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tanya&calypso ► here i come babe!

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HERE I COME BABE!


i promised you an eternity of misery, so i'm just keeping my word.


Je me réveille dans un hôtel en ville. J'étais arrivée à Cambridge la veille très tard, ce qui fait que je n'avais pas eu le temps de m'installer au campus. Le décalage horaire se faisait déjà sentir et je ressentais déjà le mal du pays ! Non pas que je n'ai jamais voyagé, mais le fait de ne pas savoir la durée de mon séjour ici me faisait déjà regretter mon pays et ma ville d'origine. C'est dans ce genre de situation que je suis le plus reconnaissante envers mon père qui m'a enseigné à me débrouiller seule sans l'aide de personne. Ma seule consolation était la perspective de cette journée, en effet, je n'arrêtais pas d'imaginer la tête que ma chère sœur fera lorsqu'elle me verra en chair et en os devant elle, ces simples images me donnèrent immédiatement le sourire. D'ailleurs, je me demande si elle a déjà reçu mes fleurs accompagnée d'une jolie carte écrit en russe -langue qu'elle ne comprend pas certes mais le but n'étant pas qu'elle comprenne mais bien qu'elle reconnaisse la langue- en guise de surprise. L'idée m'était venu dans l'avion, je voulais lui mettre un coup de pression, sachant que son dernier séjour en Russie a dû lui laisser quelques séquelles. Je regarde ma montre et décide qu'il est grand temps de rendre visite à ma petite sœur adorée. Ayant déjà fait mes recherches lorsque j'étais encore en Russie, je ne devrai pas avoir de problème à trouver son adresse. J'arrive donc sans problème devant sa porte -tout excitée, le sourire aux lèvres à l'idée de lui faire la surprise du siècle- et sonne. La porte s'ouvre : je lui offre le plus gros sourire de bitch que je sais si bien faire et ajoute en criant presque "SURPRISE MA PETITE SŒUR CHÉRIE, j'espère que je t'ai pas trop manqué"


love.disaster
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J’étais fatiguée, épuisée, tout ce que vous voulez, mais j’étais vraiment au bout du rouleau. Entre ce mariage de malheur, mes comptes en banque, Elizabeth… Parce que oui, hier soir, ma chère femme avait décidé de pointer le bout de son nez chez moi, m’accusant de lui cacher quelque chose, et bien elle se mettait le doigt dans l’oeil la pauvrette, je lui cachais pas quelque chose mais une montagne, un océan, une planète, un truc énorme quoi. Imaginez sa réaction, oui passons sur ce passage plutôt douloureux de ma vie affective désastreuse. J’avais eu l’occasion de recevoir un beau bouquet, imaginant un admirateur secret, mais non, c’était ma connasse de soeur. Ah parce que oui, j’avais une deuxième soeur, étonnant non ? Mon père ce chaud lapin, il savait pas fermer sa braguette celui-ci. À part qu’elle, c’était un démon, on pouvait voir ses petites cornes, j’vous jure. Je ne pouvais pas la voir en peinture, et elle non plus, je ne comprenais donc définitivement pas pourquoi elle avait décidé de m’envoyer ce bouquet qui puait la mort. Elle avait dû payer une fortune pour le commander depuis la Russie, et j’imaginais même pas la tête du livreur quand il avait réalisé qu’il devait écrire un mot… en russe, avec les écritures étranges au possible. Quelle idée de mettre une note en russe, comme si j’allais comprendre, elle était vraiment bête ma parole. Je commençais à douter du fait qu’on pouvait partager le même sang : une Thomspers n’est pas bête, les Thomspers sont forts et puissants, elle, elle était… rien, c’était ça le problème, une bâtarde qui occupait mon nom de famille. « dring dring », quelqu’un venait de sonner à ma porte, comme si c’était le moment, j’allais sortir, du haut de mes talons j’ouvrais avec assurance la porte de mon appartement. Et bien quand on parle du loup. Devinez qui se trouvait devant mon petit nez ? La sorcière, l’horrible Tanya Thomspers. « Euh, ta gueule ? merci » dis-je sans refermer la porte, j’étais pas du genre à me dégonfler, ni à me laisser impressionner, même si intérieurement j’avais envie de la tuer, mais qu’est-ce qu’elle pouvait bien faire à Harvard, s’il vous plaît, ne me dites pas que… non, j’pouvais pas l’imaginer. NON.
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