M. ALESSIA E. K.-KATAÏEVA ► Vesper Farrar.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sarah et j'ai quinze ans. Je suis marocaine/française et j'ai connu le forum grâce à je sais plus, c'était y'a looongtemps.  J'ai craquééé pour Alessia alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Vesper Farrar comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Cass chérie. Je fais environ 300 mots minimum par RP et mon personnage est un scénario crée par Anastasiya V-I Kataïeva.

   Mot de la fin ? ▲ looove.
   Je souhaite ▲
    adhérer un flood d'intégration (?)

19 Mars 2024, 20 ans, Cambridge.

Cher journal, moi c'est Alessia. Ou plus précisement Alessia Minka-Eleanore Kovalevski-Kataïeva. Pourquoi Minka ? Parce que ma mère m'appelait Mika. Ça me faisait penser au chanteur, ou au chocolat Milka mais c'était pas vraiment important..  Je n'avais non pas le nom de mon père mais celui de ma mère en tant qu'héritière du trône de Russie. Je ne pouvais tout de même pas avoir le nom d'un autre en tant que future Tsarine. Je suis née le 14 Février 2014 à Cambridge, un mois plus tôt suite à une chute dans les escaliers dont ma mère avait été victime. Il y a eu quelques complications durant l'accouchement mais heureusement, il n'y en a pas eu après ma naissance. J'ai été le plus mignon des bébés, et la plus belle des petites filles. Quoi que.. Je le suis toujours, mais en beaucoup plus belle. Effectivement quand on a des parents anciens Eliots, il est difficile d'être modeste. Surtout qu'on ne cessait pas de me dire que j'étais tellement belle. Au bout d'un certain temps, ça finit par monter à la tête. Et il est impossible de ne pas être la fille un peu peste et princesse pourrie gâtée aujourd'hui quand on sait que mon entourage m'a toujours porté sur un plateau d'argent et que je suis l'héritière au trône de Russie lorsque ma mère cédera sa place. C'est une chose que je prends à coeur, car hériter du trône de Russie n'est pas une chose des plus faciles à gérer, même si je sais que ma famille côté Kataïeva m'aidera lorsque ça sera mon tour de prendre la relève. C'était une source de dispute entre mes parents concernant mon avenir. Mais pour ma mère, ça n'est pas discutable. Je prendrai sa relève et un point c'est tout. Ça n'est pas pour me déplaire, vivre dans le luxe, comme depuis toujours, était quelque chose qui me plaisait et ça ne risquait pas de changer, même si j'allais avoir bien plus de responsabilités sur le dos. De toute manière ça n'était pas pour maintenant, il fallait d'abord que je termine mes études avant de réfléchir trop durement à ce qu'allait être ma vie en Russie.

Venons-en à mes parents, ceux pour qui je ferai tout. Lorsque je vois des amis qui n'ont pas de lien proche avec leurs parents, je me dis que j'ai bien de la chance d'être ce que je suis et d'avoir des parents comme les miens, les meilleurs. Concernant ma mère, elle est mon modèle. Elle m'a transmit sa passion pour la danse, pour sa mode, sa beauté et son caractère. J'avais beau être une peste parfois avec des personnes autour de moi, il n'empêche que ma famille était la seule avec qui j'étais plus qu'adorable, en excluant mes amis proches. Il faut dire que même si ma mère me gâtait bien, elle savait aussi être ferme et j'avais tout intérêt à suivre ce qu'elle voulait jusqu'à la majorité au risque de provoquer sa colère. Hormis cela, ma mère m'avait toujours bien gâtée afin que je ne manque de rien, tout comme mon père d'ailleurs. En parlant de lui, il est bien le moins sevère des deux. Durant toute mon enfance j'avais été en quelque sorte sa poupée, dont il pouvait s'occuper sans qu'elle puisse rechigner. Je pense que cette époque là lui manquait, il pouvait faire ce qu'il voulait avec moi, j'adorais ça. Autant ses câlins que ses bisous et cadeaux. Pourtant durant mon adolescence j'avais eu comme un sentiment d'étouffement, à cause de son surplus d'amour pour moi (même si je n'allais pas non plus m'en plaindre). Je grandissais et me détachais petit à petit d'eux, et ne manquait pas de lui faire comprendre que je n'étais plus une gamine et que j'avais besoin de respirer un peu surtout. Mais c'était tout à fait compréhensible de sa part, je suis sa fille adorée, celle qu'il a toujours rêvé d'avoir et j'ai été son plus beau cadeau. Je tentais tout de même de leur faire comprendre que ce n'était pas parce que je voulais me détacher un peu d'eux que je ne les aimais plus, bien au contraire. C'est juste qu'à 15 ans, je ne me voyais plus assise sur leur genoux comme une gamine toute la journée et rester collée à leur bras. Il n'empêche que j'avais bien conscience de la chance que j'avais d'être leur fille. Je n'avais pas manqué d'amour, ni m'étais sentie mise de côté par leur vie professionnelle. Certes ils avaient des obligations, mais ils trouvaient le plus de temps possible pour moi. Je savais très bien qu'ils m'aimaient plus que tout et c'était réciproque. Sans oublier Coraleen, ma meilleure amie et ce depuis toutes petites.