CAMRYS • « It's time to find how to be free together »

« & Let it go, ... »
Camille & Emrys
♪Mise en page par dark dreams. pour ILH

Le chagrin de découvertes affreuses restait en moi comme une trace indélébile, je ne comprenais pas comment tout cela avait pu arriver en quatre mois ni comment j'avais pu passer pour un mort pendant ces quatre mois d'ailleurs mais j'essayais d'oublier ça alors je ne voulais pas tout mélanger, j'étais usé par cette histoire car forcément, je devais la raconter 25 fois par jour et ça devenait bien embêtant pourtant je restais fixé sur Grace, non que je ressentais un manque, ce qui me déplaisait car j'aurai voulu ressentir un manque, savoir qu'elle était la bonne mais ce n'était pas le cas du tout. Non, je pensais à Grace parce qu'elle avait repris la drogue, parce qu'elle avait déconné soi-disant en me perdant mais ce n'est pas une excuse, on peut déconner en étant malheureuse mais pas autant, pas au point de prendre une putain de voiture et de perdre l'enfant et de se détruire ainsi. Je sens à l'intérieur à chaque fois que j'y pense, qu'avant mon amnésie, je m'étais enfin fit à l'idée et que je crois que j'en étais heureux. D'ailleurs, là, je me sens encore prêt et pourtant, rien n'arrivera... Pas d'enfants ! Je me passais de l'eau sur le visage, regardant dans la glace de la salle de bain de ma chambre et je passais encore ses mains comme pour effacer les traits tirés que la fatigue apportait. Je crisais avant de décider d'enfiler un jean noir, de me faire bien présentable et descendre me saouler la gueule un bon coup parce que là, j'en pouvais clairement plus. Je revenais à peine que ça recommençait le bordel ! Je descendais donc, pensif, portant ma main à l'arrière de ma tete comme pour toucher cette bosse qui rappelait quelques mésaventures récentes. Je traversais élégamment le bar sans vraiment le vouloir, c'était la classe naturelle en fait ! (Sususu !) Je me pose sur un des immenses tabourets devant le bar, essayant de garder pour le moment un minimum de prestance mais résigné, je ne fais plus attention, commandant au serveur ; Un whisky ... hu... un double plutôt ! Je lui décrochais un sourire presque trop ironique, trop mauvais.

Voilà déjà plus d'une heure que Camille avait quitté Skyler et qu'elle était était censée dormir bien tranquillement dans son lit. Sauf qu'elle était toujours dans le bain qu'elle s'était fait couler, fumant clope sur clope en regardant distraitement son téléphone qu'elle n'avait miraculeusement toujours pas fait tomber dans l'eau. Elle n'avait même pas le courage de se mettre au lit et d'essayer de dormir en fait. Parce qu'elle savait très bien que comme toute les nuits, elle ressasserait ses pensées moroses, passant du stade "Walter est un vrai connard" à "je suis une merde de ne pas avoir su le garder". Ou encore elle arriverait à s'endormir, mais se réveillerait en sursaut après avec rêvé de lui au pieu avec une autre. L'enfer, voilà ce qu'elle avait l'impression de vivre. Finalement, elle se redressa d'un coup, éteignant sa cigarette dans le cendrier qu'elle avait amené jusque là, sorti de la baignoire et se sécha en se regardant dans le miroir. Tu n'as pas envie de dormir disait son reflet. Enfilant la petite robe noire qu'elle avait mise un peu plus tôt dans la soirée, elle se remaquilla rapidement, chaussa ses escarpins, attrapa ses clopes et claqua la porte derrière elle, direction le bar de l'hôtel. La soirée était déjà bien avancée et il n'y aurait certainement personne à cette heure-ci, mais tant pis, elle irait boire en solo. Ses talons claquant sur le sol, elle arriva dans la pièce, à première vue déserte comme elle s'y était attendue, à l'exception d'un type accoudé au bar et du barman. Jetant un petit coup d'oeil au jeune homme, elle s'installa à son tour au bar, replaçant une de ses mèche de cheveux derrière son oreille. Une vodka tonic s'il vous plait demanda-t-elle, le barman s'éloignant déjà pour préparer sa commande. Elle soupira légèrement, regardant discrètement malgré elle le type pour la seconde fois, remarquant à quel point il était beau. Sans vraiment se rendre compte de ce qu'elle faisait, elle sortit une cigarette qu'elle plaça entre ses lèvres pour l'allumer et prendre une longue taffe, ne captant pas tout de suite les gros yeux du barman qui revenait lui apporter son verre. On ne peut pas fumer ici mademoiselle. Oups. C'est vrai. Sauf qu'elle avait pas envie d'éteindre sa cigarette là. Je peux au moins la finir ? demanda-t-elle en soufflant presque dans la gueule du type, provocante jusqu'au bout.

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Camille & Emrys
♪Mise en page par dark dreams. pour ILH

Incompris, je choisis la solitude. Accoudé contre le bar, j'apprécie moyennement le reflet que je vois émaner de la glace qui fait le fond du bar et je déglutis en baissant les yeux sur mon verre appréciant les mouvements du liquide dans le verre : palpitant ! Un sourire débile s'affiche sur mes lèvres lorsqu'une demoiselle vient, sensuellement, se poser à mes cotés sans un mot. Elle semble déjà tout aussi mal que moi et peu décidé à faire de cadeau a qui lui parlera. Je ne la fixe pas préférant me faire discret en cette soirée. Je l'écoute pourtant ne pouvant oublier la beauté croisée par mes yeux à son arrivée, je tourne un instant la tete lorsqu'elle commande sa Vodka et j'admire les courbes qu'on aperçoit divinement par le choix d'une petite robe noire. Je souris, un sourire presque trop vulgaire et carnassier. Je pose alors, navré, une main sur mes yeux voulant que cela se stoppe et tourne le regard vers mon verre de nouveau mais je sens ses yeux sur moi. J'ai toujours eu trop d’aisance à sentir les regards, comme si des yeux pouvaient connaitre l'expérience du toucher. J'ai les lèvres qui s'étirent doucement et lorsque je sens de la fumée venir titiller mon nez, je fronce les sourcils, lègèrement surpris. Je tourne mes yeux vers non pour la réprimander alors que le barman, lui, s'en contente avant qu'elle demande, culottée, si elle peut la finir et inconsciemment, je pars directement à sa conquête. Je me rapproche doucement et parle à la demoiselle d'un ton naturel ; Ces lois sont si débiles ... je vous aurais aisément rejoint si il ne m'avait déjà pas fait quelques remarques désobligeantes ! Dis-je en appuyant bien sur les mots et provoquant le barman du regard pour montrer qu'il m'énerve et en quelque sorte montrer ma bravoure - et quelle bravoure ! non mais allo Emrys -. Un sourire charmeur, je trempe les lèvres dans ma boisson avant de tendre ma main doucement et lui dire : Emrys ... Emrys Zacharias ... quel prénom porte une si jolie demoiselle ? Dis-je tel un mauvais charmeur avant de rire et de dire ; Ah... la technique à la gros lourd ... montrant alors par cette douce technique mon humour et l'auto dérision durement acquise.

Camille regarda les yeux écarquillés du barman avec amusement alors qu'il se prenait sa fumée dans la tronche, sentant cette envie de provoquer et de n'en faire qu'à sa tête prendre le dessus. Elle battit des cils un instant, comme pour l'amadouer et elle voyait bien dans son regard qu'elle le perturbait. Pauvre gars, lui qui ne faisait que son boulot. Le beau gosse assis près d'elle se leva alors pour venir la rejoindre avec un sourire. Ces lois sont si débiles ... je vous aurais aisément rejoint si il ne m'avait déjà pas fait quelques remarques désobligeantes ! dit-il en vannant le barman qui, semblant capituler, se rangea derrière son bar pour continuer à ranger des verres. Camille eut un petit sourire, prenant une nouvelle taffe sur sa cigarette sans pour autant le lâcher du regard. Elle ne s'était pas trompée, il était vraiment canon le mec, et ses yeux étaient à tomber par terre... surtout avec ce regard, là. Emrys ... Emrys Zacharias ... quel prénom porte une si jolie demoiselle ? dit-il sur un ton pompeux qui lui donna envie de pouffer, finissant par rire pour de bon en entendant la suite. Ah... la technique à la gros lourd... Combien de mec s'étaient fait rembarrer comme ça ? Au moins cet Emrys avait le sens de l'auto-dérision. Je n'aurais pas mieux dit plaisanta-t-elle en serrant sa main, avant de se présenter à son tour. Moi c'est Camille. Emrys était forcément Harvardien et pourtant, il ne l'avait pas saluée directement comme "Camille la présidente des Cabot" et franchement ? C'était agréable pour une fois de voir quelqu'un qu'elle ne connaissait pas qui ne la connaissait pas non plus ! Alors Emrys.. toi non plus tu ne trouve pas le sommeil ? demanda-t-elle en passant directement au tutoiement.

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Camille & Emrys
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Très simplement, je me trouvais dans ce bar à faire la discussion à une inconnue pour le moins séduisante. Je ne voulais plus faire le faux, jouer les lourds, le mec séducteur à deux balles mais pas du tout. Je la faisais d'ailleurs rire ce qui me fit très plaisir parce que je me rendais compte de ne pas avoir trop perdu la main niveau rigolade franche, comique incompris, là j'étais compris et ça me tira un petit rire à moi aussi. Elle serra donc ma main en se présentant en tant que Camille ce qui me rappela vaguement un truc, dans mon esprit un papier au nom d'harvard, avec l’écusson, des prénoms comme une liste et des couleurs mais cela était trop flou. Là, la jeune blonde s’inquiéta de mon sommeil mais je n'étais pas seule puisqu'elle était là alors je souriais en prenant mon verre en main tel un soulard : Oui, a vrai dire je n'ai pas passé les vacances que j'aurai voulu passer ... Je bus une gorgée dans mon verre appréciant la brulure qui parcourait mon gorge et mon œsophage. Je passais une main dans mes cheveux, navré avant de reprendre : qu'est-ce qui t’empêche de dormir ? dis-je prévenant ayant l'impression que ce soit mon verre et la jolie demoiselle serait mes meilleurs amis, sans aucun regret au vue de sa beauté et puis, je n'avais rien compte les dérapages a vrai dire non plus. Je souriais à cette pensée, lançant un regard dans son décolleté presque honteux.

Etre accoudée au bar de l'hôtel au beau milieu de la nuit avec un inconnu beau gosse entrain de siffler un verre était finalement une perspective beaucoup plus agréable que celle de rester seule dans son lit à ruminer ses problèmes. L'alcool commençait doucement à lui monter à la tête, et ça n'avait rien d'étonnant aux vues des verres qu'elle s'était enfilée dans la soirée. Mais il s'en fichait, au contraire. Cette sensation de liberté, d'euphorie qui s'emparait d'elle lui donnait l'impression de pouvoir tout oublier. Son regard s'attardait sans cesse sur Emrys, sur ses yeux sexy posés sur elle qui étaient loin de la laisser indifférente. Oui, a vrai dire je n'ai pas passé les vacances que j'aurai voulu passer... Camille tira à nouveau sur sa cigarette, ayant l'étrange impression que le jeune homme et elle avaient peut-être plsu de points commun qu'elle ne le pensait. On est deux alors.. dit-elle avec un léger sourire, finissant sa clope en l'écrasant dans une coupelle. Elle l'observa boire du coin de l’œil, s'attardant sur les expressions de son visage comme envoûtée. Qu'est-ce qui t’empêche de dormir ? Le souvenir de son ex ? Ses images qui venaient à elle sans cesse alors qu'elle avait l'impression d'avoir été trahie.. et son coeur brisé en mille morceaux qui lui faisait mal dans sa poitrine. Sauf qu'elle n'avait pas envie de parler de Walter ce soir. En fait, elle ne voulait pas y penser même une seconde de plus. Les beaux mecs comme toi dit-elle avec un sourire provocateur, remarquant son regard qui avait dévié vers sa poitrine. Elle avait envie de le chercher, de voir jusqu'où elle était prête à jouer avec le feu.

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Camille & Emrys
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La tension était palpable, entre désirs et lamentations intérieures. On pouvait clairement sentir que ça n'allait pas ni pour l'un ni pour l’autre pourtant il fallait que chacun tente de faire bonne figure. Sourire perdu, les uniques mouvements de lèvres étaient de faux sourires uniquement sortis dans le but de séduire l'autre et seuls les yeux de chacun pouvait trahir par les regards portés secrètement ou non au camarade. Apparemment, la jeune femme n'avait pas non plus passer de bonne vacance si bien que je me pestais dans ma barbe me demandant pourquoi la vie se trouvait si chiante. Je n'hésitais pas à lancer quelques regards sur cette belle vénus qui étaient assise à mes cotés, tirant avec élégance sur sa cigarette pour lâcher une douce fumée non sans être désagréable par instant, et à son tour, croyant surement que je ne verrais pas, m'adressais quelques regards séducteurs. Lorsqu'un compliment brisa le silence suite à ma question qui allait de soi, je ne pipa pas un mot et ne fut que m'approcher un peu plus en fixant ses prunelles tentant de la séduire par mon regard sans un sourire, juste mon air fier, macho, charismatique. Je passais une main discrète dans mes cheveux avant de me délecter du doux breuvage qui se trouvait à portée de main. La brulure dans ma gorge ne faisait que me confirmer mon besoin et très vite, j'osais reprendre d'une voix douce, presque un murmure sensuel : Je ne peux que retourner ce compliment ... Je marquais une pause et la voyant joueuse, j'approchais ma main de son menton en l'attrapant : Si nous n'étions pas ici, je t'aurais mieux remercier que par une banale phrase ... J'eus un petit rire bien ironique, fier de mes provocations et sous entendus, je me tournais alors vers mon verre cherchant bien sur à ce qu'elle revienne à la charge.

Lorsqu'elle complimenta le jeune homme, Emrys resta sans voix, bien qu'elle voyait au fond de son regard qu'elle venait de briser le peu de rempart qu'il restait entre eux. Elle était réellement sous le charme de ce gars, aimant le regard qu'il portait sur elle et cette manière sexy qu'il avait de parler. Elle aimait plaire, elle avait toujours adoré ça. Et en ce moment, elle avait plus besoin que jamais de se prouver qu'elle faisait craquer les hommes, et même avec un simple regard. Elle savait qu'elle lui plaisait, que lui aussi avait besoin de se défouler. Et jouer avec ses nerfs lui semblait être un passe-temps parfait. Je ne peux que retourner ce compliment... Camille arqua légèrement un sourcil en le voyant si séducteur, autant par les mots que par son regard et lorsqu'il lui saisit doucement son menton, elle eut l'impression que son coeur s'arrêtait de battre. Si nous n'étions pas ici, je t'aurais mieux remercié que par une banale phrase... rajouta-t-il finalement alors que maintenant, le regard de Camille s'attardait sur ses lèvres sans la moindre gêne. Il se tourna à nouveau vers se verre, le prenant déjà pour l'amener à sa bouche mais Camille le saisit en chemin, le finissant d'une traite sans pour autant lâcher Emrys de son regard malicieux. Ah oui ? Je suis curieuse de savoir comment... dit-elle dans un murmure, son visage tout près de celui du jeune homme quand soudain, le plafonnier s’éteignit, laissant simplement les faibles lueur du bar les éclairer. Le barman leur annonça qu'il fermait le bar avant de s'en aller, l'air un peu bougon. Camille se mit à rire doucement, amusée par le comportement de ce gars qui, de toute évidence, était vexé. Je crois qu'on l'a contrarié dit-elle amusée, sans pour autant bouger de là où elle était. Après tout, ils pouvaient bien rester là. Alors.. tu voulais me remercier comment ? demanda-t-elle avec malice, haussant un sourcil avec provocation.

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Camille & Emrys
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Je cherchais à jouer, la provoquer. C'était assez marrant et j'aimais le fait de pouvoir tout zapper en m’amusant de la sorte. Apparemment, elle n'avait rien contre car rapidement, je vis sa main passer devant mes yeux pour l'arracher mon verre et le finir avant de me dire, sensuellement, qu'elle voulait savoir l'idée qui m'avait traversé l'esprit. Je la regardais, d'un air ailleurs avant de lui lancer un clin d'oeil. Je laissais nos visages se rapprochaient ne faisant pas attention au bar entrain de fermer car je savais très bien que l'espace restait accessible si on avait besoin de tranquillité et c'était surement ce dont nous avions besoin. Un sourire carnassier vient alors habiter mon visage et j'approchais mes lèvres des siennes déposant un baiser tendre au coin de ses lèvres. Je me reculais faisant mine de rien alors qu'elle remarquait le mécontentement du barman, partant en pestant presque trop. Je riais. Apparemment, la jeune femme n'avait toujours pas pigé ou surement en redemandait-elle car a nouveau, elle demanda comment j'avais voulu la remercier alors, je la regardais, un petit sourire en coin et posa une main sur sa joue avant de me lever de mon tabouret pour venir poser ma main sur sa hanche et embrasser ses lèvres bien plus violemment que la première fois pour un véritable baiser cette fois. J'y mettais toute la force et la conviction que j'avais en moi et dans un soupire, je prenais la parole : comme ça... c'est surement un bon remerciement, non ? Avais-je dit presque trop mutin, trop taquin. Je passais une main dans mes cheveux avant de reprendre son visage entre mes mains et de lui dire : Sauf si bien sur, tu n'en as pas envie ? Je jouais avec elle parce que clairement au vue de ses regards, et son comportement, elle voulait que ça se poursuive ; à elle de montrer.

Se sentant de plus en plus émoustillée, Camille était bien consciente de jouer avec le feu. Et qu'à chercher Emrys, elle allait bien finir par le trouver. Mais qui avait dit qu'elle n'en avait pas envie.. ? Comme pour illustrer ses paroles, Emrys vint lui donner un léger baiser, effleurant légèrement ses lèvres mais suffisamment pour donner des palpitations à la jeune femme. Le barman fermait le bar et maintenant qu'ils étaient seuls, elle pouvait sentir la tension palpable qui s'installait entre eux. Elle en voulait plus.. et lorsqu'elle le provoqua une nouvelle fois, la jeune homme ne se fit pas prier. Avec une classe qui la faisait complètement craquer, il posa une main sur sa joue, puis sur sa hanche avant de l'embrasser avec fougue, lui donnant des frissons dans la nuque. comme ça... c'est surement un bon remerciement, non ? Hum.. Le regardant avec envie, Camille se pinça légèrement la lèvre. Elle le trouvait terriblement sexy à passer sa main dans ces cheveux comme ça et.. mon dieu ce qu'il était beau. Mais elle n'eut pas le temps de lui répondre que déjà, il la cherchait à nouveau. Sauf si bien sur, tu n'en as pas envie ? Comme si ça ne se voyait pas que ça lui plaisait hein ? Mmh j'ai du mal à me décider.. tu me montre encore une fois ? demanda-t-elle avec malice. Cette fois cependant, ce fut elle qui se rapprocha de lui pour l'embrasser sensuellement, laissant sa main s'égarer dans sa nuque pour remonter dans ses cheveux si sexy. Emrys embrassait terriblement bien et pour une fois, il semblait que Walter avait disparu de ses pensées.