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Deux âmes solitaires ont entremêler leur passion ; Trinity

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Trinity & Hoël ∇


Cigarette dansante au rictus de tes lèvres , les bouffées venaient caresser tes narines puis repartir s’échapper dans l'aire alcoolisée. Les cendres retombaient dans le cendrier , pointant le signe de fin de vie à ce que tu appelle un plaisir de la vie. C'est le genre d'endroit qui te rappelle peu à peu des parcelles du passé que tu as oublié en chemin.Alors que de son cotée , l'alcool ,s'empare de ta mémoire et la ramène sur un nuage pour quelques heures. Tu enfilais doucement les gorgées et tout doucement un chatouillement de ta nuque et un petit picotement sur tes joues se faisaient sentir , ainsi les sourires ne tardaient pas à fleurir et à rester contre ta bouche avec innocence.Tu le sais bien , le nombre de verre ne change pas les choses déjà imprégner , l'encre à déjà couler à flot et tu ne peux qu'en tirer de profond remord. Les traces courent encore sur ta peau , les lueurs dans tes yeux d'un profond gamin et de bien être en cache aussi une perles qui ne voudraient que rouler sur tes joues . Par ailleurs tu n'avais pleuré qu'une seule fois après tout cela et c'était avant ton départ. Tu l'avais regardé inerte , le visage en douleur , puis avait pris le premier avion pour t'éloigner de ce que tu avais fait. Une pauvre innocente , si amoureuse , si belle. Ton portable vint te reprendre le contact avec la réalité.Tu pris l'objet qui vibrait sur le comptoir et caressait les touches ne sachant pas trop quoi répondre. Trinity , ce genre de femme qui te rappelle tant Juliet . Vos habitudes ? Un lit , de bonnes discutions , des rires puis tout simplement cette petite blonde te rend presque dingue. Tu lui répondis sans plus attendre de venir te rejoindre. Dès qu'elle fit son entrée tu n'as vraiment pas eu de mal à la reconnaître. Tes prunelles longeaient ses courbes dansantes sous les éclairages malgré toi. Tu les avais palper plus d'une fois et l'envie de savourer cette chaire divine sous tes mains t'enivraient de plus en plus. Tu partis à sa rencontre , sans plus ni mal , tu la prend délicatement par la taille avec un sourire charmeur que tu ne sors pas très souvent. «Hola jolie blonde !». Tes iris s’illuminaient doucement sans t'en rendre compte et tu lui pris doucement sa main aux doigts de fée et la fit asseoir sur le juste à cotée du tiens. Tu le savais déjà cela finirait surement sur l'oreiller comme à chaque fois. Parfois tu essayais de prendre tes distances et puis ça revenait. Vos lèvres s'embrasaient dans des baisers incendiant découvrant de vos mains baladeuses vos corps une fois de plus. Tu enfilas rapidement le reste de ton verre , écrasas le reste e ta cigarette qui gisait et tu te retournas vers ton amie. «Tu veux quelque chose à boire ? C'est moi qui paye se soir !» Tu luis fis un petit clin d'oeil en riant.

J'aimerais que tu me dise qu'il n'y a plus que nous deux se soir. Que nos corps qui ont la profonde envie de s'unir. Que même au levée du soleil même si on a bien pu faire des choses tu n'es pas peur de recommencer. Oh toi , jolie femme , blonde comme le blé , tu m'envoute et ça me fait peur. Condamnons nos consciences se soir. Faisons un pacte avec le diable. De toute manière je crains qu'il ne soit déjà trop tard pour reculer...
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      Je ne peux pas arrêter les sentiments aussi hauts que le plafond. J'ai l'argent qui vient du putain de deal, je sens la chaleur comme le baril d'un pistolet. J'ai oublié la dernière fois que j'ai vu le soleil. J'ai comme un malaise. Ça creuse profondément en moi-même. C'est comme si mon esprit partait mais que mon cœur continuait de battre. Donc je vais peindre les murs, ça ruisselle de mon nez. Mais où ça va, personne ne le sait vraiment. Je tape la bouteille et elle commence à me suivre. Je m'endors et il n'y pas de lendemain. Les armes sont loin, et personne ne peut me sauver. Qui a besoin de toi quand j'ai mon amour ? Mon amour est magnifique, elle m'aime vraiment. Mais si elle meurt, j'espère mourir aussi.


      La chaleur se répand dans tout son corps. Elle se sent divine, moulée dans sa robe noire de jais. Et elle danse la petite. Ah oui, elle sait bouger. Elle ne s'accorde plus à son environnement, c'est son environnement qui s'adapte à elle. Quand ils la regardent ils ont l'impression que c'est la musique qui suit le balancement de ses hanches. Elle n'a pas besoin de paillettes pour briller, cette petite. Elle est aussi belle que n'importe quelle créature. On la sent pure. Le noir lui va si bien. Partout autour d'elle, ils sont impressionnés. Partout autour d'elle les mains se tendent. Leurs mains si sales dont elle ne veut pas. Mais elle doit jouer la comédie. La comédie est sa survie. La comédie est son masque. Elle aime agir ainsi. Elle n'a rien pour avoir honte. Alors elle danse. Elle fait baver. Elle fait rêver.
      La chaleur retombe, elle arrange ses cheveux. Dehors, il fait froid. Un simple manteau pourpre recouvre son fébrile corps habillé de sa robe. Ses talons sont hauts à en impressionner certaines pimbêches. La chaleur de son joint se répand en elle. Car c'est là qu'il fait le plus froid. Elle resserre un peu son manteau autour d'elle. La nuit va être longue. Ses prunelles d'un bleu électrique se perd sur la rue en face d'elle. Elle sort la liasse de billets qu'elle a gagné ce soir. Les compte et recompte. Car elle s'ennuie. Elle en arrive à la moitié de son deuxième décompte que son joint se termine. Elle peste. Oh non, pas déjà. Le toncar vole, atterrit sur le trottoir. Elle observe les quelques dernières volutes de fumées se noyer dans l'air pollué de la ville. Enfin, elle se lève, et s'engouffre dans les profondeurs de la nuit, son portable à la main.
      A peine elle pousse la porte que plusieurs regards tombent sur elle. Ils la dévorent des yeux, avides de telles courbes. Mais elle a déjà repéré sa proie. Installé au fond de la pièce, il la contemple déjà. Elle sourit. Sa silhouette féline s'approche de lui. Elle refermera bientôt ses serres sur toi. Prends gardes. La jeune rose est en mesure de t'empoisonner. Hola jolie blonde ! Tu la prends dans tes bras. Tu n'as pas peur de t'y frotter, mon petit. Prends garde à ne pas t'y piquer. Les épines sont rapprochées. Tu veux quelque chose à boire ? C'est moi qui paye se soir ! Elle passe une main dans ses cheveux épais et soyeux, les envoyant valser dans son dos. La complicité s'installe. Elle sourit à ton clin d'oeil. Elle paraît heureuse de te retrouver. C'est si aimablement proposé, je vais me laisser tenter. Vodka, comme d'habitude.

    sorry, c'est pas terrible :noway:
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C'est une déesse , une sirène , ses cheveux retombent en cascade le long de son dos et déjà son cou parfait de cygne t'appelle en déposé tes lèvres . Tu t'y prends vite à te mordre ton inférieur baigné par le désir. Tu lui a déjà goûté , mais tu veux encore essayer. Comme une sorte de drogue , elle coulera dans ton sang et quand tu essayeras dé t'éloigné comme un aimant tu reviendras vers elle. Elle n'a bougé qu'un d'un poil et les frissons ont volée sur tes bras remontant le long de ta colonne vertébrale. Ses hanches radieuses dansant sous sa robe à chaque pas , tout est parfait. À ta convoitise elle s'installe sans problème. Elle te regarde et t'électrise de nouveau. Une vodka ? Tu la commande en moins de deux pour qu'elle se retrouve entre ses mains. Tu approche tes doigts vers une de ses mains déposées sur le comptoir et tu la frôle doucement puis la caresse de ton pouce à l'intérieur de sa paume. Le silence est retombé sur vos épaules et vos prunelles ne font que s'échanger des regards ambigus. Sans doute se sont tes instincts mâles qui on avant tout prit l'audace de l'inviter jusqu'à ici , mais bien avant cela derrière cette femme si convoitée c'est une grande amie. Certes , soyons honnête entre nous tu le sais très bien qu'elle n'est pas vraiment là pour ce genre de raisons se soir. Son assurance se sens déjà et ça te plait. Quand tu y penses ce n'est pas si mal à être célibataire c'est ce genre de points positifs là que tu aimes bien profiter.«Après ton verre , m'accorderais-tu une danse sensuelle ?»Tu y place un petit rire en plaçant un sourire malicieux. Puis sans gêne , mais subtilement aux autres regards des inconnus tu vins lui caresser une cuisse circulairement. À l'habitude tu n'auras jamais fait ça et tu aurais tout simplement été sage bien confortablement sur ton tabouret , mais elle , oui elle , elle est différente. Pendant quelques minutes tu exerçais ce geste puis tu la reposais sur le comptoir. Tu enfilas un autre verre d'une traite.«Tu devrais les voir , tous à te regarder comme si tu étais jolie petit gâteau».Et tu répète sans cesse : Aller laisse moi goûter à ton venin une fois de plus. Laisse moi me faire envouter une fois de plus. Tu me laisse de plus en plus moins indifférent , je le sais c'est un endroit dangereux , mais tant aussi bien que parfait. Situation si complexe et qu'on ne veut pas effacer , qu'on répéterait sans cesse , encore et encore , jusqu'à se perdre dans ce labyrinthe infini. À l'intérieur de toi ça se chamboule de plus en plus de peur qu'elle ne reparte qu'avec une de ses ivrognes du bar . «Tu me ferais ce plaisir ce soir»Et quand tu parlais de cette demande elle le savait très bien ce que ça signifiait. À la façon dont tu l'avais susurrer à son oreille , à la manière que tu te comportais. Tu ne la laisserais pas s'envoler oh non elle serait tienne ce soir et se sont tes derniers mots.
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      Je ne peux pas m'arrêter, j'ai besoin d'aide. Va te faire foutre, je suis moi-même. Est-ce la vérité ou un mensonge ? C'est ce que tu ne peux pas nier parce que c'est ta façon de penser. Mélangée avec les pilules et la boisson ça te ramène à ta façon d'être. Coulant jusqu'ici, près de Dieu tu sais que se cacher ne te fera pas être en sécurité
      Parce que les larmes sur ton visage. Elles fuient et laissent une trace. Donc juste au moment où tu pensais que le vrai amour commençait il s'en va dans la même seconde comme une arme chargée.


      Comme elle le veut, tu t'éxécutes. Ils lui obéissent tous. Ils la prient tous de la regarder, en silence. Elle entend leurs murmures l'appeler. Mais elle résiste. Elle résiste toujours mieux aux autres quand tu es là. Car comparable à la muse de tes rêves, elle te dévore d'un simple regard. Elle crie dans son esprits. Elle se repasse vos précédents ébats. Se demande ce que tu lui réserves pour ce soir. Elle observe son verso lorsque tu t'éloignes d'elle pour aller chercher la convoitise de ses papilles. Ce soir, tu seras le désir de ses lèvres. Elle sait qu'elle n'a pas besoin de maquillage pour te plaire, ni de la panoplie de la parfaite allumeuse. Non, elle n'a besoin que de son apparence, et elle sait qu'elle peut faire tomber tous les regards sur elle en un balancement de hanche.
      Son verre entre les mains, elle s'amuse à le faire tourner entre ses paumes délicates. Elle observe le contenu de son verre. Combien de fois elle avait crié sa douleur au fond des verres de vodka. Se reprenant à ses sentiments humains, elle releva son visage angélique. Tu avais pris sa main, tu la caressais. Décidémment, tu n'avais vraiment plus peur. Elle te laisse faire, elle te laisse apréhender le poison qu'elle déversera en toi. Bientôt. Elle sent tes hormones et tes pulsions bouillonner en toi. Ta main la caresse lentement, au niveau de la cuisse, de ces petits mouvements circulaire dont tu es le seul générateur de frissons. La rose frémit. Patience, mon petit.
      Après ton verre , m'accorderais-tu une danse sensuelle ? Tes mots se répercutent dans son esprit, comme si elle n'avait pas saisit tout leur sens. Elle laisse ses pensées la faire divaguer. Et toujours cet invisible fil conducteur la ramènent à la passion de vos deux corps s'enchaînant. Elle tourne son regard vers toi, t'hypnotise. Tu ris. Elle sait ce qui se cache derrière cet air angélique. Ses yeux rieurs te fixent, perçant ta carapace interne. Tu devrais les voir , tous à te regarder comme si tu étais jolie petit gâteau. Ta comparaison la fait rire. Ta fausse fébrilité aussi. Tu l'amuses, la petite. Elle croit t'apprécier.
      Une bouteille claque au sol, et le regard électrifiant de la féline se pose vers ces ivrognes. Ils en sont à quelques chapitres d'avance sur la phase d'alcoolisation de la brune. Pourtant, tout cela semble loin. Vous êtes tellement en retrait, que le monde semblait s'être de lui-même retiré, pour vous enfermer dans cette bulle hermétique dont vous êtes les seuls maîtres. Mais déjà tu la rappelles à toi, et elle oublie la cohue du monde à l'entrée. Tu me ferais ce plaisir ce soir. Elle se penche un tantinet vers toi, comme dans un ton de confidence. Son dos se courbe élégament, elle porte un dos nu. Seules quelques ficelles relient le tissu. Qu'elle est belle, cette dame. Qu'elle est dangereuse, cette amante. Son buste se penche vers toi, et sa poitrine généreuse d'effleure. Sa main la plus éloignée se pose sur ta cuisse, glissant en son intérieur sans pour autant atteindre ta virilité même à travers le simple tissu de son pantalon. Ses lèvres pulpeuses ne sont qu'à un souffle de son visage. Ses cheveux entourent son visage et ses yeux fixent tes lèvres. Elle paraît te dominer. Elle paraît dominer le monde. Elle sait ce que tu veux. Elle sait ce qu'elle veut. Tu parais tellement sûr de toi, Hoël. Pourtant tu sais comme moi à quel point j'aime jouer. Elle te souffle cela à voix basse, tu la connais tellement bien. Elle se laisse éprendre par envie de caresser son index à tes lèvres quelque peu rosies. Son haleine fraîche se perd quelque part autour de ton menton. Elle referme ses serres sur toi. Il n'est plus temps de fuir. Elle t'a prit en chasse.[/b]
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Tu n'en peux plus. Oh non , chaque seconde te semble une éternité qui ne semble point finir et ses lèvres elles ne font que t’appeler. L'envie de les dévorer au fruit de tes baisers. Le désir immense de soulever ses cuisses les caressant en lui arracher des soupires exquis pour enrouler ses jambes autours de ton bassin. Tu veux qu'elle s'accroche à toi. Tout tourne autours de toi si rapidement , tes instincts reviennent si rapidement à la charge que tu t'en retiens de ne pas la prendre contre le bar. Tu le sais si bien que si ces âmes ne tourneraient pas tant dans l'endroit en public en ce moment tu l'aurais fait il a bien longtemps. Sa peau , ses mains , ses yeux ,sa mâchoire , chaque forme était une attrape pour t'attirer. Un vrais poison cette femme , tu le sais , mais tu veux y gouter encore encore. Sentir qu'elle plonge dans tes veines. Qu'elle s'infiltre à l'intérieur de toi quand elle te regarde. Tu sens sa main provocatrice s'approcher de ton entre-jambe que tu en retiens des soupires qui s'accrochent aux barrières de tes lèvres. Bon sang une minute de plus et s'en est déjà trop. Elle t'attise encore de nouveau s'approchant , elle te brûle et en ce moment tu vis presque de la haine qu'elle en profite . Tu tombe peu à peu dans le piège . Son filet se referme autours de toi , mais toi tu ne peux t'empêcher de sourire. C'est si bon. Unir vos deux corps , laissé danser ses formes sur toi. Elle ta épiné de ses épines tu es presque à ses genoux , mais encore tu tire une partie de la corde de ton cotée tu sais aussi contrôler la situation. Pendant qu'elle éveille ta bouche de ses longs doigts , tu profite pour amuser son cou de baisers et dévorer sensuellement chaque partie remontant le long de son menton sous les regards amusés des autres clients. Elle ne peut mentir cette rose cela lui fait de l’effet et pourtant elle a tendance à rester de marbre en continuant son petit jeux. Mais se soir tu en as décidé autrement. «Certes se soir je n'ai pas envie de d'attendre» Tu la regarde et tu souris en même de temps de rire. Les verres gisent encore sur le comptoir et qui sait si il en aura plusieurs à enfiler au point de te laver complètement l'estomac. Tu glisse une main dans son dos et l'approche de toi caressant le creux de ses reins. Tu l'as tiens et vos souffles se brûlent et vos front ne se séparent que par quelques millimètres. «De toute manière ça se voit dans ton regard que tu en as autant envie que moi...»Tu te mords la lèvre , car ça devient de plus en plus dure comme si elle détenait un quelconque pouvoir pour te faire devenir fous. L'impatience te ronge jusqu'aux os. Tu prends de nouveau sa main même si tu la sens un peu résister et l'entraine dans un coin plus reculer du bar. Bien loin de toute ces voyeurs pervers qui ne cessent de savourer vos instants ambigus et sensuelles. Tu l'as plaque doucement contre le mur et l'embrasse sans retenu pour venir faire courir ainsi rapidement sous sa robe au niveau de sa cuisse que tu caresse avidement. «Petite allumeuse que tu es»Tu la regarde une fois de plus le souffle haletant essayant de la déchiffré , mais elle en reste l'énigme parfaite.

Laisse moi toucher tes hanches . Laisse moi envelopper mes mains sur ton corps et t'emmener dans les péchés. Oui nous plongeons dans les démons , dans l'interdit. Mais aussi bien que l'enfer peut s'avérer à devenir le septième ciel. Des mes baisers je te caresserai , des soupires j'en retirerai et de l'extase j'en ferai exploser.
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