Les petites erreurs peuvent apporter de grands malheurs.

Noëline était en train de se préparer pour se rendre à la veillée de Noël. En tant que Cabot qui se respecte, la brunette aux reflets dorés avait mit du temps à choisir les bons vêtements. Mettant un dernier coup de laque dans ses cheveux, l'étudiante en première année qui a fêté son anniversaire le seize décembre, prit le cadeau pour Kayla. Qui était un fer à lisser les cheveux et ses multiples accessoires. Mettant un dernier coup de parfum, Noé entendit un bruit très suspect et n'ayant pas fermer la porte. - Il y a quelqu'un ???

fait par Blueberry

La classe de neige. Harvard avait été bien idiot de ne pas annuler un tel évènement. Mais soit, ça arrangeait plutôt bien le jeune homme. Après de longues discussions, ils avaient finit par se mettre d'accord sur les victimes. L'occasion de montrer qu'ils passaient à la vitesse supérieur. Et il était le premier à passer à l'action. Jolie petite Cabot. La pauvre n'allait pas comprendre ce qui allait lui arriver et le pire dans tout ça, était qu'elle ne fermait même pas sa porte. Malheureuse. Un sourire sadique vint étirer ses lèvres alors qu'il passait la porte la refermant soigneusement derrière lui. Elle semblait l'avoir entendu et tant mieux. Doucement il se glissait derrière elle posant sa main sur sa bouche. Si tu hurles, t'es morte.

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Noé n'avait pas pensé à refermer la porte. En effet, elle avait pensé bien faire en la laissant ouverte de façon qu'elle puisse l'ouvrir si une personne tape à la porte. Le mal était maintenant fait. Soudain, la brunette aux reflets dorés sent une main sur sa bouche. Noé était pétrifiée, mais essayer de garder son calme, ses yeux étaient grands ouverts. Néanmoins, la Cabot essaie de se débattre, ravalant difficilement sa salive. C'est vrai, elle pouvait tenter de lui montre la main. C'était pas une mauvaise idée après tout.

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C'était une menace suffisante non ? Et pour bien montrer qu'il était sérieux, il sortait le petit canif qui suffirait à la dissuader de continuer à se débattre. T'inquiète pas, je suis sûr que tu vas aimer ça. Un nouveau sourire se dessinait sur son visage alors qu'il tournait brusquement la jeune femme pour qu'elle lui fasse face. Elle était plutôt jolie ce qui était pas mal dans ce genre de situation. Dans ce genre d'agression plutôt. Doucement, il passait une main sur son visage admirant la jeune femme. Voici les règles. Tu te tais, tu te laisses faire et tout ira bien. Dans le cas contraire.. Ça pourrait mal tourner. T'as compris ?

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Noé se débattait toujours lorsqu'il montre le cannif et merde. Il avait l'intention de faire quoi ? La tuer ? Ou pire. La jeune femme pensait que cela n'arriver dans les films, que ça arrive qu'aux autres. Sa gorge était plus que sèche. L'homme mystère la retourne de façon à être face à lui. La Cabot avait une terrible envie de crier pour prévenir les personnes qui étaient dans les chambres à côté, mais c'était comme si aucun son ne voulait sortir de sa bouche par la peur. En sentant la main du fou furieux, Mademoiselle Darkhölm fit non de la tête tout en reculant doucement. Oui elle est super bornée comme fille.

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Au final, ce qu'il était en train de lui expliquer était plutôt simple à comprendre. Suffisait juste qu'elle ne soit pas têtue ou autre connerie dans le genre. De toute manière, elle était plutôt en mauvaise posture pour refuser puisqu'il était beaucoup plus fort qu'elle est armé en plus de ça. Pourtant, la jeune femme semblait vouloir se montrer courageuse en reculant quelque peu avant de secouer la tête. Sérieusement ? Elle ne savait pas sur qui elle était tomber. Tant pis, je te laisse pas le choix. L'air menacant, il l'empoignait par le bras avant de la coller contre le mur avec force. Le genre de chose qui aurait tendance à la sonner quelque peu et l'empêcher de faire des bêtises. J'aime ce genre de jeu.

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C'est juste que Noé est plutôt têtue et a tendance à ne pas vouloir se laisser faire. Mais c'est vrai que la posture où elle était, la brunette pouvait faire tout ce qu'elle voulait c'était foutu d'avance. Reculant toujours de quelques pas - Que me voulez-vous ? l'homme mystère empoigne avec force pour la coller avec beaucoup de poigne contre le mur. Sa tête avec quelque peu cogner la tête en première ce qui la sonne un peu. Ouch ça fait mal. Faisant une grimace de douleur, elle avait plusieurs envies. Mettre une baffe, crier et cracher sur son visage. Elle opte pour la dernière option.

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Est ce qu'il faisait sadique en disant ce genre de phrase ? Très certainement. Mais c'était le cadet de ses soucis pour le moment. Passer un peu de bon temps, c'est évident. Et lui faire vivre un calvaire par la même occasion. Parce qu'il était clair que ça n'allait pas être une partie de plaisir pour elle. Mais ça, il s'en fichait bien. Il souriait à nouveau voyant que l'impact qu'il venait de lui provoquer semblait lui avoir fait mal mais la Cabot rétorquait en lui crachant dessus. Charmant. Quelle grande classe. Il n'en fallait pas plus pour l'énerver. Empoignant une nouvelle fois son canif, il le plaçait sous la gorge de la demoiselle avant de reprendre d'une voix douce. Tu crois que je suis en train de plaisanter ?

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Passer un bon moment c'est-à-dire ? Enfin bref ce n'était pas le moment de demander plus d'explications vu que c'était pas le moment vu que Noé est face à un fou bon à enfermer dans un hôpital psychiatrique. Et encore ça ne suffirait pas. D'accord ce n'était pas digne d'une Cabot de cracher sur une personne mais vu l'urgence, c'était une nécessité et un moyen de se défendre. En sentant le cannif sous sa gorge elle réplique. - S'il vous plait laisser-moi tranquille. Des perles salées commencèrent à couler le long de ses joues malgré elle.

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Malgré la voix douceureuse qu'il venait d'employer, il était bien loin de plaisanter. Il était même plutôt menaçant dans son genre et enfin, dieu soit loué, elle avait enfin comprit qu'il ne servait à rien de jouer à la fille forte puisque ça ne ferais qu'empirer les choses pour elle. J'ai pas envie d'être sympa ce soir, dommage pour toi. Et voilà qu'elle se mettait à pleurer. Larmes qui arrachait un rire amusé à l'agresseur. Toutes les mêmes. A chialer pour un oui et pour un non. Quelle tristesse. S'aidant toujours de son canif pour garder un moyen de pression sur elle, il déposait doucement ses lèvres sur le visage de la cabot s'approchant au fur et à mesure de ses lèvres. Mais avant de les atteindres, il s'écartait avant de reprendre la parole. Enlève ton tee shirt.

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