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We found love in a hopeless place (ft. Joe)

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Je t'assure que tout va bien, ne t'en fais pas. C'est bien ce que tu cherchais à entendre. Qu'il s'porte bien, malgré la chute. Au pire des cas, tu aurais dû prendre soin de lui. Pas mal non plus, comme option, mais pas envisageable, puisqu'il va bien. Une prochaine fois, tu le pousseras subtilement, qui sait il se blessera peut-être vraiment? (a) - Haha, ce fameux costume de pompière ... Ce fameux costume de pompière que tu avais mis deux fois, dont la soirée où tu l'avais croisé, ce Joe. Soirée spéciale en tous points, il faut bien l'avouer. Costume que tu avais bien aimé porté, mais qui aujourd'hui, ne t'irait plus du tout. Du moins... tu ne le mettrais probablement que pour réaliser des fantasmes, pas pour te pavaner sur une scène et te dénuder. Tu n'étais plus cette fille. Plus maintenant. C'est vrai que c'était un joli costume ! Tu te remets à rire, à peine tu avais terminé. "C'pour ça que tu me l'as arraché si vite?" Oui, maintenant que tu te souvenais de qui il s'agissait, tu te souvenais évidemment de la nuit torride qui avait suivie ta soirée au boulot. Moi ça va, oui. Il avait plus de discussion qu'autrefois. Disons franchement qu'au bar du Nirvana, c'est bien la conversation qui manquait... Y'a pas vraiment grand chose à dire, en réalité. Et toi, alors ? Tu as l'air ... différente. Différente? En quels points? Il n'avait pas tord. Tu étais différente. Tu avais dû passer par bien des chemins, bien des épreuves, surmonter beaucoup d'obstacles et encore aujourd'hui, la vie n'avait pas terminé de t'en faire arracher et de te faire suer. Mais tu étais une autre Dixie. La même au niveau de la carapace, mais pas en son intérieur. "C'est pas faux. Je ne l'ai pas eu facile, lorsque j'ai quitté le Nirvana pour aller à Harvard. J'ai... mûri. Pas l'âge et les rides nécessairement, mais... La maturité, j'suis plus la même. J'crois que c'est à cause de ma sensibilité, ça doit être ça, ouais!", finis-tu par dire, dans un sourire. "Tu cours souvent par ici, dis? C'est un bel endroit..."
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Rapprochant mon visage du sien, je lui souffle d'un ton séducteur :

- Ce n'est pas de ma faute s'il ne servait qu'à cacher un plus joli corps.

Je me rends compte que ce que je fais là n'est pas bien. Ce que je fais là, ça s'appelle de la séduction ... Et cela fait bien trois ans que je me suis promis que j'arrêterai de jouer les charmeurs avec les jolies demoiselles que je pourrais bien croiser sur mon chemin. Certes, je n'ai jamais précisé de traitement vis-à-vis des très jolies demoiselles ... Mais il n'empêche que malgré tout, j'adopte là une attitude qui me déplaît, et il faut qu'elle le sache.

- Désolé, ce n'était pas très respectueux. Promis, je ne recommencerai pas.

Sauf si tu me le demandes ... Je souris faiblement, malgré moi. Je n'ai pas envie de passer pour le connard de service, cette fois-ci. Certes, c'est peut être ce type là qui lui plaît, mais si c'est le cas, tant pis pour elle car je n'ai aucune envie de me remettre à le jouer. Il y a trois ans, je m'étais promis que dès lors, je serai réglo ... Et si à la base, je me l'étais promis pour Amy, son départ n'avait fait qu'accentuer en moi ces nouveaux principes acquis avec notre relation passée. Bref. Dixie me parle alors d'elle, me disant qu'elle avait muri, depuis le temps. Je souris à nouveau. On sera deux, comme ça.

- T'as pourtant l'air bien ridée, ma foi.

Je plaisante alors. Elle me demande si je cours souvent par ici et c'est comme cela que je me rappelle qu'initialement, si j'étais venu ici, ce matin, ce n'avait pas été pour me perdre dans ses beaux yeux mais bel et bien afin de courir. Ah ouais, tiens.

- Pas vraiment, non. J'aime bien varier les plaisirs, tu me connais.

Putain, Joe, ferme ta gueule un peu, de temps en temps. Je commence vraiment à parler comme avant, ça m'inquiète.
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Ce n'est pas de ma faute s'il ne servait qu'à cacher un plus joli corps. Joli? Vraiment? Il trouvait? Le truc, c'est qu'à l'époque, certes tu avais un joli corps, mais pas autant qu'aujourd'hui. Aujourd'hui, tu l'avais formé, dessiné, ses courbes étaient bien plus concrètes, agréables au toucher, bien plus séductrices, invitantes, sans pour autant être horriblement maigres. Tu étais de la taille et du poids normaux, respectant les normes ; il n'était que mieux bâti. "Le tien est pas mal non plus." Toujours aussi séducteur dans ses mots et dans son regard. Son sourire vilain d'autrefois, pourtant, laissait place à une plus grande douceur, tu avais l'impression. D'ailleurs, il s'était approché de toi. Très près de ton visage, si bien que tu sens un souffle chaud contre ta peau. En cet journée fraîche, ça ne peut que te réchauffer le temps d'une seconde tout au plus. Désolé, ce n'était pas très respectueux. Promis, je ne recommencerai pas. Tu l'observes un instant, en silence, penchant la tête sur le côté, intriguée. Des regrets? Ah bon, vraiment? Pourtant, il n'y avait rien de dramatique ou de déplacé là-dedans. "Euh...non, ça va. T'inquiète." Vraiment, tu ne savais pas trop comment réagir, après tout. - T'as pourtant l'air bien ridée, ma foi. Alors là... Tu arbores une fausse moue boudeuse en te croisant les bras sur la poitrine. Il ne faut jamais insulter une fille par les rides, ça, ce n'est pas respectueux. Tu finis bien entendu par éclater de rire en te tâtant le visage, sous les yeux. "Je suis si ridée? J'devrais me cacher, tu crois?" Vaut mieux rire que se chercher des noises, comme autrefois. Enfin, ce n'était que de la provocation mettant en scène la tension sexuelle qui s'était installée entre vous, et aujourd'hui, c'était différent. Vous ne vous connaissiez pas, à proprement dit. Il n'y avait que vos corps qui avaient réellement fait connaissance. Rien de plus. Pas de discussion élaborée, hein. Jamais. Il était néanmoins toujours aussi bel homme, sinon plus. Pas vraiment, non. J'aime bien varier les plaisirs, tu me connais. Tu t'mords la lèvre sans vraiment pouvoir t'en empêcher, puis tu recules de deux pas, puisque vous étiez toujours à proximité l'un de l'autre. Valait mieux ne pas retenter quelque chose. Tu n'es plus cette fille. Tu es quelqu'un d'autre, de grandie, d'épanouie, de mûrie. Et c'est très bien comme ça. "Ouais, non... J'te connais pas.", dis-tu, affichant un sourire qui en disant long, avant d'ajouter : "Enfin, tu t'tiens en forme en prenant d'l'air, quoi. J'fais un peu comme toi, j'change d'endroit dès que j'le peux, dès qu'la température m'le permet. Des nouveaux endroits, de nouveaux paysages, c'est bien beau, quand on a la tête qu'à ça." Tu ne sais pas s'il voulait reprendre sa course là où il en avait terminé tout à l'heure, avant que tu ne l'interpelles et ne l'interrompes. "Tu veux que j'te laisse continuer ton chemin, ou...ça va?" Genre en mode ; ça va, tu peux rester aussi me tenir compagnie, si tu veux.
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Elle complimente mon corps, et si je me demande passagèrement si elle fait allusion à celui que je possède actuellement ou à celui que je possédais alors, dans le passé, je chasse rapidement ces notions de ma tête afin de me concentrer sur le présent, justement, ainsi que sur la conversation actuelle et mon interlocutrice. Elle fait comprendre que mes propos ne l'ont pas choquée, et si cela me réjouit, je suis bien conscient que c'est probablement parce qu'elle a également été habituée à bien pire, à l'époque où nous nous sommes ... rencontrés, justement. Elle me demande si elle n'est pas trop ridée et c'est avec un sourire amusé que je lui réponds.

- Je pense que ça devrait aller, pour le moment. Tu devrais même t'en tirer sans un lifting !

Je plaisante, bien évidemment. Ma nouvelle plaisanterie semble cependant bien moins l'amuser, étant donné que voilà qu'elle marche inconsciemment à reculons - loin de moi, donc. Presque par réflexe, je commence à tendre les mains vers elle, affichant un regard inquiet, avant de me raviser et de ranger ces bras de part et d'autre de mon corps et de détendre ce visage bien trop concerné. Lançant alors un petit rire gêné en sa direction, je me gratte la tête sans pour autant oser la regarder dans les yeux.

- Pour être honnête, je ne me connais pas non plus, haha.

Une petite blague pour détendre l'atmosphère, qui pourtant, est bien plus réelle qu'elle n'en a l'air. Je ne me connais pas, réellement. Je me cherche encore. C'est pathétique à dire, à mon âge, aux yeux de certains, j'en suis bien conscient ... Mais j'ai compris, depuis le temps, qu'on passe souvent une vie entière à se chercher et que rares sont ceux qui parviennent à se trouver avant leur décès. Dixie me dit alors comprendre les motivations derrière mon envie de courir, et amusé, voilà que je croise des bras avant de lui dire :

- Et tu le fais en faisant du sport, ou bien, c'est pas ton truc, ça ?

Non, parce que sinon, rien ne l'empêche de se joindre à moi pour le jogging, hein. Bon, peut être pas aujourd'hui non plus, mais ... Ça reste une idée, quoi ! Elle me demande finalement si j'ai envie de terminer ma course ou non. Me tournant vers le chemin sur lequel je traçais jusqu'alors, mon regard se perd dans le vide, parmi les arbres et les autres passants ... Pour ensuite se retourner à nouveau vers le visage de Dixie et se perdre dans les sentiers de son visage. Le choix me semble vite fait, malgré un bref moment d'hésitation intérieure.

- À vrai dire, je commence à avoir soif. Je pense que je vais aller au Starbucks, histoire de me prendre un café ... Si cela t'intéresse ?

Et là, soit elle dit oui et je pourrai m'en réjouir intérieurement, soit elle dit non et je passerai officiellement pour un con, une bonne fois pour toutes. C'est quitte ou double, quoi. Génial.
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Je pense que ça devrait aller, pour le moment. Tu devrais même t'en tirer sans un lifting ! Ta mine faussement vexée devrait bien lui faire comprendre qu'il a tord. Il sait lui-même qu'il a tord à ce sujet, tu en es certaine. Secouant la tête, un léger rictus s'affiche sur ton visage d'ange. "Sérieux? Toi qui est si expert, tu veux vérifier qu'le reste de mon corps est en parfait état, aussi?", souffles-tu alors en faisant mine de soulever le bas de ton chandail, mais tu t'arrêtes net dans ton mouvement. Eh, mais t'allais pas te dénuder ici, rien que pour faire plaisir aux yeux de monsieur. De un, parce qu'il faisait froid. De deux, car tu n'étais plus cette espèce de fausse prostituée du Nirvana. De trois, car étrangement, tu n'en avais pas envie, de montrer ton corps. - Pour être honnête, je ne me connais pas non plus, haha. Tu fronces les sourcils vis-à-vis de son commentaire, comme si c'était un pur automatisme. Oh? "Et tu cherches des réponses?", demandes-tu le plus sérieusement possible. Tout le monde cherchait des réponses à une évidence, à un problème, à une question, whatever. Mais lui? Cherchait-il des réponses sur la personne qu'il est, maintenant? Cet homme qu'il est devenu, aujourd'hui? "T'as vu mon allure? Mon physique? Évidemment que j'le fais en faisant du sport.." Pourquoi toujours tout retourner à ton apparence? Car c'est en voyant ton corps que vous vous étiez connus. Et que souvent, c'était plus facile de se faire une carapace sur le physique, lorsqu'on en a un beau, à la limite de la perfection, ce physique qui fait rêver, baver les hommes, plutôt que d'aller chercher les véritables raisons à tous les trucs de la vie dans son âme. Tu souris, constatant qu'il t'invite au Starbucks, légèrement intimidée par ce long moment de silence dans lequel il te dévisageait. À quoi pense-t-il? "Ce serait avec plaisir.. En aussi bonne compagnie, comment refuser?" Et c'est un sourire qui laisse apparaître tes dents blanches parfaitement alignées que tu lui accordes avec grâce, avec une subtile douceur. Malgré le passé, il est sympa, cet homme. "Y'en a un pas trop loin d'ici. À moins qu'tu préfères profiter plus longtemps d'ma présence, et aller à un Starbucks plus loin..?", murmures-tu, croisant les bras sur ta poitrine, pour le taquiner un peu, le provoquer gentiment, aussi..
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De la provocation. Je ne rêve pas, elle est en train de me faire de la provocation. Et bordel, qu'est-ce que c'est bon, comme provocation. J'essaie de m'en empêcher mais je ne parviens pas à arrêter mon regard, qui s'empresse rapidement de la regarder de haut en bas. Belle. Elle est belle, c'est un fait, indéniable, qui plus est ... Et pourtant, je ne peux pas m'empêcher d'entendre cette petite voix au fond de ma tête qui me dit de me tempérer. Joe, t'es un homme, agis en conséquence, me dit-elle. Et elle n'a pas tort. Alors je ne réagis pas réellement. Je réponds par politesse, plutôt qu'autre chose, légèrement gêné, légèrement embarrassé.

- Non, ça devrait aller. Je te fais confiance, tu as l'air de savoir en prendre soin correctement !

Lorsqu'elle semble être sur le point d'ôter son haut, une goutte de sueur commence à perler sur mon front. Putain, non, elle ne va quand même pas ... Noooooon ... ! Siiii ... ? Nooooon ! Siiii ? Oh putain, c'est pas possible, non ... Je me mords alors la lèvre, détournant nonchalamment mon regard, comme si de rien n'était, mais également, au cas où - tout simplement parce que me connaissant, je sais que je ne serais pas capable de me contrôler si elle essayait de me tenter de trop, et, à ce qu'on en dirait, les choses approchent de trop de mon point de non retour.

Puis, elle baisse ses bras à nouveau ... Et bien que nerveusement, je reporte mon regard sur son visage à nouveau, évitant au maximum de laisser mes yeux s'attarder sur ... D'autres parties de son anatomie ... Afin de lui envoyer un léger sourire. Nous nous remettons alors à discuter, comme si de rien n'était. Encore quelques secondes, et tout ce moment étrange et inattendu est entièrement oublié - ou presque. Elle me demande si je cherche des réponses. Moi, je réfléchis.

- Tu ne les cherches pas, toi ? Personne ne se connaît réellement, après tout. Certains passent parfois une vie entière à se trouver ... Et rares sont ceux qui semblent s'être trouver avant leurs décès. La conversation continue. Elle reparle alors de son corps, évidemment. On dirait qu'elle ne sait faire que ça. On dirait qu'elle n'a qu'une envie : celle que mon regard aille caresser ces courbes qu'il n'a qu'envie d'oublier afin de ne pas avoir à y penser. Celle que mes yeux s'arrêtent sur ces formes, sur ces cercles, bien dessinés, parfaitement bien dessinés ... Celle que je sois tenté, de tout mon être, au point de ne plus savoir me retenir.

Malheureusement pour elle, j'ai vu clair à travers son petit jeu, à présent ... Et je ne compte plus me laisser avoir aussi facilement. Je ne lui réponds donc pas, cette fois-ci. Je me contente de rire, légèrement, avant de soupirer.

Puis, je lui propose de changer d'air. Un café. Starbucks. Un café. Elle. Moi. Un café. Le désir, la désirer. Un café. Je ne sais pas ce qui a bien pu me posséder, ce qui me pousse à lui proposer une pareille idée, mais je lui propose de me suivre pour aller boire un putain de café. Et une fois que je me rends compte de l'étendue de ma connerie, je m'aperçois qu'il est également trop tard pour que nous puissions revenir en arrière.

Cette femme m'agace, cette femme me provoque, cette femme charmante me tente avec le plus cruel des démons - et bien que cela fait une bonne dizaine de minutes que j'essaie, tant bien que mal, presque en vain de lui résister, voilà que je lui propose de me suivre, uniquement pour aller boire un café. Je crois que je dois être masochiste, sur les bords. Il n'y a aucune autre explication possible !

Et pire que tout, voilà qu'elle me répond que ce serait avec plaisir. Merde. Double merde. Triple merde. Elle me déclare même que nous pouvons aller à celui situé non loin de là, près de l'entrée du parc ... Ou que nous pouvons aller plus loin, si j'ai envie de pouvoir profiter pleinement de sa présence encore un petit instant. Mais dans quoi est-ce que je me suis encore embarqué ? La regardant d'un regard ahuri, je lui demande alors :

- Tu me détestes au point de vouloir me faire marcher alors que je n'ai plus d'énergie à épargner ? Bon, je n'avais pas tant couru que cela, ce matin, c'est vrai. Mais elle n'a pas besoin de le savoir, non plus. Moi aussi, je peux jouer. Moi aussi, je peux avoir des secrets.

- Allons au plus proche, c'est plus censé. Je n'ai pas besoin de te faire marcher pour te retenir près de moi, après tout. Je lui adresse alors un clin d'oeil avant de me mettre à marcher en direction de l'entrée du parc. Il y a quelques années, j'en aurais profité pour lui donner une légère claque sur le cul, au passage. Heureusement que je suis maintenant un homme changé.
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Comment rendre fou un homme? Allez voir Dixie, elle saura vous guider. Tu sais que lorsque tu provoques, tu dois t'attendre à toutes sortes de réactions. Au fil du temps, tu as réussi à observer, analyser, comprendre le regard, les gestes impulsifs ou stressés, la gêne, l'embarras de ceux à qui tu réserves le sort de ton jeu mesquin. Quel délice. Surtout de voir ce même homme qui t'as fait l'amour férocement, sauvagement dans le passé ; ce même homme aujourd'hui différent, qui bavait presque devant toi. Difficile de ne pas le remarquer. Ça t'amusait. Ça t'intriguait, aussi, ses réactions. Ça te flattait. Tu restes toutefois bien déçue qu'il ne tente pas de t'approcher pour te provoquer à son tour. Enfin, à quoi aurais-tu dû t'attendre? Vous avez changé, hein.. Chacun de votre côté. "Tu as bien raison. J'en prends soin." En faisant du sport. Et... du sport de lit. Il t'en avais fait voir de toutes les couleurs, lors de tes dix-neuf ans. Un très bel homme qui avait su s'occuper d'une femme comme il se doit de le faire. Vous parlez alors d'autre chose, ce qui te change les idées sur ce qui n'est pas très sain de te passer par la tête. Malgré tout, tu es une femme ; il n'y a pas que les hommes qui puissent avoir des idées et une imagination malsaine, par moments. Tu ne les cherches pas, toi ? Les réponses? Tu les cherches, sans jamais les trouver. Du moins, tu crois les avoir trouvées, mais tu ne les attrapes pas. Tu ne les saisis pas, et c'est ainsi que tu crois constamment nager dans le vide, le néant total. Tu flottes, tu galères dans la vie, peut-être est-ce pour cette raison. Et si tu trouvais les réponses à tes questions? Serait-ce différent? Serais-tu différente, aujourd'hui? "Toujours..", réponds-tu simplement, dans un murmure discret, mystérieux. Jonas ne te réponds pas, à ta dernière remarque. Ton sourire se perd un instant, tes yeux le fixent, puis se perdent derrière lui, dans le paysage enneigé. Tu as été au Canada, comme un peu tous les étudiants, lors du voyage, et les montagnes de neige ne sont pas comparables à là-bas. Tu soupires, retrouvant son regard qui, pour dire vrai, t'attire dans ses profondeurs, des ses mystères que tu chercherais bien, que tu voudrais bien découvrir. Tu me détestes au point de vouloir me faire marcher alors que je n'ai plus d'énergie à épargner ? Tu te mords la lèvre inférieure, te passant la langue à la surface pour les humecter, puis tu penches la tête sur ton épaule, l'observant un instant, en silence. "Eh bien.. je suis certaine qu'il te reste toujours un peu d'énergie à sacrifier pour une jolie fille, pas vrai?" C'est toi que tu caractérises de jolie fille? C'est vrai que tu n'es pas bien laide. Même plutôt jolie, en fait. Tu t'entretiens en faisant du sport, tu prends soin de ta peau, de ton apparence physique, ce que tu trouves plutôt important pour une bonne santé. Allons au plus proche, c'est plus censé. Je n'ai pas besoin de te faire marcher pour te retenir près de moi, après tout. Tu fronces les sourcils un moment, finissant par sourire, les lèvres étirées de coin à coin, un sourire tout simple mais ravissant. Tu t'approches de lui pour commencer à marcher dans la direction du Starbucks le plus près. "Non, c'est vrai. Après tout... on a déjà été bien plus proches que ça l'un de l'autre, pas vrai?", lui dis-tu en faisant un clin d'oeil coquin, malicieux. C'est vrai. Vous avez été bien plus proches. Bien plus déshabillés, aussi. Plus proches, c'est le cas de le dire : il a été en toi. Ce qui, bien que tu ne te souviennes plus des sensations - ça fait tout de même autour de cinq ans, fut très plaisant. Trèeees plaisant. "Ça m'arrange en fait, j'commençais à avoir froid. J'vais prendre un truc chaud, ça devrait l'faire. Un latte.. Tu vas prendre quoi, dis-moi?", demandes-tu pour faire la conversation, jusqu'au Starbucks.
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Lorsqu'elle me répond que les réponses, elle les cherche toujours, un sourire fin, presque imperceptible se dessine lentement sur mes lèvres. Toujours ... Oui, moi aussi, je les chercherai toujours, les réponses. Probablement parce que maintenant ... Maintenant, je sais que je risque de ne jamais les trouver. Nous nous décidons alors à aller au Starbuck's ensemble. Histoire de pouvoir boire un verre ... Un café. Histoire de pouvoir rattraper le temps perdu. Les années folles, passées. Oubliées. Un sourire se dessine sur mes lèvres, malgré moi. Tout simplement parce que ça ... Ça, c'est une idée qui me plaît. Et pas qu'un peu.

Revoir Dixie, ici et aujourd'hui a été pour moi un véritable bol d'air. Cela me fait plaisir de pouvoir me réconcilier avec une part de mon passée pourtant jusqu'à présent oubliée. Je sais que c'était il y a longtemps, à une époque où je n'étais pas vraiment l'homme que je suis à présent - mais je suis content de pouvoir lui montrer celui que je suis devenu, depuis. L'homme ayant succédé au gamin inconscient que j'étais alors, le jour de notre première rencontre. Dixie me déclare d'un ton espiègle qu'elle est persuadée qu'il me reste toujours "un peu d'énergie à sacrifier pour une jolie fille". Si je souris, j'hésite quant à ce que je pourrais lui répondre. Devrais-je lui déclarer qu'elle n'est pas une jolie fille, comme je l'aurais probablement fait lorsque j'avais dix-neuf ans ? Ou devrais-je plutôt lui proposer de sacrifier son énergie avec moi autrement comme je l'aurais probablement fait il n'y a même pas quatre ans ? Que de questions ...

Lorsque finalement je me décide à lui répondre, ce que je dis a bien moins de saveur que la multitude d'idées s'étant jusqu'alors propulsée dans mes pensées.

- Probablement, oui.

Puis, je souris, d'un air mystérieux. Ah, Dixie ... Si tu savais. Elle me déclare que nous pouvons donc aller au Starbucks le plus proche parce qu'elle saura bien me retenir près d'elle sans avoir à utiliser la distance comme prétexte. Mes yeux se roulent vers le ciel. J'ai du mal à réellement comprendre son jeu. Cherche-t-elle à recréer cette nuit que nous avions partagée il y a tant d'années ou à se venger du fait qu'il n'y ait jamais réellement eu de suite à ce moment unique et isolé dans le temps ? Quoi qu'il en soit, elle sera probablement bien rapidement déçue. Je ne suis plus le même homme. Je croyais pourtant bien le lui avoir fait comprendre ...

Amy serait fière.

Dixie me demande de lui confirmer ce qu'elle même sait pourtant déjà. Évidemment que noius avions déjà été bien plus proches que cela. Un simple Mmmh s'échappe alors de mes lèvres en guise de "oui". Puis, nous continuons de marcher. Elle me dit avoir froid, et sans réfléchir, voilà que j'ôte mon sweat avant de le lui tendre, presque machinalement.

- Désolé, ça sent probablement le fauve mais je ne peux pas te proposer mieux ... Je lui souris alors avant d'enchaîner avec la consommation que je compte prendre, moi, une fois que nous serons arrivés.

- Pour être honnête, je n'aime pas prévoir les choses. Je verrai une fois que nous serons arrivés.

Notre marche continue, ponctuée par d'autres questions basiques accompagnées de leurs réponses toutes aussi simples. Puis, enfin, la porte d'entrée du café se fait apparente et c'est sans hésiter que je me précipite vers elle afin de l'ouvrir et de faire une petite révérence.

- Après toi, princesse.

Je ne peux pas m'empêcher de sourire. Je sais que je suis risible à jouer les princes charmants, mais une partie de moi espère que ça l'amusera, malgré tout. Parce que j'ai envie de lui plaire, et j'ai envie de lui plaire en étant ce nouveau "moi".
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Avec les années, tu te rends compte que tu n'as jamais réellement été la fille que les autres apprécient pour ce que tu es. On ne voit chez toi que le superflu, seulement la couverture, et depuis toujours, tu t'es forgé une carapace pour ne pas à souffrir de cela. Mine de rien, tu es une jeune femme qui a, depuis ta plus tendre enfance, toujours eu besoin d'être entourée d'amour et d'en donner aux autres. Mais comment, si c'est pour se faire rejeter à la suite? Peut-être est-ce ce qui explique ton état d'esprit depuis des années, ton mode de vie tout nouveau, lorsque tu as posé pied à Cambridge. Tu espères trouver les réponses à ces nombreuses désastreuses relations amoureuses. Tu espères trouver les réponses à toute cette haine envers toi. Blue-Ivy, Calypso qui, tu en es presque certaine, se battent la place pour savoir qui te hait le plus. Tu marchais aux côtés de Joe depuis un moment déjà, respirant l'air frais de l'extérieur, comme s'il te permettait de t'évader loin, loin du monde, loin de tout, et ça t'apaisait. Il t'en fallait peu pour te sentir bien. La fraîcheur d'une journée pas trop froide d'hiver, et un café en bonne compagnie, faisait partie de ces simplicités auxquelles tu ne refuserait jamais de goûter. Probablement, oui. Tes yeux se tournent vers sa silhouette, que tu analyses un moment. Il te semble détendu, très détendu. Ses yeux ne ressemblent pas à ceux d'un dangereux félin qui n'attend que le bon moment pour sauter sur sa proie. Peut-être ramènes-tu trop les choses à votre courte relation, purement physique, passée, alors que tu devrais te concentrer sur le présent, comme il semble le faire, lui. Tu te mords l'intérieur de la joue en réfléchissant à cette possibilité que tu devrais considérer sérieusement. Mmmh Monosyllabe nébuleuse qui t'arrache un sourire. Désolé, ça sent probablement le fauve mais je ne peux pas te proposer mieux ... Tu fronces les sourcils en attrapant le sweat qu'il te tend. Tu le poses sur tes épaules, haussant celles-ci au passage. "Ça sent l'homme, c'est tout.", fais-tu en riant. Dans leur puanteur, les hommes ont toujours une petite odeur qui rend dingue n'importe quelle femme. Sauf leur mère. Durant ton enfance, tes frères revenaient souvent de leur entraînement en fin de soirée, et ta mère se plaisait régulièrement à se plaindre de l'odeur qu'ils dégageaient en revenant. Elle les envoyait prendre directement une douche, alors qu'elle s'affairait à projeter du sent-bon partout dans la maison. Pour être honnête, je n'aime pas prévoir les choses. Je verrai une fois que nous serons arrivés. Sourire amusé accroché sur les lèvres, tu te dis que ce n'est qu'une boisson, après tout. Tant pis, il décidera à l'intérieur, tu cherchais à faire un peu de conversation, en réalité. Joe s'éloigne précipitamment de toi, lorsque vous arrivez tout prêt de votre destination, de sorte à t'ouvrir et te tenir la porte. Après toi, princesse. Tu rougis à la remarque, alors que tu entres, jetant un regard par-dessus ton épaule pour t'assurer qu'il te suit bien. "Gentleman?", lui fais-tu remarquer, lorsqu'il parvient de nouveau à ta hauteur. Tu poses tes yeux sur le menu pour fuir son regard, bien que tu saches ce que tu veux commander, déjà. "J'te paie le Starbuck.", lui dis-tu, te mordillant la lèvre inférieure alors que tu te diriges vers la caisse pour passer ta commande. C'est que.. tu veux être gentille, et ne pas avoir l'impression que tu es la fille de l'histoire, celle qui ne fait jamais rien, la nunuche qui ne veut être appréciée d'un homme que pour survivre. Tu as changé, toi aussi.
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