C'est le 4 juillet 1991 à Phoenix, que les membres de la famille Lockard m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ruby. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie majeur et de philosophie mineur depuis 5 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Eliot.
Pourquoi Cabot ou Eliot ?
CABOT. C'est tout simplement LA maison qu'il me faut, elle est faite pour moi. Pourquoi ? Tout simplement parce que j'aime la mode, que j'aime prendre soin de moi, que je suis jolie et que je sais m'habiller. Je fais petite fille sage mais sous mes airs doux et adorables, je suis une personne redoutable qui sait se faire apprécier, qui sait charmer. Autre que le physique, cette maison me représente moralement. Je suis loyale, fidèle et prête à considérer toutes les filles de cette maison comme mes soeurs, le soutenir dans le meilleur comme dans le pire, les aider, les faire rire, pleurer avec elles et tout ce qui s'en suit malgré les hauts et les bas que nous pourrons avoir.
ELIOT. Si je ne suis pas prise dans la maison Cabot, la maison Eliot est la deuxième maison faite pour moi tout simplement parce que j'ai de l'argent, mes parents en ont, et je pense être assez riche pour pouvoir y rentrer aisément. J'ai ma petite influence dans le monde du mannequinat donc autant dire que je serais un bon élément pour eux.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
EXTRAVERSION (E) - INTROVERSION (I)
Expansif
ou
Tranquille
Audacieux
ou
Réservé
Ouvert
ou
Secret
SENSATION (S)- INTUITION (N)
Factuel
ou
Abstrait
Pragmatique
ou
Innovateur
Traditionnel
ou
Original
PENSÉE (T) - SENTIMENT (F)
Impartial
ou
Empathique
Détaché
ou
Compatissant
Logique
ou
Subjectif
ORGANISATION (J)- ADAPTATION (P)
Structuré
ou
Souple
Circonspect
ou
Spontané
Conformiste
ou
Non-conformiste
APRÈS LA BOMBE Je n'étais pas encore à Harvard quand il y a eu la bombe. J'étais tout simplement encore à Yale, mais je peux vous dire qu'on en a entendu parler pendant des mois de cette explosion. Certains n'ont pas compris mon envie de venir étudier ici, après ce qu'il s'est passée pour la bombe et tous les autres événements.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle piccolina et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à facebook. Je trouve ce fofo absolument génial alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Georgina Haig comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi même. Je fais environ 15-20 (voir plus)mots lignes par RP et mon personnage est un scénario crée par Léonora Aiyana Lockhart.
Mot de la fin ? ▲ Pouic. Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
Une vie de princesse de conte de fée, c’est ce dont toutes les petites filles rêvent : elles veulent rencontrer l’homme parfait qui va les sauver, les épouser et avec qui elles auront plein d’enfants. J’ai été cette petite fille rêveuse mais la réalité m’a rapidement rattrapé et j’ai vite compris que la vie était toute autre. Elle est loin d’être un conte de fée et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à grandir, à souffrir mais à rester forte malgré tout. Pour que vous compreniez bien pourquoi, je vais vous raconter mon histoire.
Je m’appelle Ruby Lockhart. Je suis née le 4 juillet 1991 à Phoenix mais, je n’ai pas été la seule à naître ce jour-là ! J’ai une sœur jumelle, seulement, nous avons été séparées à la naissance. Pourquoi ? Tout simplement parce que notre mère a eu la bonne idée de coucher avec deux mecs différents à sa période d’ovulation et du coup, notre père est différent. Je ne vais pas vous faire un cours d’éducation sexuelle, on sait tous comment on fait les bébés donc je vais vous éviter la case « histoires familiales complètements chiantes et inintéressantes » parce que j’ai encore pas mal de choses à vous raconter, que si on commence à rentrer dans les détails on n’est pas couchés et en plus, je ne préfère pas mettre mon nez dans ces histoires de familles toujours trop compliquées.
J’ai été élevée à Los Angeles comme une véritable petite princesse, comme un modèle de perfection aux yeux de mes parents. J’ai fréquenté les meilleures écoles du coin, mes résultats scolaires frôlaient l’excellence et à côté de ça, j’enchaînais des cours d’équitation, de violon, de piano et de théâtre. Je n’avais pas une minute à moi pour jouer avec mes copines quand elles me le proposaient, je ne pouvais pas sortir au cinéma, aller faire du vélo, manger n’importe quoi ou bien jouer à la poupée à mes heures perdues. Il en était hors de question, il fallait que je passe mon temps à parfaire mon éducation et à devenir l’enfant mannequin la plus redoutable dans les concours de mini miss, que j’ai fréquenté dès mon plus jeune âge. Pour mes parents, j’étais devenue une véritable petite poupée qu’ils maquillaient comme une voiture volée et habillaient comme une véritable star afin de gagner, ce qui paya. Dans ce monde de mini miss, j’ai rapidement eu la réputation de la petite blondinette aux yeux bleus et au regard angélique dont il fallait mieux se méfier. C’est dans ces concours que j’ai appris à être impassible, à écraser mes adversaires pour être la meilleures. Je n’avais le droit de me faire aucune amie, sauf pour la rabaisser et la mettre à mal après. Je devais être cruelle, sans pitié. C’est ce que m’ont appris mes parents, parce qu’une victoire ne leur était jamais suffisante. Ils les voulaient tous au point de gâcher mon enfance et de faire de moi une petite fille solitaire, seule et loin d’être véritablement heureuse. Grâce à ce qu’ils m’avaient appris, je ne leur montrais pas mon mal être et tout ce que je ressentais, si bien qu’ils n’ont jamais rien vu.
De leur côté mes parents avaient créé un modèle de perfection à leur image, une petite fille dont ils gâchaient l’enfance pour se créer une fierté comme celle qu’ils voulaient et ça les rendait heureux de me voir si victorieuse, si parfaite, si belle, si imposante, si effrayante. Je n’avais pas le droit de les décevoir, je devais être comme ils le souhaitaient et si je me rebellais, s’en était fini de moi. Ils étaient devenus fous par la victoire et la perfection.
Merci papa, merci maman parce que jamais je n’aurais pu jouir du même bonheur que les autres enfants de mon âge. On ne peut pas dire que j’ai eu une enfance terrible mais j’aurais tellement voulu la vivre normalement, simplement. Comme tous les autres et pas enfermée dans cette bulle qui m’étouffait.
Mon adolescence ressemble trait pour trait à ce que j’ai vécu étant petite. Ecoles prestigieuses, notes excellentes, cours d’équitation, cours de violon, cours de piano, cours de théâtre, concours de mini-miss, pression parentale mais à ça s’ajoutaient les cours de flute traversière, de chant, de chinois, de russe et des cours de danse. Moi qui pendant mon enfance n’avait pas une minute à moi, pendant mon adolescence ce fut encore pire. Je n’avais que des copines par intérêt. Elles ne m’aimaient que pour ce qu’elles voyaient de moi dans le futur (c’est-à-dire, un grand mannequin mondialement connu !), pour l’influence que j’avais dans le monde du mannequinat grâce aux concours de mini miss, pour ce que j’avais déjà accompli par la pression de mes parents vers la perfection et pour l’argent. Dire qu’à l’époque elles étaient mes meilleurs amies pour la vie, mais qu’est-ce qu’on peut être naïf à cette époque de notre vie. C’est les hormones ou quoi ? Parce que croire qu’on peut être amie avec une personne toute notre vie, c’est quand même incroyablement bête. Surtout quand on est seulement une amie par intérêt et qu’on vous voit comme la fille à papa (ce qui n’est pas totalement faux en soit !) qui a sa propre carte bancaire, qui peut dépenser comme elle veut pour avoir ce qu’elle veut, qui en un claquement de doigt peut obtenir le mec qu’elle veut, qui est ultra populaire et qui a une influence de malade. J’étais cette fille respectable que tout le monde voulait absolument comme amie.
Il faut appeler un chat un chat, mais malgré tout j’adorais la mode et prendre soin de moi quand ce n’était pas dans le cadre de la machination de mes parents ou leurs satanés concours de miss. C’est pour cela que lorsque je pouvais faire une de mes nombreuses virées shooping où je dépensais des sommes astronomiques, j’étais dans ma bulle et j’étais heureuse parce que mes parents n’étaient pas sur mon dos à vérifier ce que je faisais. C’était mon instant de liberté, qui ravissait en plus de ça mon père et ma mère parce que je prenais soin de mon apparence.
Et plus le temps passait, plus j’étais belle. Cependant un jour, cette beauté me fit défaut et ma vie entière bascula (et celle de mes parents aussi !). Nous n’avions jamais remarqué que mon professeur de piano avait des problèmes psychologiques, peut-être parce qu’il les cachait bien et qu’il était tout aussi manipulateur que je pouvais l’être, puisque l’ayant en professeur depuis l’âge de 6 ans nous pensions bien le connaître. J’ai appris ce jour-là qu’il ne fallait faire confiance à personne, même aux personnes que nous pensons le mieux connaître. Ce sont parfois les personnes qui nous font le plus de mal.
Ce soir-là, j’allais à mon cours de piano. J’en faisais depuis maintenant onze ans et Matthieu soutenait que j’étais un véritable prodige et ce, depuis la première fois qu’il m’avait vu alors que j’étais haute comme trois pommes. Il m’avait toujours fait beaucoup rire à ce propos parce qu’il m’imaginait dans des grands concerts symphoniques en la tête d’affiche mais même si j’aimais beaucoup ça, je n’imaginais pas ma vie dans cette carrière. Et comme tous les mardis soirs depuis que j’avais 6 ans, j’allais rire de ses grands discours, jouer du piano avec passion et enfin vraiment sourire à ses côtés. Il était l’une des personnes qui m’aidait à prendre conscience de ma véritable personnalité et non de celle que mes parents m’imposaient, parce qu’il voyait en moi un grand potentiel et une grande personne. Je l’admirais énormément pour cela, mais malheureusement toute cette mascarade qu’il faisait auprès de moi n’était peut-être qu’un plan et un jour, tout a basculé. Cette confiance que j’éprouvais pour lui s’est envolée le jour où il m’a enlevé. Il m’a enfermé pendant plus de deux semaines dans une cave à me battre, me violer et tout ça parce qu’il m’aimait. Il m’aimait et mon ignorance le faisait souffrir. Il voulait se venger. Il était amoureux de moi depuis la première fois qu’il m’avait vu. Comment en était-il venu à aimer une gamine qui avait 6 ans à l’époque ? Le pire dans tout ça, c’est que pendant 10 ans il n’avait jamais cessé de m’aimer et cet amour non réciproque le faisait souffrir. Il voulait me faire du mal en retour. Je suis donc restée plus de deux semaines dans le noir, à pleurer toutes les larmes de mon corps et à encaisser la douleur sans un mot alors que j’étais terrifiée, paniquée, horrifiée. Totalement détruite. Il avait réussi à me briser.
La manière dont je me suis enfuie est toujours restée un mystère pour moi, je me souviens juste m’être retrouvée nue sur le bord d’une route, frigorifiée et mal en point. Je me souviens d’un automobiliste paniqué s’approchant de moi et d’une crise d’angoisse soudaine me tétanisant, le trou noir m’enveloppant peu à peu. Je me suis réveillée quelques semaines plus tard, mes parents autour de moi et le médecin leur répétant pour la énième fois qu’il se demandait comment j’avais pu me déplacer avec les blessures que j’avais, que c’était un miracle si j’étais en vie et encore plus si je me réveillais. J’étais physiquement mal en point, j’avais des ecchymoses partout, des côtes cassées, une jambe brisée, un poignet foulé, un énorme traumatisme crânien qui avait probablement provoqué mon coma et j’en passe. Moralement, c’était une autre chose. Les semaines qui avaient suivies mon réveil, j’avais fait des batteries d’examens, j’avais subis une opération, commencé des rééducations et consulté un psychologue. Mes parents étaient présents à chaque instant, ils avaient donné comme raison à l’école et à toutes mes amies que j’étais partie vivre chez ma grand-mère parce que nous allions déménager. Personne ne devait savoir ce que j’avais vécu et encore moins ce que j’allais vivre parce qu’au-delà de toutes les blessures physiques et morales que j’avais subis, mon bourreau m’avait mise enceinte. J’attendais un bébé d’un monstre comme lui et je ne pouvais pas avorter. J’étais trop faible pour cela et quand bien même je l’aurais voulu, quand mon médecin l’a découvert il était trop tard. J’allais être maman. Contre mon gré.
J’ai passé des mois et des mois à l’hôpital, ma rééducation se faisant de plus en plus difficile au fil de ma grossesse. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à rejeter le monde entier, mais peut-être que la seule chose que j’aurais voulu, c’est que quelqu’un me secoue en me disant qu’il fallait que je m’accroche. Hors, c’était loin d’être le cas. Tout le monde était mielleux avec moi, tout le monde avait de la pitié et me plaignait. J’avais besoin de quelqu’un de fort à mes côtés. Ma jumelle par exemple. Mon double. Je ne l’avais jamais rencontré et pourtant, au fond de moi je sentais ce manque, cette solitude et je savais qu’elle était la personne qui manquait à mes côtés, malgré ce que j’avais entendu de mal sur son père. Par la suite, j’ai eu énormément de mal à accepter mon statut de future mère ; déjà parce que ce bébé n’était pas du tout désiré, qu’en plus il était le fruit d’énormes souffrances et qu’en plus, je n’étais pas prête à être maman. J’étais trop jeune pour ça, et pourtant je n’ai pas eu le choix. Quand j’ai pu sortir de l’hôpital, nous avons déménagé pour que personne ne pose trop de questions à mon sujet. Personne ne devait savoir ce qui m’était arrivé. Nous avons débarqué à New York, dans le total inconnu. Ça a été éprouvant et difficile pour moi de partir sans dire au revoir à personne. Pour rattraper mon retard dans les cours, mes parents m’ont fait suivre des cours particuliers puisqu’avec ma grossesse et la continuation de ma rééducation, j’étais trop épuisée pour me déplacer. J’ai finalement rattrapé avec brillant mon retard, m’enfermant dans mes études pour cacher mon mal être et ma douleur puisqu’à cet instant, je n’avais que ça. Je ne connaissais personne à New York, sauf mes parents, mes médecins et mon prof ; et comme je n’avais pas le droit de sortir et que j’avais été obligée de couper le contact avec toutes les personnes que je connaissais à Los Angeles : il me fallait quelque chose pour oublier tout ce que je vivais. J’ai finalement eu mes diplômes de fin de scolarité, je me suis inscrite à Yale et j’ai fini par accoucher d’une magnifique petite princesse. Elsa Léonora Lockhart, 45 cm pour 2,5 kilos. Une petite crevette, mais une petite crevette en parfaite santé. Pourquoi Léonora en second prénom ? Tout simplement parce que c’est le prénom de ma jumelle, que c’est l’une des seules choses que je sais d’elle et qu’elle m’a indirectement aidé à me battre, puisque j’ai toujours gardé en tête l’espoir que je pourrais un jour trouver ma moitié manquante.
Quelques temps plus tard, je suis entrée à Yale et nous nous sommes rapprochés de l’université pour que je puisse rentrer tous les soirs à la maison. J’enchaînais les cours, ma nouvelle vie de jeune maman et les rééducations qui continuaient encore et encore. J’ai fait des bonnes comme des mauvaises rencontres, j’ai eu des envies de vengeance comme des envies de m’attacher à des personnes ; sauf que mon passé m’en empêche. A la base, les concours de mini-miss m’avaient enfermé dans une bulle mais cet enlèvement, cette trahison, m’a contrainte à créer un mur autour de moi. Une barrière de protection pour ne plus souffrir. C’est là qu’est rentrée en scène la nouvelle Ruby. La salope de première qui crie vengeance au monde entier, qui ne veut plus s’attacher à qui que ce soit. Je me réfugie dans la superficialité qu’on ne me voit pas comme je suis réellement, je manipule tout le monde pour les faire souffrir autant que j’ai pu souffrir, mon père me laisse acheter tout ce que je veux pour combler le vide que je ressens, je crie que l’amour avec un grand « A » existe mais au fond, je suis persuadée que les hommes sont tous des cons à cause des mauvaises expériences que j’ai vécu. Je me cache, et je suis fière d’avoir réussi à ne pas montrer ma vraie personnalité aux personnes. Ils n’ont pas à savoir que je suis faible, que tous les soirs je m’effondre dans mon lit en pleurant tant la vie d’étudiante et de mère est difficile surtout quand notre petit ange est atteint d’une maladie grave, que je n’ai jamais arrêté les séances chez le psy parce que je souffre encore énormément. Ils n’ont pas à connaître ma vie, ils n’ont pas à savoir que la véritable Ruby est une personne qui s’effondre facilement.
Trois ans plus tard, j’ai enfin pu rencontrer ma sœur jumelle lors d’un repas. Autant vous dire que si ça commençait bien au début, la fin a dégénéré. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui raconter tout ce que ma mère –notre mère-, m’avait dit à propos de son père. Ma délicatesse –ironie quand tu nous tiens-, ne lui a visiblement pas plus au point où j’ai fini la soirée aux urgences avec le nez cassé et une certaines haine envers Léonora. J’étais tellement déçue par elle si bien que mon envie de me venger était forte, mais j’ai fini par abandonner cette idée, préférant la connaître. J’ai essayé de reprendre contact avec elle après ça, mais le rejet immédiat que j’ai vécu ne m’a pas plus. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle était la première et seule personne qui m’échappait, et elle allait voir ce que ressemblait une vengeance à la Ruby Lockhart pour m’avoir fait ça.
Après ça, j’ai fait un an de plus à Yale et finalement, j’ai déposé mon dossier pour rentrer à Harvard qui a été accepté. J’ai fait mes cliques et mes claques et on a encore déménagé pour se rapprocher de l’Université, pour que je rentre tous les soirs à la maison et que je puisse m’occuper de ma petite princesse avec qui je suis très proche.
Et ben moi, dixit Clea, je ne te souhaite pas la bienvenue :sifle: Et pas touche à Tyméo ou Jake, sinon tu vas le regretter ! Manipulatrice ou pas, je sais être une vraie garce quand je veux et quand on me cherche
Bon Clea, tu vas aller te coucher et me laisser souhaiter la bienvenue tranquillement à cette nouvelle membre !
* Mimi pousse Clea et prend sa place *
Pfff n'importe quoi, ça doit être les cachets :laugh:
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