Gemma Webb-Priest ► Catherine bell

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle // et j'ai 22 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à Read Priest.  il a l'air d'être actif, très soigneux, et puis, j'avais envie de neuf alors j'ai décidé de m'inscrire [/b]. J'utilise catherine bell comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par soakscb. Je fais environ (je m'adapte selon mon partenaire-  mots par RP et mon personnage est un personnage inventé)
[b]Mot de la fin ? ▲ je vais en rêver des checked
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
 adhérer un flood d'intégration (OUI)

J’avais rencontré mon époux lors d’une fête foraine à Santa Fe. Dès le premier regard, j’en étais tombée follement amoureuse de cet homme. Il était si séduisant, si gentil, si doux, si romantique. En gros, il était l’homme parfait, mais au fil des ans, le prince charmant se transforma en crapaud. Cependant, je ne pourrais jamais autant remercier ce crapaud. Il avait fait tellement de choses pour moi. Sans lui, je n'aurais jamais su intégrer une autre université qu’Harvard.  J’étais une madame tout le monde alors que lui, il avait déjà une belle situation financière étant donné qu’il était bien plus âgé que moi alors c’était lui qui m’avait financé mes études.  Ma première année de droit n'avait pas été, des plus faciles, car, je donnais naissance à notre premier fils en 1992, c'est-à-dire, à mes 18 ans. Et puis rapidement tout s’enchaînait, le mariage, la remise des diplômes, le déménagement,  la construction de notre belle villa, mon emploi, la naissance de ma fille (1997) … J’avais une belle vie, et je ne pouvais pas rêver mieux que tout cela, mais, néanmoins, les bonnes choses ont toujours une fin.

Au début, je me disais qu'il avait dû passer une sale journée, mais je réalisais que c'était plus que ça. Il avait toujours été macho envers les femmes, arrogant, dragueur et c'est bien pour cela que j'avais la trouille qu'il me quitte un jour pour une autre. Il était un homme à femmes, et ça, je ne pouvais pas fermer les yeux là-dessus. Combien de fois, m’avait-il trompée ? Je n'avais pas suffisamment de doigts pour les compter, et je craignais fortement que je sois dans le même cas. Je ne voulais pas être une femme cocue au point de plus  pouvoir passer sous une porte d'église. Les disputes devenaient de plus en plus fréquentes, et son altitude commençait à m'étouffer. Je l'avais menacé de le quitter, plus d’une fois … Seulement, un soir – quand je lui avais dit cela - , il avait tout simplement pété les plombs et il m'avait claquée violemment contre un mur, ses mains sous mon cou avant de me foutre un coup de poing dans mon ventre. Il m'avait bien fait comprendre que j'étais à lui, et que jamais, je pourrais partir. J'étais sous son emprise, soumise à lui. Ce qu'il s'était passé, je ne l'avais jamais racontée à qui compte, et naïvement, je l'avais pardonné.

Je pensais qu'en lui offrant un troisième fils (2007), étant donné qu'il désirait avoir une grande famille, que son comportement allait changer, mais visiblement, ce n’était pas le cas.  Je n'avais pas grand-chose à répliquer  avec lui, vu qu'il adorait avoir le dernier mot , et surtout, il adorait manipuler tout ce qu'il l'entourait, moi la première. Mais, pour le bien de nos enfants, je restais avec lui, et de toute façon, je ne pouvais pas le quitter, je l'aimais malgré ces nombreux défauts. Un soir, en plein été 2010, alors que les enfants étaient couchés, il avait recommencé à lever la main sur moi. Il faisait toujours en sorte de ne pas me frapper au visage ou sur une partie visible. J'étais l'épouse d'un homme violent, et en même temps: l'un des plus réputer agent secret. Cependant, malgré qu'il soit respecté envers ses collègues, et qu'il soit un excellent chef avant tout, il est un véritable tyran dans la vie privée. Je  n'avais pas songé à le dénoncer même après de nombreuses fois qu'il m'avait comparée à un boxing ball. En réalité, j'étais en quelque sorte une femme soumise, et qui avait peur de son mari. Et de toute façon, qui allait me croire? Une pauvre femme ou un chef d'équipe de l'agence de la cia ? Cela dit, même si, je me laissais marcher sur les pieds par mon mari, et que j'avais la trouille de le quitter, cela ne signifiait pas qu'en autre temps, j'étais une femme faible en tout. Notamment, pour ma carrière professionnelle: j'étais exigeante, talentueuse, et intraitable dans mon métier.

Mon mari avait un don pour ce qu'il ait de cacher sa vraie personnalité et de se faire passer pour un homme remarquable auprès de ses collègues. Le plus effrayant, c'est que je jouais très bien son petit jeu, en faisant croire qu'il était l'homme parfait. Occasionnellement, Maxwell devait passer  des tests de moralités effectués par son agence, pour chaque échelon qu'il montait et eux? ils ne voyaient que du feu. - croyant vraiment qu'il était juste, alors qu'en réalité, il était loin d'être un ange, cela dit, quoi qu'il me dît de faire, je le faisais par amour envers lui. Alors, quand des personnes de son service viennent me poser des diverses questions, je mentais et je répondais en fonction de leurs envies. C'était certainement grâce à mes mensonges, qu'il avait réussi à être promu directeur de la cia. En 2012, je commençais doucement à dérailler dans le sens que je devenais de plus en plus dépendance à l'alcool, mais il n'y avait pas que cela. Pour me venger, je n’avais rien trouvé de mieux que de  coucher avec son petit neveu de 26 ans soit, 4 ans de plus que mon fils. J’avais honte à la fois, mais je ne pouvais m’empêcher d’avoir une petite fierté.

Seulement, j’avais mal calculé mon coup… Je tombais enceinte d'un petit garçon. Désormais, la question que je me posais, qui était le père. Read ou de Maxwell ? Cela fait un an et demi que je me voile la face en me disant que le père est mon mari, mais, au fond de moi, je savais que c’était Read. La vie serait plus simple si je proposais aux hommes de faire un  test de paternité, mais j’avais si peur, tellement peur…. Si Maxwell apprenait la vérité, je craignais le pire pour moi, mais aussi pour mon bébé.