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+ guess who's back ? surprise (elleo the oreo, flashback)

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please tell jesus that the bitch is back in town
(ellyn desrosiers ft. leo halberstam : flashback)
Six mois. C'était il y a six mois qu'Ellyn avait mis les voiles de Harvard en direction de son pays natal, la France, sans prévenir la moindre âme sur Terre. Six mois. C'est long, très long. Six mois, 30 jours x 6 = à un certain nombre de jours, puis à certain autre nombre d'heures et de minutes, et de secondes ; bref, six mois, c'est long. Relativement assez long pour que toute la Terre ait eu le temps de lui en vouloir pour ce départ précipité, pour que toute la Terre eut envie de la tuer impunément à mains nues, sans scrupule, sans remords. Et par toute la Terre entendez bien là Leo Halberstam. Toute la Terre car Leo représente tout son monde à elle ; c'est niais, c'est mochement niais mais véridique. Leo, le seul, l'unique meilleur ami qu'Ellyn ait pu avoir toute sa vie entière, le seul l'unique qu'elle a lâchement abandonné, sans raison apparente. Il faut le dire, Ellyn ne s'attache que très rarement aux gens, pour ne pas dire jamais. Mais Leo n'était pas 'un gens', non. Leo était le seul, l'unique et surtout le premier vers qui ses pensées se dirigent une fois un pieds posé sur le sol Américain. Ainsi, sans même prendre la peine de retrouver son chez-soi et de déposer ses valises de cent tonnes, madame Desrosiers s'était derechef dirigé chez ce fameux Leo, dont elle avait recherché l'adresse avant de venir. Le coquin partageait apparemment aujourd'hui un loft avec deux autres Cabots à Imman Square. Des Cabots, comme s'il cherchait à la remplacer, come si elle était irremplaçable. Elle en riait jaune intérieurement : bien sûr qu'elle était remplaçable, trop facilement remplaçable après le sale coup qu'elle lui as fait, bien évidemment. "Il ne voudra plus jamais me voir, plus jamais. Il va me massacrer à coups de chaussettes. Il va me refermer la porte au nez, et me casser le nez" se répéta-t-elle en boucle, une fois avoir frappé avec hésitation à la fameuse porte du fameux loft du fameux Leo. Quelques secondes, puis quelques minutes passèrent avant qu'une silhouette féminine vienne à elle. Une des fameuses Cabots. Ellyn, étrangement, vit rouge. Sans prêter garde à la question de la fille et sans y répondre, Ellyn pénétra dans le loft, non sans avoir donner un coup d'épaule violent à la pauvre Cabot qui n'a rien demandé, et cria : « Leo, ramène ton cul ici ! Pourquoi une de tes prostituées privées vient m'ouvrir la porte de chez toi et pas toi ? LEO RAMENE TON BEAU FESSIER MAINTENANT SINON J'TE AVADA KEDAVRA ! » Oui, elle est possessive Ellyn, et oui, elle aime bien faire des entrées remarquables.
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Lorsqu'il vit l'autre folle dingue arriver en furie dans son appartement et lui crier dessus, d'abord Leo fit gaffe de rien. C'était tellement une habitude pour Leo de s'en prendre plein les tympans des oreilles quand Ellyn était dans les parages et que Ô malheur il avait fait la bêtise d'agir d'une façon qui ne plaisait pas à sa plus belle des plus belles. Justement quand elle était dans les parages … Et il semblait au brunet que cela faisait un moment qu'elle n'y était plus – dans les parages, j'ai jamais dit autant de fois dans les parages en deux lignes. Une fois la surprise passée, une vague de colère dévastatrice qu'on en a pas vu depuis la colère monumentale de Cersei quand Joffrey crève dans d'affreuses souffrances submergea littéralement Leo. Même pas bonjour ? Même pas un 'désolée mon Leo d'amour de revenir que maintenant, désolée d'être partie sans motif' c'est triste à dire mais plus rien n'm'attriste laisse-moi partir loiiiin d'iciiiii + guess who's back ? surprise (elleo the oreo, flashback) 1116103942 Non il avait droit à un bon gros mais alors très gros que dalle en guise de retrouvailles. En plus elle venait de faire fuir Jenifael et Eleonora, il allait payé comment le loyer de son loft maintenant ? Tout seul ? Bah merci ! Puis il avait jamais ouvert une porte de sa vie, enfin techniquement si, mais c'est pas comme si Ellyn l'avait prévenu qu'elle allait passer. Elle le prévenait pas beaucoup d'ailleurs, ni quand elle partait, ni quand elle revenait, peut-être qu'elle était entrée dans la marine américaine, fin française, le pays de son choix on s'en fout. Il se leva alors d'un bond du canapé où il s'était lamentablement jeté pour regarder une rediffusion des plus anciens épisodes de Charmed – à une époque ces filles représentaient son idéal féminin, il en avait fait du chemin depuis. Ah ! Il le ramena son fessier, il avait jamais marché aussi vite. « Je peux savoir POURQUOI TU CRIES COMME CAAAAAA AAAAAAAAAAAH ! Et pourquoi tu es là maintenant aussi si t'as le temps de me l'expliquer. TU SAIS DEPUIS QUAND TU ES PARTIE TRAITRESSE ! T'avais dit que tu me laisserais jamais. » Et elle avait menti, elle était il ne savait pas où, probablement accompagnée. Et il s'en foutait qu'elle ait un mec, le pire qu'il puisse lui arriver c'est qu'elle soit partie avec son nouveau meilleur ami en chef, ce qu'il ne supporterait évidemment pas, c'était pas concevable, de quoi lui briser le cœur et le pousser au suicide.
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(ellyn desrosiers ft. leo halberstam : flashback)
Certes, elle aurait pu prévenir de sa visite la petite Ellyn, mais prévenir n'était pas dans ses cordes. Prévenir ne faisait pas parti de son vocabulaire tout court, c'est sans aucun doute ce qui l'amène à cette situation d'ailleurs. Le moment fatidique des retrouvailles après un départ précipité, six mois d'absence sans prévenir son petit Leo. Oh que oui, elle devra user de son charme français si réputé pour se faire pardonner Ellyn, oh que oui. Si elle pensait que débarquer la bouche en cœur, tout en criant comme à son habitude comme une furie sur tout et n'importe quoi pour faire genre qu'elle n'avait jamais mis les voiles à l'autre bout du monde, suffirait pour leurrer Leo, elle se trompait. De A à Z. Certes, c'est ce qu'elle avait, débarquer comme une furie dans son appart. Parce qu'après tout, qui serait Ellyn si elle ne débarquait pas chez son Leo comme une folle à lier, prête à tout retapisser ? Même six mois après, on ne perd pas les bonnes vieilles habitudes. « POURQUOI JE CRIE COMME CA ? POURQUOI JE ... ARG, JE PARS QUELQUES SEMAINES ET TU ME REMPLACES DEJA ? TRAITRE ! » Oui quelques semaines, six mois c'est quelques semaines, c'est rien, nada, niente. Et re-oui, traître. C'était lui le traître, n'inversons pas les rôles les gars. P'tite maligne comme elle est, oui, Ellyn détournait doucement mais sûrement le vrai problème de la conversation. Elle n'allait pas se laisser nommer fautive de l'histoire naméoh, même si elle l'était. Même si elle l'était. C'était totalement sa faute, et rien qu' d'y penser, son cœur se serra. Oui, elle ressentait des émotions comme les autres hommes, non elle n'était pas un robot. Pas quand Leo était impliqué en tout cas. Troublée, elle en perdit alors toute once de colère, et paniqua. Paniquer c'est son point fort aussi, quand la colère laissait place. Paniquer parce qu'elle se rendait compte de sa connerie au fur et à mesure la p'tite Ellyn. « T'as du café ? Oui, t'en as, j'vais me chercher du café dans ta cuisine. Elle est où ta cuisine ? Pourquooi je retrouve et ne reconnais plus rien chez toi ? Cuisiiiiiiine ! » Changea-t-elle littéralement de ton tout en parcourant dans tous les sens le loft de son meilleur ami, paniquée, littéralement paniquée par on-ne-sait-quoi. Elle évitait vraiment la confrontation Ellyn, ça ne se voyait pas du tout. Mais pourtant elle devrait y faire face, s'excuser, se mettre à genoux pour son pardon parce qu'elle le savait : elle avait crée un vide autour de lui en partant, tout comme son absence à lui avait crée un vide autour d'elle. Mais j'vous jure, si elle se mettait à dire 'désolé' elle exploserait en larmes, elle sauterait dans ses bras pour ne plus jamais le lâcher, elle serait faible, et même si c'était Leo, elle voulait pas, paraître faible. « Ah, elle est là ta cuisine. (...) Et pour info, j't'ai jamais laissé, j't'ai jamais abandonné, j'te le jure. »
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Et bien tiens justement ! Il aurait bien aimé justement avoir remplacé Ellyn pendant que madame fuguait à l'autre bout du monde, il avait presque organisé un casting, cherchant dans chaque fille qu'il croisait s'il avait possibilité de voir en elle sa nouvelle meilleure amie, moitié, âme sœur, comment il avait galéré ! La seule fille de qui il se sentait assez proche s'était elle aussi barrée. À croire que le poste de BFF de Leo était poste maudit ou qu'avant de partir la Frenchie avait jeté un sort pour qu'à jamais Halberstam soit enchaîné à elle et soit malheureuse, triste, seul, abandonné, livré à lui-même. C'est pas comme si en partant elle lui avait laissé le moindre espoir de retour, normal non qu'il veuille la remplacer ? Il n'avait jamais eu le cœur brisé de cette manière par n'importe quelle fille, alors là c'était la goutte d'eau qui fait déborder l'Euphrate – ouais c'est ça cherche sur une carte si tu sais pas c'est quoi. Il l'avait pas remplacé, en tout cas, c'était pas ses colocataires la menace, elles étaient bien trop gentilles pour qu'il les mette au même niveau que sa blonde préférée. « ET ALOOOOOOORS ? JE TE REMPLACE SI JE VEUX QUAND JE VEUUUUX. TU M'AS DEMANDE MON AVIS QUAND T'ES PARTIE, JE TE DEMANDE PAS TON AVIS NON PLUS ! » Parce qu'en plus de lui courir sur le haricot, la seule chose qui la préoccupait c'était de boire un café ? Oh bah oui ça fait partie d'une affaire des plus urgentes, c'est pas comme si elle avait six mois de sa vie à lui expliquer, des excuses à présenter, des câlins à donner, des pleurs à verser, nooooon, buvons du café c'est plus important que tout. Et le pire c'est que la garce se plaignait de pas trouver la cuisine, pour une fois que Leo vivait dans un vrai appartement elle pourrait le féliciter. Il la suivit de mauvais cœur, en traînant les pieds, les mains dans les poches, en grinchant. Quand elle reprit la parole, il fit un gras geste de bras, manqua renverser une pile de vaisselle. « Pardon ? C'est pas l'impression que j'ai eu. Tu m'as pas abandonné, les One Direction vendent plus de billets pour leurs concerts, Beyoncé est à la rue, Jennifer Lawrence n'a jamais gagné d'Oscar et la Reine des Neiges a été un vrai bide pour les studios Disney. Tu te fous de ma gueule ouais. »
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