Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEst ce qu'on aura une fin un jour? Tralicia
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Est ce qu'on aura une fin un jour? Tralicia

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Pourquoi il était là en bas de mes escaliers, les yeux de mon pères que je sentais dans mon dos, remplis de questions et de réflexion, s'demandant pourquoi sa fille connaissais ce mec. Ouai 'Pa lui c'est le gars qui m'as détruit et pas qu'une fois, et pourtant il est toujours là toujours présent, j'l'oublie pas, parce j'y arrive pas, parce que je suis accroché à lui comme un putain de fossile coincé dans la roche. 'Pa j'ai jamais compris pourquoi s'gars j'l'avais dans la peau même après tout ce temps, 'Pa j'voudrai seulement arracher la partie de ma vie qui à croisé la sienne, parce que tout aurai été certainement beaucoup plus blanc. "Travis qu'est ce que tu fais là?" C'était une question qui ne demandais pas de réponse, mais pour une fois il avait p'être porté ses couilles, on fait pas des milliers de kilomètres pour simplement dire bonjours parce qu'on en a envie, parce qu'on se fait chie, nan surtout pas lui. Et quand bien même s'qu'il avait à me dire est ce que je voulais l'entendre? Est ce que j'étais prête à l'entendre et prête à vivre avec. J'étais partagé entre joie de le revoir espérant revoir un ami et passer une bonne soirée à ses côté pour juste boire et rire, et la colère de le revoir revenir avec des choses à balancer, des choses qui me fatigué avec le temps. J'avais le visage fermé, je serrai les dents la boule au ventre, avec la seule envie sentir ses bras autour de moi et l'odeur du spliff qui lui était caractéristique emplir mes narine, et plus je m'approchais moins je pouvais me contenir partagé entre une claque et un câlin, j'lui pris simplement la main pour sortir dans un coin tranquille du parc. Fallait pas qu'il y aille par quatre chemin et qu'il me disse ce qu'il voulait, ce qu'il voulait vraiment.
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Travis avait fait des milliers de kilomètres pour la retrouver. Il avait eut le temps de voir des paysages, de rencontrer des gens, et même de retrouver une fille qui aurait du être morte. Mais par contre, il avait tellement était focalisé sur son but, que pas à un seul instant, il n'avait pensé à ce qu'il allait dire à Alicia une fois qu'elle serait devant lui. Il s'en rendit compte lorsque ce fut le cas, et sentit presque la panique le gagner. Il ne pouvait pas se sentir plus con. Le regard du père d'Alicia ne l'aidait pas vraiment à parler ; Travis se fichait qu'on le juge, mais ce qu'il avait à dire passerait moyen devant un daron.
Il allait lui demander s'il y avait un coin plus tranquille mais elle ne lui en laissa pas le temps, l'entrainant dehors avec elle. Le contact avec la main de cette femme, avec qui il avait tant vécues, de bonnes comme de mauvaises choses, lui fit comme un élétrochoc, et il se réveilla de sa torpeur. Oui, parce qu'en la voyant s'avancer vers lui, il avait presque pu sentir la douleur de la claque avant même qu'elle ne le touche. Peut être était elle trop curieuse de savoir ce qu'il foutait là pour penser à le tabasser. Il reprit un peu de contenance.
« J'ai vu ton sms...»
C'était peut être pas trop mal, de commencer par là. C'était un peu elle qui avait lancé tout ça avec ses aveux.
« J'ai réfléchi quelques semaines, et j'me suis dit que, moi non plus, j'pouvais pas t'laisser partir sans rien te dire. Que t'avais le droit de savoir. Que tu devais savoir même. J'pouvais vraiment pas laisser les choses se finir comme ça. Je sais que je t'ai fait du mal, et plus d'une fois, et je vais pas te mentir, peut être que sans le vouloir ca arrivera encore, je fais peut être une erreur, mais fallait vraiment que je te parle. Et tu me connais, quand j'ai une idée dans la tête, je laisse rien m'arrêter, même pas les kilomètres.»
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Le prendre par la main s'était une preuve d'un grand contrôle pour moi, à la limite de la neutralité et encore, j'aurai pus lui dire simplement de la suivre mais non fallait que je le touche, pour être bien certaine qu'il était là devant moi, que s'était un hallucination, une dérive de mon esprit. Nan il était bien là en chair et en os, avec tout ses tatoos, et même certainement quelques uns en plus. Bordel Travis pourquoi t'es revenus, t'avais pas le droit de faire ça.
Une fois au calme j'me laissais tomber par terre, j'avais envie de fumer, bordel, il me fallait quelques chose pour me calmer les nerfs, parce que j'avais le cœur qui battait à cent à l'heure, parce que je sentais mon sang affluer dans mes tempe, parce qu'il me déstabilisais comme à chaque fois quand on avait des choses à se dire, de peur que ce soit la dernière fois que je le revois, mais est ce que ça serai pas plus mal ainsi pour nous deux, disparaître de la vie l'un de l'autre c'est la seule chose qu'on avait pas essayé. Mon sms ouai, j'me disais bien que ça pouvais être qu'a cause de ça, c'est claire que s'était lâche de ma part d'être parti et de l'avoir laissé en plan de cette façon avec ces putains d'aveux. J'lâchais un "Hum." pas tellement fière de moi pour le coup, avant d'écouter les prémisses de son histoire, qui était plutôt du blabla, mais il voulait parler et j'allais pas l'en empêcher et pour ça fallait que je prennes sur moi, fallait pas que je le presse et que malgré la rancœur je sois douce, s'était la seule façon pour avoir ce que je voulais. Je souris même a sa dernière phrase. "Ouai j'sais. Je t'écoute alors." J'étais prête à me prendre une pelleté de confession, mais j'avais tellement attendu que je pouvais pas reculer. Et puis il fallait qu'on prenne un décision.
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Elle était pas bien bavarde, mais en même temps, c'était à lui de parler pour le moment. Il sentait la tension augmenter, encore et toujours, à se demander si l'un des deux allaient pas finir par exploser. Travis sortit de sa poche un paquet de cigarette d'une marque inconnue, un de ses paquets qui dépanne en voyage. Au milieu des joints qu'il contenait, il attrapa deux cigarettes, et en tendit une à Alicia. Il aurait préféré un joint, mais avec le daron pas loin, ca le ferait peut être pas. Il pouvait pas prendre le risque de se faire virer de chez Alicia avant même d'avoir pu lâcher tout ce qu'il avait à dire.
Il gagnait du temps aussi, sortant son briquet après avoir longuement fouillé sa poche. Total impro, pour le coup, il avait du mal à savoir par où commencer. Autant laisser venir les choses comme elles le souhaitaient. Au pire, elle lui dirait si elle ne comprend pas quelque chose.
« J'ai toujours joué au lâche avec toi. Ca tu le sais, c'est pas un secret. Mais si moi même j'comprenais pas bien pourquoi à la base, j'ai pas mal réfléchi, ouais ca m'arrive. Je suis pas quelqu'un qui parle beaucoup, à part pour dire de la merde et amuser la gallerie, et ca a jamais été facile pour moi d'avouer quand je ressentais quelque chose, même quand c'est important. Au bal, j'ai pas pu répondre à ton ultimatum, parce que j'me sentais coincé, le cul entre deux chaises, et j'me suis braqué. J'ai toujours eut des sentiments pour toi, mais j'ai jamais été capable de les assumer. D'un coté je t'avais toi, et de l'autre Septembre. Et tu sais quel genre de relation j'ai avec elle.»
Il aurait donné sa vie pour Septembre. Et ca faisait tellement d'années que ca durait, qu'il jouait le meilleur ami toujours là, à ses pieds, qu'il n'avait pas pu assumer, comprendre, accepter d'avoir des sentiments pour quelqu'un d'autre. Il c'était persuadé que c'était pas possible. Même si son cœur avait toujours tambouriné pour lui dire l'inverse.
« C'était impossible pour moi de penser que j'aimais quelqu'un, quand bien même toute les preuves me disaient le contraire. Alors oui, je t'ai aimé. Et si je suis là, c'est surement que c'est pas fini.»
Il lui fallait une pause, il avait pas l'habitude de se dévoiler comme ça. Il fuma longuement, comme pour digérer ses propres aveux. Il avait cessé de la regarder dans les yeux, observant le jardin sans vraiment le voir, les yeux dans le vide.
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J'étais tellement nerveuse d'avoir enfin le fin mot de sa présence, enfin même si s'était pas compliqué à comprendre, y avais pas besoin d'avoir été à Harvard pour comprendre, je me fatiguais moi même de cette pensée. Oui j'étais nerveuse parce que je savais qu'il allait enfin parler de nous, chose qu'on avait jamais évoqué calmement, et ça me faisait peur, parce qu'il n'y aurai plus de retour en arrière après, parce qu'on allait faire un grand pas, qu'on avait jamais franchis avant, qu'on allait s'aventurer dans l'inconnue le plus complet, j'aurai même pus arracher l'herbe qui m'entourai tellement j'étais nerveuse, et lui qui retardais au possible l'instant fatidique en cherchant des clopes et un briquet. Mais fallait bien y passer. Je lui souris en remerciement attendant qu'il commence à parler, j'avais déjà le cœur qui battait à cent à l'heure et le son de sa voix au fil de son exposé me donnait chaud, si bien que j'avais même du mal à l'écouter. Il me disait des choses que je savais déjà, parce que j'étais pas stupide même si on en avait jamais parlé c'est ça le problème et c'est pour ça qu'on se retrouvais dans cette situation aujourd'hui à avoir peur de ce que l'autre allait dire ou même faire. Je savais pas quoi dire, je savais pas quoi lui répondre, je l'avais suffisamment insulté et maudit et aujourd'hui j'étais fatigué, j'avais pas envie de ça, alors je le laissais parler et certainement qu'à la fin je dirai quelques choses. Parce que si je le coupais, si je disais la moindre chose qu'il ne fallait pas qu'il interpréterai mal ou j'en sais trop rien, il pourrai très bien partir et ça je voulais pas. Alors je souriais bêtement quand il me parlait du passé et de son manque de courage si je peux dire, je tirai quelques taff sans vraiment les savourer, les yeux plantés dans l'herbe, sur un morceau de terre qui avait une forme rigolote. "Qu'est ce que tu veux faire alors??" Fis je calmement, parce que si s'était pas finis j'voulais pas de faux espoirs non plus. "On a tout essayé sauf deux choses mais tu crois qu'on est prés pour l'une ou l'autre?" A savoir s'engager ou alors s'abandonner, et des deux je savais même pas lequel était le meilleur choix.
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Ce qu'il fallait faire maintenant ? Alicia lui posait une vraie colle là. Mais c'était pas le moment de déconner. Pas le moment pour de nouveaux faux espoirs, de fausses promesses. Il n'était pas là pour ça. Travis se tut un moment, pesant le pour et le contre des solutions possibles. Bien sur, tout ne tenait pas qu'à lui, et l'avis d'Alicia comptait tout autant, mais il avait l'impression d'être le problème principale là dedans ; parce que après tout, c'était son caractère foireux qui les avaient amenés jusque là.
S'abandonner, ils avaient déjà essayé. Ca avait foiré. Ils avaient trop d'importance l'un pour l'autre, même en dehors de leurs sentiments, la profonde amitié qu'ils avaient, les liaient surement pour toujours. Il le savait, parce que à chaque fois, ils étaient revenus l'un vers l'autre. Elle était rare pour lui, car il pouvait lui parler librement, de ce qu'il voulait, de tout, elle était son bras droit, son épaule sur laquelle s'appuyer. Et quand bien même elle ne comprenait pas ses problèmes, elle le soutenait. Elle n'hésitait pas non plus à lui tenir tête, à lui dire " t'as merdé", et rare étaient les personnes à Harvard à oser hausser le ton contre lui, à le pousser à se remettre en question. Il ne pouvait donc pas la laisser partir. Mais, est si c'était mieux pour elle ? Après tout, la première fois, elle s'était trouvée un copain pendant tout l'été, avait refait sa vie sans lui, pouvait-elle le faire encore une fois ? Il ne la ferait plus souffrir au moins. Jamais.
Travis soupira, c'était un vrai casse tête.
« Ecoutes, je veux rien te promettre, mais on peut tenter quelque chose. Déjà, il faut que je retourne à Harvard à la rentré, et que je parle à Septembre, de tout. Elle mérite aussi d'avoir sa verité. En attendant de voir où sa nous mène, on pourrait...faire les choses sans se prendre la tête, être l'un avec l'autre posément, sans rien se promettre, et voir ce qui se passe. Parce que, je suis pas prêt à te laisser partir à nouveau. J'ai besoin de toi à mes cotés. Mais je refuse de te faire du mal à nouveau. »
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"J'retourne pas à Harvard moi!?!" Rien qu'il avait prononcé ce mot ça m'avais fait comme un électrochoc, comme une douleur qui se réveille un jour de mauvais temps. Ca c'est clair je voulais pas refoutre les pieds là bas, trop de mauvaise chose, mais en même temps, si je voulais être avec lui j'allais pas avoir le choix, parce que je le vois mal rester ici pour x raison, même si s'était moi, même si s'était pour être avec moi. Alors s'était ça son truc il était venue me chercher pour me ramener en fait. J'me redresser pour le regarder. "Travis y à pas que pour toi ou à cause de toi que je suis parti d'Harvard, t'as vus ce que je suis devenue? A quel point j'ai changé? C'est p'être égoïste de ma part mais regarde ça..." J'lui montrais ma cicatrice qu'il n'avait jamais vus et dont je lui avais jamais parlé "... Ca c'est Harvard, Harvard que je pourrai pas oublier parce que c'est graver et que ça s’effacera pas, j'ai fait du tord à trop de monde, et mal à trop de monde, je suis passé par tout les états possible et imaginable en à peine un an, j'veux plus remettre les pieds la bas, même si t'es là pour me soutenir que certain me pardonneront peut être d'autre non, mais j'veux pas redevenir la fille que j'étais là bas." S'était peut être trop catégorique, mais j'voulais pas y retourner, si s'était pour avoir des angoisses, recommencer à boire, ou m’enfiler des rails, redevenir dépendante d'une quelconques substance, j'en avais aucune envie, j'vivais ça par procuration, sans parler de la dépression et de l’anorexie, s'était bien mieux comme ça. Égoïste mais mieux pour moi. Il voulait pas me laisser partir mais si je rentrais pas avec lui alors ça se passerai comment? Parce que je le voyais mal rester ici. Est ce qu'il essaierai de se battre pour m'y faire retourner?? Est ce que pour une fois on échangerai les rôles et se serai lui qui me dirai et me pousserai à faire à faire le bon choix à s'opposer sans me prendre par les sentiments?
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Travis fut un peu surpris de l'élan qu'eut Alicia tout a coup. Elle lui avait à peine laissé le temps de finir, qu'elle refusait déjà de le suivre. Il s'y attendait quand même un peu. Il savait bien qu'il n'était pas le seul problème de sa vie, il n'était pas égocentrique à ce point là, mais ne se doutait pas de tout ce qu'elle avait subi. Certaines choses oui, mais d'autres étaient encore dans l'ombre.
En voyant la cicatrice, Travis préféra ne pas avoir de réaction ; il n'était pas un homme qui jugeait. Même si cela lui faisait mal de voir ça. Il s'en voulait d'autant plus de ne pas avoir été assez présent. Ca lui apprendra à avoir prit du temps pour penser à lui ; il n'avait pas pu être là pour ceux qui comptait.
« Rien ne dit que tu le reviendras. Tu peut faire les choses différemment et être une autre. Et j'casserais la gueule au premier qui essaie de te refaire tomber là ou tu étais. Moi le premier.»
Travis attrapa la main d'Alicia, jouant avec ses doigts, sans la regarder dans les yeux. Il avait toujours cet air sévère quand il réfléchissait, à croire que si on le coupait dans ses pensées, il allait frapper.
« On peut...déjà essayer d'y retourner différemment.»
Dit-il en levant les yeux vers elle, puis de s'approcher jusqu'à pouvoir poser ses lèvres contre les siennes. Juste un baiser, qu'il ne regretterait pas même si elle venait à lui en coller une en pleine gueule. Il avait eut envie de le faire, et il n'était pas homme à sa retenir. Il se recula légèrement, lachant sa main, comme s'il lui laissait le choix de le frapper ou non.
« Je veux pas de forcer à y retourner. Mais à la fois, je ferais n'importe quoi pour que tu acceptes. Je suis égoïste, mais je m'y vois mal sans toi. Mais il faut que tu le fasses pour toi, je veux pas que tu retombes là dedans, et je sais que tu es assez forte pour ne pas le faire. »
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Je gagnerai quoi à rentrer? Nan pas rentrer, Harvard n'était pas ma maison, ma maison était ici auprès de ma famille de sang, Nan je ne voulais pas repartir, même si s'était pour être avec lui dans ses bras, avoir son corps contre le mien autant que je veux si cela était possible, s'il parvenait à changer, parce que je ne supporterai pas qu'il me fasse des promesses qu'il ne tiendrai pas, il pouvait se battre pour moi mais le premier combat qu'il devait mener s'était contre lui même pas contre n'importe quel homme de ma vie. Il était le seul responsable il devait changer, voir même rayer son côté auto destructeur. Mais s'était ça aussi qui faisait son charme. "Travis quand je dis que c'est Harvard, c'est la pression que y à là bas, je tiendrai jamais, j'me sens pas capable d'y retourner même avec toi à mes côtés..." Je restais silencieuse quand il me pris la main pour jouer avec mes doigts, je déglutis regardant ses gestes tendres, qui m'avait tant manqué, oui je retombais dans ses bras, mais.... mais j'pouvais pas, j'devais pas. "Tu veux faire les choses autrement comment? En deux ans on à jamais réussis à trouver une solution." C'est alors qu'il vint déposer ses lèvres contre les miennes, et ce que je ressentis en moi à ce moment là s'était juste indescriptible, comme un souffle de bien être et d'apaisement, qu'est ce que ça signifiait au juste? Je restait là sans bouger, à l'écouter alors qu'il venait de se reculer j'voulais juste être dans ses bras. "J'en sais rien... " C'est tout ce que j'avais à lui répondre.
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