Letícia F. Lula da Silva ► Adriana Lima

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle ookies. mais Romain fera l'affaire et j'ai 20 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à top-site il y a fort fort longtemps. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de C. Konrad Sheffield (Students). J'utilise Adriana Lima comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par (c) tumblr&bazzart. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲  Tendresse et chocolats, j'vous aimes putain.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration (?)

São Bernardo do Campo, 1991. ❀ De ce que m'a dit mon père, l’hôpital était cerné par les médias quand ma naissance à été annoncée dans les heures qui venaient, et une fois dans les bras de ma mère, mon père à été obligé de faire une interview devant les portes de l’hôpital C'est une file. Ma femme et moi sommes comblés, je vous remercie de votre patience et de votre compréhension mais je retourne auprès de ma famille. Je vous remercie. sur ces mots il était retourné à l'intérieur pour me retrouver, moi, sa petite princesse de quelques minutes, Letícia Fabíola Lula da Silva. Après cinq frères, me voilà compléter la famille, ils avaient attendus une fille depuis un certain nombres d'années, et j'étais enfin là, comblant leur bonheur. Même si mon père, Luiz Inácio Lula da Silva s'est engagé dans la politique depuis maintenant quelques années avec ma mère, Marisa Letícia Lula da Silva, je n'ai jamais manqué de leur amour, ni de rien, avec mes cinq frères, c'était obligé qu'une nourrice s'occupe de nous et elle s'exécutait à la perfection, je vivais un véritable rêve, une véritable princesse brésilienne.

Palácio da Alvorada, 2003. ❀ Je me tiens devant ce balcon qui donne sur une vue magnifique sur Brasillia, et en contre-bas, une foule immense qui s'est réuni devant le palais, le jour tant attendu par mon père, il vient d’être élu président de la république fédérative du Brésil, je n'ai que douze ans et je me tiens devant les photographes comme une vraie princesse, déjà ce contact avec les autres, cette mise en avant, cette sensation d'être le centre d'attention. Je suis aux cotés de mes frères, tenant la main de ma mère écoutant  le discours inaugural  de mon père, Bravo papa. il me prenait dans ses bras et saluait une dernière fois la foule en puissance, je me sentais puissante du haut de mes douze ans, j'étais devenu la petite fille la plus puissante du Brésil.

Palácio da Alvorada, 2008. ❀ Le temps avait passé, la petite fille de douze ans qui se prenait pour la princesse du Brésil avait prit des centimètres, de l'age et ça ne l'empêchait toujours pas de continuer à se prendre pour la reine. Dix sept-ans, adolescente qui croque la vie à pleine dent et pas que la vie, les médias ont su se régaler avec tous ces clichés où on me voit avec un garçon différent tous les jours, ça m'a valu le surnom de croqueuse d'hommes pendant un bout de temps mais je m'en fichais de ce qu'on pouvaient penser, mais dans cette période je ne pensais qu'à moi alors que derrière il y avait l'image familial, la réputation, la popularité, et avec ces articles, ces photos, je ne passais plus vraiment pour la fille du président qu'on voulait que je sois et justement mes parents allaient y remédier de manière assez radicale.  Quoi ?! C'est une blague ! je venais presque de crier dans tout le palais, oui mes adorables parents venaient de m'annoncer que j'allais devoir me fiancer pour redorer l'image de la famille, j'arrivais pas à le croire mais quoique je pense, ils étaient formels Ma chérie, on ne te laisse pas le choix, avec toutes tes folies d’adolescente, tu as attirée les médias et résultat, notre famille à perdu crédibilité, et  on ne peut pas se permettre de me faire perdre des points de scrutins. j'étais complètement en train d'halluciner, tout ça c'était pour de la politique, pour réhausser un peu plus mon père dans sa place de président Et toi Maman, tu dis rien ? elle me regardait comme si je méritais leur décision Que veux tu que je te dises ? Je vais pas te défendre alors que tu fais n'importe quoi et que tu ne penses pas à nous. j'ai le droit de faire des erreurs comme j'ai le droit de profiter de ma vie, et si je veux coucher avec autant d'hommes que je le désire, j'ai le droit mais pour eux c'est inacceptable, ce n'est pas digne de notre famille d'après les mots de mon père, la vie est vraiment injuste.

Palácio da Alvorada, 2008. ❀ Cette annonce m'a éloignée de mes parents pendant deux longs mois, je n'ai pas eu le choix, je suis fiancé bien-sûr, depuis six mois. Le pire, c'est qu'entre nous le courant passe mal, je dois dire que je ne fais aucun effort pour l'apprécier, j'en veux toujours à mes parents même si je me suis réconciliée avec eux et le pauvre en paye le prix  Mais arrête d’être aussi con ma parole, arrête de me dire ce que je dois faire, t'es personne. ça ne l'empêche pas pour autant de me montre qu'il n'aime pas se laisser marcher dessus Attention, c'est qu'elle commence à s'énerver, tu sais que t'es belle quand tu t'énerves ? une petite guerre qui dure depuis six mois entre des disputes, des provocations pour pousser l'autre à bout, heureusement quue le privé reste le privé. C'est vrai qu'au niveau public, nos familles, les médias et le reste croient que nous sommes follement amoureux, c'est sûr que maintenant que tout le monde pense qu'il n'y a plus qu'un homme dans ma vie, mon père est remonté dans les scrutins, l'image de notre famille est redevenu celle qu'elle était, ma propre image en a prit, le surnom croqueuse d'hommes à été remplacée par la princesse amoureuse, je m'en tiens à ces mensonges. Je fais bonne figure devant mes parents, si leur mentir et jouer la comédie semblent inévitables pour les combler alors je les combles définitivement.

Cambridge, 2009. ❀ J'y suis, j'ai toujours rêvé d'intégrer cette université si prestigieuse dans le monde entier, même quand j'ai postuler, j'ai été angoissée, anxieuse et stressée pendant toute l'attente et quand j'ai reçu leur lettre, clairement c'était le plus beau jour de ma vie. Je continue mes études supérieures à Cambridge, évidemment c'est un réel bonheur puisque mon insupportable fiancé reste ici pour le moment, il continue ses études ici, c'est irrévocablement le plus beau jour de ma vie. Les adieux ont été lourds, en émotions oui, quitter ses parents n'est jamais une chose facile surtout quand on est toujours resté à leurs côtés mais je garde la tête haute, je sèche mes larmes et j'embarque pour Cambridge, une nouvelle vie commence là-bas et je compte bien la croquer elle aussi à pleine dent. Depuis cinq ans, tout va pour le mieux, une villa sur Inman Square, j'étudie la médecine en principal domaine d'étude et je complète mon savoir dans l'étude de la femme, juste par curiosité et c'est une véritable passion, j'ai ce bonheur à profiter de ma vie d'étudiante comme je le désire. Mon père n'est plus à la tête du Brésil, on lui a succédé, lui qui a tellement tenu à garder sa place, il l'a perdu avec toutes ces polémiques autour de fraudes ou je ne ais quoi, je me tiens à distance de tout ça y compris de mon fiancé que je ne vois que quand je rentre pour les repas de familles et autres soirées mondaines, bien-sûr ici tous croient que je suis follement amoureuse de lui, qu'il me manque terriblement et d'autres mensonges que je leur pond, malheureusement je comble ma solitude avec d'autres hommes, ils se font rares et savent qu'il faut rester discret le plus possible parce qu'ici, tout ce sait très vite. J'ai appris très récemment par mes parents que mon adorable fiancé a décidé de se ramener, poursuivre ses études ici, qu'il vienne, je lui montrerai pourquoi ici, on m'appelle la reine d'harvard.