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Copyright Clochette
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J'avais appris que Obiswan était à l'hôpital ces derniers jours. Je ne savais pas bien pourquoi, est ce que j'avais vraiment envie de le savoir ? Je sais pas non plus. J'avais des doutes et j'allais me conforter dans mes doutes, c'est bien plus simple. Puis, la connaissant je suis pas certain qu'elle veuille vraiment éclairer ses visiteurs sur son état, puis merde, déjà qu'elle passe ses journées dans cette ambiance auprès de l'équipe médicale, parlait d'autre chose allait certainement lui faire du bien ? Cependant, je n'allais pas non plus y aller tel un ange tombé du ciel. Swan, j'aime la chercher, quitte à ne pas être très gentil, mais c'était ainsi entre nous alors c'est bien pour ça, que j'étais passé au Mcdo avant de passer ici. J'avais acheté bien plus que ce que je n'allais manger, j'en étais conscient, mais je voulais qu'elle en est partout autour d'elle, que l'odeur lui prenne le nez, qu'elle s'imprègne dans sa chambre. Mesquin ? Peut être bien, mais qui n'a pas remarqué sa taille si fine ces derniers temps. Je la préférai un peu plus en chair, avec un peu plus de forme. Sa chambre, je regardai mon téléphone pour suivre ses indications, le service, le numéro ... et une fois devant la porte, je toquais. Ma main sur la poignet, j'allais entrer, même si aucune réponse ne m'étais parvenue mais, je trouvais ça long et Swan devait surement être dans son lit, mais à ma plus grande surprise, elle était là, devant moi avec un sourire au coin des lèvres. Je la regardais un instant, de haut en bas, sans gêne. Ma main venait se poser dans le creux de ses reins, je la ramenais contre moi pour déposer un baiser sur le coin des lèvres avant de la relâcher. T'aimerai penser que c'est le cas ? lui demandais-je avec le même sourire au coin, dépassant Swan pour aller me poser sur le lit En tout cas tu te laisse aller depuis que t'es là, sérieusement, c'est quoi cette tenue, je pensais que tu ferais un effort pour moi ... en tout cas je t'ai ramené de quoi manger dis-je avec un immense sourire et là je sortais des sachets de Mcdo de mon sac. Un, deux, trois, quatre, ça n'en finissait pas. Je les posais sur sa petite tablette avant de la prendre par le poignet et de la forcer à se poser sur le lit. J'espère que t'as faim
Ohoh ne soit pas si sûre de toi comme ça Swan lui dis-je dans un clin d'oeil qui se voulait taquin. Il est vrai que c'était une bouffée d'oxygène pour moi cette fille. Son sourire faisait souvent naître le mien, son regard me donnait envie de faire certaines choses peu recommandables et ... peut être bien qu'elle m'avait pris dans ses filets de sirène enchanteresse, car finalement, mes pieds m'amenaient toujours vers cette magnifique brune aux allures méditerranéennes. Sauf que ces derniers temps, ma sirène, c'est plus tellement une sirène aux courbes voluptueuses, c'est plus une anguille défraichie (aa) toute maigre et avec un teint de mort. Si tu veux vraiment faire les choses pour mon bien, tu manges ça lui dis-je en sortant des sachets de mcdo de mon sac à dos. L'odeur s'est imprégné dans mon sac, je me ferais certainement suivre pas des chiens dans la rue ou des américains en manque de mal bouffe, je ne sais pas quelle est la pire des situations. J'oublis vite cette penser en imaginant des boules humaines rouler jusqu'à moi pour me défoncer comme une quille tout en disposant les sachets sur la petite table, devant Swan. Cependant, la réalité me revenait de plein fouet au visage, cette poche qui l'alimenté ne me plaisait guère, je la regardais un instant avant de froncer un peu les sourcils. Oh c'est de bonne frite puis quoi tu veux peut être que je mâche pour toi ? S'tu veux je peux le faire je prenais une poignet de frite dans ma bouche, machant tout en la regardant avec un grand sourire pour finalement lui montrer mes joues gonflées par la nourriture T'en veux ? lui demandais-je en tentant d'articuler comme je le pouvais, puis je m'étouffais un peu, prenant rapidement du coca pour digérer. Je suis certain .... que ..... tu peux ..... te nourrir ..... sans.... tout ça mes mots étaient espacé pour me laisser le temps d'avaler, puis je regardais Swan un brin contrarié. J'vais trouver une solution et sur ces mots, j'appuyais sur le bouton pour faire venir une infirmière et lorsque cette dernière apaprue, je lui lançant l'un de mes sourires les plus ravageur pour qu'elle accède à ma requête suivante Bonjour, je m'appelle Gabriel j'ai une petite faveur à vous demander ... me relevant, je prenait son badge entre mes doigts qu'elle avait accroché sur sa poitrine pour regarder son prénom, lui faisant monter le rouge aux joues. Vanessa ... nous pourrions avoir un mixeur ? elle me regardait en gloussant, avant de me dire qu'elle ne savait pas s'il y en avait ici. Je levais mon regard dans le sien, penchant légèrement la tête contre mon épaule je vous fait confiance, je sais que vous en trouverait un, merci terminais-je par dire avec un clin d'oeil avant qu'elle ne reparte. Tu vois problème résolu, s'il faut que je t'enfonce des cuillères dans la bouche, je le ferais
Je le voyais à son regard qu'elle commençait à avoir envie de manger mais que cette tuyaux qui le reliait à cette poche ne le lui permettait pas. Je n'aimais pas la voir comme ça. C'est pas ma Swan. Cette femme qui d'ordinaire me donne des sueurs froides et enjoué, pleine de vie et là, c'est plus l'ombre d'elle même que j'ai face à moi. Cette confiance qui la rend d'autant plus sexy l'a abandonné ou peut être qu'elle se cache derrière ce gros pull, elle aussi. Je suis pas certain que t'es quelques à dégueuler ... c'est quoi ça ? On dirait de la pisse dis-je en regardant sa poche, je la touchais un peu avant de boire à nouveau comme pour faire descendre tout ce que je venais de m'enfourner dans la bouche, j'ai voulu faire mon mâlin, mais j'ai le hockey maintenant. et moi je te dis que rien est impossible avec moi sur ces mots d'ailleurs, j'haussais deux fois de suite les sourcils pour finalement appeler une infirmière. Après un petit numéros de charme, histoire qu'elle m'apporte un mixeur et rapidement, je me tournais vers Swan en papillonnant des cils à sa remarquer. Parce que tu crois que je lui ai fait de l'effet je minaudais avant d'éclater de rire pour me laisser tomber sur son lit, posant ma tête contre sa poitrine, ouep, j'aime bien cet endroit. Tsais bien que y'a pas une seule fille qui t'arrive à la cheville, mais là, va falloir me rembourrer tout ça, c'est plus confortable dis-je en regardant en attrapant sa main. Je la sortais du tissus pour la regarder, je la prenais entre la mienne, merde, elle était si fine. tu veux venir à la maison quelque temps ? J'vais te faire manger moi puis si jamais t'as trop peur de grossir, je te fais faire de l'exercice après, no soucis et un petit clin d'oeil avant que l'infirmière ne revienne, presque en courant, je voyais ses joues toutes rouge. Merci Vanessa ... t'es un amour puis elle partait en gloussant, je levais les yeux au ciel pour brancher la machine.
HJ; J'ai vu la photo et je me suis dis, j'suis obligé puis c'est un soutient et Gab il l'aime sa Obiswan mais c'toi qu parle, t'as vu la tienne
Swan était en train de m'expliquer ce que cette poche contenait. Sérieusement, je ne sais pas comment elle faisait pour se laisser nourrir de cette manière, alors que manger un bon steak était ce qu'il y avait de meilleur au monde, sentir ce goût envahir sa bouche était un délice, alors que là ... Il n'y avait aucun plaisir. Je regardais cette chose, curieux mais aussi un peu dégouté. J'en avais mal au coeur pour elle qu'elle en soit arrivé à ce point là et je m'en voulais de ne pas l'avoir remarqué avant, bien trop occupé et centré par et sur ma vie. M'étant allongeait sur le lit, à ses côtés, je prenais la place que bien des fois j'avais prise en posant ma tête contre sa poitrine qui m'avait toujours accueillis le plue généreusement possible mais à cet instant là, je ne sentais pas ce confort que j'aimais tant. Clairement, je le lui disait, peut être que si on ne prenait pas de pincette, cela fonctionnerait en tout cas, je n'en prenais pas depuis tout à l'heure et elle s'ouvrait à moi peu à peu. Je ne la traitais pas comme une malade avec qui il fallait être gentil, ne pas dire certain mot, bien au contraire. Tu fais comme tu veux Swan, tsais bien que ma porte t'es grande ouverte et les exercices, c'est quand tu te nourriras autrement qu'avec cette connerie dis-je en lui montrant sa poche, sérieusement ça m'a donné un coup cette chose, me dire que c'était ce liquide qui lui permettait de tenir debout et encore ... c'est pas humain. Vanessa revenait, je me relevais pour prendre le mixeur et le brancher, j'étais décidé à la faire manger , elle se relève, je la regarde, un peu surpris en entendant ses mots. J'étais surpris qu'elle veuille me montrer ce qu'elle avait tant chercher à cacher avant que je ne pénètre dans cette chambre. Je ne répond pas, je me contente de la regarder faire, se déshabiller devant moi. Son pull tombe, je peux aisément voir ses bras qui avait perdu de leur chair mais aussi de leur tonicité, je ne ferme pas les yeux, au contraire, je la regarde faire, son débardeur tombe, sa poitrine est face à mes yeux, elle n'est presque plus là. Se fut le tour de son pantalon, elle le retirait et c'est une Swan en culotte qui se dressait face à moi, à nue sans ses vêtements si laids qu'elle mettait pour se cacher. Je vois les larmes couler sur son visage et j'attend un peu avant de m'approcher d'elle. De mon pouce, je sèche ses larmes, pour lui faire redresser ensuite le menton. Je partirais pas tu sais fut ma seule réponse. Je posais mes mains dans son dos, descendant mes mains sur ses fesses pour les prendre en mains en la soulevant un peu au passage, mes lèvres se posaient contre son oreille J'aimais tant pouvoir les prendre en mains,elles étaient si rebondis soufflais-je dans le creux de son oreille, mes mains remontais le long de son dos pour se poser sur ses seins que je n'arrivais pas à prendre en mains comme à l'habitude , puis mes lèvres descendait vers cers derniers pour les titiller tu m'expliques comment je fais maintenant ? soufflais-je en la regardant , puis je descendais en me mettant à genoux devant elle, baissant sa culotte et me redresser. Me collant derrière elle, je la mettais devant la glace, prenant ses cheveux dans mes mains pour les lui soulever. Regardes toi Swan, c'est pas toi ça, tu vois quoi ?
Je ne sais pas si ce que je vais va lui faire prendre conscience de son état mais je l'espère, sincèrement. Swan est une femme a qui je tiens beaucoup. Une femme avec une joie de vivre communicative, normalement. La voir comme ça était un supplice. Alors si j'étais en mesure de faire quelque chose, j'allais le faire. Egoïstement, j'avais envie de la retrouver mais je voulais surtout, qu'elle se retrouve elle même. Perdue, elle semblait l'être. La mettant devant son reflet, ma question fut simple. Je voulais lui faire ouvrir ses yeux sur son corps, son état, ce qu'elle était devenue. Son regard croisait le mien un instant dans le miroir, je la regardais, la tête penché sur le côté, mon regard était neutre, je n'avais pas envie qu'elle perde confiance en elle. Qu'elle se sente mal devant moi, non, ce qu'elle venait de faire m'avait touché, c'est que j'étais important pour elle finalement ... Mon rire remplissait la pièce en l'entendant parlant de somalien. Tu te rends compte de ce que tu viens de dire, t'es affreuse dis-je en riant encore un peu. Quoi que tu me diras, leur partis de cache cache doivent être intéressante - Gad, je me sens ignoble de dire ça, sortie hors contexte de la blague c'est pire - Mes doigts dans ses cheveux, je m'amuse un peu avec en les faisant glisser entre mes doigts jusqu'à ce qu'elle ne se mette contre moi, mes bras se refermant automatiquement contre elle, je voulais qu'elle sache que j'étais là pour elle et que je ne l'abandonnerais pas, c'était pas qu'une histoire de fesse entre nous deux, je tenais à elle, sincèrement et la voir aussi mal en point me faisait quelque chose. La minute suivante, je m'échappais de cette étreinte en lui tendant un peignoir pour qu'elle puisse s'habiller et je la posais sur le lit. Je considère ça comme une prise de conscience, je peux commencer à mixer ? dis-je en lui montrant encore toute la nourriture qu'il y avait sur la table ... Après si tu préfères en petit morceaux ... au plus vite tu vas reprendre du poids babe, au plus vite tu vas pouvoir sortir de là ... sérieusement, je sais pas comment tu fais c'est ... blanc dis-je en regardant partout autour de moi. D'ailleurs, je vis le fauteuil roulant, je me posais dessus pour tenter de manier la chose, merde, c'est compliqué l'engin.