K. Neylan Strudwick ► Tyler Hoechlin

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nothing et j'ai l'âge de conduire. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à je ne sais plus, je le connais depuis longtemps.  J'aime ce forum et tout ce qui va avec alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Tyler Hoechlin comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ je m'adapte à la personne avec qui je RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ I'm Back.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Je m'appelle Kenzo Neylan, mais appelez-moi Neylan, je suis né à New York le 11 mai 1987, c'est là seule chose que je connais de ce jour, puisque je suis né sous x. Ma mère biologique à préférer me laisser aux services sociaux que d'assumer son rôle de mère, la seule chose qu'elle a exigée c'est de me laisser ces prénoms . Je pourrais savoir les raisons de son abandon sur la lettre qu'elle m'a laissée le jour où elle m'a abandonné mais je ne l'ai jamais ouverte, se doit faire maintenant 9 ans que je l'ai avec moi, mais je n'ai jamais eut le courage de l'ouvrir. Je ne suis pas resté longtemps à l'orphelinat, puisqu'un couple a craqué sur le petit homme que j'étais, la famille Strudwich, c'est là que ma vie a commencé à devenir un enfer.
Lorsque je suis arrivé dans cette famille, elle était déjà composée d'une petite fille d'un an, Spencer. Puis quatre ans après Alexander nous a rejoints. La famille Strudwich, était aux yeux du monde extérieur une famille parfaite, avec deux parents merveilleux qui selon les gens avaient le coeur sur la main et une âme charitable. Mais c'était tout l'inverse puisque derrière ce sourire si angélique se cachaient de vrais monstres. Une fois la porte de la maison fermée, l'enfer commençait. Une famille adoptive qui avait pour hobby maltraiter les enfants qui se trouvaient chez eux. Pour ma part cela a commencé lorsque j'avais 3 ans, très vite j'ai appris à rester sage, à ne pas faire de bruit, à dire merci et s'il te plaît, ne jamais dire de gros mots, à jouer dans le silence et surtout à toujours faire bonne figure devant les autres. Si j'avais le malheur de montré qu'une petite trace de tristesse sur mon visage, c'était la correction assurée lorsque nous rentrions à la maison. J'en garde de très mauvais souvenir et surtout des traces sur le dos, entre coups de ceintures, brûlures de cigarettes. Petit les marques qui se formaient ne se voyaient pas sous les habilles et puis au pire si quelqu'un en remarquait, je savais mentir, j'avais tellement peur de me faire corriger en rentrant que j'avais appris à mentir sur les vraies raisons. C'est seulement en 1998 que le cauchemar s'arrête, puisque Alexander est conduit à l'hôpital pour un bras cassé, les médecins ont alors compris qu'il se passait quelque chose de pas claire dans cette famille, c'est en auscultant les autres enfants et moi qu'ils ont très vite fait le rapprochement. Nous avons alors été retirés de cette famille et tous séparés.

J'ai onze ans lorsque je me retrouve de nouveau à l’orphelinat, mais pas pour longtemps puisqu'un couple d'une trentaine d'années m'a adopté. Les Goodman, un couple parfait pour me reconstruire selon les services sociaux. Ce couple savait mon passé et c'est donc à Buffalo que j'ai grandie dans cette famille, qui n'est pas du tout ordinaire. En effet Stan, mon père adoptif, est l'un des descendants de Martin Goodman, le créateur des Marvel, autant vous dire que je suis tombé dans une famille riche et surtout pleine de talent. D'ailleurs mon Stan ma donné le goût du dessin et Lydie le goût de la photographie.

À me sont arrivés à Buffalo j'étais un enfant peureux qui se méfiais de tout, j'avais peur de chaque geste de mes nouveaux parents, je ne suis pas parlé durant presque 6 mois, j'étais tellement traumatisé que j'étais devenue un enfant renfermé. C'est Stan qui m'a beaucoup aidé, il m'a initié au sport de combat et j'ai contre toute attente adoré la sensation que me procurais de taper dans un sac. J'ai me suis entrainés durant ces six mois et tous les jours, cela m'a permis d'extérioriser toute cette haine que j'avais en moi. Puis un soir alors que Stan me récupère à l'entrainement, je me suis effondré dans ses bras en pleure et je lui ai raconté ce qu'il voulait entendre. C'est depuis ce jour que je me suis promis de ne jamais pleurer de nouveau, les Strudwick m'ont détruit mais ils n'auront plus mes larmes.

Ma nouvelle famille était vraiment au top, j'avais une grande famille et qui m'a apporté tout l'amour qui me manquait. Bien que je sois heureux j'avais tout de même le manque de mon frère et ma soeur, nous étions tellement proches que la séparation a été brutale, Lydie à essayer de les retrouver pour que nous puissions se revoir mais rien à faire, ils étaient introuvables et par mesure de sécurité et de secret professionnel les services sociaux non jamais voulus dire où ils se trouvaient.

À l'âge de 17 ans, j'ai commencé à tenir un cahier de dessin que personne n'a jamais vu puisqu'il s'agit de dessins de ma vie, certaines personnes tien un journal intime afin d'écrire ce qu'il ressente et ce qu'ils vivent, moi c'est en dessinant que je m'exprime. La photographie est aussi une passion qui me permet de m'exprimer librement, le sport c'est ma façon d'extérioriser.

À 19 ans, Stan me propose de m'inscrire à l'université d'Harvard afin d'améliorer mes talents et surtout pour avoir un avenir prometteur, bien que j'aie pu reprendre l'entreprise Marvel à ma majorité comme lui a fait, mais il préfère que je fasse mes propres choix. J'ai donc décidé d'aller à l'université, d'obtenir mon diplôme et de travailler à ses côtés.

Cela fait 8 ans que je suis à Harvard et que j'ai miraculeusement retrouvé mon frère et ma soeur. Aujourd'hui je suis un homme comblé.