homeworks, books... studying isn't always easy + (jeno)

Fichus travaux. Ils lui prenaient tout son temps, et Jenifael n’avait même pas eu le temps d’aller faire du shopping avec Ilenia comme prévu. Elle avait carrément dû annuler pour le coup, très désolée, parce qu’elle devait s’avancer. La fin du semestre approchait et l’héritière tenait à ses notes sans failles, jamais basses, toujours à la hauteur des attentes et même plus. Elle tenait à sa réputation de très bonne élève, l’une des meilleures de sa classe selon les dires de ses professeurs. Mais elle ne voulait pas passer pour une lèche-cul, alors elle se contentait de les remercier sincèrement et de faire ses travaux au moins deux semaines avant le temps de remise. Ainsi, elle pourrait profiter de toutes les fêtes de fin de semestre, et réussir par la même occasion. La révision viendrait demain, ça lui prenait encore plus de temps que d’écrire une dissertation complète.
Son ordinateur son sac, son téléphone dans son sac à main signé Vuitton, la jeune femme faisait claquer ses Louboutins jusqu’à la bibliothèque, toujours un magnifique sourire scotché sur les lèvres. Sa crinière, brune et épaisse, était aujourd’hui bouclée. Elle changeait de coiffure assez souvent, mais elle aimait laisser ses cheveux libres. Elle détestait les attacher, sauf lorsqu’elle allait s’entraîner au centre ou qu’elle avait cours de sports. Ou encore, lors des samedis tranquilles dans son duplex, à déconner avec son coloc et sa voisine. Mais pour le moment, elle était à la bibliothèque d’Harvard pour étudier. Jeni alla prendre sa table habituelle, heureuse que personne n’y était et fouilla dans la rangée de droits pour chercher un des bouquins lui servant de référence. Elle retourna à sa table, remarquant un jeune homme qui s’y était installé. Elle l’avait déjà vu souvent à la bibliothèque, mais elle ne le connaissait pas du tout. La jeune femme reprit sa place avec un sourire et se présenta à voix très basse. Salut. Jenifael, ravie.  dit-elle simplement, des yeux pointés sur elle. Roh, s’ils n’étaient pas contents, qu’ils viennent simplement lui parler, pff.