Hey...Hey... Réveilles toi. - Avec Zyméoh.

Bon, ce soir, on allait s'amuser non ? Il était Vendredi soir, nous étions le week-end et rien de mieux que de s'amuser un peu. Ça me faisait du bien de sortir, j'avais l'impression que ça faisait des lustres que je ne m'étais pas amusée. Je me préparais, me regardant dans le miroir, je soupirais, je pensais à la soirée qui allait s'annoncer, j'avais prévu personne, prévenu personne. Je regardais mon coffret à bijoux, ouvrant le petit tiroir « secret » pour prendre quelques petits cachets blancs dans ma boite à pilules. Pour des novices, on pourrait croire que ce n'était que des médicaments avec d'autres, pour ceux qui savaient, un peu d'exta se cachait dedans. Je reposais ma boite dans mon sac, finissant de me préparer. Ce soir, j'étais toujours aussi habillée court, et sexy. Je sortais de la maison des Cabot, seule. A vrai dire, j'avais une idée en tête. Je ne me dirigeais pas vraiment vers le centre de la ville, pas vraiment vers la boite de nuit, mais la maison des Quincy. Je n'allais quand même pas aller m'amuser seule, j'avais envie d'être accompagnée ce soir. Je me glissais telle une espionne dans leur maison, même si je ne devais sûrement pas passer inaperçue. Je cherchais la chambre de Zyméoh, mon protégé. Je demandais alors à une fille qui passait par là, la demoiselle m'indiquait alors la chambre de mon ami. J'avais de la chance, vu l'heure qu'il était, il devait sûrement dormir. Vingt trois heures, il faisait nuit, rare étaient les Quincy qui allaient faire la fête. J'ouvris lentement sa porte, arrivant alors dans l'inconnu. Je remarquais qu'elle était couverte de photographies de certaines personnes, des gens qui étaient à l'université, je me demandais s'il était un pervers ou encore un agent spécial, sur le coup, je me sentais méfiante, peut-être s'amusait-il à enquêter sur moi ? Je me mis alors sur son lit, à quatre pattes, tout doucement, je me mettais au dessus de lui, mon visage au dessus du sien. Je déposais un petit baiser sur sa joue, je me retenais de rire. Fallait-il être plutôt douce, ou plutôt... joueuse ? J'hésitais, puis finalement, il n'y avait rien de sexuel entre nous, valait mieux que ça reste ainsi, je ne le connaissais pas. Je glissais mes lèvres à son oreille, me mettant alors à murmurer à son oreille. Hey... Zyméoh... Réveilles toi, Zyméoh... il y a une araignée qui arrive...regarde, elle monte... Je glissais ma langue du bas de son cou, jusqu'à son oreille. Attention, elle va rentrer dans ton oreille... Je me retenais vraiment de rire, c'était plutôt sadique de ma part.

(Invité)

La journée avait été longue. Très longue. Comme chaque vendredi, j’avais suivi tous mes cours qui s’étendaient de huit heures du matin, à dix-sept heures, ne me laissant qu’une heure de répit pour faire une pause et grignoter un repas infecte de la cafétéria, qui n’avait rien d’équilibré. Ce jour-là de la semaine, je ne cherche pas à manger sain, bien au contraire. On va au plus bref, et généralement, on mange un truc trop gras et dégueulasse pour se remplir le ventre. Après les cours, j’avais passé la soirée au cabinet de détective de mon père à lui filer un coup de main, tout en cherchant les informations que j’avais besoin pour mes propres affaires que j’avais prises à la fac contre un peu d’argent. C’était ma manière de me faire de l’argent de poche en faisant quelque chose que j’aime, et ça marchait plutôt bien pour moi, ayant la réputation du meilleur fouille-merde de tout Harvard qui connait tout sur tout. Si une personne voulait une information sur une autre, il n’y avait qu’une personne à qui s’adresser : Zyméoh Nashville, l'homme qui peut réussir à savoir n’importe quoi sur ton passé en un rien de temps. Valait mieux pas me chercher si on ne voulait pas qu’un truc honteux ou bien embarrassant ressorte à la surface, et ça, de plus en plus de gens le savaient.
J’avais finalement rejoint ma chambre universitaire dans la maison des Quincy sur les coups de vingt-deux heures, assommé par la longue journée que je venais de passer. Ni une, ni deux, je sautais sous la douche histoire de me détendre un peu, avant de me glisser sous mes draps en tenue d’Adam. J’avais pour habitude de dormir nu depuis quelques années déjà, et de toute manière, je savais que chez les Quincy, les gens n’étaient pas assez à l’aise pour s’incruster dans les chambres à n’importe quelle heure de la journée, à part pour Sacha peut être, mais elle connaissait mes habitudes nocturnes. J’allumai la télé pour m’endormir et zappai sur une chaine inintéressante qui ne captiverait pas assez mon attention pour me garder éveiller quelques heures de plus, et très vite, je m’assoupis, l’écran du téléviseur restant en marche. Ce que je ne remarquai pas pendant mon sommeil, c’était l’intrusion d’une amie à moi dans ma chambre, et tellement j’avais le sommeil profond, je ne sentis même pas qu’elle grimpait sur mon lit pour se positionner au-dessus de moi. Ce ne fut que quand sa langue atteint le lobe de mon oreille que mes yeux s’ouvrirent et que je réalisais ce qu’il se passait. Je me reculais difficilement de son visage, alors que mon regard se rapprocha durant une fraction de seconde du décolleté trop plongeant de Téodora. Très vite, je détournai les yeux en réalisant la situation. Mon amie était à quatre pattes au-dessus de moi, ses seins presque à l’air devant mes yeux, et mon entrejambe dénudé sous mes draps. J’essayai de chasser cette idée de mon esprit et lui demandai d’une voix étonnée :
« - Qu’est-ce que tu fous là Téo ? »

(Invité)

A vrai dire, je ne faisais aucun geste pour le séduire, ou faire exprès de lui montrer une partie de mon corps, je ne cherchais pas ça, mais simplement un ami avec qui je voulais faire la fête. Cet ami endormi, je préférais le réveiller en douceur. Je me mis à rire lorsqu'il se réveillait après ce magnifique coup de langue. Je me retenais de rire de ma bêtise, mais c'était trop tentant de l'embêter comme ça, surtout à la vision de sa tête. Je savais qu'il ne m'avait pas regardé dans les yeux un certain temps, mais je m'en moquais, je savais que ça plaisait beaucoup de regarder, même si je voyais bien qu'il était gêné. Je fis une petite moue à sa question, me retenant de rire à ce qu'il venait de me dire. Ce que je fais là? ça semblait pas le gêner finalement, enfin, pas assez. Bah tu vois... je m'ennuyais. Et je me suis dis, pourquoi ne pas aller voir mon ami Zyméoh pour l'embarquer à une fête pour s'amuser comme des fous ? Et j'ai pas envie de te demander ton avis, j'ai envie de m'amuser et tu es la personne idéale pour m'accompagner ! Je ris, et je me glissais alors sur le coté pour me relever, mais je n'avais pas fais que ça.

J'avais pris le poignet de mon ami, pour le tirer en dehors du lit. Et c'est dans des moments comme ça où j'aurais presque regretter de faire des arts martiaux. Le pauvre Quincy s'était retrouvé dos au sol sur la moquette. Bêtement, j'ai tourné la tête vers lui, remarquant alors la nudité totale de mon ami. Je penchais la tête, surprise en voyant... bah oui... je voyais bien ce que l'on se doutait, je louchais tristement sur la partie intime du Quincy. Bah … au moins je peux prendre ta défense si quelqu'un essaie de dire que tu en as une petite... parce que... tu es bien gâté par la nature, coquin. dis-je en grimaçant avant d'exploser de rire. Non sérieusement, la situation était grotesque. Je lâchais rapidement son bras et attrapais les draps pour les jeter sur Zyméoh, j'étais toujours morte de rire. Bon, habilles toi avant qu'on nous surprennes et qu'on croit que je tentes de violer un pauvre étudiant. Même si ça tente...beaucoup. Je m'écartais, en lui faisant dos, histoire de pas le gêner plus.

(Invité)

Vous savez ce que c’est, un moment gênant ? Tout le monde pense vivre un moment gênant par jour. Moi, j’étais en train de le vivre, à l’instant-même. Parti pour une bonne nuit de sommeil avant de passer ma journée du lendemain à bosser, je ne pensais pas qu’on allait me retirer des bras de Morphée. Et pourtant, l’intrusion d’une de mes amies m’avait réveillé en sursaut. J’étais pas le genre de gars à avoir de nombreuses conquêtes, à enchainer les filles les unes après les autres. A vrai dire, ces derniers temps, c’était plutôt plat pour moi. Depuis Sassy, soit il y a un an, ma vie sexuelle était presque au point mort, si ce n’est une certaine expérience après avoir bu trop d’alcool à une soirée où on m’avait trainé. Ces explications faites, je n’ai plus besoin de vous faire comprendre pourquoi les caresses que je reçus durant mon sommeil par la langue de Teodora eurent un effet sur mon entrejambe. Maintenant bien réveillé, j’avais un début d’érection caché sous mes draps, et mon amie à califourchon au-dessus de moi, avec un minimum de tissus qui nous séparaient. Je rentrais le bassin pour dissimuler les choses au maximum, et je fus soulager quand elle se releva sans rien dire : elle n’avait surement rien remarqué.
Ce soulagement ne dura que très peu de temps. Alors que je soupirai, fier d’avoir caché cette excitation gênante, je sentis une main m’attraper le bras et me tirer sèchement vers l’extérieur du lit. Je tendis ma main libre vers les draps du lit, mais c’était trop tard. Je me retrouvai allongé sur le sol de ma chambre, complètement nu, et mon début d’érection à l’air. Après quelques secondes de réaction, et voyant que Teo louchait sur mon entrejambe, j’entrepris de placer mes deux mains devant mon intimité, mais restai au sol, sans bouger.
« - Bah … au moins je peux prendre ta défense si quelqu'un essaie de dire que tu en as une petite... parce que... tu es bien gâté par la nature, coquin. »
La situation avait l’air de la faire rire, et moi, j’étais totalement mal à l’aise. Je me recouvrais des draps qu’elle m’avait envoyés.
« - Bon, habilles toi avant qu'on nous surprennes et qu'on croit que je tentes de violer un pauvre étudiant. Même si ça tente...beaucoup. »
Je rougis instinctivement. Elle se retournait, et je me levai enfin, me dirigeant directement vers l’armoire pour attraper un boxer et l’enfiler.
« - Désolé pour … ça, dis-je en me mettant un jean. Tu veux faire quoi en fait ? »

(Invité)

J'étais un peu gênée de la situation actuelle, son membre sous mes yeux, ce n'était pas quelque chose de désagréable en soi mais je n'osais dire plus de mots que précédemment. Je n'avais pas su, je ne savais pas qu'il dormait ainsi. Mais il fallait positiver, et je m'y débrouillais bien. Je tournais la situation à la rigolade pour le mettre à l'aise, et puis, ça me dérangeait pas vraiment en faite, j'en avais déjà vu avant lui. Je me retournais donc, pour le laisser se rhabiller un peu mieux, essayant d'enlever l'image du sexe du Quincy dans ma tête, mais ce n'était pas facile, on ne peut pas dire qu'elle à un moment « normal » quand je l'ai vu. Pourquoi? Je n'en savais rien. Et puis, ce n'est pas grave, ce n'était qu'un accident. Je ne savais pas que les garçons aussi prude que lui étaient du genre à dormir nu, je pensais plus à un pyjama entier ou tout du moins le bas, sait-on jamais si une jolie blonde arrivait dans votre chambre pour vous emmener faire la fête ? « Désolé pour … ça, ... Tu veux faire quoi en fait ? » me demandait-il soudainement. Je me retournais alors vers lui, il enfilait son pantalon. Je me mis à sourire, il était vraiment timide ou quoi ? Je m'asseyais alors à coté de lui, retenant de rire vu son attitude. Je pensais te réveiller sans accident, et t'emmener faire la fête. J'avais envie de sortir et je sais pas pourquoi, j'ai pensé à toi mon petit Zyméoh. Je me suis dis : il doit s'ennuyer, et je vais mettre du pétillant dans sa vie en allant faire la fête! J'entourais alors son cou avec mon bras pour le rapprocher de moi et l'embrasser sur la joue tendrement pour m'amuser. Mais avoues, tu as cru que j'allais venir te faire des choses dans le lit, te violer alors que tu es nu sous la couette... hein? Que je me serais déshabillée sous tes yeux... et qu'on se serait amusé sous la couette... lui dis-je alors d'une manière plutôt coquine, presque même si ça ne paraissait pas réel. Je me mis à rire d'un coup sous ma bêtise. Je le faisais basculer sur son lit pour me mettre au dessus de lui, sur son bassin pour chatouiller ses côtes nues. Le fait qu'il n'était pas encore habillé, je pouvais profiter de la situation pour l'embêter un petit peu. ah ah ah! Souffres!

(Invité)

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