that dog is getting on my last nerves × joanna dewan

"Ah non ! Cette fois ça va pas se passer comme ça !" C'était au moins la troisième fois en moins d'un mois que Naomi découvrait le jardin des Cabot ravagées par ce qu'elle pensait être un chien et là elle en avait la preuve sous les yeux ! Le toutou en question était tranquillement en train de mâcher ses hortensias faisant pipi au grès des bonnes odeurs qui l'inspirait. Ni une ni deux, Naomi qui avait vu sur le jardin de la fenêtre de sa chambre dévala les escaliers pour choper le clebs en question. "Viens par là sale gosse !" Le chien la regarda, l'air d'en avoir strictement rien à dire et la jeune amérindienne sentit la rage monter en elle, elle ne savait pas à qui appartenait ce chien mais elle allait lui dire ce qu'elle pensait de ses agissements et de l'éducation qu'elle avait donné à ce petit voyou. Marchant d'un pas décidé vers celui qu'on considérait comme le meilleur ami de l'homme, Naomi n'avait pas peur une seule seconde, les chiens sur son île étaient tous odieux mais on apprenait vite à les maitrisier, si vous preniez un air suffisamment mécontent généralement il ne vous attaquait pas. Du moins elle touchait du bois, ça ne lui était jamais arrivé. L'attrapant par le collier, le chien fit preuve d'une docilité étonnante ce qui surprit Naomi. "Allez viens ici, le chien, viens ici." Se penchant sur son collier, la jeune femme fut contente d'y trouver une adresse. Elle allait enfin pouvoir choper son propriétaire et lui expliquer que le jardin des Cabot n'était pas un terrain de jeu pour canins !
Par chance, ce n'était pas si loin et la jeune femme n'eut pas besoin de faire rentrer le chien aux pattes boueuses dans son audi toute preuve qui sortait tout fraîchement du garage. N'ayant pas de laisse, elle se reposa sur l'obéissance du chien qui bizarrement trottinait derrière elle sans ciller. La jeune femme rentra l'adresse indiquée dans son iPhone et en quelques minutes elle était devant la maison du propriétaire du chien. La jeune femme gravit les marches du perron et sonna, bitch face sur le visage, ça allait gueuler sur Cambridge. Une porte s'ouvrit laissant découvrir une magnifique blonde, ce qui stoppa un peu Naomi dans son élan. "Euh… Bonjour ? Je suppose qu'il est à vous, il a saccagé le jardin des Cabot pour la troisième fois ce mois-ci donc va falloir qu'on parle sérieusement là."

« LOLOOO !! Viens là ! Bordel mais où est-elle ? » Je criais pour retrouver mon chien. Je venais tout juste de rentrer dans ma nouvelle luxueuse maison qui appartenait à Elios , j'étais en colocation récemment avec lui et des autres personnes. J'avais eu finalement deux cours en moins ce matin et j'avais décider de rentrer afin de sortir ma chienne. Seulement , je ne savais pas où elle était cette coquine. Oui , je l'ai appeler  Lowell en l'honneur de ma confrérie sympathique. Heureusement n'empêche que Elios avait accepter ma chienne , car sans elle j'étais perdue , enfin pas autant , cependant , elle me redonnait le sourire en faisant la folle. Je l'avais acheter avant la colocation bien entendu , aussi il n'y avait pas qu'Elios qui payait pour le loyer , je l'aidais financièrement même si il ne voulait pas de mon argent étant donner sa fortune , seulement je n'aime pas et n'ai pas pour habitude de profiter des personnes gentils. Hors , je l'obligeais à prendre de mon argent. Toujours est il que je ne trouvais pas ma Lolo , alors je cherchais dans toute la maison , j'avoue je met énormément de temps vu comme la maison a une énorme superficie et plusieurs pièces. Je m'inquiètais , je ne la trouvais pas. Je regardais dans son bol de croquettes et d'eau , elle avait tout vider , je prenais alors ces bols et les remplissaient généreusement. Quelle gourmande celle là. Pourquoi décider de prendre une chienne? En vérité j'ai craquée sur elle à l'animalerie , j'aime les animaux et elle m'a fait de l’œil , je sais c'est étrange dit comme ça. Soudain , je sursautais lorsque la sonnerie de la porte retentit. Je cherche ma chienne , merde ce n'est pas le moment. Tant pis , on ne sait jamais ça peut être un de mes colocataires qui a oublier ses clefs , je me dirigeais vers la porte. Je l'ouvrit et découvrais une magnifique femme , je ne suis pas lesbienne , mais elle avait de quoi épater les hommes. De là , je vis ma chienne derrière elle et je la regardais perplexe reposant mon regard sur la jeune femme. Oh non , elle me dit que ma chienne avait saccager le jardin des Cabots et ce n'est pas la première fois. Je me sentais très gênée et peinée. D'autant plus que je n'ai rien contre les Cabots bien au contraire. Je fis une grimace, elle avait l'air fâchée et je la comprend. « Bonjour.... Merde ! Vraiment , je suis navrée. Je n'étais pas au courant. C'est sûrement un de mes colocataires qui a dû laisser la porte ouverte ou je ne sais pas à vrai dire... » Je ne savais pas trop quoi dire et rien n'excusait le comportement de ma chienne. Je rajoutais. « Merci de me l'avoir ramener... Je paierais pour les dégâts causés... Vous voulez rentrer? » Je criais alors à Lowell de rentrer toute de suite très sévèrement et elle comprit , elle m'obéissait. Je me décalais afin de laisser passer la jeune cabot si elle souhait rentrer.    

© toxic heart.

La jolie Cabot n'avait jamais aimé les animaux et jamais était un euphémisme. Lorsque son père lui avait offert un persan pour son douzième anniversaire, Monsieur Braxton n'avait pas mis longtemps à comprendre que sa fille détestait les bêtes à poil. Naomi les considérait comme dans des désastres ambulants, de plus elle ne leur trouvait aucun intérêt à part celui de vous pomper l'air, votre fric, et vos fils de chargeur. La seule condition qu'elle avait posée dans l'éventualité qu'on lui re-fourgue une éventuelle colocataire à la Cabot House était qu'elle ne possède aucun animal de compagnie car avec tous les efforts du monde, la jolie jeune femme était bien incapable de se coltiner un chien ou un chat, ne serait-ce qu'un hamster encore moins si ce n'était pas le sien. Alors lorsqu'elle avait vu le diable à quatre pattes en train de bouffer les hortensias du jardin Cabot son sang n'avait fais qu'un tour et elle comptait avoine le propriétaire dès qu'elle serait face à lui. Sauf lorsque la porte de la Lowell House s'était ouverte sur une jolie blonde qu'elle avait déjà vu plusieurs fois sur le campus, et que de surcroît la jeune femme fit preuve d'une gentillesse sans pareille Naomi fut prise de court. Les étudiants pour la plupart, étaient assez caractériels ici, qui dit université de l'Ivy League disait souvent forte personnalité et donc nid à problème. Mais la jeune femme qui se tenait devant elle, affichant un air profondément désolé semblait déroger à la règle en tout point. Naomi marqua un temps d'arrêt, elle n'avait même pas eu le temps de réclamer des dommages et intérêts que la jeune femme lui proposait déjà de tout payer et se confondait en excuse. En plus de ça elle la vouvoyait ! Marque de respect suprême, Naomi n'en attendait pas tant et elle eut soudainement un peu honte de sa réaction excessive. "Hum, pardon je suis désolée je me suis un peu emportée mais comme c'était pas la première fois que ça arrivait, j'ai vu rouge et j'ai pété les plombs." Se grattant nerveusement le sourcil, la jeune femme regarda le chien se réfugier derrière sa maîtresse puis déclara pour détendre l'atmosphère. "Oh les colocataires.. M'en parle pas, c'est pas tous les jours faciles n'est-ce pas la vie en communauté ?" Quant à sa proposition d'entrer, Naomi se sentit ultra mal à l'aise alors elle tenta à toute hasard. "Hum oui pourquoi pas. Cerceï-Rae Lawrence est là ? Je pourrais lui faire un petit coucou." Elle savait pertinemment que sa meilleure amie n'était jamais chez elle à cette heure-ci mais elle ne se voyait pas accepter de but en blanc cette toute fraîche invitation sans avoir de réelle raison de rentrer dans la Lowell House mais la jeune femme était tellement sympathique qu'elle se sentait obligée de fournir un effort afin de donner une deuxième bonne impression cette fois-ci. Elle avait encore dû passer pour la reine des glaces de service et pourtant ce n'était pas son intention première. La jolie blonde la laissa donc rentrer, et Naomi pénétra dans la Lowell House après avoir essuyé rapidement ses chaussures par politesse. "Ça fait longtemps que tu as ce chien ? C'est dans ses habitudes de faire ce genre de choses ?" Elle éviterait de dire qu'elle détestait les canins, que les hortensias allaient mettre ne plombe à repousser, sinon elle n'arriverait jamais à rattraper le coup.

C'est une chance que j'ai penser à acheter un collier afin d'indiquer mon adresse au cas où je perdrais ma chienne quand je l'ai acheter. J'y ai penser directement , car je ne connaissais pas encore beaucoup Lowell et je ne savais pas de quoi elle aurait pu être capable. En effet , en entrant dans cette animalerie il y a de ça un mois , je ne pensais pas craquer pour elle et donc l'acheter par la même occasion , seulement elle me faisait de si beaux yeux doux. Si j'étais entrer dans cette animalerie c'était simplement pour aider une amie à choisir un chaton , elle voulait absolument un chaton pour je ne sais quel raison , ça la fait tellement craquer , à moi aussi d'ailleurs. J'ai horreur d'imaginer le mal qu'on pourrait faire aux animaux , je refuse de l'imaginer d'ailleurs. Pour moi , c'est exactement comme un humain car après tout c'est si intelligent , ça comprend tout en moins de deux et ça obéit presque pour tout les chiens bien dressés , moi je n'ai pas eu bien besoin de le dresser. Enfin jusqu'à maintenant c'est ce que je pensais , oui il m'obéissait pour venir jusqu'à moi lorsque je criait son nom , je n'avais même pas besoin de le prononcer juste à siffler dès fois , mais là elle avait bien dépasser les bornes en saccageant le jardin des Cabots. J'en étais surprise , comment une petite bête aussi mignonne qu'elle puisse oser faire une tel chose? Un chien c'est comme un enfant finalement. Il fallait constamment bien surveiller ses moindres faits et gestes. Si ça aurait était le chien de Léonora , elle en aurait était bien heureuse et amusée de cette situation , elle qui déteste tant les Cabots , je ne sais trop pour quel raison d'ailleurs. Toujours est il que je me tenais face à la jeune cabot qui semblait surprise de ma gentillesse. C'est vrai que c'est rare que les gens réagissent avec respect dans ces temps là. Nouvelle génération , merci. J'avais cet air de désoler sur mon visage tandis qu'elle s'excusait de s'être emporter , je secouais la tête. « Je ne vous en veux absolument pas. Je comprend votre réaction. J'aurais réagit de la même façon. » Pourquoi aurais-je péter un plomb moi aussi sur la jeune femme? Puisque c'est moi la responsable du massacre , car c'est moi la maîtresse de cette chienne , qui vient de me rendre la vie on ne peux plus compliquer à présent. Heureusement que j'avait les moyens de réparer ses bêtises. Quelle idée de prendre un chien aussi? Elle comprenait de quoi je parlais quand je prononçais que j'avais des colocataires , elle devait en avoir sûrement. J'eu un sourire amusé. « Je vous le fait pas dire ! C'est la première fois que je suis en colocation , mais on peux dire que ça met de l'ambiance on va dire. Je ne regrette cependant pas cette colocation , après tout au moins je ne m'ennuie jamais. » Cette situation ne me déplaisait pas. Puis c'est moi qui avait répondu à l'annonce de l'Eliot par rapport à la colocation donc c'est moi qui l'ait voulu. Elle me demandait si Cerceï-Rae était présente, étant donner qu'elle ne fait pas partie des colocataires de cette maison , non. Je ne la connaissais que très peu , mais ça avait l'air d'être une sympathique fille , puis après ce qu'elle a vécu à la soirée du centre commercial , ça a dû être horrible pour elle d'autant plus que tout le monde le sait puisque CS a mis un article sur elle. Je n'aurais pas voulu être à sa place en cet instant , d'ailleurs personne même elle. Je secouais la tête de façon négative en la laissant rentrer. « Non désolée. » Refermant la porte derrière elle , je fixais mon chien d'un air méchant en lui ordonnant d'aller à la niche , de toute évidence il devait être puni de cette vilaine bêtise ,de toute façon il était déjà sortit finalement. « A vrai dire , je l'ai acheter il y a un mois , donc il n'est pas vraiment encore bien dresser. Je ne pensais pas qu'il serait capable d'une chose pareil ! » J'en était toujours surprise. Je rajoutais, posant mon regard sur elle avec un sourire amusé. « Franchement, les chiens c'est comme des enfants. Il faut constamment les surveiller autrement ils font des bêtises. La preuve l'en est. Je me demande dès fois ce qui me passe par la tête d'aimer autant les animaux pour acheter un chien ? J'ai déjà beaucoup de choses à penser... Enfin , maintenant que je l'ai je ferait mieux de le dresser comme il le faut. » Je marquais une pause. Je repris. « Vous voulez quelque chose à boire ? » Quand même , j'étais bien éduquée et très polie.  

© toxic heart.

Debout devant la jeune femme, sur le perron de la Lowell House, Naomi procédait à son mea culpa en affichant un air beaucoup plus doux, laissant la colère descendre. Après tout, ce n'était que des fleurs pas besoin d'en faire un drame, elle ne serait montée au quart de tour que si jamais la propriétaire avait nié les dégâts hors là cette dernière se confondait en excuse donnant mauvaise conscience à la jolie amérindienne qui s'en voulait encore d'avoir surréagis. La laissant rentrer dans la maison, Naomi apprit que Cerceï n'était pas là aujourd'hui, bon tant pis elle lui ferait un bisous à l'occasion. Après quoi, la jolie blonde lui déclara qu'elle avait acheté ce petit chien il y a un mois et qu'il n'était pas encore bien dressé, rajoutant qu'elle ne le pensait pas capable de faire une chose pareille. La jeune femme haussa les épaules. "C'est ça le soucis avec les animaux, ils sont totalement imprévisibles mais bon y'a pas mort d'homme puis elle reste très mignonne." lâcha Naomi en regardant le petit chien qui courait partout dans la maison comme si on avait mis du redbull à la place de l'eau dans sa gamelle. S'approchant du salon, Naomi regarda autour d'elle : c'était relativement en bordel contrairement à la Cabot House qui était toujours niquel. Naomi remarqua des vestiges de bières sur un coin de table basse et cela la fit sourire. Les Lowell étaient réputés pour leur côté marginal. La jolie jeune femme continua son laïus sur l'éducation des chiens comme quoi ils étaient semblables aux enfants et qu'elle allait devoir maintenant mieux le dresser. Naomi acquiesça. "Et bien bon courage !" Elle était bien contente de ne pas avoir à se soucier de ce genre de choses mais elle ne doutait pas de la capacité de la jeune étudiante a bientôt donné une meilleure éducation à son animal de compagnie. "Je veux bien un café merci." Naomi et le café, une grande histoire d'amour. Elle se passa une main dans les cheveux, légèrement mal à l'aise là debout au milieu de la salle commune de la Lowell House. "Je t'ai jamais vu sur le campus d'Harvard. Tu étudies quoi ?" Naomi n'était jamais très forte pour se sociabiliser et se faire de nouveaux amis mais la rencontre était cocasse et la Lowell avait fait preuve de tellement de douceur qu'elle lui avait donné envie d'apprendre à la connaître. "C'est marrant parce que je t'aurais bien vu chez les Cabot." Elle était grande, belle, blonde, elle aurait eu tout à fait sa place parmi les roses.

Elle complimentait ma chienne en disant qu'elle est très mignonne. Oui c'est certain mais elle l'était moins quand elle faisait ce genre de bêtises , j'aurais pu tomber sur un fou furieux qui m'aurait menacer de faire tuer mon chien ou un truc dans le genre. Non je ne regardais pas trop de film , juste que les gens d'aujourd'hui sont très étranges dans leur comportement parfois. Je fut surprise de la gentillesse de la jeune femme tout de même c'est pour cette raison que je la fis rentrer et proposais à boire. Cependant , j'avais honte de l'état de la maison , je n'avais pas eu le temps de ranger et nettoyer quoique ce soit puisque je venais à peine d'arriver , j'étais gênée , un mal à l'aise. Je fit une mine gênée avec un petit sourire. « Tout à fait. Désolée en tout cas pour cette histoire et aussi pour le bordel ! Mes colocataires ne sont pas si soignés , je n'ai pas eu le temps de ranger et nettoyer quoique ce soit... Je viens juste d'arriver. » Ensuite elle me souhaitait du courage pour le dressage de ma chienne. « Merci. » Je me passais une main dans mes cheveux. Elle me demandait un café alors je me dirigeais dans ma cuisine qui donnait un peu dans le salon finalement et une fois arrivé vers la cafetière je lui préparais son café plus un autre pour moi même , j'en aurais besoin pour ranger tout ce foutoir. Je pense que j'allais sérieusement parler avec les colocataires. La jeune cabot me disait ne m'avoir jamais vu à Harvard , j'eu un sourire amusé et légèrement timide. « Hum... C'est normal. Je suis arrivée en Juin... J'étudie le droit et la psychologie...Et vous? »  lui répondais-je d'un air timide , je pris le café qui a finit de couler et le posais sur le comptoir où se trouvait la jeune demoiselle et pris le mien. Sa suggestion par rapport à la confrérie me fit rire légèrement. « Ah oui ? C'est très flatteur ! » Je ne savais pas trop quoi répondre , ça me flattait finalement puisque les filles des Cabots étaient toutes très magnifiques et toujours à la pointe de la mode. Au finale , si les Lowells n'auraient pas voulu de moi j'aurais était dans cette confrérie , mais à présent que je suis chez les Lowells je ne voulais plus les quitter tellement que j'étais à mon aise. Je lui demandais poliment. « Si vous voulez du sucre , servez vous. » Je lui montrais du regard la boite de sucres situé proche d'elle.

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