petite pause infidélité w/ konrad

Encore heureuse qu'il ne s'énerve pas. Pourtant c'était un sujet propice à ce qu'il parte en vrille, mais bon. Maintenant fallait détendre l'atmosphère, j'avais envie de passer une soirée tranquille, rien que tous les deux, et de profiter de lui au mieux. Assise sur lui, je me redressais légèrement et commençais à jouer de mes charmes afin qu'il pige c'que j'avais en tête. Je pouffais de rire, alors que je sentais ses mains au niveau de ma taille. Décompresser, oublier mon mari, et profiter d'toi au maximum ... Mon nez pratiquement collé au sien, j'ignorais ce qui m'retenais de l'embrasser à nouveau. Oh oui ça s'voit, dis-je en attrapant doucement une de ses mains avant qu'il ne m'embrasse. Et bon sang, déjà on sentait l'envie hein. C'était rapide, avec de l'envie, un véritable délice. Mais le canapé m'plaisait pas trop, j'préférais un lit, un vrai pieu avec un bon matelas. Dans ta chambre ... le canapé c'est nul ... Je me levais de ses genoux, sa main dans la mienne, et nous nous dirigions vers sa chambre, alors que nos lèvres s'étaient à nouveau retrouvées.

Tout comme elle, je voulais passer une soirée calme, où je profite d'elle, de sa présence, je sais que quand elle est là, elle est à moi et que je ne pense pas à ce qu'elle peut faire, avec qui elle est et j'en passe, une fois qu'elle n'est plus avec moi. La voilà à jouer de ses charmes, assise sur mes genoux et ça marche totalement, je souris, j'ai des frissons, j'ai clairement envie d'elle, normal, comme à chaque fois Voilà ce qui nous arranges tous les deux. je lâchais un petit rire, puis au moment où je voulais l'embrasser, elle me faisait savoir que mon lit serait plus approprié, attrapant ma main, elle ne me laissait pas le choix Ça dépend des positions. lui répondais-je en rigolant légèrement alors qu'on arrivaient dans ma chambre et à peine le seuil de la porte passé, ses lèvres reviennent sur les miennes. je la saisis par la taille puis je la surélève sans quitter ses lèvres, ses jambes se croisent derrière ma taille et je la dépose sur le lit, continuant cette embrassade langoureuse.

Ouais mais non ... pas sur le canapé, j'aimais pas. Et on avait un pieu à disposition, autant profiter du meilleur confort possible. Peut-être ... mais j'suis plus lit que canapé tu vois. Je l'avais entraîné avec moi, très souriante et à peine avais-je passé le seuil de la chambre que Konrad, je choppais à nouveau ses lèvres dont j'avais du mal à me passer dans ce genre de situations alors qu'il me portait, me tenant par la taille. Respiration légèrement haletante et sans cesser de l'embrasser, je l'entourais de mes jambes afin d'être un peu mieux agrippée à lui. Konrad me déposait doucement sur son lit et pinçait sa chemise pour l'attirer juste au-dessus de moi. Tu sais qu'tu m'as manqué ? réussis-je à murmurer en même temps que je défaisais chacun des boutons de sa chemise sans le lâcher du regard. C'était pas des conneries, il m'avait vraiment manqué. Tout comme son corps, dont le torse se découvrait au fur et à mesure que je déboutonnais sa chemise.

Il était temps de se retrouver comme on en avaient l'habitude, mais la belle richarde mariée préférait qu'on se retrouvent comme il se doit dans mon lit plutôt que sur le canapé et comme presque à chaque fois elle s'imposait et ne me laissait pas le choix, prenant ma main pour me lever du canapé et pour qu'on aillent dans ma chambre, même si je lui lançais une remarque sur ce canapé qui avait connu pas mal d'ébats Je vois. lui répondais-je alors qu'on passaient le seuil de la porte de ma chambre. Aussitôt entrés, elle m'attirait de nouveau vers elle pour m'embrasser, je la soulevait sans quitter ses lèvres une seule seconde pour en profiter un maximum, ses jambes s'entouraient autour de ma taille pour avoir une meilleure prise, je la déposais sur le lit et tirant sur ma chemise, je n'avais d'autres choix que de venir sur elle, nos regards se croisaient, des sourires échangés Toi aussi, t'imagines pas à quel point. elle déboutonnait ma chemise bouton par bouton sans quitter mes yeux, je ne quittais pas les siens et je venais l'embrasser de nouveau en lassant ma chemise quitter mon corps une fois les boutons tous enlevés, elle tombait sur le sol de la chambre, et c'était à mon tour de la rendre un peu plus libre de ce qu'elle portait sur elle.

Il pouvait être mignon quand il le voulait. J'ignorais si il m'disait que j'lui avais manqué juste pour m'faire plaisir ou si c'était vraiment la réalité. J'connaissais la réputation d'homme à femmes de Konrad et j'espérais qu'il ne disait pas c'genre de choses à toutes ses conquêtes. Une fois sa foutue chemise déboutonnée, Konrad la laissa tomber par terre, laissant découvrir l'une des plus belles parties de son corps. Nos baisers se faisaient plus vifs, plus passionnées, de plus en plus emplis d'envie. Alors que Konrad avait dans l'intention de m'enlever ma robe à son tour, je le retournais avec ma petite force afin de me retrouver sur lui. Laisses-moi faire ... C'était mieux que j'le fasses, j'avais pas envie qu'il déchire ma robe avec sa force d'homme. Je fis alors doucement glisser la fermeture latérale de la robe jusqu'en bas et finit par l'enlever avec délicatesse, offrant à Konrad la vue de mon corps encore habillé de mes sous-vêtements. Presque immédiatement, je retrouvais les lèvres de Konrad, avant d'embrasser peu après son cou puis le haut de son torse, tout en détachant le bouton et en défaisant la braguette de son jean. C'était toujours chiant le déshabillage bordel.

Je sais que j'étais un connard et que j'avais une réputation assez reconnue avec les femmes pour les balader comme je voulais et toutes les avoir, certes Cléophine est une conquête mais je la ballade pas parce que je sais très bien que vu son caractère elle est autant capable de me balader que je peux le faire avec elle alors quand je lui dis qu'elle m'a manqué, je le pense, entre nous principalement que du sexe mais elle compte quoi. Dans ma chambre, sur le lit, on s'embrassent je ne sais combien de fois puis me voilà à enlever ma chemise et la laisser tomber par terre et au moment où je veux la libérer de cette robe qui la rend si sexy, elle décide de me retourner pour se mettre sur moi et prendre l'initiative de l'enlever elle-même, surement parce qu'elle n'a pas envie que je la déchire comme j'ai pu le faire assez souvent avec ses fringues, c'est que madame claque son fric dans des fringues qui lui tienne à cœur, pas de la merde qu'on déchire. Mais au final je me régalais de la vue qu'elle m'offrait, même si elle avait encore ses sous-vêtements j'étais excité par ce qu'elle m'offrait comme vue et elle revenait à mes lèvres une fois sa robe également au sol, je sentais ses mains sur mon jean pour enlever ma ceinture et ma braguette, c'est vrai que 'est galère cette étape du déshabillage mais bon, tout vient à point qui sait attendre non ? Je l'aide quand même en levant mon cul pour retirer mon jean et le laisser lui aussi tomber du lit.