Rowan Barnes - Jaimie Alexander

Je suis née le 12 mars 1988 dans la magnifique ville de Dublin en Irlande. De plus, c'est en ce lieu que j'ai eu la chance de pouvoir évoluer aux seins d'une famille heureuse, unis, protectrice ainsi et aux côtés d'une sœur ainsi, que d'un frère... D'ailleurs, heureusement qu'ils étaient à mes côtés et que je pouvais compter sur eux, car même si j'ai eu la chance d'avoir eu une belle enfance, celle-ci ne fût pas toujours aussi simple, qu'elle ne le laissait paraître. En effet, ma mère Joanne Barnes est une célèbre romancière, même si elle a toujours écrit sous son nom de jeune fille, qui est Rowling et mon père, Andrew Barnes est un grand producteur, réalisateur et scénariste. Alors, mon père provoquait très souvent l'hystérie de ses fans et c'est pour ça, que mon père était toujours entouré de gardes du corps. D'ailleurs, ses gardes du corps étaient toujours avec lui et ça que ce soit pour son travail, comme dans sa vie privée. Du coup, il m'était très difficile de rester seule avec mon père. Car, il y avait non seulement ses gardes du corps et ses fans, puisqu'il y avait également les paparazzis. Alors, il n'était pas rare, que je sois bousculée où prise en photo, lorsque je me trouvais avec mon père et c'est pour ça, que je n'ai pas eu une enfance si facile, que ça. Toutefois, le fait que mon père soit célèbre n'avait pas que des inconvénients puisque ça lui à permit de côtoyer les plus grands réalisateurs, scénaristes, producteurs, comme Steven Spielberg où encore George Lucas. Ça à également permit à mon père de rencontrer des acteurs, comme Tom Cruise et George Clooney où encore des chanteurs et des groupes comme Bono et son groupe U2 pour ne cité qu'eux. D'ailleurs, mon père est très amis avec Steven Spielberg, George Lucas et Bono, ce qui fait que j'ai eu l'immense et le grand privilège de pouvoir les connaître et être proche d'eux ainsi, que de leurs enfants.

Néanmoins, ce n'est pas parce que mes parents sont célèbres, qu'ils ne se sont pas occupés de nous. En fait, il n'était pas rare, que nous voyagions aux quatre coins du monde afin de voir des amis, mais également la famille comme ma petite cousine Ruby Lockart, qui habitait Los Angeles et dont j'ai toujours été très proche même, si elle est plus jeune que moi. Cependant, mes parents ne se contentaient pas que de voyager à nos côtés. Puisqu'ils s'intéressaient également aux loisirs que nous pratiquions. D'ailleurs, les deux loisirs que je pratiquais était très différent de l'un et de l'autre ainsi, que de ceux de ma sœur et de mon frère. Puisque, j'ai commencée à faire de l'équitation à sept ans et je me suis mise à faire du théâtre un an plus tard. D'ailleurs, lorsque j'ai annoncée à mon père, que je voulais du théâtre il s'était empressé de me trouver un très bon professeur et était très fier que je me lance dans ce loisirs. Quant à mon éducation et bien, mes parents ont toujours tout fait pour que nous évoluions dans les meilleures conditions sans pour autant êtres des parents autoritaires où laxistes. Cela passait également par mes études scolaires où mes parents avaient préféré nous placer dans une école privée, que de nous donner des cours par correspondance et je dois dire qu'ils ont eu raisons. Car, j'avais non seulement de très bonnes notes, mais j'étais également l'une des filles les plus brillantes de ma classe et une des filles les plus populaires de mon lycée. Cependant, ce n'était pas la seule chose, car grâce à mes parents j'ai pu faire la connaissance de quatre merveilleux garçons, qui sont très vite devenus mes meilleurs amis, mais également mes frères de cœurs. D'ailleurs, il n'était pas rare de nous avoir ensemble et c'était les seuls rare personnes pour qui j'étais prête à tout. Quant aux métiers de mes parents et bien, je n'en parlais pas beaucoup et lorsque je le faisais, je le faisais seulement avec mes quatre meilleurs amis, les seuls en qui, j'avais pleinement confiance...

Je suis entrée au collège de Stradford en 1992 et je suivais en ses lieux des cours des cours d'irlandais, d'anglais, de mathématiques, de science, d'histoire, de géographie et d'art. En plus de mes sept cours obligatoire, je suivais également quatre autres cours que j'avais cette fois-ci pris en option et qui se trouvait être des cours de français, biologie, d'éducation civique et physique. Il est vrai, que ce n'était pas facile de toujours tout gérée et je devais passer énormément de temps sur mes cours et mes devoirs afin d'avoir de bonnes notes. Mais, ce n'était pas trop compliqué pour moi, puisque j'ai toujours été une élève assez brillante et s'en fût de même au collège où j'étais une des meilleures élèves de ma classe. Toutefois, ce n'était pas la seule chose... Étant donnée, que j'étais également une des élèves les plus populaires de mon collège. En effet, la grande majorité des étudiants de mon collège savaient, que mes parents étaient célèbre. Du coup, j'étais assez méfiantes des personnes qui voulaient se lier d'amitié avec moi et la plupart de ces personnes voulaient et faisaient tout pour détruire ma réputation et pour me détruire. D'ailleurs, ces personnes-là devait faire face à une ''moi'' très garce, parce que je faisais tout pour leur faire vivre l'enfer et pour qu'ils regrettent leurs gestes et leurs complots à mon encontre. Quant à mes meilleurs amis... Hé bien, je ne les voyais que le soir où nous, nous retrouvions afin de passer une bonne soirée et dans ses moments-là, ils nous arrivaient de faire un peu les quatre cents coups et on discutait de tout et de rien. Mais, nous ne nous voyions pas dans la journée, car mon emploi du temps était beaucoup trop chargé pour ça. Néanmoins, mes amis n'étaient pas les seuls personnes les plus importantes pour moi. En effet, ils y avaient aussi mon frère et ma sœur dont j'étais très proche et avec qui, je m'entendais bien. Il y avait aussi ma mère avec laquelle il mets arriver à plusieurs reprises d'avoir des petits conflits, mais sans grande importance et pour finir, il y avait mon père...

Mon père était très certainement la personne, qui était le plus fier de moi. Car, je continuais de prendre des cours de théâtre et j'étais vraiment très douée dans ce domaine. D'ailleurs, mon père me donnait de temps en temps ses anciens scripts afin, que je puisse répéter et pour que je le fasse avec lui. D'ailleurs, il m'arrivait de répéter avec et sans caméra. Toutefois, mon père ne m'a pas seulement donné ses scripts ce qui était déjà énorme et pourtant, il a fait bien plus que ça. Car, c'est lui qui m'a donné la chance de rencontrer John Lasseter. Qui est Mr Lasseter ? Ce n'est autre, qu'un grand réalisateur, producteur et scénariste. C'est également lui, qui a réalisé Toy Story notamment et qui m'a donné l'occasion de me lancer dans le cinéma. Puisque, j'ai eu la chance de prêter ma voix pour une des fourmis du film d'animation 1001 pattes et je dois dire, que ce fût une magnifique expériences. Après ce film, j'ai eu la chance de jouer dans une série qui se prénommait Caitlin Montana et qui parlait d'une adolescente à problèmes et j'y ai d'ailleurs interprétée le rôle principal.

En même temps, que ma naissante carrière d'actrice... Je vivais une vie ordinaire, puisque je continuais d'étudier, de passer du temps avec mes meilleurs amis et ma famille. Je continuais également mes activités extra-scolaire. D'ailleurs, en plus du théâtre et de l'équitation, je m'étais inscrite dans une club de Qwan Ki Do qui se trouvait être un mélange d'art martiaux chinois et d'art martiaux Vietnamien. Et puis, sans que je ne vois le temps et les années passées... J'ai eu seize ans et j'ai tournée dans le dernier épisode de Caitlin Montana. D'ailleurs, ce fut un moment remplit de nostalgie pour moi et pour toute l'équipe. Après ça, nous avions célébré la fin de la série comme il se le devait et pour cette occasion si spéciale, nous avions invités d'autres star à fêter cela avec nous et c'est là, que j'ai, que j'ai bût ma première coupe de champagne. J'ai fini cette soirée en étant très fortement alcoolisée et dans les bras ainsi, que dans le lit d'un célèbre acteur plus vieux que moi et dont je tairais le nom. Les jours suivirent et j'étais redevenue une simple adolescente avec un emploi du temps assez simple. Puisque, j'étudiais, je passais du temps avec mes meilleurs amis, ma famille et je continuais mes activités extra-scolaires même, si je m'étais mise à prendre des cours d'islandais et cette langue étrangère était loin d'être facile à apprendre, mais j'ai toujours aimer les défis. De plus, j'ai toujours aimée l'Islande ainsi, que ses mythes ainsi, que ses légendes et j'ai toujours rêvée de partir visiter l'Islande. Alors, même si c'était dur et bien, je ne lâchais rien et j'ai réussi petit à petit, à parler l'islandais correctement.


Le 10 Février 1997... Mon père me présenta un de ses amis, Mr Hunsinger qui était producteur ainsi, que réalisateur et qui me voulait pour un des rôles principaux pour son prochain film. Bien sûr, je connaissais Mr Hunsinger de nom, puisque c'était un producteur reconnu dans le monde du cinéma pour ses nombreux films à succès. Alors, j'étais à la fois étonnée et heureuse, qu'il me veuille dans son prochain film. Nous con-vîmes un rendez-vous pour le lendemain matin et une fois sur place, nous parlions du projet de son film, ainsi que de mon futur rôle durant trois ans, puis il m'engagea en me disant qu'il me suivait depuis mes débuts grâce à mon père et grâce à mon professeur de théâtre. Néanmoins, le film n'avait pas lieu en Irlande, mais à New-York, ce qui me fit hésiter. En effet, je n'avais jamais quittée aussi longtemps l'Irlande et je savais, que j'allais en avoir pour au moins un an. De plus, je n'avais pas fini mes cours. Mais, mes parents m'ont rassuré et engagea un professeur privé. Mes parents et mes amis me disaient également de foncer tête baisser et ne de ne pas se soucier d'eux. Alors, c'est ce que je fis ... Je suis partie le 17 mars au soir et j'ai atterrie le matin du 18 ars où Mr Hunsinger m'attendait. Nous avons commencé à tourner le lendemain matin. Bien sûr, je n'avais pas seulement tournée puisque je faisais également des photoshoot et tout ce qu'il fallait pour faire de la bonne publicité pour le film. Quant à mes soirées et bien, j'allais à des galas, des soirées mondaines et toutes sortes de soirée où l'on exposait son argent et parfois devant des personnes pauvres où de classe moyenne, ce qui me fit mal. En effet, j'avais mal au cœur de savoir que des personnes mourraient de faim et qu'il y avait des pays en guerre et que personne ne bougeait pour les aider. Moi, je ne pouvais pas rester sans rien faire. Alors, j'ai commencé à aider des associations en même temps que je continuais à travailler pour Mr Hunsinger et plus je faisais ça, plus je me posais toutes sortes de questions sur mon avenir dans le cinéma. De plus, je me rendais bien compte que je n'étais pas heureuse dans le monde du cinéma. Je me rendais bien compte, que ce n'était pas mon monde, ma façon de voir la vie et que c'était juste un monde où tout n'était que luxe, qu'argent et notoriété.

Alors, un jour lorsque je ne travaillais pas. Je suis partie en direction de Harvad et je suis partie voir le doyen, qui était un ami de ma mère. Je ne connaissais pas cette université, mais ma mère y avait été lorsqu'elle était jeune et elle m'en avait dit que du bien. Une fois là-bas, j'ai rempli un dossier d'inscription où j'y ai mis mon souhait de devenir chirurgien général et d'être biologiste. Suite à cela, j'ai continuée de vivre ma vie normalement, du moins j'ai continuée de tourner et dans le film de Mr Hunsinger et... je suis tombée amoureuse d'un garçon très connu. Nous sommes restés longtemps ensemble et cela aurait pût durée beaucoup plus longtemps. Mais, j'avais fini de tourner et je devais rentrer en Irlande pour ma famille, mes amis et pour savoir si j'avais eu une lettre d'Harvard. Alors, même si c'était dur. Même, si je n'aime pas faire souffrir les personnes que j'aime. Même, si ça me brisait le cœur, j'ai mis fin à cette relation avant, que nous souffrions encore plus tous les deux. Je suis repartie le même jour pour l'Irlande. Une fois dans ma ville natale, j'en ai profitée pour me reposer et me ressourcer un peu avant, que le film ne sorte dans les salles de cinéma. D'ailleurs, ce film resta longtemps en tête d'affiche et c'est également à cette période, que je suis devenue une star internationale. Bien sûr, j'étais plus ou moins connue pour mon rôle de Caitlin Montanna, mais pas comme ça. Alors, c'était extrêmement dur sur le plan physique et psychologique puisque les fans et les paparazzies ne me lâchaient pratiquement plus.

Néanmoins, la notoriété m'a fait comprendre une chose, celle que ce monde n'était vraiment pas fait pour moi. Alors, lorsque j'ai reçus la réponse d'Harvard et qui était favorable, j'ai fait mes valises puis j'ai été voir mes quatre meilleurs amis avec qui j'ai longuement discuté et je leur ai dit adieux. J'ai ensuite, discuter avec ma mère, mon père, mon frère et ma sœur. D'ailleurs, mon père ne voulait pas me comprendre et il ne voulait pas comprendre que le milieu du cinéma n'était pas mon monde et celui dans lequel je voulais évoluer. De plus, il disait que je lui faisais honte, que je faisais honte à son métier etc... Alors, je suis monter dans ma chambre puis j'ai pris tout ce dont j'avais besoin et tout ce qui était de valeur pour moi, puis j'ai quittée la villa de mes parents la tête haute. Je suis ensuite, partie à ma banque où j'ai pris de l'argent et j'ai fait un transfert de compte pour transférer mon argent à Cambridge. J'ai ensuite, pris l'avion et j'ai quittée l'Irlande sans l'ombre d'un regret, si ce n'est beaucoup de peine pour ma sœur, mon frère et mes meilleurs amis...

Je suis arrivée aux états-unis et plus précisément à Cambridge dans le Massachussetts en 1999. Alors, que je n'avais 19 ans et je ne pourrais pas d'écrire ce que j'ai ressentie lorsque je suis arrivée à l'université d'Harvard. Car, c'était le lendemain de ma dispute et j'étais à la fois en colère et triste pour mon père. J'étais en colère contre lui, parce qu'il voulait que je sois comme lui, que je fasse partie du monde du cinéma comme lui, chose que je ne voulais pas. Je ne voulais pas parce que j'étais éprise de liberté et je voulais avoir ma libre pensée. Alors, il s'était mis à me juger et me critiquer violemment, chose qu'il n'avait jamais fait jusque là... Mais, je gardais la tête haute et je continuais ma vie, sans lui. D'ailleurs, j'étais vraiment heureuse à Harvard, parce que j'avais trouvée un endroit où il m'était possible de refaire ma vie. J'étais également heureuse, parce que j'avais trouvée un lieu où je pouvais être la personne que je voulais, faire ce que je voulais et vivre comme je le désirais. Alors, oui je me sentais bien, j'étais heureuse et c'était un plaisir de goûter à cette liberté, chose que je n'ai jamais réellement eu l'impression d'avoir jusqu'à présent. Alors, ma vie à Harvard était vraiment géniale. Et encore plus, lorsque j'ai fait connaissance avec ma colocataire avec qui je m'entendais vraiment bien, puisqu'elle suivait les mêmes cours que moi, nous avions les mêmes goûts musicaux et la même façon de voir la vie et le monde. Nous appartenions également à la même confrérie. Alors, nous étions devenus très vite amie puis meilleure amie avant d'être une sœur de cœur. Oui... Cette fille était vraiment géniale. D'autant plus, qu'elle avait un cœur en or.... Cette fille s'appelait Cassidy et aimait la vie. Mais, parfois la vie peut être une vrai garce et la vie peut nous enlever des personnes en or et d'une extrême gentillesse et c'est ce qui s'est passé pour Cassi...

C'était le 17 Janvier 2013... Ce jour-là... vous avez eu peur et vous avez peut-être perdu une partie de vous où quelqu'un à qui vous teniez énormément, si ce n'est pas les deux. Dans mon cas, j'ai perdu les deux. D'ailleurs, parfois je me demande pourquoi est-ce que j'ai survécu à tout cela et quel est le but de tout ça. Alors, que j'aurais dû être une des premières victimes. Je me demande pourquoi ce monstre m'a laissé en vie. Était-ce, parce que je suis restée le regarder droit dans les yeux sans le supplier, sans lui dire un mot, sans me mettre à pleurer, comme si j'étais paralysée et sans aucun sentiment. Alors, que j'avais peur et que je bouillonnais à l'intérieur de moi. Puis, j'ai baissée les yeux quelques instants en pensant que je ne verrais pas demain, ni les jours d'après et lorsque je les ai ouverts, ce monstre n'était plus là. J'ai également perdu une des rares personnes qui me faisaient des leçons de moral lorsque je me démotivais où que, je me trouvais nul. Mais, j'ai perdu bien plus que ça... J'ai perdu ma meilleure amie, la seule et l'unique personne qui sera à jamais ma sœur de cœur. Oui... Cassi est partie ce jour-là et elle est partie alors, que je faisais tout pour qu'elle survive. C'est vrai, j'avais 25 ans, j'avais 7 années de cours et de pratique de chirurgie. Alors, j'ai tout essayée pour qu'elle s'en sorte. Mais, sa blessure était beaucoup trop importante et la seule chose que je pouvais faire pour elle ce fut de lui tenir la main, de lui parler doucement et de la rassurer. C'était aussi, de ne pas fondre en larme devant elle, même si je savais qu'elle n'allait pas s'en sortir. Alors, oui j'aurais pût rester pleurée la perte de ma meilleure amie. J'aurais pu rester dans mon coin à attendre que les forces de l'ordre soient là. Mais, ce n'est pas ce que j'ai fait.

Parce que, j'avais des bases de sauvetage et je pouvais peut-être sauver encore du monde. Alors, même si les forces de l'ordres sont arrivés après le décès de ma meilleure amie, même si les forces de l'ordre donnait l'ordre d'évacuer, moi je suis restée à l'université et j'ai aidée comme je pouvais ceux qui étaient blessé. OUI...On a tous perdu quelqu'un ce jour-là. Des amis , une meilleure amie, un meilleur ami, de la famille, un où une petite amie, un frère, une sœur, un mari où une femme...J'étais comme vous... Je l'ai vécu comme vous... Mais, je me suis battue le lendemain, le surlendemain et ainsi de suite pour ne pas sombrer dans la dépression et dans la tristesse, parce que Cassi était une personne qui aimait et qui souriait à la vie. Alors, j'ai essayée de fait en quelques sortes, ce qu'elle aurait aimée que je fasse. Que je continue ma vie avec mes rêves pleins la tête et que je ne pense qu'au bon moment passé avec elle... et c'est ce que j'ai fait....

D'ailleurs... Je pense qu'en ce 9 Janvier 2015, Cassi serait vraiment fière de moi... Puisque, j'entame ma dernière année de médecine et de biologie. Je continue toujours de travailler à l'hôpital de Cambrige. Je fais toujours partie de la même confrérie et je vais bientôt emménager avec Paige, une de mes très bonne amie. Sinon et bien, je suis célibataire et je n'ai pas eu de relation sérieuse depuis mes dix-huit ans. Quant à mon avenir plus ou moins lointain et bien... Je me vois travailler dans une ONG afin d'aider les pays pauvres, les pays qui sont touchés par le virus ébola où les pays en guerre. Pourquoi pas une ONG comme médecin sans frontière où pour l'ONU.