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Jacey ► And i still don't know why.. Why i love you so much ?

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w/ Jacey :heaart:  

J'avais fait pas mal d'erreurs dans ma vie que je commençais à regretter, petit à petit, mais celle que je regrettais vraiment actuellement, c'était d'avoir rompu avec Jacey et puis, surtout la façon dont j'avais rompu. Je ne l'avais pas laissé en placer une pour se défendre et quand il trouvait l'opportunité de le faire, il le faisait d'une façon tellement... médiocre. Je lui avais finalement tourné le dos pour aller picoler avec ma meilleure amie, mais je ne m'étais pas arrêtée à ça. J'avais bien trop de fierté en moi et de colère envers lui pour le laisser tranquille alors j'étais allé le retrouver. Il était avec ma colocataire Oriana et j'avais fait en sorte qu'ils comprennent tout les deux que tout ça n'était pas terminé. Que je n'avais plus du tout confiance en lui après ce qu'il m'avait fait et que j'étais persuadée qu'il allait se la taper, comme il avait pu se taper Grace. Enfin bon, il ne l'avait pas fait, mais je le croyais à ce moment là. J'avais même insulté Oriana de Salope de Toronto. Jacey m'avait foutu à l'eau et moi, j'avais sauté sur son dos avant de le mordre aussi fort que je le pouvais. J'étais allé tellement loin. Mais le lendemain, je ne m'étais souvenue de rien. Absolument rien du tout. J'avais physiquement et mentalement blessé celui que j'aimais et je ne me souvenais de rien. Jusqu'à aujourd'hui, assise sur mon lit. Nous étions de retour à Cambridge, je me trouvais dans ma chambre à la résidence des Mather et je n'avais pas revue Oriana depuis tout ça. Depuis notre retour dans notre chez nous.  J'espérai qu'elle ne m'en voudrait pas et qu'elle comptait revenir bientôt. J'étais allé tellement loin, je lui avais sûrement fait du mal à elle aussi, après tout ce qu'elle m'avait raconté à son sujet, j'avais osé l'appeler ainsi. C'était trop facile et gamin comme comportement. J'étais rongée par la culpabilité et les messages que m'envoyait à présent Jacey n'arrangeaient rien. J'étais allongée sur mon lit, telle une étoile de mer et je regardais mes messages sans grande envie, sans grande passion. Il me reprochait tout un tas de choses, comme d'avoir embrassé Konrad alors que ce n'était pas le cas, de ne pas le croire quand il disait ne pas avoir couché avec Grace, de ne pas l'avoir laissé en placer une, ce qui était vrai. La conversation, ou plutôt la énième dispute s'était terminée par un Je t'aime et un Je le jure sur tout ce que j'ai de plus cher, c'est à dire nous, ma soeur, mes parents, ma mère. J'avais encore un peu de mal à y croire et pourtant, c'est pas l'envie qui me manquait. Et il cherchait un moyen de se faire pardonner pour avoir vraiment mal agit envers moi. Je le voulais simplement à mes côtés, être dans ses bras et voir qu'il allait mieux que je n'allai. J'aimais cet homme et j'en étais à présent sûre. J'avais eu tellement peur en pensant que cette fois-ci, cette rupture serait la dernière. Et j'attendais son retour, je comptais chaque minute qui me séparait de lui. J'avais hâte de le revoir et de sauter dans ses bras.
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Il était passé près de la catastrophe. Ce voyage en Thaïlande avait été le pire de toute sa vie. Dormir à l’aéroport avait été une expérience qu’il ne réitèrerait plus jamais, ou du moins seulement dans les aéroports américains qui étaient tout de même plus rassurants que celui dans lequel il avait dormi en Thaïlande. Il n’avait cessé de penser à Jade, parce qu’elle lui avait vraiment fait peur sur la plage. Et il s’était rendu compte au combien il s’y était mal pris avec elle, il n’avait pas su gérer le conflit, et les choses avaient dégénéré. Pourtant, s’il était dirigé vers New-York pour se ressourcer auprès de ses parents, Leann et Martin, plutôt qu’à Cambridge, il n’avait pas renoncé à Jade. Il fallait qu’elle comprenne au combien il l’aimait. C’était difficile de lui faire comprendre qu’il tenait à elle alors qu’il n’avait pas fait le moindre pas dans cette direction depuis leur rupture. Mais Jacey se sentait mal. Parce que cette rupture avait mis en exergue son comportement insouciant. Le jeune Brooks craignait l’engagement, et ça transparaissait toujours plus. Il avait besoin de s’amuser à vingt-deux ans. Il n’avait pas envie de s’enchainer aux responsabilités trop grandes d’un couple aimant. C’était bête à dire, mais il ne pouvait s’empêcher d’agir de la sorte. La seule chose qui le retenait de faire pire, c’est véritablement l’amour qu’il portait à Jade. Celui-ci était arrivé sans crier gare, et l’avait étreint jusqu’à l’étouffement. Mais l’étouffement était grisant, et il n’avait aucune envie qu’elle fasse sa vie avec quelqu’un d’autre que lui. C’était paradoxal au fond, et il en était conscient, mais il arriverait bien un jour où il reviendrait à la raison. Pour un avocat il était sacrément bon menteur. En fait, il ne faisait que transformer la vérité, en jouant sur les mots, parce qu’il voulait la récupérer. Sans elle, la vie n’avait pas la même saveur pour lui. Alors il lui avait juré par message qu’il ne l’avait pas trompée, du moins avec Grace, c’est ce qu’il fallait comprendre entre les lignes. Et le fait de le jurer, lui avait permis d’avoir une chance de la récupérer. Il lui avait répété qu’il l’aimait, et ça par contre, c’était loin d’être un mensonge ou d’une réinterprétation de la vérité. Ses sentiments étaient véritables. Le jeune homme n’avait pas tergiversé. Cherchant à se rattraper, elle lui avait expressément demandé de lui revenir à Cambridge, et il n’avait pas hésité une seule seconde à solliciter son ami pilote de jet en lui donnant une large compensation, afin qu’il puisse le déposer à Harvard en moins de temps qu’il le faut pour le dire. Et puis, Jacey avait récupéré sa Porsche, roulant à une vitesse folle jusqu’à un fleuriste où il demanda la meilleure composition florale possible. Il allait lui prouver qu’elle ne regretterait pas le fait de lui laisser une chance d’arranger les choses. A New-York, il avait acheté une chaine avec un pendentif où il avait fait graver : 2J. Ils avaient la même initiale de prénom, il suffisait donc de multiplier par deux. Repartant de chez le fleuriste, il se hâte jusqu’au bâtiment des Mathers, jusqu’à la porte de la chambre qu’il connaissait par cœur, frappant doucement contre la porte, l’énorme bouquet de fleurs dans ses bras, il attendit qu’elle lui ouvre. Il avait hâte de la retrouver sa cannibale préférée.
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Le stress me gagnait lentement. Je me demandais s'il allait vraiment venir. Si le fait qu'il puisse être là en une heure et demi, alors qu'il se trouvait actuellement à New York n'était pas un mensonge de plus. Je doutais de lui. Il m'avait dit Je t'aime et je n'y avais pas répondu. Enfin si, mais à ma façon. En l'assénant de reproches, de questions. En lui demandant de me jurer qu'il n'y avait pas d'autres filles que moi dans sa vie. Et dans ma tête, tout sonnait faux. Depuis quand un mec qui trompe la femme avec qui il se trouve lui dit ouvertement Oui je te trompe, mais sache que je t'aime ? Sérieusement ? Je n'ai jamais entendu un seul homme dire ça. Et pourtant, je voulais croire en tout ce qu'il me disait. Il me manquait terriblement et j'avais besoin de lui à mes côtés pour aller mieux. J'avais perdue un bout de moi pendant ces quelques jours et ces vacances en Thaïlande n'avaient plus du tout la même signification sans lui. On était censé profiter de tout ça à deux, pour se retrouver et ne plus penser à notre vie à Cambridge et pourtant, elle nous avait suivi jusque là-bas. Je n'avais pas réussi à laisser ça sur le sol américain. Cambridge' Secrets avait une fois de plus frappé, mettant ma jalousie à rude épreuve. Je n'avais pas laissé Jacey s'expliquer, je ne voulais rien écouter. J'étais persuadée qu'il avait couché avec elle, qu'il le faisait depuis très longtemps et j'étais allée jusqu'à le mordre, jusqu'à le blesser pour qu'il ait autant mal que moi. Au final, je me disais que cette douleur, cette blessure n'avait servit à rien, car il n'avait rien fait. En gros, dans ma tête, c'était le gros bordel. Un bordel sans nom. Je lui en voulais toujours car j'avais des doutes, chose normal quand on sait que 95% de ce que dit CS est vrai et pourtant, après notre discussion, je me disais que notre couple faisait peut-être partie des 5% restants et qu'il ne m'avait pas mentit, qu'il n'avait rien fait et qu'il serait là très bientôt. J'avais hâte qu'il arrive. Hâte de le prendre dans mes bras, de sauter dans les siennes, de l'embrasser, de prendre possession de ses lèvres et de ne plus les lâcher, de voir son magnifique sourire mais surtout, de m'excuser pour la façon dont je m'étais comportée. Je ne suis pas du genre à m'énerver autant, à exploser ainsi en public, à sauter sur les gens ainsi. C'était pas moi, mais la simple idée de le savoir dans les bras d'une autre m'avait mise hors de moi et avait fait ressortir une Jade que je ne connaissais pas du tout, que je n'avais pas l'habitude d'être.
J'étais allongée sur mon lit, je regardais les minutes défiler. J'étais seule, aucune trace d'Oriana, aucun signe d'elle. Il y avait juste sa valise sur son lit. Elle était donc passée et avait filé aussi vite qu'elle était venue. J'entendis alors des coups à ma porte. J'espérai que se soit lui et non pas elle. Je me levais lentement, la boule au ventre et j'ouvrais la porte. Je soupirai de soulagement avant de passer une main derrière son cou afin d'approcher son visage du mien. Je l'embrassais fougueusement. J'avais envie de pleurer, d'hurler, de lui sauter dessus mais je me contenais. Je l'embrassais seulement. Il l'avait donc fait. Il avait quitté ses parents, New York et était revenu rapidement à Cambridge pour moi, pour me voir. Je mis fin au baiser au bout de quelques secondes, ayant quelque chose à lui dire. « Je t'aime et je suis vraiment, vraiment désolée ! ». Désolée de l'avoir mordue, de ne pas l'avoir laissé en placer une, de l'avoir insulté, d'avoir rompu. Désolée pour tout. La dernière fois que je lui avais dit que je l'aimais, j'avais rompu juste après. Là, c'était différent. Totalement différent.
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Jacey s’était préparé au pire. A une gifle, à une série de remontrances, à une froideur caractéristique suite à leur rupture, mais il ne s’était pas attendu à la véritable réaction de Jade. Il avait cru que ce serait tendu entre eux, même si elle lui avait fait comprendre qu’elle avait envie qu’il vienne, il n’avait prévu que lorsque qu’elle ouvrirait la porte, elle se hisserait jusqu’à lui en attrapant sa nuque et l’embrasser comme jamais, comme s’il était parti de longs mois, comme si leur rupture lui avait pesé comme si elle était définitive. Jacey réalisait que Jade ne pouvait aller contre ses sentiments, qu’ils étaient beaucoup trop forts pour qu’elle puisse les réprimer, et ça le toucha. Tenant le bouquet de son bras gauche, il saisit la taille de sa copine pour prolonger le baiser, et le faire durer jusqu’à ce que le souffle vienne à leur manquer. Et puis, elle se détacha pour répéter ces mots qu’elle lui avait dit si peu souvent, mais qui revenaient avec insistance ces derniers temps. Elle l’aimait, ça ne faisait aucun doute, et elle s’excusait de lui avoir fait subir une rupture, des blessures, ainsi que de lui foutre la honte devant la majeure partie d’Harvard, et Jacey acceptait ses excuses, non sans en garder un souvenir cuisant aussi bien sur son épaule que dans la tête. Cette rupture n’avait pas été comme toutes les autres, elle l’avait marqué et il avait été vexé d’une chose : il avait vu que la jeune femme préférait faire confiance à ses amis plutôt qu’à lui, et ça l’avait alarmé. Ca voulait dire qu’elle continuerait de se méfier inlassablement, et après avoir juré, il devrait donc être irréprochable. Ce qui lui posait problème. Jacey était sérieux dans son travail, mais dans sa relation c’était le chaos. Ce n’était pas viable pour elle ni pour lui. Si elle avait le malheur d’apprendre ce qui s‘était passé entre Silvia et lui, elle ne s’en remettrait pas, et Jacey n’avait aucune envie que ça se sache. D’autant plus que Silvia y avait mis un terme. Mais la relation non exclusive avait plutôt plu au jeune avocat qui n’avait pas vu sa relation comme sérieuse par la même occasion, même si Jade restait la femme qu’il aimait. Il était tellement compliqué comme gars qu’il en venait parfois à se détester, parce que le pire dans tout ça, c’est qu’il en était conscient. Là, tout contre Jade, il avait envie de lui dire la vérité exacte, mais il en était incapable. Il s’enfermait dans la dissimulation et se contentait d’enlacer sa copine, soulagé de la retrouver, parce que c’était bel et bien le cas. « Je t’ai porté des fleurs. » Dit-il en relâchant son étreinte. Et puis, au milieu du bouquet, il y avait cette petite boite en velours qui contenait le petit pendentif et une chaîne en or blanc. Rien n’était trop beau pour elle, il pouvait la couvrir de cadeaux pour lui démontrer son amour, mais il ne parvenait pas à se comporter ainsi tout le temps. Quel idiot ! Jacey chassa toutes ses idées noires et tendit le bouquet de fleurs à la ravissante Jade qui même contrariée était toujours la plus belle à ses yeux. Il était venu de New-York pour elle, pour lui montrer qu’elle était la personne la plus importante à ses yeux, malgré son complexe face aux relations sérieuses, malgré ses doutes, malgré lui, tout simplement. Il comptait passer une bonne soirée et oublier les prises de tête.
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Pourquoi j'avais l'impression que plus rien ne serait jamais comme avant en ouvrant la porte ? De mon côté, même si je ne le voulais pas forcément, j'aurai énormément de mal à lui faire confiance. Toute cette histoire sentait affreusement mauvais. C'était tendu et au moindre faux pas de sa part ou de ma part, ça allait mal finir, partir en sucette. Ces derniers temps, notre histoire de couple ne tenait qu'à un fil. Il m'avait fait mal sentimentalement et je lui avais rendu la pareille mais physiquement, en le mordant aussi fort que possible à l'épaule, mais je m'en voulais. J'étais pas dans mon état normal à ce moment là. J'étais même, complètement soûle. Je ne me souvenais pas de tout ce que j'avais fait mais je me souvenais bien de ce moment-là. Il m'avait jetée à l'eau et je pense que c'était ce qui avait fait ressortir ma colère. Mais je le voulais quand même à mes côtés parce que je me sentais terriblement seule sans lui. Il me manquait une grande partie de moi, ma moitié, mon homme. J'avais pas enfin réussi à lui dire que je l'aimais pour au final le laisser filer comme ça et par ma faute en plus de ça. Je lui avais sauté dessus, l'embrassant amoureusement pendant de très longues secondes et intérieurement, je priais pour que cet instant ne s'arrête jamais car on était si bien l'un contre l'autre. Mais il y avait mis fin, me montrant le bouquet qu'il avait en main et que je n'avais même pas remarqué. Il était voyant et magnifique, mais j'étais tellement heureuse de le retrouver que je n'y avais pas fait attention. Et dire que je voulais rompre avec lui. Je savais à présent que c'était une tâche beaucoup trop difficile et douloureuse pour moi et que j'y arrivais pas sans lui. Je pris le bouquet qu'il me tendait, m'approchant pour respirer son odeur et en y regardant de plus près, j'y découvrais une petite boîte au centre. Je pris la boîte, plaçant ensuite le bouquet entre mon bras et mon avant-bras afin qu'il ne tombe pas et j'ouvrais la boîte. Je restais quelques instants figée sur le pendentif. Je passais lentement mon index dessus. Ce pendentif voulait absolument tout dire et puis, il était tellement beau. J'avais des étoiles pleins les yeux, ou alors c'était des larmes. Mais j'étais émue en tout cas. Je relevais la tête vers Jacey, l'embrassant tendrement. « Il est magnifique mon coeur ! ». Je déposais un nouveaux baisers sur ses lèvres. « Merci... ». Je ne savais pas quoi lui dire d'autre. Sincèrement, j'avais envie de pleurer. Je pleurais beaucoup trop en ce moment. J'étais vraiment à fleur de peau. Je lui tendais la boîte. « Tu me le mets s'il te plaît ? ». Je serrai le bouquet contre moi, comme si c'était un ours en peluche. Je me retenais de verser ma larme, voire même plus que ça. Il avait vraiment fait le trajet de New-York à Cambridge rien que pour me prouver qu'il m'aimait réellement, qu'il tenait à moi et surtout pour me prouver qu'il n'avait rien fait et qu'il n'y avait que moi dans sa vie. C'était bien le premier homme à faire une telle chose pour moi. J'étais vraiment amoureuse et je savais que je ne supporterai plus de le voir partir. S'en était fini des ruptures, des disputes, j'en pouvais plus. C'était vraiment terminé.
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Le bouquet entre les mains, Jade resplendissait. Pour Jacey, le tableau était parfait. Il aurait voulu immortaliser ce moment avec un appareil photo, mais il s’abstint, parce que ce n’était pas le moment de sortir son téléphone. Ce n’était pas le moment de se comporter comme si rien ne s’était passé. Tout ce qui lui importait, c’était de la récupérer. Il avait mis le paquet sur sa venue, en emmerdant tout son monde à New York comme à Cambridge. En abandonnant ses parents pour elle, mais ils savaient au combien elle était importante pour lui. Il n’en parlait pas beaucoup, il préférait conter au combien il était doué en droit et comme il avait si bien contribué dans la dernière affaire du cabinet dans lequel il était embauché comme stagiaire. Parce qu’il voulait rendre sa famille fière de lui. Jade, c’était sa fierté à lui : elle valait plus qu’une affaire importante, et il se félicitait chaque jour d’avoir réussi à conquérir son cœur, alors croyez-le, la perdre n’était pas une chose aisée pour lui. Il préférait perdre du crédit en tant qu’avocat plutôt que de la laisser filer au profit d’un connard plein de muscles qui n’aurait aucune complicité avec elle. Jacey, il avait l’impression de lire en Jade comme dans un livre ouvert, et pourtant, il s’était rendu compte que des choses lui avaient échappé dernièrement. Elle n’apparaissait plus aussi limpide que de l’eau de roche, et pourtant, à en juger ses réactions, elle ne devait pas lui cacher grand-chose. Il y avait cette histoire avec Konrad qui lui posait problème, mais il ne s’agissait apparemment pas de ce qu’il croyait. Konrad ayant été odieux avec Aaliyah, elle avait juste souhaité se venger, mais il aurait aimé qu’elle use d’une autre manière. Le bouquet de fleurs renfermait une petite boite qui fit son petit effet lorsqu’elle s’ouvrit sur une chaine et son pendentif. Jade ne pouvait s’empêcher de reprendre possession de ses lèvres entre chaque exclamation de joie, et ça fit sourire le jeune new yorkais qui ne disait rien, laissant la jeune femme apprécier sa petite surprise. Ce pendentif, il pouvait sceller leur relation à jamais, c’était là le message qu’il voulait lui transmettre. Que tant qu’elle associerait son prénom au sien, leur amour perdurerait. Elle lui demanda ensuite de lui mettre le collier, et Jacey acquiesça, se plaçant dans son dos, la petite chaine fine entre ses doigts. Il fit glisser la chevelure de la demoiselle le long d’une de ses épaules, pour dévoiler sa nuque. Il passa les bras devant Jade, de part et d’autre de son visage, pour lentement amener le collier et le pendentif à se poser sur sa peau nacrée, et il vint refermer le fermoir sur sa nuque, soufflant contre sa joue : « Il te va à merveille. » 2J. Jade&Jacey. Ces prénoms devraient être indissociables. Ils s’étaient trouvés, perdus, puis retrouvés, il ne voulait plus que leur couple se déchire, pas à cause des autres, ni à cause de lui. L’amour quand on le blesse, il devient un puissant sentiment de haine, et il refusait de stimuler cette colère démultipliée chez elle. Toujours dans son dos, Jacey enlaça la Mather au niveau de la taille, la serrant contre lui, posant sa tête sur son épaule, glissant des petits baisers au creux de son cou. La Thaïlande, il voulait l’oublier à jamais. Stoppant ses petits baisers au niveau de son épaule, il fit pivoter la belle française pour la retrouver face à lui, et lui demander dans un murmure : « Tu me pardonnes, amour ? » Ne voulait-elle pas tirer un trait sur cet épisode de leur vie ? Ne voulait-elle pas lui faire oublier la plaie qu’il avait sur son épaule et qui lui brûlait la peau au point d’atteindre son cœur également ? Il était temps de passer à autre chose, de reprendre le cours de leur vie. Mais peut-on oublier un événement qui vous aura meurtri profondément ? Cela reste à voir.
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Il m'arrivait de me demander si notre relation était vraiment saine. Les premiers jours, les premiers mois, tout se passait à merveille. La découverte des sentiments. Savoir qu'on est aimée mais que l'on arrive également à aimer de nouveau, c'est tout simplement magique. Je me suis dit plusieurs fois qu'il serait peut-être mieux que l'on vive chacun notre vie séparément, mais je n'étais jamais allé au bout de cette idée. Jusqu'à ce 6 Décembre. J'avais mis un terme à nous deux. A mes yeux, il était allé tellement loin. J'aurai pu m'arrêter là et me dire que ça y est, l'occasion de ne plus nous faire souffrir l'un l'autre, d'arrêter ces ruptures à répétition était sans doute arrivée, mais non. Au plus profond de moi, je le savais. Je l'aimais plus que tout. C'était l'homme de ma vie, mon meilleur ami, mon confident, celui que j'aimais emmerder et surtout celui m'acceptait telle que j'étais. Une vraie emmerdeuse, chieuse, râleuse et amoureuse. J'étais vraiment bien avec lui et le savoir loin de moi ne me réjouissais pas vraiment. Voire, pas du tout. Si on se souvient bien de mon état en Thaïlande, ouais je m'en souviens pas tellement moi, j'étais quand même pas mal soûle et ce, tout au long du séjour. Mais revenons-en à nous deux. A cet instant où ses mains se effleuraient ma nuque, ramenant lentement mes cheveux sur l'une de mes épaules. Il me mit le collier et mon regard se posa sur le pendentif. Je l'adorai vraiment et je ne comptais plus l'enlever. « Je l'enlèverai plus, il se douchera avec moi ! ». L'instant parfait après ça. Le silence, moi dans ses bras, des baisers au creux de mon cou, des frissons dans tout le corps. Je n'aurai jamais pensé que ça se passerait comme ça. J'étais tellement énervée contre lui au départ. Je lui en voulais tellement de m'avoir trahit, de m'avoir fait autant de mal. J'avais l'impression de ne pas être assez bien pour lui. Je ne voyais pas d'autre raison au fait qu'il aille voir ailleurs. Comme on dit, Si tu n'as pas ce qu'il te faut chez toi, va le chercher ailleurs. Je me disais au départ que je n'étais pas assez bien pour lui, que je n'en valais pas du tout la peine. Mais au final, il n'avait rien fait. Et pourtant, ces phrases me revenaient sans cesse en tête. Mais je n'y pensais plus actuellement. Je pensais plutôt à la question qu'il venait de me poser, tout en me faisant pivoter lentement afin que je me retrouve face à lui. Je regardais son épaule. Bien qu'elle soit couverte, j'arrivais à m'imaginer la plaie... « Il n'y a rien à pardonner bébé ! ». Enfin si, c'était à lui de pardonner le comportement que j'avais eu en apprenant la nouvelle. Je posa ma main sur son épaule, retenant mes larmes. Il n'était pas question que je pleure. Je le regardais dans les yeux, déposant un doux baiser sur ses lèvres avant d'ajouter, « J'avais... un peu trop forcé sur la vodka ! Je... Je... ». Fallait peut-être que j'arrive enfin à aller au bout de ma phrase. Mais m'excuser, reconnaître mes tords, c'est pas tellement mon truc. Seulement, pour l'homme de ma vie, il fallait que je fasse des efforts et surtout, que je prenne sur moi. « Je voulais vraiment pas te faire de mal ! ». Même si j'avais dis le contraire. Plus je me souvenais de cette journée et plus je culpabilisais. J'aurai préféré ne plus souvenir de ce voyage qui avait été cauchemardesque à mes yeux. Au final, j'y étais allé avec mes amies, mais j'étais restée seule tant j'étais mal.
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« C’est fait pour, au cas où tu ne te souviennes pas que c’est avec moi que tu les prends tes douches ! » Il rit, il était fier de sa blague. Il se sentait mieux. De savoir qu’elle appréciait ses cadeaux et qu’elle s’exclamait de cette façon, ça le rassurait. Le jeune Brooks craignait que ça se passe autrement. Qu’elle décide de reparler de cet épisode avec Grace où il avait peut-être déconné, mais où il ne s’était rien passé. Il ne lui avouerait pas qu’il avait fumé avec Grace, qu’il avait demandé des choses improbables et qu’il aurait pu craquer plus d’une fois, parce qu’il souhaitait que tout ça soit derrière lui. L’avocat n’était pas exempt de tous reproches, d’ailleurs s’il n’avait rien fait avec Grace, il avait commis d’autres péchés, et si d’une part il s’en voulait, de l’autre, il se disait que sans ça, Jade et lui ça aurait pu exploser depuis longtemps. Jade était sa relation la plus sérieuse : deux ans, ce n’était pas rien, et même si en enlevant les ruptures on ramenait le tout à environ un an ou un an et demi, ça faisait bien deux ans qu’ils se fréquentaient, qu’ils se supportaient et surtout qu’ils se déchiraient. La puissance des sentiments ne s’explique pas. Jacey le savait, avec Jade c’était fait pour durer, parce qu’elle était son équilibre, elle était la réponse à tous ses maux. Mais à l’heure actuelle, l’homme ne se sent pas prêt à rentrer dans la vie d’adulte. Il y est pourtant bien entré à son entrée à l’université. Mais ce n’était pas la même chose pour lui. Parce qu’on peut être immature dans sa tête à 30 ans, alors que se mettre en couple avec la femme qu’on aime c’est lui rester fidèle pour l’éternité, c’est faire des sacrifices pour elle, c’est adapter son mode de vie à elle, et changer sa manière de faire. Le problème pour Jacey, c’est qu’il avait passé sa vie à se comporter comme un adulte, à devoir affronter des choses qu’un enfant ne devrait pas avoir à subir. Et maintenant, il voulait profiter. Il ne voulait pas que sa relation avec Jade lui enlève ses moments d’amusement idiots, il ne voulait pas qu’elle se mette dans tous ses états quand il jouait au cap ou pas cap avec Grace, il ne voulait pas qu’elle ait honte lorsqu’il se tourne en ridicule pour décompresser et pour quitter ce sérieux qu’il adopte au travail et sur les bancs de la faculté. En fait, elle paie un peu pour les autres. Cette relation, il ne l’a pas vue venir. Parce que s’il avait eu le temps de s’y préparer, il lui aurait probablement demandé de fonctionner à la manière des sex friends, car aucune règle ne les régissait, et il se serait moins mis la pression. Mais paradoxalement, se mettre en couple avec elle, c’était aussi prévenir : montrer à tous que leur histoire est sérieuse c’est aussi refouler tous les prétendants qui attendent devant sa porte. Mais la dernière rupture a commencé à faire émerger un sentiment nouveau : celui de la culpabilité. Jusqu’à aujourd’hui, il avait fait en sorte de la ménager, de ne pas la blesser. Mais depuis la Thaïlande, les choses avaient changé. Il l’avait vue souffrir, il avait compris à quel point elle l’aimait, à quel point de croire en ses infidélités lui avait fait du mal, et il craignait maintenant de lui dire la vérité. Il ne savait donc plus comment agir : est-ce qu’il devait se comporter comme le gendre parfait pour lui faire oublier tout ça en espérant que sa relation avec Silvia ne soit pas révélée au grand jour ? Ou devait-il chercher à prendre du recul, pour finalement faire le choix de se lancer dans la relation exclusive qu’il rechignait à saisir ? Il avait choisi de récupérer Jade parce que sans elle, son monde s’écroulait. Mais contrairement à ce qu’elle pensait, il y avait tant à lui pardonner. Peut-être qu’un jour il pourrait lui dire la vérité et qu’elle comprendrait qu’il n’avait pas souhaité gâcher ce qu’ils avaient, mais qu’il avait eu peur des proportions que ça prenait. La main de Jade vint se poser sur son épaule, et la main de Jacey vint se poser par-dessus, regardant cette femme sublime mais émue de cette façon qu’il avait de lui dire que ça n’était pas important. « C’est déjà oublié. » La marque restait, et la douleur avait été sacrément vivace, mais elle lui avait fait comprendre que la passion qui animait Jade n’avait pas d’égale. Et puis, les lèvres de la belle française vinrent trouver les siennes, elle essayait de se justifier, et Jacey attrapa son visage de ses mains, collant son front au sien. « Je sais, bébé, t’en fais pas. » Le plus important était qu’ils soient là à se retrouver plutôt que de s’oublier. Il reprit possession de ses lèvres, attirant la jeune femme jusqu’à lui, ses mains quittant ses joues pour lui entourer la taille. « Y a quelque chose qui te ferait plaisir, amour ? » demanda-t-il par hasard. Les fleurs, le collier, ce n’était pas assez. Si elle voulait faire quoi que ce soit, il s’y plierait. Son comportement peut-être paradoxal, mais il a oublié la raison, ce soir ce sont ses sentiments qui gouvernent.
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