Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDarnell&Liyah > Tu ne peux pas nier l'évidence
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Darnell&Liyah > Tu ne peux pas nier l'évidence

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J'étais une loque, une vraie loque ces derniers jours. J'essayais de tenir le coup mais j'y arrivais pas. On me faisait des crasses quand je me comportais mal, en m'en faisait quand je me comportais bien, je ne savais plus comment agir avec les femmes dont j'avais le malheur de tomber amoureux. Et putain, cette rupture me rongeait de l'intérieur et je n'arrivais plus à la gérer, à la contrôler. J'étais complètement soûle en plein milieu de la journée. Ca pouvait encore passer si je restais chez moi à glander dans ma chambre et à désoûler tranquille sur mon lit. Mais non, je regardais des photos que je n'avais pas encore supprimé et j'envoyais des messages. A Aaliyah qui plus est. Je la défiais de me dire qu'elle m'aimait toujours au lieu de lui foutre la paix. Un vrai abruti de première. Je me faisais souffrir et je remuais le couteau dans nos plaies respectives. Fallait que je réussisse à l'oublier mais non. Je lui avais demandé de me dire tout ça en face, que je puisse passer à autre chose et ni une, ni deux, elle me donnait rendez-vous dans le bureau de presse. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle accepte de me voir aussi tôt. Je ne ressemblais à rien, j'étais soûle, défoncée, triste, déprimé, une vraie loque de compétition. Mes yeux étaient rouges qui plus est mais elle voulait me voir. C'était maintenant ou jamais je n'aurai d'autre occasion de l'entendre me dire ça. Je la rejoignais sur les lieux, entrain doucement, tentant de ne pas foutre un bruit monstre vu mon état actuel et surtout, pour ne pas l'effrayer. J'suis là ! Elle avait du le remarquer parce que j'avais beau tenté d'être discret, je n'avais pas réussi, un vrai échec.
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Trop de personnes revenaient vers moi, trop de mecs surtout et ça ne me plaisait pas. Je ne savais pas quoi dire, pas quoi faire. Je ne suis pas du genre à envoyer chier les gens, j'y arrive pas. Il paraît que je suis trop gentille et naïve et je n'ai aucun de mal à croire les gens qui osent le dire. J'étais venue au bureau de presse pour me reposer loin de tout et de tous et je reçu un message de Darnell. Il m'en demandait beaucoup trop. Lui dire que je l'aimais encore. C'était peut-etre le cas, mais je ne comptais pas le lui dire. Du moins, j'allai essayer de ne pas le faire. J'étais en couple, il était partie, je ne comprenais pas trop ce qu'il essayait de faire pour le coup. Mais j'acceptais finalement de relever son défi. En attendant, je continuais de rédiger quelques papiers, même s'ils n'avaient absolument rien à voir avec le journal étudiant, j'y bossais quand même. C'était devenue mon refuge, ma 4ème maison. Oui, je commençais à vivre un peu partout à Cambridge. Chez les Cabot, dans ma propre maison, chez Andrew et maintenant ici. J'attendais qu'il arrive. J'étais vraiment ailleurs, je ne pensais plus à rien et il est entré. Je ne l'avais pas entendu, jusqu'à ce qu'il soit complètement dans la salle, je sursautais en relevant la tête. Oui, j'avais bien vu qu'il était là. Mais cette tête, ses yeux rouges et puis il s'entait la fumette froide mélangée à de l'alcool. Bordel mais qu'est-ce qu'il avait fait ? Je pensais qu'il ne buvait plus ou du moins, qu'il buvait moins ? Je m'approcha de lui, attrapant son visage entre mes mains. Darnell t'as bu ? Et t'es venu de chez toi dans cet état ? J'espérai que non, qu'il était déjà sur le campus au moment où il m'avait envoyé ses messages. J'avais vraiment peur pour lui là.
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Bien sûr que j'ai bu, tu crois que je porte un parfum nommé Vodka, Tequila et toute la clique ? Je ne me voyais pas lui répondre ça, elle allait m'envoyer chier comme elle savait si bien le faire quand elle était en colère. Sauf que là, je lisais de la peine, de l'inquiétude dans ses yeux, pas de la colère. Elle posa ses mains de chaque côté de mon visage. J'en pouvais plus. J'avais envie de l'embrasser. Mais je n'allai pas faire ça. Je ne ressemblais à rien, je sentais l'odeur de Wiz Khalifa à des kilomètres, non... Ouais je suis venu de chez moi en voiture, mais j'suis en vie, on s'en fou. Alors, dis le moi maintenant ! J'étais venu rien que pour ça. Pour l'entendre me dire qu'elle m'aimait encore, mais maintenant qu'elle avait vu que j'étais complètement soûle, elle n'allait certainement pas le faire. Elle allait surtout me dire de retourner chez moi. Ce que je ne comptais pas faire. J'avais céder et bu bien trop d'alcool que je ne pouvais en supporter, j'avais un peu trop tiré sur mon joint, moi qui n'en fumait plus d'ailleurs. J'avais perdu tout amour propre, je ne jouais plus, je ne dansais plus, mes cours ne m'intéressaient plus. Ce que m'avait dit Naomi m'avait donné une lueur d'espoir. Elle était perdue elle aussi, mais agissait ainsi pour ses enfants, pour qu'ils soient finalement avec leur père. Mais moi, leur mère, je la voulais, je l'aimais encore. Je savais que c'était impossible alors il fallait que je l'entende de sa bouche. Il fallait qu'elle me dise d'elle même qu'il n'y avait plus aucun espoir, qu'elle ne m'aimait plus et là, j'allai peut-être pouvoir tourner la page, penser à quelqu'un d'autre ou du moins, penser moins à elle.
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Sincèrement, j'avais envie de pleurer. Le voir dans cet état, ça me faisait mal. C'était de ma faute. Je m'étais comportée comme une véritable garce avec lui alors que lui, bah c'était lui quoi. Il s'était comporté comme le petit-ami exemplaire que beaucoup de filles voudraient. Mais je me tourne toujours vers le goujat de service. J'ai toujours été comme ça. Comme si j'adorai me faire souffrir dans le fond. Qui sait, peut-être qu'un jour, Andrew retrouvait son côté serial fuckeur et me laisserait tomber pour sauter sur tout ce qui bouge comme il le faisait avant. Je passais mes bras autour de son cou, approchant son visage du mien. Putain, il sentait vraiment l'alcool et j'en avais la nausée, mais je tentais de me contrôler, de ne pas perdre pieds et de trouver les mots justes, qui pourraient tout lui faire comprendre. Je le regardais dans les yeux, comme il me l'avait demandé. Evidemment que je t'aime toujours Darnell. On vient juste de rompre et je t'aimais à ce moment là. Mais je suis avec Andrew. J'en suis vraiment amoureuse. Puis c'est le père de mes enfants. Je suis avec lui et après tout ce qu'on t'a fait, après tout ce que je t'ai fait, j'oserai jamais imaginer que l'on puisse se remettre ensemble. Rien que pour ce que je t'ai fait. Tu mérites d'être heureux, d'être avec quelqu'un qui t'a respecté, qui te respecte et te respectera toujours. Tu dois tourner la page et aller de l'avant. Si tu le fais pas pour toi, fais le pour moi ! J'avais vraiment besoin de savoir qu'il allait bien. Qu'il ne souffrait pas et pour le moment, bah, il allait mal et c'était de ma faute. Il fallait que je lui dise tout ça. Il fallait qu'il réussisse à tourner la page, pour aller mieux. Mais sache que, quoiqu'il arrive, je serai toujours là pour toi ! Amicalement parlant bien sûr. C'était bien la première fois que j'ouvrais mon coeur ainsi. Avec qui que se soit. J'avais enfin parler ouvertement, déclarer mes sentiments sans stresser, sans beuguer. C'était venu naturellement.
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Elle passa ses bras autour de mon cou, rapprochant son visage du mien et là, le malaise. J'avais la tête qui tourne, le coeur qui battait beaucoup trop vite. Putain, elle avait pas le droit de m'faire un truc pareil. Elle connaissait mes sentiments pour elle et elle savait aussi que ça ne datait pas de maintenant. J'étais mal, soûle et défoncé. Elle était beaucoup trop proche de moi physiquement. Je lui avais juste demandé de me parler honnêtement, en me regardant droit dans les yeux, mais pas en étant si proche de moi. Ma tête voulait lui demander de reculer, voulait la repousser mais mon coeur non, mon coeur, mes sentiments, tout le reste de mon corps voulaient que cette proximité soit telle quelle. J'assimilais chacun de ses mots. Aussi douloureux soient-ils à entendre et je finis par comprendre que c'était bien fini et qu'elle avait raison. Elle m'avait fait souffrir, la preuve était mon état actuel. Je retira ses bras d'autour de mon cou, tenant quand même ses mains dans les miennes. Merci de m'avoir ouvert les yeux. Tu m'as en effet fait souffrir et je dois tourner la page. C'est tout c'que j'avais besoin d'entendre ! C'était vraiment de ça dont j'avais besoin. D'entendre que tout était fini et maintenant, je pouvais aller de l'avant, en espérant que je ne flanche pas et que je réussisse à vraiment avancer. Même si je supporte vraiment pas le connard qui te sert de mec maintenant, j'espère qu'il te rendra heureuse. J'espère qu'il te rends déjà heureuse ou alors j'hésiterai pas à lui casser la gueule dans le cas contraire ! J'aimerai toujours cette fille malgré tout et avant même que l'on se mette ensemble, je tenais vraiment à elle en tant qu'amie. Comme une poupée fragile que j'aimais protéger et ça allait continuer dans ce sens.
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Au moment même où je finissais ma phrase, il retira mes bras d'autour de son cou pour prendre mes mains dans les siennes et me parler comme si tout à coup, il avait dessoûlé. J'espérai sincèrement qu'il pourrait à présent aller de l'avant. C'était apparemment ce qu'il avait décidé de faire. A condition qu'Andrew s'occupe bien de moi. Je souriais, lâchant ses mains pour le serrer dans mes bras. T'en fais pas pour ça ! En effet, Andrew s'occupait bien de moi. Même si pour le moment, je doutais moi-même de notre couple, de mes choix, ça n'empêchait pas Andrew de se comporter comme il faut avec moi. Je ne te méritais pas et j'espère que tu trouveras la bonne, celle qui te méritera car t'es vraiment quelqu'un de bien ! Et même plus que ça mais je ne pouvais pas en dire plus avant de m'y attacher de nouveau et de ne plus pouvoir le laisser partir. Je vins déposer un rapide baiser sur sa joue, relâchant mon étreinte. Je te raccompagne chez toi, tu conduiras pas dans cet état ! Il n'y avait même pas à discuter. Il était soûle, défoncé, démoralisé, alors pas question de le laisser rentrer ainsi. J'aurai beaucoup trop peur qu'il lui arrive quelque chose. Je ressembla mes affaires, prit mon sac dans une main et sa main dans la deuxième, l'entraînant jusqu'au parking. Elle est où ta voiture ? Au passage, donne-moi tes clefs !
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