Z. PENELOPE ALEXANDER ► magdalena zalejska

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle for pleasure et j'ai 19 ans. Je suis un poney et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Le forum est beau et actif alors j'ai décidé de m'inscrire.  J'utilise magdalena zalejska comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par aeroplane. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ bamboula  :raaah: .
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

Je suis né au cœur de Sydney un soir d’hiver 1996. Mes parents m’ont prénommé Zara Penélope, mais je préfère Pennie même si ma mère trouve ça péjoratif. J’ai grand dans une grande villa, assez luxueuse il faut l’avouer, surtout quand on sait qu’entre les major d’hommes, les femmes de ménages et autres, notre famille avait une dizaine de personnes à son service. Si on pouvait s’offrir tout ce luxe, c’est grâce à mon père, que je n’ai jamais vraiment vu, il passait son temps au bureau mais je suis sûre qu’il avait des maîtresses. Mon père est le propriétaire et le fondateur d’Alexander’s Watch, une grande multinationale qui fabrique des montres qui coûtent plus d’un an de salaire pour une personne lambda. Enfin bref, ma mère n’a pas eu d’autres enfants à part moi, j’ai toujours grandit toute seule, j’avais bien quelques copines d’école mais dans une maison de plusieurs étages avec des dizaines de pièces, quand on est petite fille, ça nous paraît être le néant. J’ai eu une scolarité traditionnelle, de bonnes notes dans une école privée puis le lycée. Je savais que je n’avais pas trop le choix, c’était les études universitaires qui m’attendaient mais je n’arrivais pas à me décider. Il faut dire qu’à l’époque, j’avais quinze ans et entre la danse, l’équitation et mes devoirs, je ne pensais qu’à rien d’autre. Je ne vais pas me plaindre, je n’ai jamais manqué de rien mais cette éducation bourgeoise m’a tout de même privé de pas mal de trucs. J’ai jamais vraiment fait la fête ni bu d’alcool, encore moins pris de la drogue. Il faut dire que dans les lycées privés, ce n’est pas la joie. Evidemment, les mecs transgressent les règles mais nous les filles, on est beaucoup plus calmes … Quand j’ai fêté mes dix huit ans, il a été temps pour moi de choisir ce que je voulais faire de ma vie et après des tonnes de visites et de mail, j’ai jeté mon dévolu sur Harvard, à l’autre bout du monde, aux Etats Unis. Adieu mon Australie natale, ce qui n’était pas plus mal car je commençais à étouffer dans ce trou à rat. Quand j’ai débarqué pour la première fois avec mes valises sur le campus, c’était le choc. J’étais quand même super timide à l’époque et je me sentais perdue dans cet endroit aussi vaste et fourmillant. Heureusement, les élèves ont étés adorables avec moi, pour la plupart, et l’intégration ne s’est pas trop mal passée. J’avais un peu peur qu’avec mon choix de cursus en neurosciences, les gens prennent peur et ne voient qu’en moi une intello coincé et surdouée. Au final, je me plait ici, ma famille ne me manque même pas tant que ça et je suis prête pour les années d’études qu’il me reste à affronter.