+maëlys, t'es l'ange et moi le diable

Ca m’rend malade. Ca m’épuise, je m’épuise enfaite. J’arrive toujours à foutre de la merde dans ma vie quand ca c’est un peu calmé. Je reviens de deux mois d’absences, j’étais en Californie enfin bref en deux mois j’ai été fiancé et père. Je suis revenu à Harvard comme une fleur pour essayer de mieux me comporter mais me voilà dans la merde, again. Pour un quiproquo en plus. J’suis sorti de chez moi, doudoune sur le dos, la tête à moitié rentrer dans celle ci, les mains dans les poches direction la Cabot House. J’dois rejoindre Maë. La pauvre elle subit mes coups de déprime. J’suis arrivé dans le hall de la maison rose en envoyant un message à Maëlys pour lui dire que je suis arrivé. J’ai enlevé ma doudoune pour le poser sur me bras. Ah tes la ! En voyant la jeune femme arrivée, je l’ai prise dans mes bras. Merci d’être là, pour moi j’veux dire.

Jorden & Maëlys
Je suis là.

Tu avais besoin de parler, de te confier, et je t'avais proposé de venir à la Cabot House pour qu'on parle, parce que par sms, c'était plutôt frustrant, je me sentais bien inutile. Je restais en pyjama, en coton, et en pantoufles, dans les tons gris et noir, mais j'étais bien comme ça, les cheveux encore humides de ma douche! Je venais vers l'entrée en te voyant "Ah tes la !" je t'offrais un de mes plus beaux sourires, je voulais être là pour toi. "Merci d’être là, pour moi j’veux dire." c'est dans cette étreinte, que je te murmurais "C'est normal..." puis je me reculais pour te faire signe de venir au salon, il y avait un chocolat chaud préparé pour toi.

Il a cette fille, qui me sert accessoirement d’ex d’une semaine, sans réelle histoire entre nous, du moins amoureuse. On était tout simplement pas fait pour être ensemble et d’un côté c’est pas une grande perte, je l’a préfère en amie. Je peux me confier avec elle, c’est bien, j’ai confiance en Maëlys et e général elle est souvent la pour moi la pauvre. Elle doit se dire que je suis vraiment un cas désespéré. J’suis arrivé à la cabot house comme convenue en l’attendant dans le hall de la résidence. En arrivant telle m’a invité à rejoindre le salon où je me suis assis comme un gros tat sur le canapé. Tu dois désespéré de moi j’te jure ! Même moi j’me désespère alors ! Trend compte le niveau que j’ai atteint.

Jorden & Maëlys
Je suis là.

Tu étais là, et tu avais besoin de parler, t'étais pas venu pour rien et je voulais t'écouter et pourquoi pas, dans la mesure du possible, te conseiller, bien que mes conseils des fois étaient loins d'être bons... "Tu dois désespéré de moi j’te jure ! Même moi j’me désespère alors ! Trend compte le niveau que j’ai atteint." tu me fis rire légèrement, et je venais m'asseoir aussi sur le canapé, te montrant le chocolat chaud "Je te l'ai préparé.. Alors, dis-moi ce qui va pas. Ici Docteur Helington." ça sonnait bien..

On est partis s’asseoir dans la salon de la Cabot House. J’suis callé entre deux coussins sur le canapé, genre j’suis bien quoi. J’ai pris le chocolat chaud qu’elle m’a proposé en passant d’abord la tasse sous mon nom par réflexe étrange de sentir c’que je mange ou boit plutôt. J’ai pris une gorgée avant de commencer à me plaindre en me posant toujours la même question, comment fait-elle pour me supporter depuis le temps. Beih j’ai perdu Matthéo à cause d’une débilité absolu, j’suis obligé de squatter chez Aaliyah parce que sinon j’suis à la rue. J’suis fiancé à Leyna et.. j’ai une fille de quatre ans. J’ai repris une gorgée du chocolat l’air de rien comme ci je venais de dire quelque chose de tout à fait banale.

Jorden & Maëlys
Je suis là.

Tu avais besoin de moi, et tu avais été là pour moi, t'étais toujours là pour faire rire tout le monde, alors c'était à moi de t'écouter cette fois, et de tenter de te faire sourire, mais avant toute chose, fallait me dire ce qui te mettait dans cet état là. "Beih j’ai perdu Matthéo à cause d’une débilité absolu, j’suis obligé de squatter chez Aaliyah parce que sinon j’suis à la rue. J’suis fiancé à Leyna et.. j’ai une fille de quatre ans." tu sirotais ton chocolat chaud tandis que je te fixais, ah ouais quand même... "Pourquoi t'as perdu Matthéo? C'est ton meilleur pote, t'en fais pas, ça se brise pas ce genre d'amitié... Pourquoi t'es fiancé?! Et t'es papa....?" là, c'était trop... Je fronçais les sourcils.