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this is war and I'm gonna wipe that smile off your face. (bonnie)

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This is war and I'm gonna wipe that smile off your face.


(Bonnie & Scott)

Mes pas foulent le sol d'un couloir de la prestigieuse université d'Harvard et sur mon chemin, je ne peux qu'exulter de voir les étudiants s'écarter pour mieux me laisser passer. Ma réputation au sein de ses murs n'est plus à refaire. Craint par la plupart de ces élèves pour être sans aucun doute le professeur le plus désagréable et le plus exigeant que le corps enseignant d'Harvard ait pu avoir, il en va de soit que le petit peuple ne peut se permettre de rester dans mes pattes. Ces étudiants savent très bien que je pourrais faire de leur vie un enfer s'ils venaient à faire un faux pas dans ma direction, alors mieux vaut prévenir que guérir et garder une bonne distance. Sacoche à la main, j'avance donc d'un pas décidé jusqu'à la salle informatique où un lourd silence s'instaure dès lors que je pousse la porte de la pièce. À cet instant, même Satan en personne saurait trouver un trou de souris afin de s'y terrer. Je balaie la salle d'un bref regard, ne m'attardant sur aucune personne en particulier jusqu'à trouver celle que je cherche. Le bruit de mes pas font écho contre les murs de la pièce, si bien que ce doux son donne l'impression d'annoncer la mort future de l'un des élèves présents dans cette salle. Et cela est presque véridique. « Mademoiselle Dillon, je vous prierais de bien vous rendre au secrétariat sous peu. Votre dernier devoir a été une telle catastrophe que vous avoir à nouveau dans l'un de mes cours serait une grande perte de temps pour vous, mais surtout pour moi. Je n'ai pas le temps de reprendre les bases de l'informatique qui vous sont enseignées en école élémentaire, alors merci de revoir votre orientation. » L'étudiante m'observe un moment avant de se lever de sa chaise et de quitter la pièce à se mettant à pleurer. Pauvre fille, dans un tel milieu, elle ne serait pas allée très loin et autant dire que je n'ai pas de temps à perdre avec des élèves médiocres. En plus des cours que je donne à l'université, je me dois également de faire tourner mon entreprise à plein régime. Tournant les talons, je m'apprête à quitter la salle informatique lorsque des jurons viennent à attirer mon attention. Pitié, achevez cette fille. Je m'approche finalement de la jeune femme, poussant un soupir alors que j'appuie sur un simple bouton. « Je pleure pour le devenir de l'humanité si vous n'arrivez pas à allumer cette machine. Vous êtes sans doute née à la mauvaise époque. » Allez hop, cinquième victime de la journée. Il y a des moments, je savoure pleinement ce job de professeur.
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( ft. Bonnie & Nolan )

Tourmenté par mes souvenirs, je n'avais pas réussi à trouver le sommeil. La nuit avait été longue. Pour tout vous avouez, ce genre de chose était assez fréquent. Les heures défilaient et mes yeux ne se fermaient pas. J'apprenais à vivre avec. Un peu de lecture, un peu de révision et le soleil commençait à se lever. J'avais sans doute dû dormir quatre heures. Chose qui ne passait pas inaperçue auprès des autres. Regard qui plisse, les yeux rivées sur mes poches de cernes. Une habitude qui ne me surprenait plus. Essayant de cacher ce désastre avec quelques produits de beauté, j'avais fini par prendre le chemin de l'université. L'air frais du matin venait tuméfier mes joues rosées. Après plusieurs minutes de marche, j'arrivais à l'université. Mon regard s'attarda ensuite sur ma montre " allez Brown, motives-toi " dis-je en fermant les yeux et en me dirigeant machinalement vers la salle informatique. Il me restait encore une heure devant moi pour travailler tranquillement avant le prochain court. Je me plaçais à l'écart des autres étudiants avant de me placer devant un ordinateur. Première fois que je venais ici. Mon regard se fronçait légèrement lorsque j'entendis : " Mademoiselle Dillon, je vous prierais de bien vous rendre au secrétariat sous peu. Votre dernier devoir a été une telle catastrophe que vous avoir à nouveau dans l'un de mes cours serait une grande perte de temps pour vous, mais surtout pour moi. Je n'ai pas le temps de reprendre les bases de l'informatique qui vous sont enseignés en école élémentaire, alors merci de revoir votre orientation " la jeune étudiante partie en pleurant, quel enfoiré. Ma bouche était légèrement entrouverte et mes sourcils étaient froncés. Je finis par soupirer fortement avant de finalement reporter mon attention sur mon ordinateur encore éteints. " Bordel de bouton ! " dis-je en cherchant l'emplacement du bouton pour allumer. La patience n'était pas de mise aujourd'hui. Quelqu'un s'approcha doucement de moi et alluma mon ordinateur. Je ne pris pas le temps de regarder son visage du moins pas tout de suite. " Je pleure pour le devenir de l'humanité si vous n'arrivez pas à allumer cette machine. Vous êtes sans doute née à la mauvaise époque " je finis par lever les yeux au ciel, voilà un pauvre malheureux qui arrivait au mauvais moment. Agacée, je lui fis : " Et bien... je ne vous ai pas demandé votre aide. Vous êtes bien gentil mais allez donc embêter une autre étudiante avec vos préjugés et vos idioties. " dis-je en relevant mon regard avec un sourire qui sonnait très faux. Mes yeux se froncèrent légèrement en voyant que mon interlocuteur se trouvait être le professeur qui venait de parler à cette fille. Je me tournais vers lui et lui fis : " et pour être très franche avec vous, je suis vraiment curieuse de savoir comment vous traitez les personnes que vous appréciez... voyez-vous j'aurais été à la place de cette demoiselle. Je ne vous aurais pas laissé le temps d'arborer ce sourire sadique que vous aviez en la voyant partir. " dis-je en affichant cette fois-ci un sourire de fierté. Pensait-il que je n'allais pas rétorquer... quelle drôle de penser. Harvard n'était pas une école qui me tenait à cœur en fait tout cet univers ne me tenait pas à cœur. " Mais je suis vraiment ravie de vous connaitre monsieur ! "


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(Bonnie & Scott)

Par moment, je ne cesse de me demander ce que je fais encore entre les murs de l'université. Si quatre ans plus tôt, j'étais encore l'un de ceux qui fréquentaient les bancs des amphithéâtres, cela fait presque deux ans que je suis celui qui en fréquente les estrades. À mon plus grand désarroi, à certains moments. Mon poste de PDG à la Hopper Corporation me prend déjà un temps fou, cela n'est en rien un secret, mais celui de professeur me demande clairement une forte condition mentale. Entre les nombreux devoirs que je me dois de corriger et qui me donnent envie de m'arracher les cheveux et certains étudiants ne démontrant aucun intérêt au cours, je vois tout cela comme une certaine perte de temps. Cependant, mon père ayant occupé ce post avant moi et étant décédé deux années plus tôt, je me sens dans l'obligation de poursuivre son œuvre : celle qui était de former des étudiants et de dénicher de possibles perles rares dans le domaine de l'informatique. Ainsi donc, en me comportant comme le pire enfoiré que la Terre ait pu porter, je me peux de cerner les étudiants qui sauront garder la tête sur l'épaule au cours de leur future carrière. Avoir la tête froide est une grande qualité, notamment lorsqu'on occupe un poste comme le mien. Il faut être celui qui blesse, et non pas celui qui se fait blesser. Au moment même où j'ai appuyé sur le bouton permettant d'allumer l'ordinateur, je me suis dit qu'il était grand temps que je quitte cette pièce avant de perdre encore plus mon temps, mais trop tard, il a fallu que cette étudiante ouvre la bouche afin de rappliquer, me faisant ainsi arquer un sourcil. Je ne suis en rien surpris, mais plutôt outré de l'entendre, encore et encore. Mais quand s'arrêtera-t-elle de parler ? Face à son sourire un peu trop fier à mon goût, je ne peux que froncer les sourcils et croiser les bras contre mon torse. Encore un mot de plus et je... et voilà, elle l'a fait. Paix à ton âme, jeune fille. « Pour être franc à mon tour, mademoiselle, j'estime n'avoir aucun conseil à recevoir d'une impertinente dans votre genre qui, apparemment, se fait un sacré plaisir à juger les autres de haut. » Ma langue claque, intransigeante, alors que mon regard perçant ne la quitte pas même l'espace d'une seconde. Encore une diva à en devenir qui se soit croit capable de me tenir. Petite, des étudiantes, j'en ai fait pleurer à la pelle, sans compter les nombreux employés que j'ai sous mon contrôle dans mon entreprise. « Sachez que vous n'êtes en rien susceptible de pouvoir juger mes actes au vu du bas rang que vous occupez. À mon avis, et contrairement à ce que vous pensez, vous aurez à peine survécu quelques secondes de plus que cette étudiante si vous aviez été à sa place. » Le fait que tu ais du répondant, t'aurait sauver la mise, mais que pendant un court laps de temps, pas de quoi s'en vanter cependant. Le résultat aurait été le même au final. Des pleurs, et des pas précipités se rendant vers la sortie. Ce qui se passera d'ici peu de temps, une fois que j'aurais réglé le compte de cette étudiante. « Mais soit, pensez donc ce que vous voulez si cela peut regonfler votre égo qui s'est vu être bafouillé. Un simple merci aurait fait l'affaire et cela vous aurez évité bien des problèmes. » Car tu vas en avoir, crois-moi.

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