuuurt jusqu'à la ligne d'arrivéeeee... ». J'arquais un sourcil en espérant comprendre son petit baratin, mais j'abandonne bien vite en souriant et en le regardant s'approcher. « Et il maaaaaarrrrqueeeee ! Le match est gagné ! Vous pouvez embrasser la mariée. » Évidemment, c'était moi le but c'est ça ?. Et je ne vais pas me plaindre parce que voilà, il venait de glisser sa main dans mon dos pour m'attirer à lui et épouser mes lèvres dans un court et délicieux baiser. Moi, comme une accro, une addict to youuuu, je prolongeais ce court baiser en prenant bien soin de profiter un max pendant ces quelques secondes. Ouai et alors ?. « T'es ready to go ? J'pense qu'on devrait aller tout droit. Toujours tout droit. Comme ça, on ne se perdra pas. » Me demanda-t-il alors que j'humectais mes lèvres pour garder le goût des siennes. Cependant, je marquais un petit temps de réflexion à me demander s'il était vraiment sérieux, si c'était ça sa méthode pour retrouver notre chemin. Je pose une main contre mon front en secouant la tête. « T'es vraiment pas doué Bleeker. » Heureusement que je suis là, sinon, qu'est-ce qu'il aurait fait sans moi ?. Je retire mon sac du dos en ouvrant la petite proche pour en faire sortir une craie blanche que je montre à mon homme. « On retrouvera le chemin grâce à ça ! Prends-en de la graine homme !. » Je referme mon sac et le remet au dos avant de m'avancer vers le premier arbre sur notre chemin. A l'aide de la craie, je fais une grande croix sur l'arbre histoire de montrer l'exemple à mon bien-aimé. « Tu vois m'namour, il faut toujours laisser des traces de son passage lorsqu'on veut s'engouffrer dans une forêt ! You know. » Je retourne vers lui en cassant une longue branche, elle me servira d'arme au cas où. « Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai un truc sur le visage ?. » Dis-je en m'inspectant moi-même au cas où, parce que je me demandais pourquoi il me regardait ainsi. NB: Dia utilisera la craie pour faire des croix sur les arbres, donc même si je ne le mentionne pas, vous saurez qu'elle le fera tout au long de l'excursion, voilà, voilà. « Oh et au fait, dis-moi que t'as emmené un téléphone satellite avec toi, j'ai oublié d'en prendre un !. » Et là, j'espérais qu'il avait au moins pensé à ça et qu'il en avait ramené un, sinon, bonjour la catastrophe s'il nous arrivait quelque chose et que nous soyons dans l'incapacité de bouger ou de prévenir qui que ce soit. Rhaouuu, j'ai tout pris sauf le plus important quoi. My bad.

Pas doué ? Lui ? Alors qu’il venait juste de trouver la meilleure solution pour ne pas se perdre ? Ahhhh les femmes, jamais contentes ! Voyez, on est aux petits soins pour elleeees, on leur organise des excursions, on leur donne régulièrement des orgasmes et, là seule réponse qu’elles trouvaient, c’était ’t’es vraiment pas doué Bleeker’ ? SCREW YOU. Cody leva les yeux au ciel et laissa donc Diamantika se dépatouiller avec son sac pour en extraire un petit cylindre blanc. Une craie. Il arqua un sourcil, se demandant dans quel endroit de la forêt elle espérait tracer une marelle. Nope, parce que ce n’était certainement pas sur les feuilles qu’elle tracerait quoique ce soit. Finalement, elle s’attaqua à cette frêle et majestueusement créature de la nature qu’on appelle couramment ’arbre’ et dessinant une petite croix dessus. « Il ne t’a rien fait, l’arbre, donc pourquoi tu l’agresses ? ça t’amuse de martyriser les troncs d’arbre ? AAAAH, y en a, ils torturent les chatons mais toi, ton kiff c’est les arbres à ce que je vois ! Tu ne toucheras plus jamais à ma branche. » Comment çaaaaa, il délirait ? Pas dutoudutoudutoudutouuuuuu VOYONS. Dia annonça finalement que c’était pour se repérer la suite. Cette phrase méritait réflexion … Laisser une trace de son passage avant de s’engouffrer dans une forêt. Il fixa Dia, l’air dubitatif, une moue se dessina progressivement sur son visage. Vous connaissez Cody, hein … « OK ! La prochaine fois que je m’aventure dans ta forêt, j’vais laisser une trace de mon passage. » Style déposer un bébé dans son usine à bébés MOUHAHAHAHAHAHAHA non j’déconne, ça va pas oh il a fait une fois la connerie avec Maggie c'est booooon. Bref. Le président Lowell allait se tenir à son moyen de repérage préhistorique puisque, de toute façon, pour aujourd’hui, ils n’auraient pas mieux. Et là, Kovache lui demanda s’il avait bien un téléphone satellite sur lui. Se doutant qu’il y en avait un dans son sac car c’était la règle avant toute excursion dans la forêt, Cody haussa les épaules sans prendre la peine de vérifier la véracité de ses propos. « Ouais ouais t’inquiète pas ! » Non, ne t’inquiète pas, noooon, ton homme gèreeeeee ! Puis, il se mit à marcher aux côtés de sa douce sur un genre de petit sentier au milieu de la forêt, même s’il se doutait que le chemin ne serait pas éternellement aussi distinct. Il faisait assez chaud aujourd'hui et le soleil parvenait à s'infiltrer malgré la masse de feuille qui inhibait le ciel bleu.

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« Il ne t'a rien fait, l'arbre, donc pourquoi tu l'agresses ? ça t'amuse de martyriser les troncs d'arbre ? AAAAH, y en a, ils torturent les chatons mais toi, ton kiff c'est les arbres à ce que je vois ! Tu ne toucheras plus jamais à ma branche. ». Mais qu'est-ce qu'il raconte non de dieu ?. Il délire complètement avec son histoire d'arbre martyriser. God save the Bleeker !. « Ce n'sont pas des croix qui réussiront à les martyriser, pour ça, il me faut une tronçonneuse et là, j'ai qu'une craie de rien du tout. Au contraire, je les rends plus beaux, plus stylé. T'connais rien à la mode alors chut !. » Faut pas que je rentre dans son délire, n'entre pas dans son délire Dia, n'y entre pas, résiste, résisteeeeeuhhhhh. « Et j'ne savais pas que t'avais une branche. » Murmurais-je en faisant semblant d'ignorer de quoi il voulait parler ou insinuer. Malheureusement, ce n'est pas une branche qu'il avait, mais bien pire. Presqu'un tronc en fait, mais non faut pas exagérer ein. Néanmoins, il me fixait bizarrement tandis que je me demandais pourquoi il le faisait. Me demandant même ce que j'avais sur le visage et dans ce cas, au lieu de me regarder bizarrement, il devrait me l'enlever. Sauf que je me gourais totalement puisque monsieur lâcha toute suite après. « OK ! La prochaine fois que je m'aventure dans ta forêt, j'vais laisser une trace de mon passage. » HEIN ?. Je fis de gros yeux toute surprise à l'entente de cette réponse. Dans ma forêt ? Il parlait bien de ce que je pensais n'est-ce pas ?. Et quand il insinuait laisser une trace, ça voulait dire ce que ça voulait dire n'est-ce pas ?. Je secouais rapidement la tête. « Non non non non non ! Petit un, je n'ai pas d'forêt et petit deux, dans tes rêves, mais alors n'y pense même pas !. » Moi ? Avoir un bébé dans le ventre alors que je ne suis même pas prête ? Alors que...non non non, NEVER. Bébé attendra lorsque j'aurais terminé mon université un point c'est tout. Non pas que je ne veux pas porter de mini Bleeker dans le ventre, mais voilà quoi, on a encore touuuuuuut plein de temps devant nous pour penser à ça maintenant. Il est fou ce lowell. Vraiment. Quoi qu'il en soit, j'espérais que monsieur avait toute de même pensé à envoyer le plus important. « Ouais ouais t'inquiète pas ! » PAS rassurant du tout, mais alors pas du tout. Bon aller, je vais lui faire confiance, but je lui offrais un demi-sourire peu rassurée. « Cool alors ! On peut y pénétrer maintenant. Et je parle de la forêt ein, va pas t'imaginer des choses pervers !. » Vaut mieux prévenir que guérir. « J'te suis !. T'es chez toi ici, alors montre moi des trucs sympas !. » Bah ouai, Tarzan est de retour de la ville, faut qu'il me fasse visiter sa maison, son entourage, des endroits merveilleux et etc quoi... Je sifflotais dans le vent juste pour le provoquer et jouer à l'innocente tandis qu'on pénétrait enfin la forêt et je ne manquais jamais de marquer des croix sur les arbres.

SIIIIIIIIIII les croix sont horribles pour la nature et apparemment, Diamantika ne le savait pas. Où elle faisait exprès de l’ignorer ! OOOOH, pourquoi tant de haine envers ces êtres innocents et sans défense ? Sans défense, parfaitement ! Les arbres ne font mal que quand on leur fait du mal, notamment en les tronçonnant. Méditez là-dessuuuus, méditez bien là-dessuuuus, parce que c’est super philosophique ce que je dis dans ce rp quoi. « J’crois pas que la tendance cette saison soit les croix … Après, je peux me tromper. » Ouais, genre Cody s’intéresse à la mode LOLILOL le mec il a trois tenues différentes dans son dressing – qui n’est même pas un dressing, plutôt un débarras vu la proportion de conneries en tout genre face à celle de vêtements – et se prend pour Karl Lagarfeld quoi. BWEF. Après un débat à base de branche, de pénétration dans la forêt et de traces dans l’utérus de Diamantika, les deux tourtereaux prirent la route de la forêt amazonienne. « Et t’aimes bien chez moi ? C’est sympa comme déco ? Y a peut-être un peu trop de vert, tu risques de faire une overdose. Tu suis ? Une o-VERT-dose, ahahaha. » Ou bien une Ovaire-dose, pour rester dans le thème. MON DIEU mais je suis dégueulasse aujourd’hui c’est pas possibleee. J’devrais continuer ce rp demain mais je le fais quand même ce soir parce que j’ai envie. Et puis elle sifflotait, l’air innocent, et c’est là que Cody comprit qu’elle se foutait juste de sa gueule. WHAT ? pourquoi tant de haine ? Les arbres et maintenant lui ? NON NON NOOOOON. Il se glissa dans son dos et posa ses mains sur ses hanches qu’il pinça entre ses doigts. Ouais, vengeance grenadine un peu mais anyway. « Si tu continues, je peux faire encore pluuuus mal ! » Sur ce, il se pencha en avant pour attraper une branche d’arbre d’environ cinquante centimètres de longueur, et la tendit à Diamantika en guise d’épée. « Ne me cherche pas, Clayton. » Because Clayton c’est l’ennemi de Tarzan … Et c’est également le nom d’une de ses ex. Fuck. Bon, tant piiiiisssss. Clayton était donc l’insulte ultime !

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Cody et la mode ? Non ça fait deux !. Je ne m'imagine pas faire du shooping avec lui, il risquerait de me foutre la honte devant les employés en trainant au rayon lingerie avec sa fameuse grimace pervers à la Nicky Larson, oui oui. Il fera fuir toute la clientèle. Mais bon, il allait bien falloir qu'un jour je le traîne avec moi, je ne pourrais malheureusement pas esquiver longtemps ce moment. « J'crois pas que la tendance cette saison soit les croix ... Après, je peux me tromper. ». Qu'est-ce que je disais ?. Je secouais positivement la tête pour appuyer sa propre réflexion. « Ouai c'est c'la tu t'trompes !. » De toute façon tout ce qui venait de moi était tendance alors faut pas trop discuter. Têtue comme je suis, je n'aurais pas lâché l'affaire jusqu'à avoir eu le dernier mot. « Et t'aimes bien chez moi ? C'est sympa comme déco ? Y a peut-être un peu trop de vert, tu risques de faire une overdose. Tu suis ? Une o-VERT-dose, ahahaha. » Si j'aimais chez lui ? Si j'aimais cette forêt ?. Je regarde autour de moi en faisant semblant d'analyser le lieu. En réalité, cette forêt était magnifique et je comprenais pourquoi tant de touristes se pressaient à explorer cet endroit, j'avais hâte de pouvoir caresser un petit singe tant que celui-ci n'est pas dangereux vous voyez. Oui, je veux voir un singe comme Little Monkey de George de la jungle. Tropppppppppppp mignonnnnn. « Ummm... C'pas mal chez toi j'avoue. Non non, il n'y a pas trop de vert, c'est frais, c'est beau alors non ça va. J'ai hâte d'en découvrir un peu plus. Oh et aussi, j'veux tester tes lianes !. » Son moyen de transport en somme. C'est grâce à cela qu'il saute d'arbre en arbre. Je deviendrais ainsi, sa Jane. Se rendant compte que je me moquais de lui, il s'approcha de moi et me pinça les hanches. « Si tu continues, je peux faire encore pluuuus mal ! » Et en plus, il mettait tout son poids sur moi. « Ne me cherche pas, Clayton. » Grrrrrr. Il se pencha même pour couper une branche à son tour, mais je lui donnais bien vite un coup de coude dans son ventre avant de m'échapper et de taper sa branche à l'aide de la mienne. Celle-ci tomba bien vite au sol, mais avant que mon homme ne la ramasse, j'attrape ma branche de mes deux mains et la plaque sur sa gorge. « T'es peut-être mon petit-ami, mais moi aussi j'peux faire mal !. » Mon regard se voulait provocatrice, plongeant mes iris dans les siens et alors qu'un malicieux sourire s'empare de mon visage. Puis, je recule soudainement en ramassant la craie que j'avais laissé tomber il y a quelques secondes. « On y va plus vite maintenant. » Concluais-je en marchant plus vite, m'enfonçant de plus en plus dans la forêt. D'ailleurs, on commençait à entendre pas mal de bruits.

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