Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJulesora # Quand te reverrai-je.... Pays merveilleux ?
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Julesora # Quand te reverrai-je.... Pays merveilleux ?

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J'avais passé une excellente après-midi à créer des bonhommes de neiges devant l'hôtel. Cela faisait très jolie à mes yeux. Enfin, il y en avait un qui ressemblait bien aux Mathers avec la canette de bière sur sa tête. J'aimai bien. Mais j'avais presque oublié l'heure de fermeture de la station service. Heureusement que je suis venue une demie-heure avant pour monter sur la télécabine. J'avais envie de regarder toute la piste et le paysage du Canada sous la neige. Je trouvais ça très beau et féerique surtout. On se croyait toute de suite à Noël. C'était cool. Vraiment. Je partais alors dans les télécabines où je montais à l'intérieur. Ce fut à cet instant que je découvris qu'il n'y avait qu'une seule personne, un étudiant que j'avais déjà aperçu à Harvard, il me semble. Il avait l'air sympathique, mais sans plus. Je montai à l'intérieur de la cabine et m'assit pour retirer mes skis et me retrouver seulement en bottes. Je posai mes skis à mes pieds et je regardai le paysage tandis que la cabine commençait à monter. Plus elle montait, plus les gens étaient plus petits, pire que des fourmis. C'était incroyable ! Je regardai le monde qui était plongé dans un désert de neige. L'obscurité arrivait très vite en hiver. C'était pour cela que les lampadaires étaient allumés, j'aimais bien tout ça. Le problème était que nous n'avions pas de lumières dans la cabine. C'était bizarre... Mais bon, je n'avais pas peur du noir alors je m'en fichai un peu. J'étais occupée à regarder le paysage que tout d'un coup la cabine s'arrêta d'avancer. Je fronçai les sourcils, jetai un œil au garçon avant de me lever et de regarder le mec de maintenance se barrer comme si qu'il venait de terminer sa journée. Oh quel con ! Oh mais quel abruti ! Je me mis à frapper sur la cabine !
- EH ! RETOURNEZ-VOUS ! OH ! JE VOUS PARLE ! EH TRIPLE ANDOUILLE ! RETOURNES-TOI ! ON EST LA ! OOOOOH !
Je suis sûre que ces cabines sont insonorisées. Putain ! Je suis dans la merde comme d'habitude ! Fais chier !
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❝Jules & Léonora❞
Quand te reverrai-je.... Pays merveilleux ?
Bien que le froid constant et cette épaisse couche de neige ne m'enchante guère, j'étais tout de même content d'être ici, au Canada. Non pas pour le magnifique paysage mais parce que j'avais pu retrouver ma sœur, Maëlys. Nous avons parlé un long moment ensemble. Elle m'écoutant et moi, lui expliquant pourquoi est-ce que j'avais quitté Cambridge quelques mois plus tôt. Après nos retrouvailles, nous nous étions dirigés vers les pistes. J'avais pris un malin plaisir à les descendre à toute vitesse. J'avais cependant ignoré la pointe de tristesse que j'avais ressentit en me souvenant des vacances familiales au ski, avec papa et maman, quand ils étaient encore en vie. Je n'avais rien dis, rien laissé paraître.

Seulement, voilà. Ça fait à présent une bonne paire d'heure que je suis ici et Maëlys m'a abandonné pour rejoindre une amie et j'ai les mains de la couleur d'une tomate. Je n'ai pas pensé à prendre un paire de gants et le froid attaque ma peau. Elle craque d'ailleurs à certains endroits. Je décide donc de remonter jusqu'aux télécabines. Je me prélasse déjà de sentir la chaleur intérieure réchauffer mes membres engourdis par la basse température. A peine me suis-je installé qu'une jeune femme pénètre à l'intérieur de la cabine. Je l'observe quelques secondes, fais un signe de tête en guise de salutation puis détourne mon regard vers l'extérieur. Ça monte, ça monte et bientôt, il est impossible de discerner l'identité des personnes encore à même le sol. De nature calme, je ne prête pas attention au fait que la cabine s'arrête. Probablement une problème de maintenance. Et alors que je commence à me poser des questions, l'étudiante à mes côtés hurle dans le petit habitacle. Mon corps est prit d'un sursaut alors qu'elle peste contre l'homme qui gère le fonctionnement des télécabines. Mes sourcils se froncent et je décide d'intervenir.

« - Crier ne va rien arranger, tu vois bien qu'il est parti et quand bien même il serait encore là, il ne t'entendrait pas. Commence par te calmer, on va trouver une solution. »


© Pando
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Je frappai sur la vitre de la cabine et hurlait de colère après l'homme de la maintenance. Il ne m'entendait pas. Nous étions pris au piège dans une télécabine à trois mètres du sol. Ce n'était pas une situation stable tout ça. Je ne paniquai pas. J'étais seulement pressée de partir parce que je devais sortir mon chien, mais je devais rejoindre une personne dans le hall de l'hôtel. Ça ne m'excusait pas de mon comportement puisque j'étais de nature impulsive. Il n'y avait qu'une chose pour adoucir mes mœurs. Ce n'était pas la musique, mais la médecine. Le problème était que je ne pouvais pas sortir d'ici et je m'énervai sans comprendre pourquoi. L'étudiant qui se trouvait derrière se mit à prononcer quelques mots. Il possédait un self-control que j'avais perdu depuis mon arrivé dans la Mather House, c'est-à-dire depuis le mois de septembre. Je me tournai vers lui et haussai un sourcil. Eh bien, il était calme et zen celui-là! Je hochai la tête et une moue se dessinait sur ma bouche. Bon, autant l'écouter. Il avait raison sur ce point. Je soupirai légèrement et sortis mon téléphone portable. Bien évidemment, il n'y avait pas de réseau. Je serrai les dents avant de m'asseoir sur le banc.
- Non, mais...
J'allai recommencer à crier, mais je fermai les yeux et soufflai fortement avant de les rouvrir de nouveau. Il fallait que je reste calme.
- Il faut vraiment qu'on sorte de là, ronchonnai-je.
Je me penchai doucement pour trouver une solution. Je regardai mes skis avant de trouver une idée. Je levai les yeux vers la vitre puis passai mon regard sur mes skis...Ah et si je cassai la vitre ? Ouais, non, c'est une mauvaise idée. On va avoir froid alors que l'on devait sortir de là...
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❝Jules & Léonora❞
Quand te reverrai-je.... Pays merveilleux ?
Je n'ai d'autre choix que de garder mon calme. Si elle, elle se montre énervée, je me dois de me montrer calme et de tenter d'apaiser la situation. Je ne suis pas réellement du genre à parler avec les inconnus mais à nouveau, je pense ne pas avoir le choix puisque nous allons très probablement passer la nuit ici, dans cette télécabine.

« - Ce n'est pas pour paraître pessimiste mais je pense qu'on ne sortira pas d'ici avant demain matin, quand il reviendra à son poste. »

Je cherchais mon téléphone portable dans la poche de ma grosse veste et je constatais que je n'avais pas une seule barre de réseau. Ce n'était pas étonnant vu la hauteur à laquelle on se trouvait. Je soupirais et rangeait mon portable. Je me penchais vers l'avant et retirais mes skis. Ils ne me seraient plus utile jusqu'à ce qu'on sorte de là. La jeune femme à mes côtés semblait vraiment nerveuse et bien que ça m'embêtait de la voir comme ça, je n'avais aucun moyen de lui venir en aide. Nous étions tous les deux coincés ici.

« - Je suis Jules. »

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Oh ça ! Il avait raison ! Nous resteront toute la nuit dans la télécabine. Le souvenir du film « Les bronzés font du skis » me revint. J'ai seulement ris à cause du personnage qui chantait sur le téléphérique, mais c'est tout. Je soupirai légèrement et hochai la tête.
- Tu as raison, lui répondis-je alors que mon calme revenait un peu plus. On va devoir dormir ici.
Je baissai la tête et ramenai mes jambes contre ma poitrine. Nous n'avions pas le choix. On n'allait pas prendre un ski et tentait de casser la vitre. C'était absurde ! De toutes manières, si nous faisions cela, comment allait-on descendre ? Autant mourir de froid dans ces cas-là. Je jetai un regard au garçon qui se présentait en tant que Jules. Je fronçai les sourcils.
- Ah ce n'est pas courant comme prénom, mais j'aime bien. Moi c'est Léonora...Tu es étudiant à Harvard?
Il fallait bien faire connaissance. Nous n'allons pas rester tous les deux dans un endroit toute la nuit sans parler. Si c'était ça, nous allons devenir complètement dingue et demanderont pour que l'on soit enfermer dans un hôpital psychiatrique. Je posai la tête sur mes genoux et tirai une moue.
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