JULES UBERTO ► Gaspard Menier.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle M et j'ai 19 ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à la créa de Maëlys Helington. J'aime beaucoup le design du forum et c'est rare, en tout cas pour moi, d'en trouver un avec autant de monde alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gaspard Menier comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Nelliel (bazzart). Je fais environ [b...[/b] mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Maëlys Helington.

Mot de la fin ? ▲ Grosse lèchouille baveuse à tout le monde !  
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Jules a vu le jour le 21 mai 1991 à Milan, en Italie. Ce fut le tout premier enfant de la famille Uberto et ses parents n'auraient pu être plus heureux qu'il s'agisse d'un enfant. Il est né de l'union d'une grande avocate et d'un colonel de l'armée, tous deux italiens. Il a donc toujours connu et vécu dans l'argent. Mais comme le dit si bien la citation, l'argent ne fait pas le bonheur. Après de nombreux examens médicaux, ceux-ci ont révélés un cancer chez la mère de famille. Elle avait encore de longues années devant elle. Pas assez pour voir son fils se marier et lui faire des petits-enfants mais suffisamment pour le voir grandir et presque devenir un homme. Elle n'était donc pas prête à quitter sa petite famille bien souvent incomplète. Petite famille qui, un beau jour, failli s'agrandir. Failli. Puisqu'à la naissance du second enfant, les parents de Jules décidèrent de le faire adopter. La maman de Jules savait que ce dernier aurait du mal lorsqu'elle rejoindrait les étoiles, elle ne voulait pas infliger cette douleur à une personne supplémentaire.
Jules était encore très jeune lors de cette naissance. Trop jeune pour s'en souvenir. Et ses parents n'ont jamais dit quoi que ce soit à ce sujet.

Jules a vu son monde s'écrouler lorsqu'un beau jour, quelqu'un vint annoncer le décès de son paternel. Son père était un modèle pour lui, bien qu'il ne le voyait que très rarement à la maison. Et quand il revenait de ses longues absences, il ne restait jamais bien longtemps. Mais ça ne les empêchaient pas de passer de bons moments ensemble et de rattraper le temps perdu. Cette période de sa vie a été très sombre. Il s'est renfermé sur lui-même, refusant de faire son deuil. Et ce fut encore plus difficile lorsque l'état de sa mère se dégrada du fait de sa dépression. Bien qu'elle avait toujours un fils, ce dernier ne pouvait lui donner l'amour et le soutien qu'elle avait auparavant de son mari, même à des kilomètres d'elle. Et aussi triste que cela puisse être, elle ne pouvait s'empêcher de se dire que bientôt, ils seraient à nouveau réunis.
Jules, quant à lui, essaya de donner le meilleur de lui-même tout en se disant que son père aurait voulu qu'il continue à rester celui qu'il était avant. Il aurait voulu qu'il garde la tête haute. Parce qu'à présent, c'était lui l'Homme de la famille. C'était sur ses épaules que reposait le bien-être de la famille Uberto. Il était aussi le seul héritier de ce nom de famille. Il se devait de l'honorer aussi bien que possible. Chose qu'il tenta de faire en décrochant son diplôme et en intégrant sans soucis une grande université Milanaise.

Malheureusement, bien que Jules savait que sa génitrice ne vivrait plus longtemps, il ne s'attendait pas à un départ si rapide et brutal. Elle l'a quitté au mois de mai, quelques jours avant son anniversaire, pour le laisser seul avec lui-même. Suite à ça, il pensa à tout plaquer ici, à Milan, pour s'engager dans l'armée et reprendre le flambeau. Mais ce qu'il ne savait pas c'est qu'il n'était pas seul. On vint un beau jour frapper à sa porte pour lui annoncer de but en blanc que l'héritage Uberto ne lui reviendrait pas entièrement. Une partie serait remise à une jeune femme s'appelant Maëlys Helington. Il apprenait donc, après tant d'années dans l'ignorance, qu'il avait une sœur. Jules quitta tout mais non pas pour entrer dans l'armée de Terre mais pour s'en aller à l'autre bout du monde. Aux Etats-Unis. Il débarqua alors à Cambridge. Là, il pourrait recommencer et tenter de se reconstruire.

Sa rencontre avec sa sœur s'est étonnement bien passée. Même si il ne le dirait jamais, ça lui faisait du bien d'avoir quelqu'un qui le rallié toujours à ses parents. Elle était quelqu'un avec qui il était agréable de parler et il avait d'ailleurs été étonné de voir qu'il tenait à elle. C'était déclenché en lui un instinct protecteur envers Maëlys. Comme tout grand frère. Jules lui a même fait découvrir sa ville natale. Mais toutes les bonnes choses ne peuvent pas durer et évidemment que ça devait arriver. Jules ressentait le mal du pays, le manque de ses racines. Alors du jour au lendemain, il a tout quitté. Harvard, ses cours de médecine vétérinaire et surtout Maëlys. Sans donner de nouvelles. Il ne savait pas pour combien de temps, mais le temps nécessaire pour aller mieux. Il en avait besoin.

Et c'est au bout de plusieurs mois que le jeune italien reposa ses pieds sur le sol Américain. Cet éloignement lui avait fait un bien fou. Il se sentait mieux. Il n'avait aucune idée de quelle réaction allait avoir Maëlys en apprenant qu'il était de retour mais il espérait qu'elle ne lui en voudrait pas. Perdre à nouveau quelqu'un de sa famille, le dernier membre sur lequel il pouvait se reposer, serait difficile pour lui. Fatal.