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everthing who kills me, keep me alive
Ça faisait du bien d'être loin de tout, loin de tout ce qui peut me perturbé. Les choses avec Arhcie se sont gâtés, moi qui croyais voir la lumière au bout du tunnel, ce n'était pas le cas. Je croyais vraiment que tout allait fonctionner entre nous deux, que pour une fois, une de mes relations amoureuses allaient finalement fleurir et s'épanouir. Sauf que je tombais des nus quand il m'apprit son départ. Ni rien, ni explication, il est parti sans au revoir. Qu'est-ce que je raconte, il a laisser une vulgaire lettre à mon égard, expliquant vainement ce retour à sa terre natal. Bref, le blabla habituel pour dire que nous deux, ça ne marchera pas. Charmant. Pourquoi est-ce que j'ai foncé tête première dans cette relation ? J'avais tant hésité, mais je n'ai fait qu'à ma tête et me voilà, à souffrir comme un chien, essayant par tous les moyens de faire apaiser ma peine. Heureusement le départ au Lake House avait tombé au bon moment. J'ai bouclé mes valises à la dernière minute pour essayer de fuir mes problèmes, malgré que ce n'est jamais la meilleure solution. J'étais arrivé toute de même tard au Lake House. Cela m'a pris longtemps avant de me décider d'y venir ou non. Je ne regrettais pas mon choix.Malgré la saison, l'endroit était à couper le souffle, le genre d'environnement qui m'aiderait à m'apaiser. Mes valises dans ma chambre, je n'y restais pas une minute de plus, je voulais profiter un peu de la nuit étoilé, malgré l'air frisquet. Je me suis éloignée un peu du château durant ma promenade, mais je restais tout de même à bonne distance. Je fouillais dans la poche de mon manteau pour sortir une clope. Ah oui c'est vrai, c'est nouveau ça. Hazel Emilia Burton-Fields fumait maintenant. Un choc ouais. Je n'ai rien à dire pour me justifier pour cette nouvelle habitude malsaine, je fume un point c'est tout. Froide la meuf n'est-ce pas ? Après vous êtes fait écraser le coeur, vous serez d'attaque d'affronter le monde par la suite ? Bien sûre que non, si toutefois cela s'applique à vous. Donc me voilà, une clope entre les lèvres, le coeur en miette, le regard vide fixé au ciel dans l'espoir qu'il arrivera un miracle, mais bon, les rêves ne sont jamais la réalité.


outfit of the day
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Le jeune homme avait suivis sa proie depuis quelques minutes déjà. Tiens, tiens, tiens, une demoiselle qui semblait vraiment triste en train de fumer une clope, le regard vide sur le ciel. Il regarda à gauche puis à droite et décida de se rapprocher d'elle en essayant d'avoir l'air naturel. Il portait une veste noire, ainsi qu'une écharpe et un bonnet qui s'arrêtait à ses yeux. Il faisait toujours en sorte que l'endroit soit sombre, de bien frapper ses victimes pour que leur vision soit trouble et qu'elles ne puissent pas reconnaître l'identité de leur agresseur. Il sortit son couteau suisse et le brandit dans le dos de la demoiselle. J'ai un couteau pointé dans ton dos, si tu fais ce que je te dis, tout se passera bien. il attrapa agilement la cigarette de la jeune fille et il en fuma quelques bouffées avant de l'écraser dans la neige. L'agresseur avait repéré un petit chalet où les étudiants rangeaient leur affaires de ski. C'était juste parfait. « Avance et reste la tête baissée ou j'te jure que j'te plante. » dit-il en shootant dans les jambes de sa victime pour qu'elle avance vers le chalet.
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everthing who kills me, keep me alive
J'avais cru tout d'abord que c'était une vielle plaisanterie. Ce n'est pas la première fois que les étudiants essayaient d'effrayer les filles rien que pour rigoler. Ce genre de plaisanterie m'aurait fait rire, mais pas pour le moment. Je n'étais pas dans l'humeur à rire pour l'instant. « Écoute, peut-importe qui tu es, je voudrais bien que tu me fiches la paix. » dis-je d'un ton sans appelle. Je voulais me retourner pour savoir qui m'opportune dans un tel moment quand je sentis la pointe de sa lame me chatouiller le bas de mes reins. C'est là que je réalisais dans quelle situation que j'étais. Le souffle coupé, j'étais littéralement figée sur place. Il en profita pour prendre ma cigarette entre les doigts et en tirer une taffe avant de la jeter dans la neige. Je ne profitais pas de cette distraction pour m'enfuir, mais courir dans la neige n'était pas chose facile. J'étais sûre qu'il arriverait à me rattraper facilement. À la place je fis ce qu'il me dit. Terrifiée, ce fut un vrai supplice de bouger, je n'arrêtais pas de m'enfarger dans mes propres pas. Je ne savais pas où il m'emmenait jusqu'à ce que je vois dans mon angle la petite bâtisse. Sans ménagement il me poussa à l'intérieur et j'y tombai genoux à terre. Il faisait beaucoup trop sombre pour y voir quelque chose. La seule chose que je pouvais décerner c'était la lame de son couteau qui était éclairé par la lumière de la lune. Je ne pu m'empêcher de lâcher un sanglot de peur, je ne sais pas ce qu'il m'arrivera par la suite.


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Le psychopathe riait aux éclats à travers son écharpe devant la demande de sa victime. Hors de question de donner des ordres. Il osa alors toucher son dos avec la lame de son couteau suisse pour que la quincy devienne immobile. Voilà, comme ça elle comprenait. Il lui demanda d'avancer jusque dans le chalet et il ne se gêna pas pour se moquer d'elle lorsqu'elle tomba. Il ferma la porte. Debout! dit-il en pointant son couteau vers elle. Il l'attrapa par le bras et la poussa contre le mur violemment. Aie, elle a du se faire mal au crâne. Hahahahahahahha. Le garçon se rapprocha d'elle et positionna son arme sous la gorge apeurée de la jolie brune. Elle baissait les yeux, c'est bien, elle retenait vite. « Si tu fais ce que je te dis, tout se passera bien pour toi, dans le cas contraire... » il appuya la lame sur sa peau pendant quelques secondes puis il la retira. C'était trop chouette de jouer avec la nourriture! « Montre-moi un peu ce que tu portes comme sous-vêtements. » il se régalait d'avance de toucher sa proie.
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Avec bien de mal, je me remettais sur pied. Je grimaçais à la douleur lancinante de mon genoux droit. Je m'étais certainement égratigné le genou dans ma chute. Super, voilà qui tombait bien pour cette situation. À peine relevée, je fus projeté sur le mur par sa poigne ferme. Je poussais un cri de douleur et eu la sensation d'avoir le vertige. Même si c'était le grand noir, je savais que ma vue était brouillé. Il n'était pas allé de main morte celui-là. Je ravalais mon sanglot. Je ne voulais pas lui montrer ma douleur, je savais que me mettre sous cette torture lui plaisait, je n'allais pas lui donner plus de satisfaction. Par un effort inhumain, j'essayais de prendre contrôle de mes émotions. Je mordais mes lèvres presque à sang pour me calmer. Autant faire ce qu'il dit quoi qu'il en coute, si je tentais quoi ce soit, ma vie se terminerait dans ce taudis salubre.« Montre-moi un peu ce que tu portes comme sous-vêtements. » je serrais des dents pour ne pas lui cracher au visage ma façon de penser. Je me répétais sans cesse '' fait le et tait-toi'' dans ma tête pour me donner la force de suivre, mais c'était autant difficile de le faire. Avec lenteur, j'enlevais mon manteau, malgré le froid glacial de la pièce. S'en suivis de mes souliers, mon chandail et pour terminer mon jean. Quand je retirais se dernier, par réflexe je croisais mes bras sur ma poitrine. J'étais frigorifiée et tentais vainement de me réchauffer. Pas besoin de faire des dessins, je savais bien ce qu'il allait suivre et cela demandera beaucoup de mon self-control.
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A partir du moment où la jeune fille se déshabillait, l'agresseur devenait le violeur. Il se régalait à mater ses petites formes. Il avait choisi une fille assez bonne, mais lui dire serait trop beau, surtout qu'il la considérait vraiment comme une merde. Elle était sage, elle tremblait tellement elle avait froid, mais malgré la situation, la miss ne pétait pas un mot. Mais ça ne changeait pas ses vieilles habitudes, un peu de violence physique ne pouvait que lui ouvrir l'appétit. L'homme la gifla tellement fort qu'elle s'écroula à terre. Il lui donna quelques coups dans le ventre et il cessa au moment où elle arrêta de gémir de douleur. Il l'immobilisa ensuite sur le sol froid et il déboutonna son pantalon pour commencer sa petite affaire. Tu kiffes hein? T'en fais pas, c'est que le début ma belle! dit-il au creux de son oreille. Sadique, sadique! Mais il y en avait au moins un qui passait un bon moment...
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La douleur de sa gifle me coupa le souffle, tout comme les coups dans mon ventre qui suivirent. Je ne pus m'empêcher de crier de douleur. C'était insoutenable. Ce fils de putain en jouissait rien de me voir agoniser sous la douleur. Son rire roque ne faisait que confirmer mes pensées. Un gout métallique se fit sentir de ma bouche et je compris que je saignais. Je crachais par instinct et ce sale chien en riait encore plus. « Crève enfoiré.» ne pus-je m'empêcher de dire. C'était plus fort que moi. Élevée au milieu de 4 grands frères, j'ai appris à ne pas me laisser faire. J'aurais pu me battre avec lui, mais j'étais bien trop faible face à une telle carrure. Proche de mon oreille, je me retournais et encore une fois crachait, mais cette fois-ci à son visage. Il allait me le faire payer c'est certain, mais je refusais maintenant de rester là, à ne rien faire sans tenter de me battre. La rage bouillonnait dans mon sang. Je devais me calmer. Il avait un couteau et moi rien. Ce n'était pas vraiment le moment de jouer les rebelles.
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