ZISKA R.-FRIEDRICH ► elsa hosk.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle haunted et j'ai 19 ans. Je suis Canadienne et j'ai connu le forum grâce à Bazzart, mais je l'ai essayé avec Giza Lagarce.  Il est super alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Elsa Hosk comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par electric bird. Je fais environ le minimum de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲  :love2: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Franziska est née dans une bonne famille. Une famille dans la capacité de subvenir correctement aux besoins de leur enfant, capable de leur assurer un avenir sans qu'ils croulent sous les dettes. Une famille qui n'a pas de problèmes financiers, qui portent des vêtements haute couture et qui roulent dans une limousine avec leur chauffeur attitré. La famille Rhodes-Friedrich. Ce n'est pas rien quand deux enfants de familles fortunés décident de tomber amoureux et d'unir leurs destinés. Jamais, les familles Rhodes ou Friedrich ont connus la pauvreté et ils ne l'a connaîtront probablement jamais. Ils ont beaucoup trop d'argents partout dans le monde. Non, ce n'est pas de la fraude ou du vol, mais seulement une porte de secours au cas où parce que ses parents ne veulent pas qu'elle se retrouve sans argent. Cela serait malheureux. Malheureux pour tout le monde, mais surtout sur les familles respectives de son père et de sa mère. Oui, parce qu'une arrière-arrière-arrière-arrière-petite-fille Rhodes-Friedrich sans le moindre sous en banque serait une honte. Une véritable honte. Enfin, bref, elle est née dans ces familles de gens fortunées. Elle et sa petite sœur, Elvira. Elvira, elle n'est pas comme Franziska. Elle est l'opposée d'elle et pourtant, elles s'entendent bien. Pour des sœurs. Elvira, c'est la gentillesse et la fragilité en personne alors que Franziska inspire davantage le respect et l'ordre. Elvira sera du genre à aimer son prochain alors que Franziska aura de la difficulté à faire confiance à sa propre famille. Malgré ce manque de confiance, Elvira et Franziska sont comme le Yin et le Yang.

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« Toi, tu aimes la nouvelle maison? » Non, elle ne l'aimait pas. Elle n'aimait pas cette nouvelle vie. Elvira pouvait facilement le lire grâce à l'expression que Ziska affichait sur son visage. Cette maison lui donnait le goût de vomir. Elle n'était rien comparé à leur ancienne maison à Londres. « Non, ok. » Elvira haussa les épaules avant de quitter la pièce où elles se trouvaient toutes les deux. Dans un soupir, Franziska avait laissé tomber son sac à main sur le sol. Il était de marque, mais elle s'en moquait. Pendant seize ans, elle avait vécue dans la même maison et voilà qu'aujourd'hui, il fallait qu'elle apprenne à vivre à l'Américaine. Oui, elle aimait l'Amérique, mais seulement lors de vacances et de courte période. À nouveau, elle fit un tour de la pièce. Cette pièce était sa chambre selon les dires de ses parents. Ziska avait été la seule à ne pas être enthousiaste à l'idée de quitter sa ville natale. Elle avait celle mécontente de cette décision stupide, celle qui n'aimerait jamais les États-Unis et encore moins l'endroit qu'il allait. Elle n'aimait pas cette maison. Elle n'aimerait pas cette maison. La maison n'avait rien de semblable à leur ancienne. Elle était plus grande, certes, mais Franziska adorait son ancienne maison. Elle avait connue tellement de souvenirs dans celle-ci que rien d'y penser, elle devenait nostalgique. Pourquoi est-ce que ses parents n'avaient pas acceptés qu'elle aille vivre chez sa tante ? Elle aurait garder sa vie. La vie qu'elle aimait et qu'elle chérissait. « Non, je n'aime pas cette maison. » Souffla-t-elle en se passant une main dans les cheveux.
Il fallut du temps à Franziska de s'habituer à sa nouvelle vie. Cette fois, elle ne s'habitua pas à la situation comme elle s'habituait aux situations que ses parents lui imposaient. Même après une année, elle ne s'était toujours pas habituée. C'est grâce à cette année que Ziska découvrit qui elle était vraiment. Sa personnalité se développa ainsi que son caractère. Elle n'allait plus être la douce Franziska Aude Rose Rhodes-Friedrich. Elle forgeait sa personnalité que cela plaise ou pas aux autres.

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Lorsque vint le temps de choisir à quelle université elle désirait étudier, Ziska ne pensait pas aller à Harvard. Elle désirait une université qui était le plus loin possible de la maison familial. Elle voulait connaître d'autres horizons sauf que ses parents avaient d'autres plans pour elle. Premièrement, elle étudierait à Harvard dans le domaine qu'elle n'allait pas choisir. Ce domaine était la médecine. Ziska était certes brillante et capable d'exercer le métier de médecin, elle n'en voulait pas. La danse était sa passion, celle pour laquelle elle vivait sauf que cela ne rapportait rien. Aucune personne de la famille Rhodes-Friedrich réussissaient dans les domaines autres que la politique, la finance et les arts. Oui, la danse était un art, mais cela ne suffisait pas. Combien de chances est-ce que Ziska avait de réussir après avoir obtenue son diplôme ? Les chances étaient minces, très minces. Alors, ses parents avaient tout préparés. Leur fille aînée allait étudier la médecine et à leurs morts respectives, elle allait reprendre leurs empires.
Elle accepta à condition qu'elle puisse prendre la danse en mineur. Après tout, Ziska pratiquait celle-ci depuis qu'elle était en âge de marcher. Depuis, dix-huit ans qu'elle dansait alors il était impossible pour elle d'arrêter. À la stupeur générale, ils acceptèrent que leur fille continue de pratiquement la danse. Sauf qu'en parallèle, elle devait réussir ces études de médecine. Alors, depuis l'âge de 18 ans, elle étudie la médecine tout en continuant de danser. Cependant, ce n'est que récemment que Ziska commença à apprécier la médecine. Précisément trois mois.