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JUTAM ಇ did you miss me ?.

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Haytam & Juliett ಇ we have so much to say.
Biiiip Biiiip Biiiiiippp .... BAM ! Un réveil matin qui s'éveille et Hoplaaa... Dans la seconde qui suis le réveille matin sommeille. Le pauvre fit une chute de quelque centimètre entre le haut de la table de chevet et le sol. Sera-t-il encore apte à faire son travail ? Je m'en contre balançait totalement, cependant, il était huit heures et il fallait que je me dépêche si je ne voulais pas arriver en retard en cours. Je me dirigeais jusqu'au rideau de la chambre afin de venir lancer la clarté du soleil dans cette pièce qui fût un peu plus tôt plongé dans la pénombre. Joan n'était pas là, signe qu'elle avait été plus rapide que moi pour se réveiller. Je me rendis tranquillement dans la salle de bain afin de me laver pour ensuite m'habiller. Comment allais-je d'ailleurs me vêtir en cette journée ? Comme d'habitude, c'est-à-dire de la plus simple et naturelle manière qui puisse exister. J'optais donc pour une petite robe fleuries, au pied, des ballerine blanche assortit et dans les cheveux, un bandeau blanc. Je me fis un très léger maquillage, mais cependant, je dessinais le contour de mes yeux à l'aide d'un crayon noir et étalais sur mes lèvres, un gloss rose bonbon. Et une fois prête, je quittais la demeure de la Lowell House pour me rendre en cours. L'université était très active, remplit par la foule d'étudiants, de professeurs ou même le reste du personnel. Je ne dirais pas qu'il s'agit d'un retour aux sources puisque c'était ma première année, mais j'étais super heureuse de faire partie de tout ce monde. Je sais que mon année allait être sympa et peu importe les hauts et les bas qui je pourrais rencontrer, il n'en restait pas moins que j'étais ravie de faire des rencontres. Certes, je me faisais appeler la coincée de service par certains élèves, mais d'autres m'accueillaient à bras ouverts et c'était l'essentielle. En parlant de ça, voilà plus de quelques semaines que je n'avais pas reçus de nouvelle de mon petit-ami et cela m'inquiétait dans le sens où, je ne savais plus ce qu'il était en train de devenir au sein de la mafia. Okey, je veux bien qu'il ait beaucoup de boulot, mais tout de même, rater les cours et encore moins ne pas parler avec sa copine était tellement inconcevable. J'étais en boule contre lui et je ne savais plus où j'en étais, où nous en étions. Ça ne pourra pas durer ainsi. Le temps passa tellement vite que l'heure de la pause déjeuner arriva. Je décidais de m'acheter des frites et de monter les manger au toit de l'université. Une fois à destination, je refermais la porte en allant m'installer sur un espèce de banc, admirant par la suite, le paysage universitaire tout en mangeant. Une brise de vent vint me caresser le visage, faisant voler mes cheveux dans les airs. Je n'entendis pas vraiment les pas qui se rapprochaient de plus en plus de moi, divaguant plutôt dans mes pensées.
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Juliett & Haytam
Did you miss me ?
L’heure au-dessus de ma tête clignotait, encore et encore. Pourquoi j’avais un réveil avec un fichu rétroprojecteur qui m’angoissait à chaque minute en clignotant sur mon grand parfond blanc ? J’avais les mains derrière la tête et je soufflais en fixant les chiffres en rouge, tout en espérant m’endormir alors que mes yeux ne pouvaient se détacher de l’heure. Ça devait faire bien 7 heures que j’étais dans cette position, plutôt 6h58 et 45, 46, 47 secondes et… Je secouais la tête et passais une main sur mon visage, j’étais crevé, je ne trouvais plus le sommeil depuis que j’étais de retour du Danemark, à croire que mes insomnies et mes vieux démons étaient revenus. J’avais à nouveau l’impression de ne plus me connaître, je remettais constamment tout en doute, j’avais juste l’impression d’être à nouveau le Haytam sortant du coma, amnésique. 7h pile, je me levais d’un bond et filais à la douche pour ensuite enfiler une tenue et attraper mon sac de cours direction la salle de cours. J’avais l’habitude de m’y pointer avant tout le monde, pourquoi ? Parce que j’étais l’assistant officiel du prof de ma section, rien de plus. Je préparais alors les cours, vérifiais mes recherches et me mettais à réviser un peu avant d’entendre une sonnerie et du vacarme. Le cours débutait seulement quelques minutes après, rien de spécial, j’avais juste un peu plus la tête ailleurs, mais je pouvais me le permettre puisque après un an de galère j’avais réussi à rattraper mon retard dû à mon accident, j’étais à nouveau redevenu l’élève brillant, premier de sa promo. Je n’entendais même pas la sonnerie, j’étais comme en transe… perdue dans mes pensées. Je me levais d’un bond et filais à l’anglaise vers l’endroit que je préférais, l’endroit où je m’isolais pendant la pause déjeuner, le toit d’Harvard. J’aimais me poser sur le rebord et regarder les vies des gens défiler devant moi, c’était risqué bien sûr, mais je m’en foutais. Je montais donc machinalement les marches et arrivais en haut, faisant le tour du toit pour trouver la meilleure place. Un instant je restais figé, quelqu’un déjeunait visiblement sur le banc en face de moi. Je fronçais alors les sourcils et m’approchais, je connaissais cette silhouette. Les mains dans les poches, je m’approchais. « Salut, j’peux m’asseoir ? » Je ne la laissais pas le temps de répondre, j’étais déjà assis, à lui piquer une frite que j’enfournais dans ma bouche. « Quoi d’neuf Juliett ? »
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La vie est un manège tournant sans fin, où tu passes tes journées à faire des rencontres et parfois celles-ci disparaissent sans donner signe de vie et ainsi de suite jusqu'à ce que la mort vienne tout arrêter. Je suis consciente que la vie est faite ainsi, que la vie est un enchaînement d'épreuves, qu'elle est pleine de surprises, mais tout de même, quand elle nous donne du chagrin, c'est parfois difficile à gérer. Je me demandais sans arrêt s'il n'y avait pas un autre monde meilleur que celui-ci ou le chagrin et la souffrance n'existaient pas. Ce n'était pas la peur qui m'empêchait de partir à la découverte de cet autre monde, mais la conviction qu'il n'y avait rien à découvrir. Nous étions destinées à vivre, à revivre encore et toujours ici, répéter chaque jour le même quotidien, mourir et renaitre, c'est ainsi que nous devions accepter ce monde. Aujourd'hui, c'est ce même chagrin que je tentais de faire disparaître depuis presque un mois, depuis que Roméo ne me donnait plus aucun signe de vie. Je me suis souvent posé la question, et si je n'étais pas assez bien pour lui ? Et si j'étais beaucoup trop simple et trop banale ?. Et si j'étais inintéressante au point de vite s'en lasser ?. Et si tout simplement, Roméo s'était trouvé une femme aussi sulfureuse et dangereuse que lui ?. Cela expliquerait le pourquoi du comment il ne me donnait plus de signe. Ou alors, à cause de son boulot peut-être voulait-il me quitter sans pour autant me blesser ? Me laisser sans nouvelles jusqu'à ce que je décide de l'oublier à mon tour. C'était assez difficile de se dire qu'on était pas assez bien pour une personne. Moi, je ne le vivais pas très bien, car je finissais toujours par avoir le cœur brisé. C'est pour ça qu'à chaque fois, je m'interdisais de tomber amoureuse et pourtant, le destin jouait avec moi en obligeant mon cœur de battre et moi de le suivre à l'aveuglette. J'étais clairement en train de me noyer dans mes pensées lorsqu'une voix masculine m'en fit sortir. « Salut, j'peux m'asseoir ? » J'eus à peine le temps de répondre à cette voix que je pourrais reconnaître entre mille que monsieur Winchester s'installa déjà mes côtés en me piquant même une frite au passage. « Quoi d'neuf Juliett ? » J'arquais un sourcil en cachant ou plutôt, protégeant mes frites. « Heyyy ! On n'touche pas à mes frites, elles m'appartiennent. » Dis-je avant d'en rire et de finalement poser la nourriture entre nous. « Nah, vas-y j'déconne et puis de toute façon, je n'ai pas aussi faim... » Je laisse cependant un sourire m'échapper. « Oh rien...disons juste que je n'ai pas d'nouvelles de mon petit-ami, c'est comme s'il avait foutu le camp... » Oupsss ! J'avais laissé parler trop vite mon cœur, car je ne me rappelais pas avoir dit à Haytam que j'avais un petit-ami... Olalalala tes nulle Juliett. En même temps, depuis le mcdo, on ne s'était plus recroisé et à vrai dire, cette petite tête mystérieuse me manquait beaucoup. « Ahem... et toi ?. » Juliett ou comment passer rapidement son tour et changer de sujet.
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Juliett & Haytam
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Je me revoyais devant son lit, je revoyais sa poitrine se baisser puis se relever dans un râle extrêmement rauque, je revoyais également Salomée pleurer et me crier dessus tout en abattant ses poings contre ma poitrine. Je n’avais pas compris sur le coup pourquoi elle était hystérique contre moi, pourquoi elle m’en voulait tant alors que ce n’était pas ma vie qui disparaissait petit à petit mais bien celle de notre père qui s’envolait sans crier gare. J’avais compris plus tard, mon manque de réaction, mon don de rester figer face à ce corps presque sans âme qui ravivait pourtant des douleurs partout sur mon corps, c’est ça qu’elle détestait chez moi. En même temps je n’étais pas bon comédien, je ne pouvais pas afficher une mine réjouie ou de tristesse devant cet homme qui avait fait de ma vie une torture. Aujourd’hui, tout me paraissait autant figé, froid et sombre que nos trois êtres dans cette chambre d’un château glauque du Danemark. Ce n’était pas mon monde, la royauté, ce genre de chose, bien au contraire, moi je n’étais qu’un mec qui essayait de mettre un pied devant l’autre pour avancer et mener sa vie comme il le peut, j’étais tout ce que détestais mon père, voilà pourquoi certainement je me détestais à cet instant, et voilà pourquoi je le détestais encore plus. « Y'a ton nom dessus ? Je n'crois pas ! » J’avais essayé de sourire tout en enfouissant la frite dans ma bouche. Juliett était toujours de bonne humeur, elle m’apportait la joie de vivre uniquement grâce à son petit sourire taquin. Malheureusement elle ne semblait pas d’humeur aujourd’hui puisque le ton de la plaisanterie se transformait soudain en un ton de reproche. Je me figeais sur place, regardant droit devant moi, enfouissant mes mains dans mes poches. Ce n’était pas à moi qu’elle en voulait, certes, cependant elle m’avait légèrement refroidi, moi qui étais plus que sensible au niveau des fortes humeurs en ce moment. « Ton petit ami, tu veux dire celui que j’ai trouvé en caleçon dans ta chambre alors que je passais te chercher, celui qui me coursait et me harcelait pour me dire que nous étions les meilleurs amis du monde autrefois, ce type bizarre tu veux dire, ton petit ami ? » Ma voix s’était faite plus froide, il est clair que je cherchais la petite bête, ce qui n’était pas du tout mon genre. Je fermais alors un instant les yeux et soufflais tout en fixant le sol, je devais me reprendre, je devais rester le Haytam qu’elle connaissait et rien d’autre. Je l’observais un instant, sa réaction en disait long, j’avais dû être exécrable dans mes mots ou pousser la petite bête trop loin. « Excuse-moi… je suis désolé. » Je passais mon bras au-dessus de ses épaules et l’attirais vers moi tout en déposant un baiser sur ses cheveux blonds, regardant ailleurs.
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« Y'a ton nom dessus ? Je n'crois pas ! » Évidemment qu'il y avait mon nom de dessus, même que c'était écrit en grands caractères et sur une pancarte en passant. Je laissais cependant échapper un petit sourire tout en remarquant un truc bizarre chez lui. Son faux sourire. Je vous en prie, je le connaissais assez pour savoir que là, il se forçait à sourire. Sans compter sa mine un peu pâle, comme si toutes les couleurs de son visage avaient disparu. Je ne sais pas ce qui se passait, mais une chose est certaine, il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond avec le dunster. Seulement, là je balançais une petite gaffe en oubliant que Haym n'était pas du tout au courant que j'avais un petit-ami. Mais en même temps, pourquoi je craignais sa réaction ? Ce n'était pas comme s'il m'interdirait de sortir avec quelqu'un ou même qu'il en serait jaloux. « Ton petit ami, tu veux dire celui que j'ai trouvé en caleçon dans ta chambre alors que je passais te chercher, celui qui me coursait et me harcelait pour me dire que nous étions les meilleurs amis du monde autrefois, ce type bizarre tu veux dire, ton petit ami ? » J'écarquillais les yeux assez surprise. Alors il était déjà au courant ? Il avait surpris Roméo dans ma chambre en Caleçon ?. Il était d'ailleurs particulièrement froid à cet instant. Je ne pouvais croiser son regard parce que c'était vraiment glacial, je me contentais de regarder ailleurs histoire de digérer son ton assez étrange, ton qu'il n'avait jamais adopté avec moi. « Excuse-moi... je suis désolé. » Dit-il en passant son bras autour de mes épaules, l'attirant contre lui et en déposant un tendre baiser sur le haut de mon crâne. « Pourquoi t'es si froid Haym ?. Je ne te l'ai pas caché, j'étais encore célibataire lorsqu'on a parlé de Roméo pour la première fois, ça c'est fait peu de temps après et là, c'est juste que dernièrement on ne s'voyait plus tellement...alors je n'ai pas eu l'occasion de te l'dire... » Un soupire s'échappa de mes lèvres tandis que je repris rapidement. « Ça n'a plus vraiment d'importance maintenant de toute façon, j'crois qu'il s'est tiré en décidant de ne plus me donner signe de vie... J'suis pas assez bien pour lui peut-être ? Chose que je comprendrais au fond, qui aurait envie de sortir avec une fille aussi banale et coincée que Juliett Maybelin ?. » Dis-je en me mordillant la lèvre inférieure. Cessons de parler de moi, j'avais un truc à lui demander d'ailleurs. « Et toi ? T'crois que tu peux t'cacher derrière des faux sourires et un visage si pâle avec Moi ?. Qu'est-ce que t'as Haytam ?. » Je relevais doucement la tête histoire de croiser son regard. Je ne lui laissais pas vraiment d'autres choix que de s'expliquer, de s'ouvrir et de me confier ses maux.
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Juliett & Haytam
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J’observais le visage de Juliett en silence. Mon regard était dur, pas vraiment rassuré, mais qu’importe, je n’arrivais pas à me contrôler. Oui je perdais le contrôle comme je venais à l’instant de le faire, mais bordel qu’est-ce qui m’arrivait ? À croire que l’air du Danemark m’avait totalement contaminé, me bouffant de l’intérieur petit à petit histoire de faire tomber mes protections et de déverser toute la haine et la colère que j’avais pu emmagasiner depuis que j’étais minot. « J’aurais juste voulu que tu me dises que tu savais qui il était, ça m’aurait… aidé, c’est important pour moi, rien que ça. Le fait que tu sortes avec lui est une toute autre histoire qui ne me regarde pas vraiment, tu es libre de vivre ta vie comme tu l’entends, je n’ai pas à te dicter tes choix ou à te faire douter. » J’essayais de me radoucir, oui j’aurais aimé qu’elle m’en parle parce que son avis comptait énormément pour moi. Je lui avais pourtant confié que je faisais tout pour éviter cet homme effroyable, et pendant ce temps-là elle sympathisait avec lui… J’aurais juste aimé qu’elle se confie sur ses bons côtés, ça m’aurait peut-être aidé à être plus rassuré et à parler à Romeo plus librement afin de bien comprendre ce qui se passait. « Tu n’es pas banale, et encore moins coincée. Il ne sait juste pas ce qu’il perd s’il t’abandonne comme un lâche. Tu as un cœur en or, mais aussi en coton, enfin tu vois ce que tu veux dire… tu te confies souvent et tu finis par te le faire briser… c’est ainsi que le destin l’a construit. » Je me contentais de hausser les épaules, je m’étais fait une raison, le destin ne m’aimait pas et essayait de me faire flancher dès qu’il le pouvait, peut être que celui de Juliett était d’en baver avant de trouver l’homme parfait pour elle. Je me levais alors d’un bond alors que la conversation tournait autour de ma personne. Les mains dans les poches, je montais sur le rebord du toit et observais les gens d’en bas. « Je ne sais pas… je ne me sens plus moi-même, il y a quelque chose qui ne va pas et je n’arrive pas à mettre le doigt dessus. C’est dingue quand on y pense, j’ai vécu de ces trucs… après tout ici, qui a échappé à la mort autant de fois que moi ? Et pourtant… depuis la mort de mon père, je sais que quelque chose à changer en moi, mes sentiments, ma façon de penser… J’ai peur de redevenir l’homme qu’il m’avait fait devenir avant de devenir amnésique, avant d’avoir ma deuxième chance. Je… je ne sais plus du tout où j’en suis. »
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