ABBY ELISSA SORRENTINO ► Kathie McGraph

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mireaven et j'ai 25 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Barbie.  Comme il est super beau alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum. J'utilise Katie McGraph comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Carpe Diem.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je suis née d’une union anormale … Disons franchement je ne suis pas née de la bonne manière. Ma mère avait voyageait à cette époque pour son travail d’écrivain et elle rencontra je ne sais pas vraiment où un homme avec qui elle eut une aventure d’une semaine. Sauf qu’elle n’avait pas prévu de tomber enceinte de moi. Ma mère étant une femme pragmatique elle trouva un homme qui devait se marier avec une femme alors qu’il préférait les hommes. Et surtout ils étaient amis alors elle lui parla de son soucis et il accepta de se marier avec elle. Tout le monde était libre de vivre sa vie et les deux familles étaient heureuses. Les Sorrentino accueillaient une femme célèbre et appréciée, tandis que ma mère Helena avait un père pour son enfant. Je vins au monde en plein été, six mois après le mariage. Mon père Guiseppe avait réussi à faire penser qu’ils étaient fiancés depuis trois mois quand ils décidèrent de ce mariage. Je me nomme Abby comme ma grand-mère maternelle et Elissa comme ma grand-mère paternelle. J’étais une enfant heureuse. Ma famille m’aimait plus que tout. Mais je n’avais pas encore compris que mon père ne l’était pas et qu’il n’aimait pas les femmes de cette manière.

Mes douze premières années se passèrent dans l’amour et la joie. Puis un jour je découvris mon père en train d’embrasser un autre homme. Ce fut terrible pour moi, tellement que le cadeau que je lui ramenais tomba au sol et se brisa. C’était un cadre que j’avais réalisé avec l’aide d’un verrier de Rome. Cette année-là tout le fut dévoilé. Mon père adoré n’était pas mon père de sang, mais il m’aimait comme sa fille et ma mère était simplement sa meilleure amie qui lui offrait une solution de repli pour ne pas jeter la honte sur les deux familles. J’étais sa fille par l’esprit et par le mariage. Autant dire que pendant deux mois l’ambiance à la maison fut glaciale. Mais un incident nous souda encore plus qu’avant. Un homme jaloux de la réussite de notre famille tenta d’atteindre à la vie de ma mère. Sauf que ce dernier échoua lamentablement. La suite continua doucement. J’ai juste découvert que mon vrai père était un Mr Grey qui avait une famille, et deux filles. Je n’ai jamais cherché à le contacter car mon père est Guiseppe. Ma fuite de l’Italie est encore une autre chose, un incident violent.

J’étais enfin à l’université. Heureuse comme jamais. A 19 ans j’avais réussi mon école préparatoire pour entrer dans une université de stylisme en Italie. Je me sentais privilégiée d’avoir réussi à y entrer. Mais un homme n’était pas du même avis que moi. J’y étais depuis six mois quand je me retrouvai à entrer dans la chambre de l’université où je dormais. Là sans que je comprenne ce qui se passe, je me retrouvai clouée à mon lit et mes vêtements étaient mis en pièce par un couteau qui me blessa aussi en partie le dos. Et comme si cela ne suffisait pas il me bâillonna et m’attacha pour passer la nuit à me faire la pire atrocité qui existe pour une femme. Je n’étais plus pure. J’avais attendu longtemps, et attendais encore pour offrir cette partie de moi à mon futur mari, mais là j’étais salie et … Je suis une honte familiale. Je passai un an dans un hôpital pour prévenir toute tentative de suicide et avoir un suivi constant d’un psychologue. Puis arriva le combat contre le coupable. J’avais eu la chance qu’une voisine de chambrée m’avait trouvée et avait appelé la police sans me laisser me laver pour ne pas détruire les preuves. En tout cas l’homme a été arrêté et emprisonné. J’ai quitté l’Italie pour faire mes études, ne pouvant pas supporter de rester dans la faculté où j’avais subis toute cette nuit de … D’horreur. Je n’arrive pas à … Mes parents sont toujours prêts à arriver si le besoin s’en fait ressentir. Mais je suis toujours suivie par un psychologue. La seule chance que j’ai eu fut de ne pas tomber enceinte lors de ce viol et être à Cambridge m’a permis de me reconstruire mais je n’arrive plus accepter les trop grandes marques d’affections. Mais les cours se passent très bien et j’espère pouvoir agrandir un jour l’activité de l’entreprise de mon père avec un pôle de création de pièces de luxe. Comme quoi le textile à de l’avenir.