Round number one : Fight ! ft. Léonora&Mickaela
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Règle n°1 ne jamais boire avec l'ennemi ¤ Léonora
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Léonora avait l'habitude de sortir tous les soirs pour boire un verre. Elle avait même prit l'habitude de sortir en boîte de nuit. Ce n'était pas tous les soirs qu'elle le faisait et heureusement, sinon elle attrapera un mal de tête comme pas possible ! Léonora se trouvait au bar de la discothèque et buvait son double whisky. La musique assourdissante brisaient les tympans de tout le monde, mais certains adoraient cela. Léo' était ici pour boire le bon whisky de la discothèque. Rien d'autre. Il ne fallait pas perdre son propre rituel de tous les soirs. Elle n'allait pas boire son whisky au matin comme certains français le faisaient dans le Nord de la France. Bref !
Nous étions à l'intérieur du People's Republik, la plus grande discothèque que tous les étudiants d'Harvard n'ont jamais connu ! Plusieurs statuts sociales se trouvaient à l'intérieur de cette boîte de nuit. Pauvres, riches et un peu des deux étaient présents. On pouvait remarquer que certains ne s'embêtaient pas à s'habiller aux habits de leur compte en banque bien remplit, tandis que d'autres préféraient ne pas montrer qu'ils étaient riches. La deuxième option était le but de Léonora depuis des années lumières. Elle détestait se montrer supérieure aux autres et pourtant, elle pouvait se montrer froide et insociable. Les mecs ne manquaient pas dans la discothèque, surtout les bourrés. La brune s'enfichait qu'un homme soit riche ou pauvre. Elle buvait son verre, couchait avec le mec pour finir s'enfuir de la chambre de ce dernier pendant qu'il dormait dans son lit. C'était la vie de Léonora. Coucher sans s'attacher à ses prétendants, c'était mieux qu'entretenir une relation de longues durées.
À cet instant, Léonora buvait tranquillement son verre jusqu'à-ce qu'un homme vienne l'accoster. Elle l'observa de la tête aux pieds avant de fixer son regard bleuté. Il était plutôt beau gosse et riche, mais le genre bourré n'était pas ce qui intéressait la jeune femme. Elle passa une main sur son visage et secoua la tête.
- Écoutes, tu es sans doute quelqu'un de bien. Mais je ne te veux pas. Je ne veux pas coucher avec toi et je préfère éviter la syphilis ou encore le MST. Ne cherches pas midi-quatorze heures. Barres-toi!
Une voix dure sans doute. Mais au moins, le garçon réagissait. D'abord, le teint de ce dernier semblait complètement blême et il lui tourna les talons sans rien dire. Léonora poussa un soupire de soulagement avant de boire cul sec son double whisky et en commanda un autre. Bah quoi ? Fallait pas lui chercher les noises ce soir ! Elle n'était pas de bonne humeur non plus.
Un autre homme arriva vers Léonora et se mit à lui parler. La jeune femme lui jeta un coup d'oeil et il avait l'air sobre et sympathique. Le problème était qu'il puait aussi l'alcool. Comme quoi, il y avait des gens comme Léonora qui tenaient à l'alcool. Mais une tornade brune s'avança et se mit entre Léonora et le jeune homme pour envoyer piètre l'inconnu. Ce dernier devint blême et Léo' fit de gros yeux vers la demoiselle. Bah dis dont ! Les Cabots voulaient la peau de Léonora pour l'empailler, mais aussi la défendre ? C'était le monde à l'envers ou bien ? La jeune Cabot se mit à commenter sur la tenue vestimentaire de l'inconnu, mais Léo' s'enfichait de sa tenue, il avait l'air d'être un gentil garçon qui voulait discuter avec la jeune Lockhart. Le problème était que la petite brune qui faisait face à Léo' venait de se rendre compte à qui elle parlait à cet instant. Léonora vit la surprise dans ses yeux, même si la brunette faisait tout pour cacher ses émotions. L'étudiante en médecine poussa un soupire et but son verre.
- Je n'ai pas de style, mais il semblait sympathique contrairement à l'autre fils à papa, rétorqua-t-elle.
Après tout, cette Cabot n'avait fait que défendre Léonora et non lui chercher les problèmes où il n'y en avait pas. La brune commanda un autre whisky et se tourna vers l'inconnue.
- Aller, ça va pour cette fois. Tu veux boire quelque chose ?
Nous étions à l'intérieur du People's Republik, la plus grande discothèque que tous les étudiants d'Harvard n'ont jamais connu ! Plusieurs statuts sociales se trouvaient à l'intérieur de cette boîte de nuit. Pauvres, riches et un peu des deux étaient présents. On pouvait remarquer que certains ne s'embêtaient pas à s'habiller aux habits de leur compte en banque bien remplit, tandis que d'autres préféraient ne pas montrer qu'ils étaient riches. La deuxième option était le but de Léonora depuis des années lumières. Elle détestait se montrer supérieure aux autres et pourtant, elle pouvait se montrer froide et insociable. Les mecs ne manquaient pas dans la discothèque, surtout les bourrés. La brune s'enfichait qu'un homme soit riche ou pauvre. Elle buvait son verre, couchait avec le mec pour finir s'enfuir de la chambre de ce dernier pendant qu'il dormait dans son lit. C'était la vie de Léonora. Coucher sans s'attacher à ses prétendants, c'était mieux qu'entretenir une relation de longues durées.
À cet instant, Léonora buvait tranquillement son verre jusqu'à-ce qu'un homme vienne l'accoster. Elle l'observa de la tête aux pieds avant de fixer son regard bleuté. Il était plutôt beau gosse et riche, mais le genre bourré n'était pas ce qui intéressait la jeune femme. Elle passa une main sur son visage et secoua la tête.
- Écoutes, tu es sans doute quelqu'un de bien. Mais je ne te veux pas. Je ne veux pas coucher avec toi et je préfère éviter la syphilis ou encore le MST. Ne cherches pas midi-quatorze heures. Barres-toi!
Une voix dure sans doute. Mais au moins, le garçon réagissait. D'abord, le teint de ce dernier semblait complètement blême et il lui tourna les talons sans rien dire. Léonora poussa un soupire de soulagement avant de boire cul sec son double whisky et en commanda un autre. Bah quoi ? Fallait pas lui chercher les noises ce soir ! Elle n'était pas de bonne humeur non plus.
Un autre homme arriva vers Léonora et se mit à lui parler. La jeune femme lui jeta un coup d'oeil et il avait l'air sobre et sympathique. Le problème était qu'il puait aussi l'alcool. Comme quoi, il y avait des gens comme Léonora qui tenaient à l'alcool. Mais une tornade brune s'avança et se mit entre Léonora et le jeune homme pour envoyer piètre l'inconnu. Ce dernier devint blême et Léo' fit de gros yeux vers la demoiselle. Bah dis dont ! Les Cabots voulaient la peau de Léonora pour l'empailler, mais aussi la défendre ? C'était le monde à l'envers ou bien ? La jeune Cabot se mit à commenter sur la tenue vestimentaire de l'inconnu, mais Léo' s'enfichait de sa tenue, il avait l'air d'être un gentil garçon qui voulait discuter avec la jeune Lockhart. Le problème était que la petite brune qui faisait face à Léo' venait de se rendre compte à qui elle parlait à cet instant. Léonora vit la surprise dans ses yeux, même si la brunette faisait tout pour cacher ses émotions. L'étudiante en médecine poussa un soupire et but son verre.
- Je n'ai pas de style, mais il semblait sympathique contrairement à l'autre fils à papa, rétorqua-t-elle.
Après tout, cette Cabot n'avait fait que défendre Léonora et non lui chercher les problèmes où il n'y en avait pas. La brune commanda un autre whisky et se tourna vers l'inconnue.
- Aller, ça va pour cette fois. Tu veux boire quelque chose ?
- :
- Désolée du retard
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Arrivée près d'elle je m'étais vite rendu compte qu'il s'agissait d'une Mather. Cette dernière ne portait aucune des roses dans son coeur et en vue des événements récents je n'avais pas tellement envie de copiner avec elle. J'avais agis impulsivement comme toujours. Sans réfléchir, comme bien trop souvent. J'avais pourtant su rester courtoise et haussant les épaules je lui répondais :
Je ne voudrais d'aucun des deux... Mais je ne suis pas toi !
Mon verre en main, je le terminait tranquillement, Léonora quand à elle, commandait un autre verre. Je fronçais les sourcils " Ca va pour cette fois " Se répétait-elle mentalement. Elle était bien bonne celle là ! Je me demandais ce que je risquerait si cela se reproduisait. Je faisais signe de la tête que non à sa question.
Par contre j'avais une question... Qu'est ce que les Cabots vous.. Pardon : T'ont fait ? commençais-je avant de me justifier. Non, parce que je viens d'arrivée chez les roses et je ne comprends pas ni cette rivalité, ni ces... Attaques.
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Je me méfiai d'elle.
Je ne la sentais pas, surtout qu'elle ne pensait qu'à l'argent et aux habits des autres. Enfin, le mec qui m'a accosté tout à l'heure, vous savez le fils à papa ? Il m'a complètement lassé. Ce n'était pas un mec amusant, en revanche, l'autre avait l'air sympa. Mais il a fallut que cette Cabot vienne se mêler de ce qui ne la regardait pas. Quoique, je ne pouvais pas lui en vouloir et je n'étais pas d'humeur à me battre. Je voulais entendre de la musique, du mixage et boire mon verre. Apparemment, ça n'a pas l'air de lui faire plaisir que je lui propose un verre.
- Heureusement que l'on ne se ressemble pas, le rose ça me donne envie de gerber, lui fis-je comprendre sans retenue.
Je suis peut-être riche, mais je tiens à rester moi-même. Merde quoi ! Je n'ai pas envie d'être la petite fille souhaitant de devenir la réplique humaine de Barbie. C'était une énorme blague ça ! Je regardais la brune qui finissait son verre et me posait une question. Elle était bien curieuse ! Ces attaques ? Quelles attaques ? Ah sans doute celle du Housing Day...C'était juste un bizutage. Toute de suite, les grands mots ! Je n'aimai pas Nolwenn et je lui ai fait comprendre. En revanche, cette Cabot ce soir, elle veut faire quoi ? La nouvelle gazette d'Harvard ou quoi ?
- Il n'y a pas que moi qui n'aime pas votre confrérie. J'ai mes raisons personnelles, et ce n'est pas toi qui va me faire changer d'avis, lui rétorquai-je avant de boire mon whisky cul sec. De plus, c'était un bizutage la coloration des cheveux, et non autre chose. Merci de ne pas me confondre avec les Anonymous ou autre criminel de ce genre, fis-je d'un ton sec.
Un jour, on m'appellera Léonymous, tant qu'on y est ! Raaah je vous jure, les filles de cette confrérie me dégoûte mais à un point...
Je ne la sentais pas, surtout qu'elle ne pensait qu'à l'argent et aux habits des autres. Enfin, le mec qui m'a accosté tout à l'heure, vous savez le fils à papa ? Il m'a complètement lassé. Ce n'était pas un mec amusant, en revanche, l'autre avait l'air sympa. Mais il a fallut que cette Cabot vienne se mêler de ce qui ne la regardait pas. Quoique, je ne pouvais pas lui en vouloir et je n'étais pas d'humeur à me battre. Je voulais entendre de la musique, du mixage et boire mon verre. Apparemment, ça n'a pas l'air de lui faire plaisir que je lui propose un verre.
- Heureusement que l'on ne se ressemble pas, le rose ça me donne envie de gerber, lui fis-je comprendre sans retenue.
Je suis peut-être riche, mais je tiens à rester moi-même. Merde quoi ! Je n'ai pas envie d'être la petite fille souhaitant de devenir la réplique humaine de Barbie. C'était une énorme blague ça ! Je regardais la brune qui finissait son verre et me posait une question. Elle était bien curieuse ! Ces attaques ? Quelles attaques ? Ah sans doute celle du Housing Day...C'était juste un bizutage. Toute de suite, les grands mots ! Je n'aimai pas Nolwenn et je lui ai fait comprendre. En revanche, cette Cabot ce soir, elle veut faire quoi ? La nouvelle gazette d'Harvard ou quoi ?
- Il n'y a pas que moi qui n'aime pas votre confrérie. J'ai mes raisons personnelles, et ce n'est pas toi qui va me faire changer d'avis, lui rétorquai-je avant de boire mon whisky cul sec. De plus, c'était un bizutage la coloration des cheveux, et non autre chose. Merci de ne pas me confondre avec les Anonymous ou autre criminel de ce genre, fis-je d'un ton sec.
Un jour, on m'appellera Léonymous, tant qu'on y est ! Raaah je vous jure, les filles de cette confrérie me dégoûte mais à un point...
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Je fronçais les sourcils en entendant ses paroles. Je préférais ne pas soulever, préférant bien ne pas créer plus d'animosité qu'il y en avait. Les deux maisons se faisaient la guerre bien avant que j'intègre les roses. Ma solidarité m'obligeais presque à prendre parti, mais n'étais-je pas là pour m'amuser ?
Oh mais je ne cherche pas à te faire changer d'avis...
Qu'est ce que je cherchais alors ? Je baissais la tête, réfléchissais un bref instant et finissais par demander un verre. J'entendais ensuite sa petite blague sur une coloration de cheveux. Je me tournai alors vers elle, prenant une mèche de cheveux en main et la regardant.
La coloration des cheveux ?
De quoi parlait-elle, je finissais par secouer la tête comme pour finalement lui dire d'oublier ce que je venais de dire et je me présentais alors que mon verre venait d'être posé que le bar.
Qu'importe ! Mickaela
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