C'est le 24 mars 1991 à Edimbourg, que les membres de la famille Hamilton m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Skyler Jessie. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de musique et administration depuis cinq ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que ingénieur de son dans une maison de disque.
Même avec son caractère un peu boy, Skyler arrive à être sexy et tout ce qui peut être une cabot. Elle fait tombée tous ce qu’elle veut sur son passage. C’est le paradoxe Skyler. Dans son côté garçon manqué ont y trouve de la féminité. C’est ce qui en fait sa particularité n’est ce pas ? Elle veut faire un gros fuck à sa jeunesse et son corps d’obèse en étant sexy maintenant. En rejoignant les égéries des avions de chasse du campus. Il n’y a pas plus fidèle qu’elle en amitié. Elle a que peu d’amis, mais autant dire que celles qui compte dans ce cercle et énormément de chance !
LOWELL
C’est une artiste dans l’âme. Elle est chanteuse après tout non ? Elle vit pour la musique, la danse aussi. Elle a sa place dans cette maison pour le fait de son attirance pour l’art.
Skyler à tirée des séquelles psychologiques de cette catastrophe. Elle est sujette à de nombreuses crises d'angoisse soudaine pour un rien ou souffre de claustrophobie. Pour cause, elle s'est retrouvée sous des débris de bâtiments pendant quelques jours, sans personne. Les pompiers l'ont retrouvé inconsciente et l'ont amenés d'urgence à l'hôpital où elle est restée sous surveillance de vigile pendant son rétablissement d'un mois.
APRÈS LES AGRESSIONS ET LA PRISE D'OTAGES
Skyler a tellement mal vécue les prises d’otages. Elle se trouvait dans celle de la cafétéria à ce moment là. Blottit contre elle même dans la cuisine de celle ci. Elle n’a pas bougé d’un poil pendant tout ce temps et à préféré ne jamais en parler par la suite.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle fair game ou alors Lucie et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce au top-site. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Jorden le winthrop. J'utilise Alysha Nett comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par endlesslove. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ POUET.
Je souhaite ▲ (retire la balise i qui ne correspond pas
fa-check = oui ; fa-remove = non)
adhérer un flood d'intégration (?)
« J’ai pas faim. » Enfermée dans ma chambre, double tour, les clés dans la poche de mon jean bien trop grand pour mon petit corps maigre et sans forme d’une enfant de dix ans et des poussières. « Sort de la, Skyler, sort ! » « J’ai pas faim. » Je ne veux pas sortir, je ne peux pas. C’est comme ci quelqu’un m’interdisait de le faire. Une force, démoniaque pour certain m’oblige de rester la dedans, enfermée dans mon armoire. « Ca fait un jour que t’es la dedans, bon sang ! » Mon père à cette colère qui monte en lui. La colère qui lui monte à la tête. Je ne veux pas qu’il se fâche, je ne veux pas qu’il soit fâché contre moi, mais.. tout est trop compliqué. Je ne veux pas sortir d’ici, je ne veux pas manger, je ne veux rien faire à part serrer mon unique peluche contre moi. Mon doudou, un castor dont il manque les yeux à force de le cogner contre le mur. « Tu sais ce qu’il t’attends.. Sky.. » Oui. Je le sais. Je le sais que trop bien. Je ne voulais pas tout ça. Je ne le voulais pas. A croire que.. A croire que le cherche, peut être. Mais je ne le voulais pas. Mes bras sert fort le petit jouet que je lâche plus, contre moi. Je ne veux pas sortir. Je ne sortirais pas. Jamais. « J’ai pas faim, papa. »
« Bonjour Skyler, je suis Grace. Grace Vankamp. Voiçi mon époux, Arnold. » Les valises à mes pieds, ma veste mal mise, une épaule dénudé, une manche trop longue et l’autre trop courte. Je fixe ces deux personnes qui me regardent, un sourire sur els lèvres, un air gentil, une apparence strict et riche. Je sais pourquoi je la. Je suis qui il sont. Je ne voulais pas être ici. Ils le savent. Tout le monde le sait. Ils étaient obligés.. mes parents. Obligés de m’envoyer dans ce foyer, de faire appel à l’assistante sociale pour les aider dans mon cas d’enfants trop compliqués. Ils n’étaient pas préparés à ça. Ma grande sœur, leur première fille, Marin. C’est la fille parfaite, gentille douce, studieuse. Elle a tout pour elle, j’ai rien pour moi. Je suis, comme disait la voisine, le diable incarné. Non. Je suis Skyler. « Entre.. Entre. Nous allons te montrer ta chambre. » « Je m’en fou, d’votre chambre de bourge. » Ils sont riches, vieux, à la retraite. Elle est une ancienne institutrice et lui militaire. Ils sont bien trop riches, des vieux écossais habitant dans un manoir peut être hanté comme dans les légendes. Et c’est ma nouvelle famille où je suis censée passer le restant de mon adolescence.
« Ferme ta putain de gueule, Sahel. Regarde toi, t’es défoncé putain ! » Je rigole, aux éclats. Ma bouteille de bière à la main et mon joint de l’autre. Mon cul posé sur le sol entre les deux mecs qui partage ma vie, les deux mecs avec qui je traine souvent, peut être trop, j’en sais rien. Ont dit que ce sont des mauvaises fréquentations et pourtant je suis la copine d’un des deux et la meilleure amie de l’autre. C’est peut être moi, la mauvaise fréquentation pour eux. Mon regard se porte sur William. Mon William, mon copain, celui que j’aime, celui qui me rend heureuses malgré tout.. le reste. Je suis avec lui depuis presque deux ans, maintenant. Depuis le début du lycée. « J’ai pas le droit de fumer les mecs, c’est pas cool, sérieux ! » Grace en serait malade de me savoir dans cette état. Grace, c’est comme ma grand-mère maintenant. Je les aiment bien les Vakamp, c’des gens cool. Ils ne comprennent pas grand chose, les amadouer et si simple. Les marques sur mon corps so facilement dissimulable à leurs yeux, comme aux yeux de tous. Les marques causé par William. William me frappe, je crois que c’est comme ça qu’on dit. Depuis presque deux ans aussi. Mais je l’aime, le quitter est impossible alors, je reste comme ça.
Le moment du départ, le grand départ. Le départ, précipité et rapide. J’ai jamais songé à quitter le pays, jamais. C’est Sahel qu’i m’y a convaincu. De fuir, de voyager jusqu’aux états unis en quittant William, ma famille, mes repères. Direction Harvard où il a de la famille, lui. Il veut me sauver, me sauver de William, m’empêcher de le revoir. J’ai accepté, sur un coup de folie, d’adrénaline. Me voilà dans cette avion qui me jette directement à NY où j’ai jamais foutu les pieds avant. J’ai peur, la boule au ventre et pourtant je sens l’excitation monter en moi. Une grande excitation. L’université ? J’y aurais jamais pensé, sérieusement.