Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBriny ∇ Lendemain de soirée ? Vomie à volonté.
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


Briny ∇ Lendemain de soirée ? Vomie à volonté.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais toujours eu l'habitude de participer à des fêtes. Prendre mon temps, m'amuser, boire, danser dans une énorme maison à la manière de projet X dans une version plus Harvardienne. Les filles sur les tables, grouillant dans tout les coins même les toilettes, se bougeant, se frottant entre elles pour attirer nos yeux, pour qu'on puisse enfin les désirer et finir la soirée avec l'une d'entre elles. Nous, les mecs, c'était plutôt l'alcool, une partie de jambe en l'air ou alors les jeux d'alcool. Là, où je passais toutes mes soirées en général. J'adorai foutre une branlé aux mecs des autres maisons rien que pour les énerver. Bien sûr, nous jouions de manière bonne enfant sans se prendre réellement la tête. On avait juste envie de rigoler et d'oublier les tensions ou stresse de la journée. Et boire, ne plus savoir où nous mettions les pieds, c'était notre manière d'être bien et d'arrêter de pense l'espace d'un instant. Du moins un peu trop en ce qui me concernait. J'avais bu. Trop bu et n'étant pas un homme qui tiens la boisson j'avais très vite fini dans un lit, du moins, je pensais que s'en était un, et de fermer mes yeux avant de rejoindre les bras de Morphée.

J'avais mal, tellement mal. J'ouvris difficilement un oeil en observant les alentours avant d'en ouvrir un autre en soupirant. J'étais pas dans un lit, mais sur la moquette d'une chambre coincé entre un mec et une fille. Ce pouvait être drôle mais pour le coup j'espérais pas m'être lancé dans les threesome cette nuit. Oh non. Surtout pas avec un autre homme, j'étais pas prêt psychologiquement a ça. Palpant doucement mon corps, j'étais munit encore un tee-shirt et de mon pantalon, la bringuette fermée. Non, j'avais pas commis de folie cette nuit. Je me relevais alors sur mes coudes les yeux mi-clos, éblouit encore par les petits faisceaux lumineux provenant des fenêtres. Je me levais finalement avec quelques difficultés en marchant rapidement vers les toilettes pour me retrouver la tête dans la cuvette des toilettes pour vomir mes tripes. J'avais trop poussé cette nuit. Un mal de ventre avait prit possession de mon corps me laissant à sa merci et surtout dans un état lamentable. Mais bizarrement après avoir évacué, je me sentais beaucoup mieux et prêt à affronter l'extérieur pour rejoindre rapidement mon lit chez moi. Je me relevais en regardant un instant le reflet de mon visage dans le miroir. Woah, zombieland ce matin. Trouvant alors le nécessaire pour me nettoyer, je me brossais rapidement les dents avec une brosse à dent trouvé par la et un dentifrice pour avoir un minimum d'haleine fraîche. La bouche encore pâteuse, je décidais de me rendre au rez de chaussé de la maison en m'étirant légèrement avant de me prendre les pieds dans un crétin dormant au bas de l'escalier. Je m'étalais alors de tout mon long en étant pour le coup plutôt sur les nerfs. J'avais mal de tête, le ventre en vrac et je venais de faire un plongeant sur le sol en marbre. J'ai de quoi crier, non ? Je me retournais alors en voyant que le crétin était une crétine et qu'elle avait été particulièrement bien morflé cette nuit vu l'état de son rouge à lèvre barbouillé jusqu'à son front. Je me relevais une fois encore en sentant que si je tombais une fois de plus, cette fois-ci je n'arriverai pas à relever. Je déteste les lendemains de soirée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Boire. Crier. Danser. Faire n’importe quoi. Rencontrer des gens tout aussi bizarre que toi. Voilà les mots qui définissaient drôlement bien une soirée. Etudier c’était ton truc, ta passion dans la vie. Pas seulement parce que les dents étaient un sujet des plus intéressants, mais tu le faisais pour toi, pour les autres. Genre le futur petit gamin qui aura des carries, bah toi t’arrivera tel wonder woman pour les enlever. Sauf que parfois tu en peux plus, ton cerveau te dit stop. Alors toi tu fais la seule chose que tu es capable de faire pour te reposer, t’amuser. Tu étais donc allé à cette soirée, des bruits de couloir entre deux cours. C’était chez une personne que tu ne connaissais pas, dans une maison que tu ne connaissais pas non plus, mais franchement c’était open bar pour une princesse comme toi , right ? Tu avais demandé à Swan de te rejoindre, et vous aviez bu, bu, et bu, faisant vraiment n’importe quoi. Tu te souviens bien avoir monté sur une table, à danser sur tes hauts talons, toujours prête à te casser la gueule. Tu es même sûr d’avoir tenu une conversation très animé avec toi-même dans les wc pendant que quelqu’un vomissait tous ses tripes à coté de toi. Pour le reste tu ne savais plus trop. Ton foie lui s’en souvenait très bien. Il semblait être mort, perdu dans les marécages poisseux que semblait être ton corps. Tout ce que tu savais c’était que tu n’étais pas vraiment au top de ta forme. Tu avais mal à la tête, mal partout enfaite et une délicieuse odeur de vomi flottait dans l’air, de quoi te dégouté à vie de ce genre de soirée. Tu étais en boule dans les escaliers, tentant désespérément de prendre le moins de place possible, te contorsionnant comme tu pouvais. Il faut dire que tous les lits avaient été rapidement pris, et que peu de possibilités s’étaient offertes à toi. De toute façon toi tu t’en foutais, tu voulais juste dormir et ne jamais te réveiller. Accessoirement rentrer chez toi pour te débarbouiller et t’étaler de tout ton long dans ton lit hyper moelleux. Sauf que là tu avais la flemme, et ton corps refusait de bouger, immobile. Puis c’est à moment-là qu’une personne te poussa, te donnant un coup de pied dans les côtes, c’est que putain ça faisait drôlement mal. Tu ouvris grand les yeux, l’adrénaline te poussant à te tenir à la rambarde. Lui n’a pas eu cette chance, s’écroulant comme une crotte sur le sol. Tu étais tellement dans un sale état que tu ne rigolas même pas ; t’arrachant qu’une simple grimace. Alors forcément quand tu vis à travers ton regard brouillé et encore endormi qui c’était, le plaisir ne fut que plus grand, la grimace se transformant en un sourire malsain. « Hey mais j’ai trouvé Charlie ! » t’exclames-tu d’une petite voix pâteuse, faisant référence à ce jeu débile où il faut retrouver ce mec avec son bonnet. Alléluia monsieur allait te prendre dans les bras et te ramener chez toi. "Puis vazy casse toi la gueule sur moi, j'te dirais rien." sarcasme quand tu nous tiens.
(Invité)