Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOne, two, three take that shot and let me make you laugh. ◊ Joan-Frances Bleeker.


One, two, three take that shot and let me make you laugh. ◊ Joan-Frances Bleeker.

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Le Lord Hobo, alias le repère légendaire de Caleb depuis maintenant cinq ans. Du jeudi au samedi soir, vous pouviez généralement le trouver là en train de boire son whisky une clope à la main, à rire et draguer comme il l'a toujours fais. Vous le remarquerez à son 1m91, ses yeux bleu-vert et sa tenue de hipster. Si vous-même êtes un habitué du Lord, vous le connaissez forcément. Bref, c'était donc un vendredi soir et Caleb était bien évidemment en train de faire ce qu'il savait faire de mieux. Avachis dans un fauteuil avec quelques amis Winthrops ils avaient commencé à bien s'ambiancer avec pour seul objectif : de rencontrer une fille. Les paris commençaient déjà à se lancer, les filles rentraient et toutes passaient à leur radar. Blonde, brune, rousse Harvard laissait un large panel de choix que Caleb ne se laissait jamais d'essayer en corps et encore.  Pour sa part, il n'avait aucune préférence, qu'elle soit blonde ou brune : le tout était qu'elle soit terriblement bien foutue, pas trop farouche et qu'elle ne l'assomme pas de superficialité. Caleb n'avait jamais été vraiment en couple et n'avait toujours pas dans l'intention de l'être un jour : la seule chose qu'il voulait c'était profiter et oublier ses problèmes si possible dans les bras d'une fille différente chaque soir. Ce soir n'allait pas déroger à la règle, c'était du moins ce qu'il pensait alors qu'il regardait les filles défiler devant ses yeux lorsque une en particulier attira son attention. Son visage lui était familier, c'était la petite Bleeker. Une petite douceur brune aux jolis yeux. Il l'avait rencontré il y a quelques mois lors d'une soirée chez les Lowell où il s'était incrusté avec un pote et il n'avait pas cessé de la regarder, de la fixer, de la charmer toute la soirée en vain. Peut-être que ce soir c'était le deuxième round. Au moment où il pensa à ce qu'il allait lui amener à boire pour tenter à nouveau de la foutre dans son lit, leurs regards se croisèrent. Caleb lui adressa son sourire le plus charmeur et la Bleeker lui répondit par un regard noir. Au moins ça le fit rire. Il se leva donc de son fauteuil, faisant signe à ses potes qu'il avait trouvé quelque chose à faire et se dirigea droit vers la jolie brune ignorant complètement les filles qui l'accompagnaient. "Moi qui allait t'offrir un verre, ton regard vient de me faire changer d'avis ! Qu'est-ce qu'il se passe Bleeker ton mec t'a fait un truc à manger qui t'a retourné le ventre ? Les toilettes sont au fonds à droite de la salle, si tu en ressens le besoin. Cela dit, t'as l'air plutôt constipée." La provocation & toujours la provocation, un art de vivre chez le beau Weisenbach.
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Joan détestait l'inactivité, aussi sage et réservée qu'elle pouvait paraître, il ne se passait pas une semaine sans qu'elle mette le nez dehors, accompagnée ou non. Or après être rentrée de la classe de neige, la jeune femme avait eu du mal à se remettre complètement dans les études. De toute façon, la plupart du temps elle bossait chez elle, c'est clair que c'est pas avec la dizaine d'heures de cours qu'elle avait par semaine qu'elle se cassait la tête dans les salles de cours. Si bien que ce soir-là elle avait décidé de sortir, de boire, de faire autre chose que mener une petite vie de petite fille dans sa petite chambre d'étudiante. Et la voilà, frange en place, robe, escarpins, verre à la main, en clair ça changeait de la Joan qu'on pouvait croiser la semaine. Elle avait traîné une poignée d'amies dans l'histoire, de manière à pas passer pour la poltrchonne seule au bar, et puis, quand on sort en groupe il y a toujours moins de risque de se faire aborder par des énergumènes douteux. Il fallut le temps qu'elle rencontre le regard de Caleb pour qu'elle se rende compte de sa naïveté. Il lui sourit, pauvre idiot, il s'attendait à quoi ? Qu'elle lui retourne ? Ben tiens ! À vrai dire, la première fois qu'elle l'avait rencontré, elle aurait pu tout aussi bien se laisser prendre au jeu, il était mignon, attirant, galant quand il le voulait, mais elle avait bien trop vite compris à quel point c'était un petit joueur. Quand il avait senti la difficulté de l'exercice, il s'était bien trop vite laissé allé, sa cour avait été moins empressée. Peu importe si elle passait pour une coincée de service, une Sainte Nitouche de première, elle ne se chauffait pas à ce bois-là. S'il la voulait, qu'il essaye, il avait du pain sur la planche. Elle n'était pas une fille de plus à ajouter sur son tableau de chasse, elle n'avait pas pour habitude d'être un nom parmi les autres, ça n'arrivait que trop rarement. « Je t'emmerde Weisenbach. » dit-elle en décomposant bien toutes les syllabes de son nom. « Puis quand bien même j'aurais besoin d'y aller, il y a plein de gens dans ton genre qui font leur petite affaire là-bas c'est affreusement vulgaire. » Mine de rien, il avait quand même réussit à la détourner de sa conversation avec ses amies.
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C'était ce qu'adorait clairement Wes. Qu'on lui résiste, il aimait les filles qui avaient du répondant, qui ne se pliaient pas à ses exigences sans broncher. Lorsqu'il était d'humeur joueur les filles comme Joan Bleeker était un véritable exutoire, elles lui faisaient tout oublier tant il devait user de stratagème pour obtenir ce qu'il voulait.  Joan faisait parti de ces filles avec qui Caleb ne parvenait pas à conclure même après avoir abattu toutes ses cartes du jeu de la séduction. Lorsque la jolie jeune femme lui balança qu'elle l'emmerdait très clairement, Caleb afficha son légendaire sourire en coin qui lui valait sa réputation de Don Juan à Harvard. Si il avait reçu 10 dollars à chaque fois qu'une fille lui avait balancé qu'elle l'emmerdait, sa fortune aurait été multiplié par trois mais ce n'était pas pour autant qu'il allait se dégonfler, ce soir il allait tout donner, hors de question de se ridiculiser devant ses potes dont il sentait le regard sur lui, il était rare que Caleb rentre bredouille et si jamais Joan ne cédait pas, ce serait une véritable perte de temps. "Pauvre Bleeker, tu es tellement naïve... Tu te gourres totalement si tu crois que je suis du genre à m'envoyer en l'air dans les chiottes d'un bar, généralement c'est chez moi, l'hôtel... Ou rien." Bon là, il mentait, il s'était tapé des nanas dans les toilettes de ce bar plus d'une fois mais ça Joan n'avait pas besoin de le savoir, il savait ce qu'il devait dire et ce qu'il devait faire pour lui plaire et n'allait pas s'en priver. En un rien de temps, elle lui claquerait dans les doigts et ses insultes ne seraient plus qu'un mauvais souvenir. "Bon allez, je t'offre un Martini, c'est bien un Martini non ?" Il fit signe au serveur, commanda un Martini et un énième Whisky Coca pour lui. S'adressant ensuite aux amies de Joan, il déclara "Prenez ce que vous voulez sur le compte de Weisenbach en attendant je vous enlève cette jolie brune." Ni une ni deux, à force d'audace, il prit Joan par la main et l'emmena à une table un peu plus à l'écart, la laissant s'asseoir en face de lui ; il se mit à l'observer avec attention, arborant toujours ce sourire en coin. Une femme restait une femme n'est-ce pas ? Elles adoraient la prise d'initiative et qu'on choisisse à leur place.
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Weisenbach faisait beaucoup chose, du moins il se vantait d'absolument tout ce qui composait son mode de fonctionnement. Alors, bientôt il allait lui faire croire qu'il était du genre homme de valeur, que jamais de sa vie il n'aurait proposé à une fille de la prendre vulgairement dans les toilettes dégoûtants d'une boîte de nuit. Certes, monsieur était riche, monsieur était beau, monsieur claquait des doigts et voyait l'ensemble de la gente féminine tomber à ses pieds, mais elle n'était pas certaine qu'il soit très garni au niveau du cerveau. Certainement la raison pour laquelle il compensait en jetant paillettes et gros billets pour conquérir les filles. « Je serai presque impressionnée, moi qui te pensais sans scrupule. Comment tu t'y prends, t'as un hôtel fétiche qui te réserves chaque soir une chambre au cas où ? Genre carte de fidélité où t'alignes les points ou est-ce que l'hôtel tourne à vide à cause de toi ? » Elle roula les yeux avant de lui répondre ceci, avant que Caleb se sente obligé de l'acheter avec un verre de Martini. Il aurait pu envoyer du pâté comme on dit et commander une bouteille de vin rouge hors de prix. Joan aurait voulu se faire le plaisir de lui répondre qu'elle avait horreur du Martini, mais étant donné que c'était faux et que c'était lui qui payait, elle se contenta de hausser les épaules pour le laisser commander ce qui lui plaisait, de toute façon têtu comme il était, il l'aurait fait quand même. Non puis la Lowell n'était pas si méchante que ça, fallait bien lui laisser croire de temps en temps qu'il avait l'avantage. Fallait qu'il comprenne que s'il voulait obtenir ne serait-ce qu'une bise sur la joue il allait devoir faire preuve de plus d'imagination, elle l'avait trop vite cerné, elle ne se laisserait pas avoir. Une nouvelle fois ses yeux fixèrent le plafond quand il débita à ses amies qu'il payait pour elle. Elle leur adressa un sourire désolé avant d'être entraînée par le brunet à l'autre bout de la salle. Elle le regarda s'installer – regarder pas mater hein – hésitant à s'asseoir, puis elle finit par obtempérer. Qu'est-ce qui pouvait bien lui arriver de toute façon ? Joan finit par poser ses fesses sur la chaise face à lui. Elle croisa les bras sur la table, se penchant légèrement en avant. « Tu avais quelque chose à me demander peut-être ? Ou c'est juste pour le plaisir de m'avoir - comment t'as dit déjà ? Ah oui, m'enlever, ça viendrait pas de toi je trouverai presque ça mignon. »
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À 25 ans, Caleb pensait en savoir beaucoup sur les femmes et la chose la plus facile pour lui était de les séduire : bien sûr il ne réussissait pas à tout les coups mais il était un véritable chasseur, ce n'était pas parce qu'on ne lui disait pas oui dans l'immédiat qu'il allait abandonner. Bien au contraire, cela ne faisait qu'attiser sa curiosité et son envie de pousser le jeu de la séduction. Joan avait l'air d'être bien dans le rôle de la fille qui se donne des grands airs en refusant les avances d'un homme qu'elle pensait déjà connaître sans jamais lui avoir vraiment parler, et Caleb se complaisait dans celui de l'homme à femme qui avait jeté son dévolu sur la sainte-nitouche du quartier. C'était un vrai cliché mais pourtant ils en étaient bien là. Les verres étaient commandés et un serveur ne tarda pas à leur apporter. "Merci Vinny." Le principe d'un QG c'est de connaître tout le monde n'est-ce pas ? Wes était sur son territoire, Joan devait s'adapter et elle avait beau l'assommer de reproches sous-entendu, cela ne faisait que rire le beau blond qui porta son verre à ses lèvres et remit en place son noeud papillon. "C'est fou comme les filles comme toi peuvent être farouches aux premiers abords alors que tout le monde sait qu'en réalité vous êtes douces comme des agneaux. Je te trouve quand même courageuse... Ou naïve. Venir ici et croire que tu ne te frotteras pas à des mecs comme moi, ces mecs que tu détestes, ce monde sur lequel tu craches... T'évolues bien dedans quand même, on s'est déjà croisé à plusieurs soirées. Je connais les filles comme toi, qui jugent mais qui quand même s'y sentent bien." Caleb en avait vu des centaines, ces filles qui se donnaient l'air de ne pas y toucher mais qui n'attendaient qu'une seule chose : d'attirer leur attention. Peut-être pensait-il mal mais il avait l'impression que c'était le cas de Joan, il était persuadé qu'il était capable de la séduire. Il voulait la séduire. Mais en même temps il refusait de la laisser lui manquer de respect et sous entendre qu'il faisait parti des bas fonds de la jeunesse dorée américaine alors que clairement il changeait dans une autre cours que celle de Gossip Girl, la jeune femme ne pouvait même pas imaginer ce qu'il avait traversé et c'était peut-être mieux comme ça : sinon c'est pas des insultes qu'elle lui lancerait mais la table toute entière.
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