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Alicia ► I don't like ghosts

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w/ Jade & Alicia  

Sois belle et tais-toi ! On dit souvent que lorsque l'on grandit, on devient lentement le résultat -ou je ne sais quel mot con- de l'éducation de nos parents ou de la personne qui nous a élevé. C'est faux ! Je n'ai pas grandit avec mon père. Je le voyais de temps à autre, quand il venait en France, lors de ses galas où il nous y invitait ma mère et moi. Je suis aujourd'hui une fille cool, zen, qui vit au jour le jour et qui se fiche complètement de ce que les autres pensent d'elle. Qui va vers les autres avec une aisance assez déconcertante par moment et pourtant, mon père avait fait en sorte que je sois une tout autre fille. Quand j'étais plus jeune, il me disait de ne pas bouger de ma chaise, de ne parler à personne et surtout, de ne pas approcher deux filles présentes. Ma demi-soeur et sa mère. Je me demande encore pourquoi il se donnait la peine de nous inviter ma mère et moi à ses soirées mondaines, ses défilés et toutes ces conneries si je n'avais pas le droit d'en profiter. Selon lui, c'était pour que je sois présente, pour qu'il puisse profiter visuellement de ma mère et moi. Alors pourquoi ne nous a-t-il pas choisi ? Pourquoi est-il resté en Angleterre avec l'autre famille ? J'avais vraiment du mal à tout comprendre. On me disait que j'étais petite et que je comprendrai en grandissant, que c'était normal car c'étaient tout simplement des histoires d'adultes. Faux une fois de plus ! Aujourd'hui, j'étais une adulte et je ne comprenais toujours pas. J'avais du mal à supporter l'abandon. Je suis rancunière. J'ai beau ne pas me fâcher facilement avec les gens, s'il y a une chose que je ne supporte pas, c'est l'abandon. Je l'ai vécue avec mon père et encore aujourd'hui je le vis.
Juste un petit remontant, j'avais besoin d'un petit truc pour aller mieux et continuer cette journée aussi bien qu'elle avait commencée. Non, connerie, foutaise ! Je déraillais complètement. Elle avait mal commencé. J'allai vraiment mal et je n'avais pas de famille sur laquelle compter pour aller mieux, mon meilleur ami était à l'hôpital et mon confident avait déjà assez de problème, je n'allai pas lui mettre en tête tous les miens également. J'allai devenir folle alliée. Je ne pouvais compter que sur mon argent. Le seul point positif à avoir un père très riche, voire, trop riche. Je pouvais acheter ainsi mon second meilleur ami auprès d'un vendeur, si on peut appeler ça comme ça. Je pouvais me faire des tas d'amis tout petit, sous forme de poudre blanche. J'allai tellement mieux après ça. Mais là, l'effet s'en était allé et il fallait que je me rebooste un peu. Mon cours était terminé et au lieu d'aller au prochain, je déviais de mon chemin pour pousser doucement la porte des toilettes, en espérant que personne n'y serait. Mais... mais je rêvais. Cette fille là, elle me disait quelques chose. Je reculais, pour qu'elle ne me voit pas. Je ferma la porte d'entrée des toilettes réservées aux filles. C'était entre elle et moi. J'arrivais derrière elle, tapant un grand coup sur son bras gauche, celui qui se présentait à moi. « Sale garce, t'es de retour alors ? ». Soit elle était de retour, soit j'avais des hallucinations et... elles étaient super réalistes ces hallucinations. « Le retour de la pire des Quincy ? Pourquoi ? ». Je lui en voulais, elle le savais. Je n'aime pas les abandons, elle le sait. Elle m'avait prévenue de son départ, je lui en voulais un peu moins, mais elle était partie quand même. J'avais cette impression très dérangeante que tout le monde fuyait au lieu d'affronter la réalité. J'avais besoin de savoir pourquoi elle était là maintenant. Moi qui pensais que son départ était définitif. Moi qui me faisait lentement à l'idée qu'elle n'était plus à Harvard. Tout ça pour la voir débarquer comme une petite fleur quelques mois après. Elle voulait prendre des vacances avant tout le monde et loin de nous c'est ça ? Je ne comprenais pas. Je m'asseyais sur le lavabo, faisant en sorte de ne pas le déclencher pour ne pas mouiller mon derrière et j'attendais sa réponse.
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Pfff la reprise des cours s'était dure j'avais trop de mal, mais ça faisait du bien et j'étais plutôt concentré par rapport à avant, j'essayais de prendre de bonne résolution, plus de séchage de cours, plus de drogue, même pas de fumette rien, j'avais pas fait de désintox mais s'était tout cas le Vater aurai jamais permis plus que des clopes ou des cigares à la maison, alors autant dire que Travis et Lily on bien faillis se faire chopper plus d'une fois à la Haus et je sais pas comment ils ont fait d'ailleurs, je m'étais même pas posé la question à vrai dire. 'Fin bref, le retour à la normal et aller encore sans être bourrée ou défoncé c'est trop étrange, j'avais l'impression de pas être moi même, que tout ça s'était du faux, mais j'avais pas pour autant envie de replonger, ça faisait des mois que j'avais rien pris c'est bien pour ça que s'étais difficile. Qu'est ce qui m'avais pris de revenir, oui il m'avait obligé, il voulait que je continue mes études, mais j'aurai très bien pus les terminer à Mainz ou je sais pas où j'aurai même pus aller à la Sorbonne, mais nan il voulait que je retourne à Harvard, là où tout le monde me connaissais tout le monde savais qui j'étais et ou tout le monde avait en tête la réputation que je m'étais faite, celle de la pire Quincy qui pouvais exister, j'étais pas une tueuse d’animaux loin de là mais je faisais pas honneur à ma confrérie et même maintenant pour mon retour je savais pas si j'aurai les capacité pour changer la tendance. Lors du dernier cours je fus prise de nausée, bouffée de chaleur, la tête qui tourne, j'étais heureuse que le cours se termine rapidement. direct je pris la direction des toilettes, j'voulais me passer de l'eau sur le visage sauf que des aigreurs remontait, bordel. J'fis demi tour pour sortir mes entrailles dans les toilettes, paie ta première journée de cours meuf. Je ressortie du chiotte y avait des meuf qui me regardais d'un air qui voulait tout dire, comme à mon habitude j'y fis pas attention. Prenant la direction du lavabo me passer de l'eau sur le visage, je me regardais dans la glace, j'avais une putain de tête de zombie, s'était déplorable. Complètement dans mon monde, j'entendis pas la fille entrer, mais elle me touchais le bras ce qui me fis sursauter. Heureusement qu'elle avait choisis des mots simple pour me parler, elle me posais des questions, j'mis du temps à émerger et à comprendre qui s'était. "Ch'ai pas j'avais envie." Mon cul ouai. "Et toi je suppose que t'es venue pour te repoudrer le nez?" Et certainement pas de la même façon que les filles de tout à l'heure. Y avait de la rancoeur dans ses mots j'pouvais la comprendre, j'avais fait mon possible pour éviter que les gens m'en veuille de mon départ en leur donnant mes raisons, p'être que s'était égoïste mais j'avais eu besoin de temps pour moi et il fallait qu'ils le comprennent, tous autant qu'ils sont.
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J'avais beau dire que la danse me maintenait envie, c'était plus trop le cas depuis mon arrivée ici. En France oui, je m'évadais grâce à ça. Je n'avais besoin que de ça pour me sentir libre, légère, loin de tout problèmes mais pas à Harvard. La pression est beaucoup trop forte. Le stress, l'angoisse, toutes ces merdes que l'on vit alors que pour le moment, on a juste un statut d'étudiants. Les histoires de couples, de familles, d'études et même l'amitiés en prennent un sacré coup. Et j'avais besoin de plus, toujours plus pour aller mieux. La danse, la mode, les flash, les projecteurs, c'était pas suffisant, loin de là. On ne sait pas ce que c'est, ce que ça fait tant qu'on y a pas mit les pieds. Les fêtes, l'alcool, les mecs et surtout cette saloperie de drogue, ça... tout ça, c'était ma nouvelle vie. J'avais mélangé l'ancienne moi avec la nouvelle. Ca donnait cette fille super calme, zen et sociable que rien ni personne ne pouvait atteindre alors qu'au fond, j'étais une pure angoissée. Une fille qui a peur de l'abandon, de l'engagement, de l'amour et donc, de s'attacher aux autres. Une fille vraiment étrange en gros. "Ch'ai pas j'avais envie." Elle parlait, répondait à ce que je disais mais sans même prendre la peine de se retourner, de regarder à qui elle s'adressait. De quoi m'énerver un peu plus et lui en vouloir d'avantages. « Ali, regarde moi au moins non ? ». Elle allait peut-être me reconnaître grâce à mon excès de colère soudain, grâce à ma voix ou grâce à... je sais pas mais elle avait intérêt à me regarder. Et ce qu'elle fit, me demandant tout naturellement si j'étais venue dans les toilettes pour me repoudrer le nez. Quel culot elle avait celle-là. « Ferme-là tu veux bien ? ». Les oreilles indiscrètes qui traînaient dans Harvard et se cachaient dans des endroits improbables n'avaient pas besoin d'être au courant de ma prise de substances illicites. « T'es revenue et tu prends pas la peine de prévenir tes... amis, larbins, cons ? Appelles-nous comme tu veux ! ». Je ne savais pas ce que nous étions à ses yeux alors je lui donnais une liste de petits surnoms affectifs qu'elle pouvait nous attribuer comme bon lui semblait.
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J'avais perdu toute ma confiance en moi, j'étais angoissé, j'avais personne à qui parler, je sais vraiment pas pourquoi j'avais pris cet avion pourquoi j'étais revenue ici c'était du grand n'importe quoi, je savais que ça allait pas être simple mais j'en faisais des crise d'angoisse, de panique. Nan j'aurai vraiment due rester à Mainz. J'étais dans les vapes que l'autre me parlais elle voulait que je la regarde, j'étais tellement perdu que j'avais même pas posée les yeux sur elle. Je fis ce qu'elle me dit j'étais blanche comme un cul et elle me prenait la tête. "Qu'est ce qu'y a Jade? Tout le monde est au courant, j'vois pas ce que ça va changer." Elle pouvait bien me défoncer le crâne sur les lavabos, que ça me dérangerai pas, au pire j'aurai le droit à un aller direct pour l'hosto et comme ça on me foutrai la paix. "Et pis arrête donc de prendre cette merde aussi. T'aura moins de problème." Oui oui c'est moi qui dis ça, moi qui fournissais les filles comme elles. Ouai j'étais face à mon nouveau problème, en Allemagne je les connaissais pas les gens à qui je vendais j'me foutais pas mal de ce qui pouvait leur arriver mais ici y avait mes amis, et même si je les avais toujours connus défoncé bah j'avais pas envie de les voir dépérir. Je retournais mon visage face au miroir me regardant j'étais pitoyable, je soupirai avant de me repasser la tête sous l'eau, ça allait pas mieux et elle qui me cherchais. "Larbins, cons?? T'es sérieuse là??? Bordel j'suis parti parti parce que mon père était malade, j'vous aie tous prévenue et là t'es en train de me faire chier parce que je t'ai pas prévenue que j'étais revenue??? C'est quoi ton soucis ton nouveau camello (avec l'accent hispanique qui va bien) tu donne de la merde?" Je me redressais essayais de me recoiffer correctement, avant de plonger la main dans mon sac et lui trouver un sachet et de lui donner avec toute l'affection qu'elle mettais dans ses mots. "Tines cadeau de la maison. Maintenant fou moi la paix." Elle me faisait chier, elle pouvait m'en vouloir sauf qu'elle avait choisis le mauvais moment pour mes les briser, si bien que j'avais pris la direction de la porte.
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Je suis tellement butée et rancunière que je ne réfléchie pas. Quand j'en veux à une personne, je ne lui demande même pas d'explication et ça ne se fait pas tellement. Mais quand je suis dans mon truc, il est difficile de me sortir de là. Elle avait mal prit ma façon de lui parler. Normal vous me direz. J'aurai sûrement réagit de la même façon, voire pire me connaissant. Je croisais les bras et j'haussais les épaules, « Non tout le monde ne sait pas que je me drogue Alicia, merde ! ». Pourquoi ne pas le crier tant qu'elle y était ! On ne sait jamais. Autant mettre tout Harvard au courant et le Doyen avec. Et dire que j'essayais de trouver un moyen de pardonner son geste, son abandon. J'avais cette impression, en l'entendant parler, que c'est elle qui m'en voulait. Je n'avais absolument rien fait moi. Et je ne venais pas d'hurler qu'elle dealait, moi ! « J'ai aucun problème avec ça, on s'entends parfaitement elle et moi ! ». Je caressais mon sachet de poudre qui se trouvait dans mon sac à main. Comme si je caressais un chat. Alors que soyons honnête, un chat ne vous rends pas malade et vous ne risquez pas de faire une overdose avec ces petites bêtes tellement mignonnes. Mais restons dans le sujet Alicia, celui là me plaisait bien plus.
C'était comme si je venais de l'insulter en disant ce que je pensais que nous étions à ses yeux. Elle s'emportait, me rappelant la raison de son départ. En effet, j'avais peut-être oublié le détail du père malade et du coup, je me sentais terriblement conne. Elle me balançait l'un de ses sachet à la figure. Je l'attrapais avant de le mettre dans mon sac. En relevant la tête, je voyais qu'elle s'approchait de la porte. Elle allait partir. La conversation était donc déjà terminée ? Non, je ne voulais pas que ça se termine en de si mauvais termes. J'attrapais sa main et pour la première fois depuis longtemps, j'étais prête à m'excuser. « Je suis vraiment désolée Ali, j'avais oublié que ton père était malade. Mais t'es partie et ça m'a fait vraiment mal de te perdre ! J'espère qu'il va bien... ». Et voilà que je parlais à coeur ouvert. J'ai horreur de parler de mes sentiments, que se soit avec mes amis, ma famille, Jacey. J'y arrivais seulement avec Nolwenn, ma meilleure amie, parce qu'avec elle, tout semblait tellement facile. J'en avais presque les larmes aux yeux.
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J'en avais marre d'être toujours la fautive dans l'histoire oui j'ai foutus mon année précédente en l'air, j'avais presque foutu en l'aire ma vie et je m'étais démerdé toute seule pour essayé de m'en sortir, oui j'avais dus faire une croix sur mes amis, que ça avait pas dus être facile pour eux, comme ça avait été mon cas avec la disparition de Bat' et de tout les autres, qui était parti sans rien dire, j'avais pas fait ma pute non plus ils étaient tous au courant de mon départ, oui je les aie laissé tombé mais j'en avais marre c'est tout. J'prenais du temps pour moi c'est ça qu'on me reprochait. Allez tous vous faire foutre merde.  "Mais arrête de te cacher ça sers à quoi franchement, ça se voit comme le nez au milieu de la figure que t'es raid, assume." J'avais un comportement de pure égoïste j'le savais mais j'en avais marre d'être là pour les autres, toujours tout faire pour eux pour les aider, garder leur secrets en carton, la moitié d'Harvard tourne avec la came de Romane et on va dire que y avait pas vraiment de chasse au dealer et aux consommateur donc je me fichais pas mal des retombés. Enfin bref ça me soûlais j'en avais ma claque c'est bien pour ça que je lui balançais un sachet avec nonchalance, avant de partir. Je tournais le dos prête à sortir, j'en avais marre de devoir m'expliquer sur chacun de mes choix, s'était juste épuisant, oui mon père était devenue un excuse pour qu'on me foute la paix, mais ça me soûlais, parce qu'au final ils réagissaient tous de la même façon ah oui c'est vrai, et tout revoyais tous de la pitié dans leur yeux aprés, j'en avais marre de ça. Soit tu en veux à la personne soit tu lui en veux pas mais tu passe pas du tout au tout en deux secondes, comme Jade venais de le faire. "Laisse tomber Jade, je suis désolé t'avoir fais du mal en partant, mais à un moment donné les gens ils entrent et ils sortent de ta vie c'est tout." J'avais pas forcement les idée claire non plus, j'étais perdu et je racontais n'importe quoi enfin s'était juste le flou.
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Non mais quelle pétasse cette fille, j'en reviens pas. Je ne comprenais pas pourquoi elle s'en prenait à moi comme ça. Si je voulais garder ça secret, c'était mon droit, qu'un quart ou la totalité des étudiants soient dans le même état que moi. Puis elle me soûlait à jouer les Quincy alors qu'elle n'avait rien de leur comportement. A part son soudain élan de générosité en m'offrant son putain de sachet à la con. J'avais envie de le vider en plein dans sa figure mais j'en avais besoin alors, je ne pouvais pas la gaspiller aussi stupidement. C'était une Mather, tout le monde le savait. On n'est pas dupes. Même si elle a l'air de le penser, elle. Pourquoi tout le monde pensait que c'était la pire Quincy l'an passé à votre avis ? « Quelle chieuse tu fais ! ». Emmerdeuse à souhait. Comme si elle le faisait exprès. Je ne comprenais pas son comportement. Tu l'envoyais chier et elle s'énervait, tu avais un minimum de compassion pour elle et elle t'envoyait également chier. Puis, dans mon état, fallait pas trop me chauffer, la revendeuse, ex consommatrice était bien placée pour le savoir, j'avais pas de leçon à lui faire ou lui donner là-dessus. Je la regardais de haut en bas, m'approchant lentement d'elle. J'avais envie de lui foutre un coup de boule énorme là. « C'est quoi ton putain de problème ? T'en veux au monde entier donc tu t'en prends à ceux qui t'envoient chier, à ceux qui regrettent de t'avoir fait mal, à tout le monde ? Tu te prends pour qui sérieusement ? ». Me dire que les gens entraient et sortaient de ta vie comme on mange et on respire. Je trouvais ça dégueulasse de sa part. Mon père avait fait pareil, Misha avait tenté de faire pareil aussi en mettant fin à ses jours et elle aussi en se cassant. La morale de l'histoire c'était, T'attache pas, on s'enfou, car les gens entrent et sortent de ta vie comme une fourchette entre et sort de ta bouche ?. J'étais vraiment heureuse de l'avoir retrouvée, même si j'étais en colère parce qu'elle avait déserté, la revoir à Harvard m'avait fait du bien, mais aussi tôt qu'elle avait ouvert la bouche, cette joie c'était envolée pour laisser place à une haine démesurée. « Comme si ton petit kiff était de faire souffrir ceux qui te tendent la main... ». Si c'était ça son petit délire, autant la laisser continuer sa route seule. Autant mettre fin à notre amitié tout de suite et prendre deux chemins totalement à l'opposé l'un de l'autre dès à présent.
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