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kill with love or kiss with hate, choose the good one (ponix)

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Ponix + kill with love or kiss with hate.
Ca faisait un sacré bout de temps que je n'avais pas vu Phoenix, ni même Leevy. Après l'épisode qui s'était passé dans l'appartement de cette dernière, nous avions tous fait silence radio. Phoenix, était sorti de ma vie comme il l'avait promit, et Leevy devait être bien mieux sans moi à ses côtés. Comment vous dire que depuis cet épisode saugrenu, j'étais devenu une épave, moi qui pensait être déjà tombé bien bas, je me trompais amèrement, visiblement je pouvais tomber encore plus bas. Après une soirée de débauche où je m'étais mis la tête à l'envers comme il le fallait. Prenant de la drogue, et buvant comme un trou, on pouvait dire que je n'étais pas vraiment au plus haut de ma forme. J'avais jeté mon dévolu sur un grand homme mystérieux, il n'avait pas cessé de me regarder toute la soirée et j'étais curieuse de voir la voix qu'il avait. Oui, oui sa voix et pas autre chose. Je m'approchais alors de lui, tout se faisait dans la rue et une fois arrivé à sa hauteur je lâchais un : Salut. Avec un sourire glissé dans le coin de mes lèvres, sourire charmeur qui voulait presque dire " Déshabille-moi ". Mordant ma lèvre inférieur en l'observant avec mes prunelles noisettes, j'entendis des hommes se battre dans une impasse adjacente. Fronçant les sourcils, je m'avançais alors dans ladite rue et observait un pistolet qui venait de voler jusqu'à mes pieds. Penchant la tête sur le côté, je m'abaissais et attrapais l'arme entre mes doigts fins. Je lâchais alors un rire en observant l'arme. Hum, vraiment intéressant. Je m'avançais alors vers les deux hommes qui se battaient, l'un d'eux essaya de récupérer son arme. Avec ma main libre, je fis non avec mon index. Tut tut tut. Pas touche. Je penchais la tête sur le côté. Est-ce que tu sais ce que ça fait d'avoir un flingue posé sur la tempe ? Lorsque tu vois ta vie défiler devant tes yeux parce que tu penses dur comme fer que tu es entrain de vivre tes dernières secondes ? L'autre homme qui s'était fait tabassé en profita pour partir en courant, alors que moi je m'avançais vers l'homme pointant sa propre arme sur sa tempe. Mon regard sombre l'observait et chercher à percevoir une quelconque once de peur dans son regard.
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Nuit noire de novembre sur Cambridge, fin prêt à tuer la personne face à moi. Un sourire narquois et menaçant se dessine sur mes lèvres alors que ma future victime me supplie de ne pas le tuer, et dans ces cas là je n'ai vraiment pas envie de m'embêter, alors je tire sans réfléchir et le laisse crever sur le sol. Une fois tué, je m'en vais et remets les pieds dans la rues un peu plus éclairées, mon chien sur mes talons. Je m'allume une cigarette pour me détendre après avoir rangé mon arme dans ma ceinture. Apocalypse me suit au petit trot, fier d'être à mes côtés. Ce canidé est vraiment fidèle, et je dirais qu'il fait parti entière de ma vie, c'est ma deuxième passion après la mafia. Perdu dans mes pensées, un point douloureux s'empare de mon coeur quand l'image de Poppy effleure mon esprit. J'ai dit que je sortais de sa vie et pourtant je n'en ai même pas la force... Mais c'est comme ça, et mine de rien je commence à l'oublier même si oublier signifie juste : éviter d'y penser. Alors que je ne fais de mal à personne, un homme tout courant et apeuré ose me heurter. Directement la rage monte en moi, je grimace, jette ma cigarette sur le sol et fais signe à mon Berger Allemand d'attaquer. Ce dernier court vers ma future victime, l'attrape à la cheville le faisant chuter. J'arrive à sa hauteur et l'inspecte de la tête aux pieds, constatant qu'il est déjà bien amoché. « On dirait que ton portrait est déjà refait. » plaisantais-je en le prenant par le cou après que mon chien ait relâché son étreinte. Je lui fous un coup de poing dans le nez « Juste parce que tu m'as poussé. » Je sors mon arme, et la pointe sur son coeur, et sans aucune hésitation j'appuie sur la gâchette et entame mon deuxième meurtre de la soirée, comme on dit jamais deux sans trois ! « Et ça juste parce que je suis de mauvaise humeur. » Je fais un petit sourire, content de ma réplique même si de là où il est ce crétin ne m'a pas entendu. Seule chose que je me demande..un autre débile se balade aussi, car mon cadavre ne s'est pas fait ces blessures seul, à moins qu'il soit atteint d'une maladie grave, enfin la débilité en est déjà une. Je reprends ma route après avoir sifflé mon chien pour qu'il me suive. Alors que nous passons devant une petite ruelle, il se met à aboyer.. Il n'aboie jamais pour rien.. Je m'avance alors, gardant mon arme dans ma main. Je pourrais la reconnaitre entre mille, et Apocalypse aussi qui lui pourrait la sentir entre mille. Je grimace alors. Poppy est dos à moi elle ne me voit pas, alors je me mets dans l'ombre pour ne pas qu'elle puisse me voir, faisant signe à Apocalypse de faire de même. Elle tient une arme, a le regard féroce et j'aime ça, sauf que ça ne lui ressemble pas. Je tente de voir qui est en face d'elle, et là je manque de déglutir.. C'est Harry, l'un de mes hommes, à genoux sur le sol priant Poppy des yeux pour ne pas qu'elle tire. Et l'homme qui m'a heurté il y a peine cinq minutes était sa victime à lui... Je suis une fois de plus dans le pétrin. Je montre alors mon visage à Harry et son visage s'éclaircit, il pense que je vais tuer Poppy.. Tuer Poppy ? Non ! Je me remets dans mon coin lorsque Poppy regarde derrière elle, pour qu'elle ne voit personne. Je fais un hochement de tête à Harry afin de lui faire comprendre de se laisser tuer, enfin je veux surtout voir si Poppy en est capable. Mais cet énergumène comprend tout de travers, il attrape Poppy, sort une autre arme et la pointe sur sa tempe. « Tu fais moins la maligne » Et là mes muscles se crispent, lorsque Harry claque deux fois des dents, qu'il se mouille les lèvres et qu'il renifle c'est qu'il va tirer et je n'ai qu'une fraction de secondes pour tirer avant lui. Dès lors où il fait son premier claquement de dents, je lui tire une balle juste au dessus du coeur sans pour autant le tuer mais juste le faire chuter. Poppy, choquée se demande d'où peut provenir le coup de feu. Alors bien que cela fasse quelques semaines que je ne l'ai pas vu et malgré ma promesse je sors de mon ombre sans pour autant lui adresser un regard, me dirigeant vers le corps d'Harry qui agonise. « Pourquoi t'as joué au con ? » lui dis-je, avant de lui tirer une balle au milieu du front. Je reste alors planté devant son corps inerte, sans adresser un seul regard à Poppy, qui fut -et qui est-, la seule pour qui je puisse éprouver quelconque sentiment.
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Les récents évènements de ma vie, n'étaient pas ce qu'on pouvait appeler être " les meilleures années de ma vie ". En effet, après de nombreuses disputes avec les personnes qui avaient pris une place importante dans ma vie, je m'étais laissé sombrer peu à peu dans la débauche. La noirceur s'était emparée de tout mon être, mon esprit qui été devenu faible, rétrécit et indolore ne m'apportait plus le bon temps que j'avais pu prendre par le passé. Je sentais qu'une part de moi s'était échappée, qu'une épine s'était enfoncée dans la plante de mon pied, qu'aucun moyen n'était possible, qu'aucune échappatoire ne pouvait me faire disparaître de cette situation morbide dans laquelle je m'étais embarquée. J'étais au fond d'un tunnel, d'un puits sans aucune once de clarté. Après la dispute que j'avais eue chez Leevy, le fait qu'elle me demande de disparaître de sa vie et que Phoenix me précise qu'il en ferait d'autant avec la mienne, me semblait être un épisode si lointain. Comme un écho, d'un passé incertain qui me mène à un futur sans joie, sans bonheur et sans espoirs. Phoenix avait tenu parole, je ne l'avais plus revu et le fait de savoir qu'une personne qui était devenue aussi chère à mes yeux, disparaitre de la sorte, me procurait un trou béant dans mon organisme. Je savais qu'une part de moi, m'avait été arrachée et qu'il n'y avait aucun point de retour possible. Il s'était joué de moi, et malgré l'attachement que j'avais finalement pu ressentir à son égard, chaque matin quand je me réveillais, je me demandais si ce que je ressentais, si ce même attachement avait été bien réel, ou si au contraire, il n'avait été que comédie du début à la fin. Je n'avais plus de buts précis, mes journées étaient ternes, je m'étais même surprise à ne plus me rendre à mon travail, bien trop occupé à me détruire la santé avec les premiers venus. L'alcool, la drogue et le sexe faisait désormais partie de mon quotidien, j'étais devenue en peu de temps, l'ombre de moi-même. Je ne savais plus qui j'étais, comment j'allais réellement, même si au fond, mes récents agissements concernaient essentiellement le fait que je veuille reboucher cette douleur qui me prenait constamment dans l'estomac. Je voulais retrouver de ma joie d'avant, du bonheur de la vie que j'avais pu vivre au cours de ma courte existence. Le fait de constater que j'avais totalement perdu pied et que je ne pouvais rien y faire, me faisait mal et l'attitude que j'avais pu adopter cette soirée, ne ressemblait en rien aux valeurs que j'avais toujours défendues, mais qui aujourd'hui ne m'allait plus, ne me ressemblait plus. Je... Je ne sais pas, non. L'homme sur qui j'avais pointé mon arme, avait un air de supplication placardé au visage, me regardait comme-ci il voulait me pousser à ce que j'abandonne mes menaces. Mais je ne le voyais pas de cet œil-là, j'avais besoin de me lâcher, d'extérioriser tous mes démons qui s'étaient pendant toutes mes années, accumulés au plus profond de moi. J'avais l'impression qu'ils ne demandaient qu'à sortir que maintenant, et le regard sombre que j'avais posé sur ma " victime " si c'était comme ça que je pouvais la qualifier, prouvait que j'étais prête à tout ce soir. Même si je n'étais pas une meurtrière, même si tuer ne faisait pas partie de mon vocabulaire, ce soir, pour moi, tout était permis et rien, ni même personne ne pouvait m'arrêter. Du moins, c'est ce que je croyais fermement. Alors que j'aperçus le regard de mon adversaire s'orienter dans un coin sombre de la ruelle, je fronçais les sourcils. Je me sentais observée, mes mains étaient moites et j'avais cette impression constante que notre conversation ne se faisait plus à deux, mais à un petit groupe restreint. Je me doutais bien que je découvrirais bientôt l'identité de la personne qui se trouvait dans mon dos, et il ne fallut que quelques secondes d'intervalles afin que mon inattention et mon manque de prudence, ne me fasse comprendre que mon interlocuteur avait repris le dessus sur ma personne. Je n'aimais pas cette situation et l'aura sombre que j'étais en train de dégager lui aurait suffit à lui faire comprendre que j'étais prête à lui ôter la vie. Mais c'est à ce moment-là qu'un coup de feu retentit, que la voix de Phoenix, voix que je ne reconnaissais que trop bien, s'éleva dans le vent, tel un murmure à peine audible. Il était là. Mon cœur loupa un battement, et j'en oubliais même de respirer. J'étais partie dans une spirale qui me détruisait un peu plus, mais qui arrivait également à m'apporter la chaleur dont jamais si longuement rêvais depuis ces dernières semaines. Alors qu'il acheva l'homme qui m'avait menacé quelques secondes plus tôt, je lâchais dans un souffle, presque perdue. Phoenix... La simple évocation de son nom, n'arrivait même pas à me convaincre qu'il était là. Qu'il était à côté de moi, tout prêt et qu'il suffisait de me redresser pour sentir son souffle chaud, dans le creux de ma nuque. Je me redressais alors, avec une extrême lenteur, mes yeux habituellement plus clairs, mais qui étaient relativement noirs cette nuit, se posèrent sur lui. Un frisson me parcourut l'échine et j'avais l'impression de me retrouver dans un rêve. Était-il vraiment là, ou mon subconscient me jouait-il de nouveaux tours ? Je m'approchais alors doucement de lui, me plaçant derrière sa personne. Je me surpris à baisser mon regard vers son buste, et le souffle toujours coupé, je posais mes doigts sur son dos, comme pour bien me convaincre qu'il était ici. Lorsque mes doigts fins touchèrent enfin la personne que j'avais tant espéré revoir, mes lèvres s'entrouvrirent, comme-ci je m'autorisais enfin à reprendre mon souffle, à respirer un grand air pur qui me serait bénéfique. Mais ce n'était qu'illusion, il m'avait promis de disparaître de ma vie et je respectais cet instant de sincérité qu'il avait pu avoir à mon égard. Je laissais alors mon bras lourdement retomber le long de mon corps puis je me reculais de lui, incertaine. Devais-je le remercier pour le fait qu'il est tué cet homme qui m'avait menacé un peu plus tôt ? Où devais-je seulement rester silencieuse afin qu'il ne prononce à mon égard, qu'un simple petit mot ?

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La vie est faite de choix, et quand tu es confronté à plusieurs choix tu dois vite prendre ta décision pour ne pas te laisser dépasser par les évènements. Moi j'y arrive, enfin de manière générale. Avant d'être planté dos à Poppy j'avais le choix. J'aurais très bien pu ne pas tuer le type qui m'a bousculé comme j'aurais très bien pu ne pas m'avancer près d'elle. Mais notre destin est écrit, nous ne sommes même plus maitres de nos actes, se sont nos actes qui nous dominent. Je ne regrette pas ma décision d'être arrivé près d'elle, d'avoir tué l'un de mes hommes parce que c'était nécessaire. Je garde le regard baisé envers ma nouvelle victime. Je l'aimais bien en plus.. Mais il aurait dû faire attention, et n'aurait pas dû pas dû toucher Poppy et à l'heure actuelle il serait encore en vie. Je n'ai toujours pas affronté le regard de la Silver, elle doit penser que je ne suis pas réellement là, que je suis juste un fantôme du passé, qu'elle se rassure je pense la même chose. Je me demande si ce n'est pas encore une de ses filles avec qui je couche mais qui lui ressemblent comme deux gouttes d'eau. Je relève la tête et plante mon regard dans le mur de briques. Puis elle évoque mon prénom, j'eus un coup dans le coeur. Le souvenir de son souffle coupé lorsque nos corps s'entrelaçaient comme deux âmes perdus me revient en tête. Je ferme les yeux et me mords l'intérieur de la lèvre, sentant le coup de sang couler dans ma gorge. Puis je sens ses fins doigts dans mon dos, et mon corps se crispent, ne sachant même plus comment je dois réagir. Face à elle je suis faible. Je tiens toujours mes promesses, et je dois dire que celle que je lui ai promise de tenir est bien la plus difficile que j'ai eu à faire. Je repense alors à ses mains qui m'ont autrefois touchées, autrefois caressées, et autrefois enlacées. Cela me déchire le coeur mais je reste de marbre, et ne parle toujours pas. Il faudra bien que je sois face à elle un jour. Alors je reprends un air hautain, un visage dénué de toute émotion et me retourne pour enfin plonger mon regard dans le siens. Physiquement ça me déchire j'ai juste l'impression de recevoir pleins de balles dans le corps, j'ai envie de crier, de hurler même avec tout ça je reste stoïque. Dans le silence de la nuit, ma voix froide se fait entendre « Je t'avais promis de disparaitre. Les circonstances nous ont fait nous retrouver, mais ce n'est qu'éphémère. » J'arrive à mettre mes émotions de côté, et même si j'ai l'air de ne rien ressentir pour elle, intérieurement je ne souhaite qu'une chose attraper ses lèvres et ne jamais les lâcher. Je m'approche un peu plus d'elle, sentant alors sa respiration. Je tente de tendre l'oreille pour entendre les battements de son coeur,, et tout comme moi ils sont rapides. J'aurais aimé sourire face à cette écoute, mais c'est impossible. Je regarde le corps inerte derrière moi, puis regarde Poppy de la tête aux pieds. Elle ne va pas bien, à en voir son teint blafard, ses yeux tristes et ses joues maigries je comprends qu'elle n'est pas prête d'aller mieux. Est-ce par rapport à Leevy, ou moi, ou les deux ? Autant ne pas me poser de questions, et quitter les lieux aussi vite que je suis arrivé. « Prends soin de toi, et arrête les bêtises. » Un dernier pas, et je pose ma main sur sa joue, et mes lèvres sur son autre joue humant son odeur. Je la relâche aussitôt, la regarde une dernière fois. C'est tellement douloureux, et je ne comprends pas qu'une femme puisse me faire cet effet. Il faut que je me reprenne en mains, je n'ai pas le temps de rencontrer des faiblesses, et je ne peux pas me permettre d'escalader mon degré émotionnel même si ça me fait un bien fou.
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Je n'avais pas imaginé un seul instant retomber aujourd'hui sur Phoenix. Comme je me repassais sans cesse la scène où il me promettait de disparaître de ma vie, dans ma tête. Et pourtant à cette heure tardive, il était là, planté devant moi, presque comme un piquet, se demandant probablement pourquoi le hasard nous avait faits nous retrouver ce soir. De cette manière, il pouvait voir mon état déplorable et j'en avais presque honte. Les poches et les cernes sous mes yeux étaient signes précis que je dormais peu et que je passais mon temps à faire la fête afin d'oublier les récents évènements intervenus dans ma vie. Leevy oui certes, mais surtout la promesse de Phoenix. Inutile de vous dire le nombre de fois où ses mots me sont repassés en boucle dans la tête, me déchirant un peu plus le cœur à chaque fois. Et pourtant, je savais que tout ça était de ma faute, que c'était à cause de moi s'il avait fait cette promesse, juste après que je lui avais craché à la figure, précisant que je ne le voulais plus dans ma vie. Et pourtant même sur le moment où j'avais prononcé ces mots, je ne savais pas si je le pensais sincèrement, puisque savoir que ça faisait autant mal, n'était pas chose normale. Il m'avait tout de même manipuler afin de faire souffrir ma meilleure amie, il m'avait fait ressentir des choses que je n'avais pas ressenties depuis longtemps et je le détestais encore plus pour ça. Je voulais crier, le frapper, extérioriser tout ce mal-être que je pouvais avoir en moi à cause de ses plans, mais aussi de notre séparation, et pourtant, je n'en fis rien. J'avais une main posée sur son dos comme pour m'affirmer de sa réelle présence à mes côtés ce soir. Il ne semblait pas réagir, est-ce que c'était parce qu'il ne ressentait rien pour moi ou qu'il essayait en vain de se contenir ? Mon esprit laissa alors place aux doutes et je mordis ma lèvre inférieure, me traitant intérieurement de débile finie. Il se retourna alors pour enfin me faire face et son visage impassible me déchira le cœur. Je me reculais alors de lui, le laissant me toiser presque avec dégout. Je déglutis alors difficilement et baissai mon regard vers le sol, je n'avais pas le courage de soutenir ses prunelles qui me déchiraient un peu plus à chaque seconde qui s'écoulaient. Il m'avoua que notre rencontre d'aujourd'hui n'était qu'éphémère et que ce n'était que par pur hasard que le destin avait décidé de nous réunir. J'inspirais alors profondément, le visage toujours orienté vers le sol, je fermais les yeux comme-ci je m'autorisais un moment de répits, avant qu'il ne disparaisse une nouvelle fois de ma vie. Il allait partir, sa dernière phrase laissée en suspens mettait parfaitement en avant le fait qu'il allait quitter les lieux et qu'il allait me laisser ici, seule, avec un cadavre. Je déglutis alors une nouvelle fois avec difficulté, je ne savais pas comment mon corps et mon esprit pouvait endurer autant de souffrances. Il m'embrassa alors la joue et mon cœur eut un nouveau loupé, un de mes poings se serra alors, comme-ci il me permettrait de me contrôler d'un quelconque acte débile. Attends. Je relevais alors le regard et le toisais, un sourcil arqué, la voix tremblante et faible. J'allais lui dire tout ce que je ressentais, tout ce que je pensais de lui dans les moindres détails afin qu'il sache mes véritables sentiments. Merci. Mais je n'avais pas pu. Je le remerciais pour avoir tué cet homme qui m'avait menacé quelques minutes plus tôt, puis je détournais le visage sur le côté, fuyant une nouvelle fois son regard.
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Je suis là prêt d'elle, j'ai juste envie de déployer mes ailes et de l'emmener dans le ciel. Je suis dans mon océan de secrets, même si je suis près d'elle, face à ses prunelles noisettes. Je n'arrive plus à l'observer, pourtant mon coeur bat pour elle et je repense à nos ébats sous la couette. Je suis le mal en personne, indigne de confiance. Pourtant le nom de Poppy sonne, même durant ma somnolence. D'ailleurs je ne dors plus, je n'y arrive plus, c'est comme une nuit qui n'est pas étoilée, sans elle je me sens laid. Poppy c'est l'incarnation de la perfection, c'est ma propre tentation. J'ai toujours envie de la protéger, mais je l'ai trop de fois piégé. Cependant je n'ai pas de regret, c'est mon destin, c'est écrit sur les lignes de la main. Je souffre le martyre en étant ici, il faut que je parte et sois loin de ma Poppy. Alors que je suis prêt à quitter les lieux afin de lui faire mes adieux, elle me retient, me tend sa main. Toutefois j'ai le regard baissé, ne voulant rien affronter. Elle me remercie, et comme un con je souris. Une dernière admiration puis c'est l'ultime séparation. C'est douloureux, tellement affreux, que j'ai envie de me tirer une balle, me sentant comme une rafale. Je détourne les yeux, et quitte enfin les lieux. Je ne me retourne pas, pourtant j'en ai envie, pourtant je ne désire que ça car je veux revoir Poppy. Je croise quelqu'un sur mon chemin, je sors mon arme et sans réfléchir le tue. Le pauvre il n'a pas été malin, mais je suis perdu. Perdu dans mes sentiments car je l'aime éperdument. Je cherche ma voiture, mais en tête j'ai le mot "enflure". Ce que je suis, c'est gravé en moi. Je suis ce que je suis, mais espère demeurer roi dans son coeur, qui a jamais ne meurt. Le coeur de Poppy rempli de chaleur que je ne voulais pas briser, mais à force d'être trop charmeur c'est ce que j'ai fait. En la perdant j'ai perdu une partie de moi, elle a tout pris dans un monde ici bas. J'ai retrouvé ma lamborghini où une fois; me souviens j'y avais emmené Poppy. Je me mets au volant, sers les poings et ses les dents. Je claque mon front sur le klaxonne, et le bruit strident résonne. Je fais démarrer le moteur, et sans hésiter pars loin de ce malheur. Je roule comme un fou, plus vite qu'un loup. Je roule comme un con, plus fort qu'un lion. Mes blessures seront continuellement ouvertes, et je me répéterais sans cesse les images dans ma tête. Au bout d'un moment je comprendrais peut-être, qu'il faut qu'elle sorte de mon être. Alors qu'elle et moi savons qu'elle est dans mon esprit, et que pour elle je donnerais ma vie.
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