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Il était une fois, une fille du nom de Léonora. Elle habitait dans une grande maison non loin de l'hôpital de Cambridge's. Elle n'avait pas cours aujourd'hui et est partie se promener en ville.
Blabla-blabla.
Qu'est-ce que c'était ennuyeux ces contes de fées lorsqu'on avait vingt-trois ans ! Bientôt vingt-quatre pour Léonora, mais ça, c'est pour l'année prochaine ! Léonora a vécu de nombreuses choses cette année. L'épidémie, la bombe, les cauchemars après l'attentat, les patients à l'hôpital atteints du virus du SIDA et les vacances passées seule à glander dans une maison à Dillon. Mais il n'y avait pas que cela. Il y avait aussi cette intégration à sa première confrérie, les Mathers... Vous savez le fameux gang du trafic de drogue remplit d'alcooliques ? Ouais, c'était bien celle-là ! Les gens se montraient gentils envers Léonora et cela changeait des autres confréries. Ils étaient soudés les uns aux autres. C'était une chose qui faisait oublier toutes les mauvaises pensées de la jeune Lockhart. Elle commençait à se changer les idées, à faire des nouvelles rencontres et surtout à se faire des amis. Autrefois, elle était solitaire. Elle ne voulait pas s'intégrer dans quoique ce soit et ça la tuait petit à petit à cause de l'alcool et de ses cauchemars. Là, elle revenait tel un phénix qui renaissait de ses cendres.
Mais n'allons pas parler du passé de Léo'. Aujourd'hui, elle courait dans tout Cambridge's pour tenir la forme. Le soleil brillait sur la ville, les gens étaient de bonnes humeurs et tout le monde travaillaient. Léonora courait à une allure assez rapide dans les environs de Charles River. La brune s'arrêta pendant quelques instants pour reprendre son souffle. Elle commença à marcher pour partir vers le banc dans le but de s'étirer. Décidément, elle était fatiguée en ce moment après ses nuits de gardes ! C'était surtout à cause de son insomnie dû à ses cauchemars depuis la bombe. La jeune femme s'assit sur le banc et regarda le monde qui l'entouraient. Il fallait bien qu'elle fasse une petite pause. Elle courait depuis plus d'une heure et était déjà assez fatiguée comme ça. Certes, elle était sportive, mais quand même. Pas à ce point là.
Blabla-blabla.
Qu'est-ce que c'était ennuyeux ces contes de fées lorsqu'on avait vingt-trois ans ! Bientôt vingt-quatre pour Léonora, mais ça, c'est pour l'année prochaine ! Léonora a vécu de nombreuses choses cette année. L'épidémie, la bombe, les cauchemars après l'attentat, les patients à l'hôpital atteints du virus du SIDA et les vacances passées seule à glander dans une maison à Dillon. Mais il n'y avait pas que cela. Il y avait aussi cette intégration à sa première confrérie, les Mathers... Vous savez le fameux gang du trafic de drogue remplit d'alcooliques ? Ouais, c'était bien celle-là ! Les gens se montraient gentils envers Léonora et cela changeait des autres confréries. Ils étaient soudés les uns aux autres. C'était une chose qui faisait oublier toutes les mauvaises pensées de la jeune Lockhart. Elle commençait à se changer les idées, à faire des nouvelles rencontres et surtout à se faire des amis. Autrefois, elle était solitaire. Elle ne voulait pas s'intégrer dans quoique ce soit et ça la tuait petit à petit à cause de l'alcool et de ses cauchemars. Là, elle revenait tel un phénix qui renaissait de ses cendres.
Mais n'allons pas parler du passé de Léo'. Aujourd'hui, elle courait dans tout Cambridge's pour tenir la forme. Le soleil brillait sur la ville, les gens étaient de bonnes humeurs et tout le monde travaillaient. Léonora courait à une allure assez rapide dans les environs de Charles River. La brune s'arrêta pendant quelques instants pour reprendre son souffle. Elle commença à marcher pour partir vers le banc dans le but de s'étirer. Décidément, elle était fatiguée en ce moment après ses nuits de gardes ! C'était surtout à cause de son insomnie dû à ses cauchemars depuis la bombe. La jeune femme s'assit sur le banc et regarda le monde qui l'entouraient. Il fallait bien qu'elle fasse une petite pause. Elle courait depuis plus d'une heure et était déjà assez fatiguée comme ça. Certes, elle était sportive, mais quand même. Pas à ce point là.
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