Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityit has always been a cat-and-mouse game. (alexia)
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it has always been a cat-and-mouse game. (alexia)

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It has always been a cat-and-mouse game.


(Alexia & Scott)

Les cours de la journée n'avaient pas encore débuté et je me trouvais déjà à Harvard avec pas loin d'une vingtaine de minutes d'avance. Pour cause, j'avais eu pas mal de courrier à récupérer au secrétariat et je me devais de savourer un café avant d'entreprendre ma journée, ce que je n'avais en rien eu le temps de faire au siège de ma société, cette incompétente d'assistante me l'ayant apporté froid. Pas le temps de voir la demoiselle m'en apporter un deuxième que déjà, elle avait été démise de ses fonctions au sein de l'entreprise. Cela faisant quelque temps déjà que cette jeune femme était dans mon collimateur et un rien l'aurait fait sauter de son poste. Dommage que cela ait été pour une histoire de café gelé. Gobelet de café brulant à présent entre les mains, mon courrier, une pile de dossiers ainsi que le dernier magazine de Forbes, sur lequel je faisais la couverture, sous le bras, mes pas écartèrent sans le moindre mal les quelques étudiants se trouvant autour de moi et avide d'avoir à leur tour leur propre café. Si seulement ce breuvage venait à leur connecter les neurones, certains passeraient de cancres à génies en herbe. Cette journée parait déjà être semblable à un véritable calvaire, jusqu'à ce que mon regard vienne à se poser sur un visage bien familier. Un sourire de conquérant se dessine alors sur mes lèvres et mes pas me mènent directement jusqu'à l'étudiante que je suis actuellement en train de me dévisager. « Mademoiselle Dickins, quelle charmante surprise. », lançais-je en arrivant à hauteur de l'étudiante, ne me gênant en rien pour poser mes affaires sur la table à laquelle elle était installée et pour ensuite prendre place face à cette dernière. Une gorgée de café vint alors à me brûler les lèvres. Bien mieux qu'un vulgaire café froid, je me dois de l'admettre. « Comment allez-vous ? » Alexia Dickins, brillante étudiante en informatique et sans doute la seule élève à qui j'accordais tant d'importance. À mes yeux, cette jeune femme avait un potentiel immense qui ne devait qu'être exploité, encore et encore. Si je m'amuse à descendre en flèche la plupart de mes étudiants au vu de leurs résultats médiocres, je me dois constamment de féliciter le meilleur élément que je dois actuellement avoir au sein de cette université. Une génie en informatique et un physique à en faire trembler plus d'une en prime, je n'irais pas jusqu'à dire qu'il s'agit d'une perle rare, mais bien d'une femme qui mérite grandement à ce que je m'intéresse à elle.
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Comme elle avait un trou d'une bonne heure entre deux cours, Alexia avait décidé de s'installer tranquillement au Harvard Magazine pour travailler, en compagnie de multiples tasses de café. A vrai dire, quand elle croisa le regard de Scott, il y avait déjà au moins trois ou quatre tasses vides sur sa table. Addict au café, elle ? A peine voyons. Ce n'est pas comme si elle en buvait 5 au petit déjeuner. Elle leva donc son nez de son ordinateur précisément au moment où Scott passait par là. Scott, ou devrait on dire Monsieur Hopper, professeur d'informatique de talent et entrepreneur de génie, comme en témoignant la couverture de Forbes, qu'elle n'avait pas manqué. Il était beau, il était brillant, mais il était aussi arrogant sur les bords et traitait plusieurs de ses camarades sans ménagement. Elle l'admirait pour son travail, mais n'aimait pas ses méthodes. Elle qui n'aspirait qu'à être seule depuis que son copain l'avait larguée, se retrouva immanquablement avec de la compagnie. Génial. Elle le regarda s'installer à sa table avec un sourcil haussé et ferma son ordinateur, par politesse. "Monsieur Hopper." répondit-elle en guise de salutations. Cette fichue question de "comment allez vous". Elle n'en pouvait plus de l'entendre en ce moment, sachant que tout Harvard était au courant pour sa rupture. "Bien merci." glissa-t-elle avec un petit sourire pas très convaincu. "Félicitations pour la couverture de Forbes. Je l'ai acheté ce matin. L'article sur votre travail est plutôt élogieux. Assez mérité." dit elle avec franchise. Forcément, en tant que patronne de sa start-up, elle lisait Forbes.   
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