EÄ TAURIEL WILLERIJK ► Holliday Grainger

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle arctic love et j'ai 20 ans. Je suis allemande et j'ai connu le forum grâce à danyka lors de l'ouverture.  c'est le meilleur forum du monde et je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Feldt K.-T. Crossroad + Xaver Von Hohenzollern (+ Mather / Student). J'utilise holliday grainger comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par sweet nothing. Je fais environ 150 -300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ je vous aime
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

chapter 1 : a small beginning in a magical land Ma vie n’était pas quelque chose des plus extraordinaire. Je suis née a Windhoek en Namibie où mes parents m’ont appelé Eä Tauriel. Oui mes parents sont de très grands fans de Tolkien et c’est pour cela qu’ils ont prénommé leur unique fille d’après son oeuvre. Tout le monde croit que c’est quelque chose de magique. C’est en effet le cas. J’étais un enfant qui vivait dans un monde que peu pouvait rêver. Pour moi, cependant, c’était juste normale. La chaleur, le désert, la grande ville de Windhoek. Pour moi, je ne vivais pas en Afrique mais dans ce monde quasiment unique. Je ne fais partie d’une grande famille richissime. Je n’ai cependant jamais eu le mal de vivre. Je vivais bien. Mon père travaillait dans une des plus grandes firmes du pays et je manquais jamais de rien. J’allais dans une école pour les personnes de ma classe sociale. Cela me faisait parfois mal de voir les gens pauvres et souvent j’allais jouer avec eux. Ce sont eux d’ailleurs qui m’ont initié au sport. Je jouais souvent avec eux. J’avais comment dire une vie magnifique, qui ne manquait de rien dans un pays des plus exotiques. Je pense vraiment que je n’avais pas a plaindre. Du moins c’est ce que je croyais du haut mon petit âge.

chapter 2 : we are all destined for greatness J’avais douze ans quand ma vie prit une tournure drastique. J’ai toujours cru que ma vie était faite pour moi, qu’elle était déjà toute tracée pour moi et que je n’avais pas vraiment a me faire du soucis pour ce qui allait m’arriver pour mon future. Je voulais devenir écrivain comme ma grand-mère, je ferais des études de littérature et je voulais en même temps être une grande sportive. Ca s’était mon rêve de petite fille de 12 ans et j’en étais complètement convaincue. Toute fois, il avait fallu qu’un événement vienne tout basculer. Je pense que cette journée restera a jamais gravé dans ma mémoire. J’étais a l’école pour l’entrainement de softball et tout allait bien, du moins, je crois jusqu’a ce que je sentais mes jambes lâchées sous moi. Je ne sentais plus rien, mes jambes étaient engourdies, presque paralysées. Je ne savais plus marchée, je ne savais rien faire. Je crois que j’ai fini a l’hôpital après. Je dois dire que je ne m’en souviens pas a 100%. Tout avait été un désordre pour moi, je ne savais plus parlé. J’étais restée plusieurs jours a l’hôpital. J’avais fais des tests, beaucoup de tests. J’avais peur. Je ne savais pas ce qui se passait avec moi. Est-ce que j’allais mourir? J’avais eu la réponse a cette question quelques jours après l’incident et je pense que je n’aurais pas aimé savoir. Je tenais la main de ma mère fermement quand le médecin me révélait enfin ce que j’avais. “Eä est atteinte de Sclérose en Plaques.” Ce mot résonnait dans ma tête comme un écho incessant. Le médecin continuait d’expliquer a mes parents les détails de la maladie. Tout était fini. C’était fini. Ma vie était fini avant même que j’ai pu la vivre.

chapter 3 : if you give up, you'll never make it “Ma chérie. On va trouver quelque chose. Ca va aller. On fera quelque chose pour que ça s’arrange.” Ma mère essaie de me remonter le moral, de me dire que tout allait bien se passer. Toute fois, je savais que c’était faux. Je comprenais pas tout de la maladie que j’avais, je savais cependant que ma vie serait complètement différente. J’avais beaucoup pleuré. Je m’étais refermée sur moi-même, je ne laissais personne m’approcher. La jeune fille joyeuse, pleine de vie fanait doucement pour donner place a un petit être fade et grisâtre. Je pense que c’est pour cette raison que nous avions déménagé aux Etats-Unis, a New York pour être plus précis. J’allais dans une clinique qui coutait surement beaucoup trop pour mes parents. Ma mère avait même du prendre un travail pour pouvoir me soutenir en plus des frais médicaux. Je m’en voulais tellement d’être une charge pour mes parents. A cause de cette maladie, ils pourraient jamais avoir une vie normale. Je serais a leur charge pendant toute ma vie. J’avais beau être ici, j’allais pas mieux au niveau psychologique. C’était seulement quand j’suis entrée au lycée que tout avait changé. On avait réussi a me redonner confiance en moi, a me redonner mon sport. Je ne pouvais plus jouer au foot mais j’avais pu découvrir l’endurance, courir. J’avais commence doucement, des petits pas parce que mon corps réagissait toujours contre moi. Je faisais tout pour le cacher. Je ne voulais pas que les gens aient pitié de moi. Alors je courais, le plus vite que je pouvais. C’était devenue une motivation pour moi. Réussir pour éviter d’être une charge a mes parents. Je travaillais et je m’entrainais tout les jours. La piste de course et la bibliothèque étaient devenues mes meilleures amies. C’était grâce a mon entraineur que j’avais pu retrouver le gout a la vie et a cause de lui qu’a chaque course je passais la ligne d’arrivée jusqu’a réussir a obtenir une bourse de sport pour Harvard. Quand j’avais appris pour ma maladie, jamais je n’aurais cru que cela serait capable que je deviendrai comme cela, alors c’est pour cela que je n’arrêtais jamais de courir, pas jusqu’a ce que mon corps entier me lâche.