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[ FREE] Une forte envie d'un compagnon

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Wendy Ҩ ...
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Je venais de me réveiller, nous étions samedi et je n'avais pas réussit à rester au lit..Je ne sais pas pourquoi, je devrais en profiter pour dormir plus longtemps mais je n'y parviens jamais...Soit, je venais de me lever et je me dirigeai vers ma douche. Je fis couler l'eau et entrai rapidement à l'intérieur. Je sortis alors quelques minutes plus tard. Je regardai dehors, il faisait beau aujourd'hui et c'était une occasion pour sortir un peu. Je décidai donc d'enfiler un panta court noir Kaporal, ainsi qu'un débardeur blanc. C'est clair cet après-midi j'allais sortir pour prendre l'air.

Après avoir regarder la télé toute la matinée, je n'avais pas vu le temps passé et il était 13h45, l'après-midi commençait enfin..Je me décidai alors à partir, je mis alors dans mon sac un sandwich et je sortis de chez moi.. Au bout de quelques minutes à marcher dans les rues de Cambridge j'arrivais vers l'Harvard Square, je vis le refuge pour les animaux juste en face de moi..En voyant un petit chien trop mignon, je décidai d'y aller. Malheureusement, je ne pouvais pas acheter un petit chien, car je ne pense pas que la maison des Dunster accepte les animaux, ce qui était bien dommage..Tant pis, quand j'aurais mon appartement je prendrai un animal..

Une voix féminine s'adressa à moi, elle me proposait de m'occuper de sortir l'un des chiens du refuge, car j'avais l'air d'apprecier, ce petit animal. Je lui lançai alors un grand sourire et accepta sa proposition avec plaisir. Elle me confia le chien ainsi que sa laisse et je partis le sortir, près d'un parc. Un grand parc d'ailleurs, que je n'avais encore jamais vu.








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J’avais peut être trouvée la solution à mes problèmes : avoir un animal de compagnie. Je me sentais terriblement seul dans mon petit appartement, j’allais travailler tous les jours dans le cabinet de photographie d’une amie à moi qui m’avait proposée d’être son assistante, le temps que j’économise assez d’argent pour m’inscrire à Harvard l’année prochaine en section photographie. J’avais juste hâte d’aller étudier là-bas, de faire des nouvelles rencontres. Je n’avais pas tellement l’habitude d’être entourée de gens : en même temps, j’avais passé mon enfance et mon adolescence séquestrée chez moi par mes parents adoptifs, et si je n’avais pas réussi à m’enfuir, je serais encore là-bas aujourd’hui. Rien qu’à cette pensée, un frisson me parcourait le corps tout entier. Oui, un chien. J’avais besoin d’un chien, qui pourrait me défendre et je me sentirais beaucoup moins insécure avec un chien avec moi la nuit. C’était décidé : j’allais adopter un chien ! Je travaillais toute la journée, me demandant quel genre de chien j’allais bien pouvoir prendre : gros, petit ? Je préférais les bons gros chiens, avec eux, c’était certain que je me sentirais en sécurité et beaucoup moins seule dans cet appartement où je passais le plus clair de mon temps lorsque je n’étais pas à mon travail. Pendant ma pause déjeunée, à treize heures, j’allais m’acheter un petit sandwich à manger rapidement ; j’avais deux heures de libre devant moi, et je me dirigeais vers Harvard Square où j’avais déjà repérée un refuge pour animaux.

L’intérieur était immense, et il y avait pour tous les goûts : chiens, chats, oiseaux, lapins, poissons. Un très large choix, c’était certain, mais j’étais déjà décidée, et je voulais un chien, rien d’autre. Petite, j’avais suppliée ma mère adoptive de nous en offrir un, à ma sœur et moi, mais elle avait toujours été catégorique : pas d’animaux chez elle. Et puis, il fallait le sortir, ce chien, et comme ma sœur et moi n’avions pas le droit de mettre le nez dehors, sauf dans notre jardin et ce, à des heures bien précises, et bien, c’était cuit. Je me dirigeais vers le rayon des chiens, regardant chacune de ses petites bestioles une par une. Je remarquais un petit parc derrière la boutique, où on pouvait encore voir certains animaux qui prenaient l’air. Je décidais d’aller y faire un tour, regardant autour de moi. J’avais toujours cet air de gamine qui découvrait la vie sur mon visage quand j’étais dehors, mais ça n’était pas qu’un air : je découvrais la vie, après avoir été enfermée et mal traitée jusque mes dix-huit ans par ceux qui s’aimaient à se dire être mes parents. Je ne fis tellement pas attention à où je marchais, que je finis par percuter quelqu’un. Ma maladresse allait finir par devenir légendaire. « Pardon », murmurais-je en regardant la jeune femme brune que je venais de bousculer. Je sentais mes joues rougir, gênée et je baissais le regard pour voir le chien qu’elle était en train de promener du bout de sa laisse. « Il est magnifique ! », lançais-je en me mettant à croupie pour pouvoir le caresser. Je levais le visage vers la jeune fille, « Il est à vous ? » Je m’étonnais moi-même d’avoir osée lui adresser la parole et de ne pas être partie en courant, morte de honte de l’avoir bousculée. Bien, tu fais des progrès ma petite Maya !
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Wendy Ҩ ...
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Et dire que je n'avais pas prévu de promener l'un des chiens de ce refuge, cela m'amusait. J'aimais les animaux, je pourrais m'en occuper non stop. Mes parents étaient eux aussi fan des bètes, c'était de famille et je ne pourrais pas vivre sans eux..bien que je n'ai pas d'animaux, mais maintenant que je suis ici...j'ai envie d'en adopter un. Bref, j'étais toujours en train de promener le chien, lorsque je me sentis percuter par quelqu'un, tenant bien sur mes jambes, je n'étais pas tombé, malgré le chien qui tirait sur sa laisse..Je regardai alors la personne, elle s'excusa c'était une jeune femme. Je vis qu'elle était gênée, je lui souris alors et lui que ce n'était pas grave. Elle me dit alors qu'il était magnifique, je compris qu'elle parlait du chien que j'étais en train de promener, elle continua sur sa lançée en me demandant si c'était le mien. Je souris alors et lui répondit

Non non, ce n'est pas le mien, en fait, je venais me promener par ici et c'est la responsable du refuge qui m'a demandé si ca me disait de promener ce chien, et j'ai acceptée







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