Cerceï & Léonora => Détective Léonora à votre service !

Détective Léonora à votre service ! ♡

Cerceï & Léonora
Les parents avaient une responsabilité envers leurs enfants. Ils devaient montrer l'exemple et leur dire de ne pas rire de choses très graves.
Les parents de Cambridge Secret n'avaient pas apprit à leur enfant de ne pas faire ça. Pourquoi ? C'était une bonne question. Il ne fallait pas se moquer sur le physique, ni sur les faits qui étaient assez mal aux yeux des autres. Léonora se trouvait à l'intérieur d'un café et lisait l'article de CS sur son portable. Elle leva les yeux en voyant la fameuse ligne où CS indiquait qu'elle était en colère envers le monde entier. Léonora s'enfichait de l'avis de CS comme l'an quarante. La brune soupira doucement et lit la suite de l'article. Il y avait eu une bagarre entre Mather et Dunster, ça, elle s'en souvenait. La demoiselle trouvait la raison complètement débile de la part de Sienna, la Dunster, de chercher les problèmes où il n'y en a pas. Surtout pour un portable. C'était insensé aux yeux de Léonora. C'était complètement débile de trouver ce prétexte pour casser la figure à quelqu'un, mais Léo' n'était pas mieux. Non pour l'un de ses objets qui se cassaient, mais Léo' pouvait se battre quand une personne lui cherchait des noises. La brune n'était pas du genre à rester calme plus longtemps depuis qu'elle faisait partie des Mathers. Elle devenait comme autrefois, l'époque où elle a connu Romy. Celle de son enfance, ou encore celle avant que le SIDA a imprégné les cellules de Romy. Romy était sa seule et véritable amie depuis vingt-trois ans avant que Léo' commença à avoir des amis dans le campus. Il lui en a fallut du temps pour s'en faire. Mais depuis quelques temps, ça allait tout seul. Elle avait des ennemis et des amis. Tout était ok dans sa vie qui n'était plus ennuyeuse à mourir. Le problème avec les articles de CS était qu'elle parlait de choses qu'il ne fallait pas en discuter. Ces fameuses choses qui étaient graves et elle riait en plus. Il s'est passé pas mal de choses à la soirée du défilé au centre commercial que personne n'a pu apercevoir une fille du nom de Cerceï qui s'était fait agressée. Léonora n'aimait pas ce genre d'histoires, mais elle essayera de l'aider. Il fallait trouver l'agresseur et lui faire payer une bonne fois pour toute. Il fallait éviter le massacre avec une autre fille du campus, voir peut-être un garçon. Léo' leva la tête de son portable et souffla légèrement jusqu'à-ce qu'elle vit la fameuse Cerceï. La pauvre, elle devait être paniquée et devenait sans doute paranoïaque depuis cette fameuse soirée. Léonora se leva et soupira légèrement avant d'arriver à sa rencontre.
- Bonjour, je peux m'asseoir ? Lui demanda-t-elle poliment.

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w/ léonora aiyana lockhart.

L'intérêt qu'on me porte, me donne la nausée. J'ai envie de crier, de hurler de partir en courant quand je vois le comportement de certaines personnes depuis que mon histoire a été publié dans ce p*tain d'article. ça m'emmerde, tout en faite m'emmerde et j'ai juste envie de hurler combien le monde ne tourne pas rond depuis longtemps. Je sais pas encore comment j'ai fais pour marcher, pour sortir de ma chambre et aller dans un endroit public. Je suis prise d'angoisse à chaque fois qu'une foule m'entoure... Soit tout le temps, j'ai peur de me retrouver seul dans un endroit que je ne connais pas. En gros, je ne suis mieux que cacher sous mon lit, loin de tout, loin des gens. J'ai beau chercher dans ma mémoire, quel est le dernier souvenir heureux que j'ai eu, mais je me renfrogne toujours d'arriver à trouver une réponse. Je sais que cela n'existe plus pour moi, je dois juste me concentrer sur l'essentiel même de ma vie, la base, survivre. J'ai eu envie de prendre une boisson et de lutter contre mes angoisses. Je me suis habillée, coiffée et je suis partie direction le café de la ville, j'ai pris sur moi et j'ai commandé un quelque chose et je me suis installée à une table. Mon livre en main j'ai essayé de faire abstraction au monde qui m'entourait en vain. Je me sens angoissée comme jamais et je n'ai pas de solution contre cela, juste de serrer les dents et de souffrir en silence. Je sentais mon angoisse s'intensifier quand on vint me parler. QUOI ? avais-je juste envie de crier avant de voir la jeune femme. « Euh... » Non. Non je n'ai pas envie de ça... Je me mords la lèvre, elle ne me demande pas trop mon avis quoi. Je soupire fortement. « Pourquoi pas... » Voilà pourquoi je haïssais cet article, bordel de merde les gens sont ils tous obligé de me prendre pour la dernière des imbéciles ? Je viens demander... « On se connait ? » Car honnêtement j'en avais pas la moindre idée, enfin quelque chose du genre... après tout je ne connaissais pas tout le monde.

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Cerceï & Léonora
Léonora s'imaginait à la place de Romy, sa meilleure amie. Romy était atteinte du SIDA pendant quatre ans et en est morte en phase terminale. Elle avait abandonné son combat pour reposer en paix. Elle devait en avoir marre de voir toutes ses personnes la regardaient bizarrement parce qu'elle avait des tâches marrons qui bouffaient son corps. Léonora savait qu'elle le vivait très mal. Elle faisait tout pour protéger sa meilleure amie en dehors des périodes scolaires, elle voulait qu'elle soit heureuse jusqu'au bout. Romy avait gardé le sourire, mais elle avait caché à Léonora qu'elle ne prenait plus les médicaments. C'était tout cela qui rendait la brune triste, mais personne ne pouvait le remarquer derrière son masque de dure à cuire.
Cette fois, ce n'était pas Romy qui avait besoin d'aide, mais une autre jeune femme. Cerceï devait être le sujet de moquerie de tout le monde par rapport à son physique. Léonora n'était pas du genre à juger les gens aux physiques. Elle les jugeait par rapport à leurs actes et ce qu'ils étaient intérieurement. La jeune femme se pencha un peu vers Cerceï et cassa nettement sa carapace de démon pour lui montrer l'ange qu'elle était vraiment. Elle eut un petit sourire aux lèvres et secoua la tête lors de sa question. Elle devait être mal à l'aise et apeurée.
- Non, mais je m'appelle Léonora. Tu peux m'appeler Léo'. Je te vois toujours toute seule dans ton coin dans l'université et je sais... Je sais que ce n'est pas marrant. Je suis comme toi, je suis quelqu'un de solitaire..Du moins, je l'étais avant d'intégrer les Mathers. Attention, je ne suis pas là pour te juger parce que je ne te connais pas. Ce n'est pas dans les principes de mon père et de moi-même. Bref. Je ne veux pas que tu ais peur de moi. Je veux t'aider après ce qui s'est passé et t'aider à avoir moins peur des autres. N'écoutes pas Cambrige's Secret. Elle n'en vaut pas la peine. Elle ne te connaît pas, et je pense que tu dois être une personne formidable. Ne crois pas que ce soit de la peine que j'ai envers toi. Personne n'aimerait être à ta place. Je veux t'aider à trouver ce monstre et à lui faire payer...Tu veux vraiment ? Si tu n'es pas d'accord, je m'en fou. J'essayerai de faire ma petite enquête de mon côté sans que tu m'aides. Je sais. Ça ne doit pas être facile, tu dois être effrayée et je le vois dans tes yeux. Tu es en colère par rapport aux gens qui viennent te voir. Moi je ne t'ai pas vu au centre commercial, il y a eu du monde. Mais saches que si ça ne va pas, tu peux compter sur moi. D'accord ?
Léonora était quelqu'un qui entrait rapidement dans le vif du sujet sans prendre en compte les conséquences. La brune souriait doucement à Cerceï et se retira un petit peu pour lui laisser un peu d'air. Pour une fois, elle parlait à une personne d'une manière douce et sécurisante. Une chose qu'elle faisait très rarement en dehors de l'hôpital. Mais il fallait en savoir plus pour qu'elle puisse mener son enquête.

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w/ léonora aiyana lockhart.

Je ne comprends pas pourquoi les gens agissent de la sorte, je les soupçonne parfois d'avoir un mauvais fond. Pourquoi diable me regarder comme si j'étais une paria, la fille qui a été agressé au centre commercial. voilà pourquoi je ne sors plus de chez moi, voilà pourquoi rester à la maison c'est 100 fois mieux que de supporter cela. Je bougonne comme une enfant de cinq ans, mais j'en ai marre quoi. Je la regarde, et l'écoute surtout. Je n'arrive pas à assimiler tout ce qu'elle vient de me dire. Et ma première réaction ? Envie ? Foutre le camp très loin de cette fille. OMG ! je ne la connais pas et elle réagit comme si nous étions les meilleures amies du monde, non même pas, elle s'insinue dans ma vie alors que je n'ai strictement rien demandé. J'ai envie de hurler ? De pleurer, de l'envoyer chier. Maos je suis dans un endroit public et je ne peux pas faire cela, je n'en ai pas le droit. Je me contente juste de soupirer fortement. Accablée par la déception et la colère. ça me fait chier royalement. « WOOW. » J'ai besoin de reprendre mes esprits, de digérer tout ce qu'elle vient de me dire de ne pas avoir envie de partir en fuyant également. c'est affreux, détestable et sincèrement la merde ce genre de choses. Je n'aime pas et je me mets directement sur la défensive. « Je n'ai rien demandé, encore moins qu'une inconnue me dise quoi faire, ou ose croire tout et n'importe quoi. » ça c'est dis... Et j'ai envie de retrouver les auteurs de Cambridge secret pour les tuer un par un. NON DE DIEU ! Je suis à bout. « Pourquoi faire cela ? Je veux dire franchement, je n'ai rien demandé à personne, et je commence à en avoir marre que tout le monde me dise quoi faire merde. » Je m'adoucie d'un seul coup la regardant elle ne semble pas méchante ni avoir un mauvais fond. Je me sens mal tout d'un coup, je soupire. « Je n'ai rien contre toi, je ne te connais pas, je trouve juste cela bizarre comme comportement. » Au secours AIDEZ-MOI PLEASE.

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Cerceï & Léonora
Léonora sentit qu'elle s'était montrée brusque envers la jeune femme qui lui faisait face. Elle savait qu'elle était directe, mais il ne fallait pas qu'elle le soit envers Cerceï. La Mather n'étrait pas venue près de la Lowell par pitié ou autre. Elle devait l'aider dans cette terrible épreuve comme elle avait aidé Romy quand elle était sur terre ou encore Emma lorsqu'elle a perdu sa meilleure amie. Un être humain devait entraider ses semblables. Léo' faisait tout pour aider tout le monde, même maintenant, elle avait aidé Aaliyah, une Cabot pour la rassurer lors de sa crise de panique à la soirée Halloween.
Léo' serra légèrement les dents aux réponses de Cerceï et hocha la tête. Elle comprenait désormais ce que la jeune femme ressentait à cet instant. Ce n'était pas drôle. Elle était en colère, tout comme Romy était en colère à l'époque où elle était atteinte du SIDA. Léo' prit une grande inspiration pour garder son calme. Elle n'allait pas éclater, pas maintenant. La brune pencha la tête sur le côté et fronça doucement les sourcils. Un mélange de peur et de colère passa dans les yeux de Cerceï. Quelques minutes passèrent avant que Léonora se remettre à répondre avec un calme qu'elle avait perdu depuis quelques temps déjà.
- Je m'excuse, j'ai été brusque, lui dit-elle. Comme je te l'ai dit, je te voyais souvent seule dans les couloirs du campus. Il y a même des personnes qui t'insultaient sans vraiment te connaître et je peux te comprendre dans ce sens là. Je veux juste t'aider parce que ça me tient à cœur.
Elle baissa les yeux vers son cappuccino et réfléchit pendant quelques instants pour trouver les bons mots.
- C'est surtout aussi que je n'aimerai pas qu'une autre personne soit victime de ce que tu as vécu. Mais je comprend que tu n'as rien contre moi. Tu dois sûrement à en avoir ras-le-bol de tout ça. C'est juste que je voulais te soutenir dans cette épreuve. Enfin voilà, après si tu veux que je parte, tu me le dis. J'étais là pour te proposer mon aide et à casser la figure aux personnes qui t'ont fait ça. Que ce soit ce que tu as vécu ou l'article. C'est dégueulasse de leur part et je trouve ça complètement puérile. Alors voilà..
Ouaip, Léonora n'était pas très douée envers les gens qu'elle ne connaissait pas en dehors de l'hôpital. Elle se cala sur sa chaise et but son cappuccino sans rien dire de plus. Pour une fois, elle se sentait mal à l'aise et avait envie de fuir aussi. Elle venait de mettre mal à l'aise son interlocutrice en s'incrustant dans sa petite bulle.
- Je m'excuse aussi pour ce que je viens de faire, c'est... C'est très déplacé. Même moi, je n'aimerai pas qu'on se mêle de mes problèmes. Mais je voulais vraiment aider, lui fit-elle comprendre en la regardant dans les yeux.

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w/ léonora aiyana lockhart.

Je ne comprenais pas, je venais de me faire interloquer par une personne que je connaissais que de vue. Perdue, paumée, vraiment paumée je m'étais mise en mode défensive. En même temps depuis quand on me parle de cette manière ? Je ne suis pas une jeune femme facile à vivre, c'est plutôt l'inverse qui se produit et j'ai pas envie de me retrouver nez à nez avec ce genre de personnes. Au contraire, j'ai plus envie de prendre du recul et me faire toute petite mais ce n'était pas le cas de cette fille, que je ne connaissais et qui semblait me connaitre. Super, je suis la nouvelle oeuvre de charité. Mes paroles surement un peu dures éclatèrent et j'observais désormais sa réaction. « Les gens pensent me connaitre sans m'adresser le moindre mot, alors bon... » Je lève les yeux au ciel agacé par ce genre de comportement. Ce que j'avais vécu, je ne le souhaitais à personne, mais ce qu'ils avaient fais avec l'article, je ne le supportais pas. Mettre mon nom, parler de moi, savoir ce qui est le mieux pour moi ? Non, ils ne savent pas. Je hausse les épaules, un peu blasée par tout cela. « Tu sais on ne peut pas changer le monde, certaines personnes ne respectent pas les autres c'est tout. Tu ne peux rien faire de tout cela, il... Ce salo, j'espère qu'il sera retrouvé et enfermé... » Pour ne pas dire plus, j'avais une haine contre lui, parce que où qu'il se trouve, sa vie continue de tourner normalement, sans crainte, sans peur, alors que la mienne est faite de sentiments étranges et effrayant. J'avais ma vie et je ne sais si je la retrouverai un jour. c'est douloureux. « Ton intention est... gentille, vraiment mais flippante aussi... tu connais des choses sur moi alors que je ne sais rien sur toi, tu n'es pas une psychopathe ? » Essayais-je de dire sous le ton de l'humour avant de me rendre compte qu'au final... Elle pouvait l'être... Ouai, carrément.

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Cerceï & Léonora
Toute sa vie, Léonora a apprit à observer les gens qui l'entouraient. Elle devinait ensuite le caractère ainsi que la vie des autres. C'était comme le Mentalist, et cela pouvait faire peur à pas mal de monde. Notamment des personnes comme Cerceï qui venait de subir pas mal de moqueries, un viol et le fameux article de CS. Franchement la discrétion n'était pas le fort de la personne qui écrivait derrière un ordinateur. Léonora gonfla légèrement les jours et haussa les épaules lorsque Cerceï lui apprenait que les gens semblaient la connaître sans lui adresser le moindre mot.
- Quand on ne connaît pas une personne, on ne la juge pas sur son apparence ni de son caractère. On la juge seulement de ses actes, lui apprit-elle sur un ton remplit de sagesse.
Léonora pouvait se montrer peau de vache et tout ce qui suivait, elle possédait un avis de juriste quand elle le voulait. Mais elle préférait juger de ce qu'elle voyait et non de ce qu'elle entendait. Elle se pencha un peu vers Cerceï pour écouter ce qu'elle lui disait. Elle n'aimerait pas que cette dernière se mette à hurler tout ce qui se passait, d'ailleurs ça l'étonnerait. Mais bon, il était normal qu'elle soit sur la défensive. Léo' hocha un peu la tête lorsque Cerceï lui disait qu'on ne pouvait pas changer le monde. Mais Léo' prit une grande inspiration et craqua doucement ses doigts.
- On ne peut pas certes, mais on peut empêcher cela. Je propose qu'on fasse une intervention sur l'auto-défense pour toutes les filles et les personnes qui ne savent pas se battre. Ça peut toujours servir dans la vie, tu ne trouves pas ? Au moins, la prochaine fois qu'on te fait chier, tu cognes et tu seras tranquille. C'est ce que je fais, et on ne m'apprécie pas beaucoup pour cela.
Léonora éclata de rire au moment où Cerceï lui disait qu'elle était gentille, mais flippante aussi parce qu'elle était ce qu'elle était. Léo' secoua la tête et ne le prenait pas mal, elle savait qu'elle pouvait faire peur à quelqu'un par rapport à ce détail.
- Ne t'inquiètes pas pour ça, je ne suis pas une psychopathe. Je suis juste observatrice tout comme Irina qui est chez les Lowells. Nous sommes amies, mais nous sommes différentes aussi. Elle est discrète par rapport à ça, tandis que moi, je suis brusque et je balance tout. Au moins, je n'ai aucun remords et on ne peut pas me traiter d'hypocrites. Mais si tu veux me connaître pour que je puisse gagner ta confiance, poses-moi quelques questions.
Elle but une gorgée de son cappuccino et lui sourit légèrement.

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w/ léonora aiyana lockhart.

Blasée, je ne savais que penser du monde qui nous entourait. Je voulais continuer ma vie, faire comme si de rien était je ne voulais pas repenser à ce moment qui avait sans nul doute marqué au fer rouge ma vie à tout jamais. J'étais malheureuse, mais je ne voulais plus emmerder les gens avec cela, je voulais faire profil bas. Pas étonnant que je me mette sur la défensive quand je vins voir sa réaction. Pourquoi me parlait elle ? Pourquoi agissait-elle de cette manière j'étais perdue et je ne savais que penser de tout cela. « Peu de gens pense comme cela. » Je ne connaissais pas grand monde de ce genre, j'ai finalement trop souvent eu affaire à des gens sans scrupule qui te juge en un fragment de seconde. Franchement à quoi ça sert de faire cela ? franchement, à quoi bon ? Je me ferme sur moi même la tête vide, l'esprit ailleurs. Je suis comme vidée, étrangement, bizarrement. Je cherche les mots, je cherche ma tête, je cherche tout cour, quelque chose, mais rien du tout... Je ferme les yeux une nouvelle fois, tout ira bien, tout doit bien aller... Je grimaçais à ses parole,s pas certaine de bien comprendre. Egoïstement, je ne voulais pas parler de cela, avec les autres et tout. Je voulais juste... oublier. « si ça te fait plaisir de faire cela, mais compte pas sur moi... Je me suis battue... mais pas assez fortement. » Je me rappelle la douleur qui a envahis mon corps lorsqu'il a pointer ses coups sur mon ventre, lorsque je me suis rendu compte de la douleur qui m'envahissait... Quelle horreur. Je détourne mon regard, alors qu'elle rit... au moins je lui apporte cela. « Je... c'est stupéfiant, tu dis vraiment tout ce qui se passe dans ta tête. » J'en reste bouche bée incapable de dire autre chose, je ne sais pas quoi penser d'elle, elle est surprenante. vraiment je ne savais pas quoi dire de plus. « Pourquoi vouloir faire cela ? » Cette question me hurlait trop les lèvres, pour que je la passe sous silence.

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