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(KOLIZIE) + i find the face that haunts me.

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Un jour sans vraiment prévenir personne, j'étais partis, partis loin, sans me retourner, sans penser à toutes les personnes qui pouvaient m'apprécier, m'aimer même, ici, là ou j'avais refais ma vie, j'avais juste fais en sorte de rassembler quelques affaires le minimum possible, et j'avais pris l'avions … pour la France, ce pays qui m'avait vu grandir, et que je haïssais autant que je le pouvais. Dans ma tête à ce moment précis, il n'avait plus eu de Keyla, ni même d'Elizabeth, il n'avait que l'état de santé de ma mère qui m'avait préoccupé, je n'étais pas bien … en même temps comment se sentir heureux, avoir le sourire aux lèvres … quand un beau jour on vous appelle en vous disant que votre mère, ne vivra plus très très longtemps maintenant, qu'elle a une putain de maladie, qui chaque jour la fait agoniser de plus en plus … j'étais mort de trouille à l'idée de la perdre, à l'idée de perdre la femme qui ne m'avait jamais fait du mal, à l'idée de perdre celle qui m'avait mise au monde. J'avais envie d'être au près d'elle, de la serrer fort contre moi, de lui donner ma force … mais je n'avais pas envie qu'elle disparaisse … pas elle, non elle n'avait pas le droit de me faire ça, ce n'était pas possible. J'étais resté des heures, des jours, des semaines et même des mois auprès d'elle, pour la rassurer, pour lui dire que tout allé bien ce passer, que tout cela allé passer … sauf que moi même petit à petit je perdais espoir … mais il ne fallait pas, je n'avais pas le droit de la laisser seule, c'était impossible … sans moi je savais très bien qu'elle ne tiendrait pas. Elle était mal mais elle tenait bon, toujours, c'était une championne, une battante, et j'étais fier d'être son fils. Et puis elle a réussit, elle s'était battue, elle n'a pas cédé, et elle a finit par y arriver … elle était la avec moi … encore, je ne savais pas vraiment pendant combien de temps, mais les médecins étaient tous optimistes, et c'était ça qu'était merveilleux. Un jour, alors que ma mère s'était levé tôt, mon père l'avait suivit dans le jardin, je ne sais pour quel raison, c'était qu'il s'était mit à hurler comme jamais … pourquoi ? Sûrement parce qu'il était fou, qu'il avait besoin de cette violence qu'il se trouver en lui, de toute cette colère … il ne faisait même plus attention aux voisins, il en était vraiment arrivé à ce stade. Il me faisait pitié, et je ne comprenais toujours pas pourquoi ma mère s'acharnait de la sorte à rester auprès de lui, c'était cet homme qui la rendait malade, qui l'avait rendu malade. J'étais descendu en vitesse … j'avais peur pour elle, je ne pouvais plus laisser passer le fait qu'il puisse encore la frapper, je n'avais même pas pris la peine de m'habiller et il faisait déjà froid dehors, mais peu importe, c'était ma mère ma priorité pour le moment. Alors que j'étais arrivé à quelques mètres à peine d'eux, il s'était mis à lever son bras, comme pour la frapper aux visages … sans vraiment réfléchir, je m'étais jeté sur lui, le projetant au sol assez violemment, j'étais dans une rage folle, et je voyais rouge … je ne pouvais plus supporter cet homme qui me connaissait à peine et que je connaissais à peine … avec lui je n'avais eu le droit que à des mauvais souvenir, que à de la souffrance et j'avais envie qu'il paye pour ça tout d'un coup … j'avais envie de le tuer, oui ! « Espèce de connard, qu'est-ce que t'allais encore lui faire ? … t'as aucun respect pour la femme que t'as épousé ? Qui t'as donné le fils que t'avais toujours voulu ? Qui t'aime même ? … tu me dégoûtes, espèce de gros porc ! » Il était à terre, il ne comprenait pas vraiment, et moi j'étais heureux de pouvoir enfin avoir le dessus sur lui, je n'étais plus ce gamin apeuré que j'avais été pendant des années face à lui. « Si tu t'approches encore d'elle … si tu lèves ne serait que le petit doigt sur elle, je te jure que je t'étrangle de mes propres mains ! » lui avais-je dis presque en lui crachant dessus, tellement il m’écœurait. Je m'étais ensuite retourné, prenant par la main par la même occasion ma mère, que je voulais ramené au chaud … elle semblait terrorisé, et je ne savais pas vraiment si c'était à cause de moi, ou à cause de lui. Et puis il était revenu à la charge, et il m'avait frappé par derrière, alors que je venais juste de raccompagné ma mère à l'intérieur. Cette fois je ne pouvais pas laisser passer ça … on s'était mis à se battre, les coups partaient dans tous les sens, j'entendais à peine ma mère qui était derrière nous, hurler à s'en casser les cordes vocales, qu'il fallait qu'on arrête … mais je ne pouvais pas … je ne voulais pas plutôt, j'étais trop aveuglé par la colère que je ressentais pour stopper nette la confrontation. Je ne me souviens de pas grand-chose par la suite, je sais juste que ce sont les policiers qui nous ont séparé … et que je me suis réveillé à l’hôpital ensuite le bras droit dans le plâtre, avec un mal de crâne incroyable. Quelques heures après mon réveil j'étais sortie, j'avais rejoins ma mère dans une chambre non loin de la mienne, elle était en compagnie de mon père, qui était en train de dormir. Lui aussi il avait bien l'air amoché, mais bizarrement je ne ressentais aucun remord, aucune peine à son égard, il n'avait que ce qu'il méritait après tout. Je n'avais pas dit un mot, je lui avais juste fait un bisou sur le front et je m'étais ensuite retourné, sans même la regarder. « En revoir maman ! » Et j'étais partie, je me voyais mal resté après ce que j'avais pu faire à mon père … ma mère l'aimait, et elle tenait à lui, mais moi ce n'était pas le cas, je le haïssais, je ne pouvais pas vivre avec lui, je ne pouvais plus. Il était temps que je rentre en Amérique, à Harvard, il fallait que je retrouve ma vie, ma femme … et Liz' …  parce que oui, elle était toujours elle, toujours la première, toujours l'unique femme à me faire ressentir ça, c'était presque devenu de l'acharnement nous deux et je me rendais petit à petit compte que ce n'était pas forcément très bon pour nous deux, ça ne l'avait jamais été à vrai dire, tout ça, ça foutait carrément notre vie en l'air. Et pourtant la première chose que j'avais fait en arrivant à Harvard, c'était me diriger vers le théâtre pour essayer au moins dans l'entrevoir derrière les rideaux, j'avais envie de la regarder, à vrai dire c'était pire qu'une envie, c'était devenue un besoin, il y avait trop longtemps que je n'avais pas vu son visage d'ange, que je n'avais pas entendu le son de sa voix qui résonné pourtant sans cesse dans ma tête comme un échos.
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Ce matin tu t'étais réveillée avec cette boule dans le ventre. T'étais en sueur dans ton lit, ton coeur battait plus vite que la normale. T'avais un mal de tête incroyable. T'avais fait ce cauchemars qui te hantait. Peut être que c'était le fait que ça soit bientôt Halloween qui te mettait dans ses états. Tu ne sais pas.. mais tu savais qu'une chose que ce cauchemars que t'avais fait dans la nuit hanté encore ton esprit. Tu avais rêvé de Kol. Cela faisait des jours, des semaines que tu essayais de chasser l'homme de ton esprit et surtout de ton coeur. Ton regard fixe le plafond de ta chambre dans la pénombre, et tu repenses à Kol et à toi. A ses lèvres contre les tiennes, à la dernière fois où tu y avais goûté et surtout à la dernière fois où tu l'avais vu. Des mois, cinq mois maintenant que tu ne l'avais pas vu. Le quitter avait été la chose la plus dure que tu avais dû faire dans ta vie. Ça t'avais déchiré le coeur en mille morceaux autant à toi qu'à lui. T'avais coupé les ponts depuis ce jour fatidique. C'était un mal pour un bien, ça t'avais permis de te reconstruire peu à peu, petit à petit. T'avais retrouvé une certaine liberté, tu t'étais investie encore plus dans ta passion, t'avais passé quelques castings en ce début d'année et surtout, le plus important, tu étais devenue vice présidente de la lowell. Ce nouveau rôle te tenait vraiment à coeur auprès de Cody avec qui vous vous amusiez comme des petits fous à torturer vos bizuts. Avec amour bien sur, vous n'étiez pas des tyrans. Il s'était passé une folle de choses dans ta vie, il y avait eu Antwan. Han Antwan... Ce mec tu pouvais autant l'aimer que le détester. C'était dingue, il te rendait dingue. Puis il y avait eu ce baiser entre vous qu'il t'avait un peu beaucoup chambouler dans ton coeur. Vous étiez en train de répéter une pièce ensemble et il avait comment dire.. Délibérément détourné la mise en scène pour t'embrasser. Vraiment ça t'avais retourné sans dessus dessous. Tu ne savais ni plus quoi penser ni ressentir. T'étais juste perdue. Tu secoues la tête comme pour te sortir de tes pensées et regarde l'heure. Gosh midi. Tu t'étais laissée aller ce samedi matin. Heureusement que ta repet' de théâtre n'était qu'à 15h. Tu finis par sortir de ton lit et file prendre un petit dej. T'as une sourire aux lèvres en voyant t'es de hommes (enfin colocataires) Gale et Wyatt vautrés dans le canapé Encore un match les garçons ? tu dis en riant doucement avant de rejoindre la cuisine et découvrir une montagne de vaisselles que tu ne peux t'empêcher de crier Putain les gars, le foot n'est pas une excuse pour faire impasse à la corvée vaisselle! C'était votre tout jvous rappelle ! quelle bande de branleurs j'vous jure. Bref t'essaye de trouver un bol propre parmi ce chantier et tu prends des céréales avant de filer sous la douche. Tu passes au moins trois plombs dessous et finis par sortir. T'avais transformé la salle de bain en hamam. T'enfile en jean, un tshirt et ta veste en cuir, un p´tit coup de maquillage discret et t'étais prête. Tu regardes ta montre : 14:30. Perfect timing. Tu salues les gars avant de grimper dans ta voiture direction Harvard. T'arrive pile poil à l'heure, peut être même en avance, car le théâtre était encore vide, ton partenaire n'était pas encore là. Tu décides alors de prendre ton Ipod et d'écouter une de tes chansons préférée du moment. Shake if off. Cette chanson avait le don de te donner la pêche, de te faire oublier tes soucis et tu te mets à chantonner et danser sur scène, te laissant aller dans ta folie.
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J'espérais qu'elle soit là, que je puisse la voir … c'était tout ce que je voulais … la voir, encore et encore, me rappeler du passé, de notre passé à nos deux, quand nous étions heureux et que nous nous … aimions … oui tout cela entre nous avait bien existé, je ne voulais plus la quitter des yeux, je voulais rester assis devant elle, des heures, des jours, des semaines, des mois et même des années, j'avais envie de faire ça, de regarder ses yeux, son corps, tout chez elle. C'était égoïste de penser ça, je l'avais toujours été après tout, un égoïste finit, qui n'avait toujours pensé qu'à lui. Elle était rentrée en moi comme le venin d'un serpent, aussi horrible que cela pouvait être, et il n'avait jamais disparu, la douleur aiguë de l'amour que je pouvais lui porter n'avait jamais quitté mon corps. Tout avait commencé un beau jour, ou nos chemins s'étaient croisés dans ce baque à sable alors qu'elle avait encore l'âge de jouer aux poupées. C'est à partir de ce moment là, que ne nous étions plus jamais quitté, c'était peut-être la pire erreur de notre vie … jusqu'au jour ou j'avais déconné … entre nous ça avait toujours été moi, le con qui semble s'en foutre, le pauvre con qui trahis tous les gens qu'il peut aimer, d'abord Liz', puis Enzo … Keyla, toutes les personnes à qui je tenais dans ce monde, je les faisais souffrir soit directement ou indirectement, j'étais comme ça … incapable de faire vivre le bonheur aux gens qui tenaient à moi. Parce que oui, Elizabeth, je l'avais aimé à en perdre la tête, jusqu'à être étouffé par cet amour d'une puissance inouïe … je l'aimais encore comme ça, c'était certains, même si je me disais que ce n'était pas possible, que je voulais croire le contraire, je voulais vraiment me convaincre que nous deux ce n'était plus possible … mais bien au contraire, et elle n'avait cessé de me le dire. J'étais appuyé à un mur, et j'attendais … je l'attendais, elle. Ce n'était pas la bonne chose à faire, je le savais mais c'était bien plus fort que moi. Je ne savais même pas si elle allait venir ou pas, mais ce n'était pas grave après tout … je ne cessais de penser à elle … il ne fallait pas, il fallait que ça cesse … tous les deux c'était finit, elle me l'avait dit, elle ne voulait plus de moi … et c'était bien ça le plus dur dans l'histoire, c'était qu'elle voulait passer à autre chose. Elle ne pensait peut-être plus à moi, elle voulait m'oublier … qu'est-ce que j'aurais fait pour vouloir la même chose … aujourd'hui elle était mariée … moi aussi je l'étais, même, normalement, là aussi dans cet histoire j'avais tout gâché … mais elle, elle était heureuse, sûrement … et c'était tout ce que je voulais au fond, qu'elle soit heureuse pour nous deux, qu'elle vive sa vie … loin de moi, c'était le meilleur à faire pour elle. Mon regard était plongé dans le vide, jusqu'à ce que je vois cette jeune femme … elle n'était pas n'importe qui, c'était elle, elle était venue … et je ne sais même pas si elle m'avait vu, je n'était peut-être plus qu'un fantôme pour elle, une lueur du passé presque éteinte. « Elizabeth ... » avais-je lâché tout doucement.
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Tes cheveux virevoltent autour de toi alors que tu danses. Tu te laisses aller dans cette musique entrainante et fermes les yeux. C'est fou comment cette musique pouvait te donner le sourire aux lèvres quand soudainement tu entends cette voix, cette voix que tu aurais reconnu entre mille. Ton sang se glace dans tes veines. Tu ouvres les yeux et tu découvres cette personne devant tes yeux. Tu deviens toute blanche en un instant. C'est comme si tu avais reçu un coup en plein coeur à cette vision. C'est comme si ton cauchemars était devenu réalité. Tu restes sans voix devant Kol qui venait de prononcer ton nom. Ta bouche est entre ouverte, tu clignes plusieurs fois des yeux comme pour vérifier que tu rêvais pas. Non tu ne rêvais pas. Kol est bel et bien devant tes yeux. Tu restes immobile comme pétrifier sur place. Tu le regardes, il te regarde. Tu pourrais presque communiquer comme ça avec le jeune homme tellement vous vous connaissiez par coeur et depuis tellement longtemps. Tu vois son air pale et fatigué et surtout sa main dans le plâtre. Mon dieu, que c'était-il passé ? Ton regard est incompris. Le revoir avait réveillé en toi tous ses sentiments enfouis. Pourquoi il avait ce pouvoir sur toi ? pourquoi était-il revenu ? pourquoi ? Alors que tu lui avais demandé de disparaitre de ta vie. Tu t'approches tremblante du beau brun, toujours sans voix. Tu es enfin proche de lui, à même pas un mètre. Ton regard se lève vers le jeune homme et tes yeux se plongent dans les siennes Kol... tu dis presque en un murmure alors que mille et une questions se bousculaient dans ton esprit.
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Elle était enfin là, devant moi, et elle me regardais, et moi aussi je la regardais, c'était comme ça entre nous, on pouvait presque tout ce dire en un simple regard, tout comprendre, tout se permettre, simplement en regardant nos yeux, en plongeant à l'intérieur, comme dans un vase remplie d'eau. A vrai dire sur le coup j'étais un peu perdu, je ne savais pas vraiment quoi faire, quoi dire, elle qui m'avait tellement de fois répété qu'elle ne voulait plus me voir, que tous les deux c'était bel et bien fini … j'avais eu juste envie d'une chose s'était la regarder elle et personne d'autre, parce que je ne croyais tout simplement pas en cette femme prématuré. Le silence nous avait envahit pendant un instant, jusqu'à ce que Liz', brise cette situation presque oppressante que nous avions connus tous les deux à l'instant en prononçant mon prénom à haute voix. Elle ne savait certainement pas quoi dire d'autre elle non plus … c'était normal je la comprenais. « J'aurais peut-être pas du venir … c'est une erreur de ma part, mais je me suis dit … que je devais te passer un petit bonjour … t'es la première personne d'Harvard que je revois depuis des semaines ! » lui avais-je dit, alors que je n'osais même pas plus m'approcher d'elle, ce n'était pas naturel, moi qui avait toujours eu l'habitude de la toucher, de respirer directement son parfum en l'embrassant presque dans le cou … tout ça je n'osais plus le faire, il ne fallait plus que je le fasse. « Ça a l'air d'aller à ce que je vois … hum … » J'hésitais, je ne voulais pas faire de faux pas, je voulais que ça se passe bien pour une fois … mais ce n'était pas vraiment moi, faire attention à ce que je pouvais dire avec Liz', c'était très loin d'être naturel pour moi. « … je te dérange peut-être ? T'as une répétition ou un truc du genre ? » lui avais-je alors demandais. Mon dieu qu'est-ce que c'était dur … je me demandais vraiment à cet instant si revenir à Harvard avait été une aussi bonne idée que ça.
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Le revoir, cet homme que tu pouvais aimer à la folie et autant détester pour tout le mal qu'il t'avait fait. Tu voulais l'oublier, te reconstruire, mais comment effacer cet amour marqué au fer rouge dans ton coeur ? Kol aurait-il éternellement ce même effet sur toi ? Il torturait autant ton coeur que ton esprit tout entier. Votre lien qui vous unissez semblait indestructible, quelques soit vos choix employés. Quel était le remède à cet amour auto destructeur ? Est-ce la mort qui vous libérerez de votre amour maudit ? De cet amour visiblement impossible. Il t'avait fallu du temps pour le comprendre... mais pourquoi dès que tu le revoyais même après des mois, des années de silence, il y avait tous ses sentiments qui revenaient à la surface ? En plus, cela voulait tout dire, il était d'abord venu te voir avant Keyla. Cela avait été la première chose qu'il avait fait. Pourquoi s'infligeait-il cette souffrance ? Votre amour n'était qu'un poison qui vous consumez petit à petit. Pourquoi t'es revenu me voir moi en première ? Il y a tellement de gens qui t'attendent ici... pourquoi t'inflige-tu cette souffrance ? Pourquoi tu nous inflige cela ? pas que tu le rejetais, pas que tu n'étais pas contente de le revoir, c'était juste mitigé dans ta tête, un gros bordel. Tu voulais juste comprendre. Ca fait aller. tu lui répondis avec un mince sourire, avant de t'approcher de lui, chose que tu ne devais pas faire mais qui était plus fort que toi. Non tu me déranges pas.. le reste peut attendre pour l'instant tu marques une pause avant de demander Mais toi ça va ? tu.. tu as disparu. Que s'est-il passé ? Qu'est-il arrivé à ton bras ? tu avais peur de connaitre la vérité, car tu ne voulais pas que ça soit celle que tu pensais au fond de toi.
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Oui la voir en première ça avait presque était une évidence pour moi, quelque chose de libérateur, de viscéral qui me prenait au corps, un désir, un besoin, une envie … donc je l'avais fait, ça me semblait bien pour moi … encore une fois, j'étais le mec parfaitement égoïste, qui ne pensait qu'à lui, car je savais qu'en faisant ça, Liz' souffrirait forcément de me voir débarquer au théâtre comme une fleur, après des mois de séparation, des mois sans lui dire un mot, sans lui adresser un seul regard, un seul sourire, rien du tout … mais après tout c'était elle qui m'avait demandé de m'éloigner. Elle m'avait alors demandé pourquoi j'étais venu la voir en première ? C'était ça qu'était totalement étrange, elle avait raison, il y avait pleins d'autres personnes qui m'attendaient ici, qui ne cherchaient qu'à me retrouvé, mais pour le moment dans ma tête … il n'y avait plus qu'une seule personne qui comptait véritablement, il n'y avait plus de couple, plus d'amis, plus de X ou de Y ... c'était elle, encore une fois, toujours cette même et unique personne qui me tiraillé de l'intérieur, qui ne semblait pas vouloir me quitter d'une semelle. « Tu sais très bien que nous deux on est un peu maso sur les bords, c'est ce qui fait qu'on s’accorde si bien, et qu'on peut … que je peux pas te lâcher … on finit toujours par se retrouver, à chaque fois … » c'était vrai, la stricte vérité, pour une fois qu'elle sortait de ma bouche, et ça elle ne pouvait pas le nier, on aimait bien souffrir tous les deux, c'était notre marque de fabrique, les amants maudits. Elle m'avait ensuite dit qu'elle allait bien … enfin c'est ce qu'elle disait … et je voulais bien la croire, moi aussi je voulais qu'elle aille bien. Puis elle s'était rapproché de toi d'un peu plus près alors que tu n'avais pas osé le faire un peu plus tôt, par peur sûrement de ne pas pouvoir te contrôler, de ne vouloir qu'une seule chose par la suite … elle. Elle m'avait demandé comment ça allé, et elle m'avait demandé qu'est-ce qui avait bien pu se passer pour que je disparaisse comme ça tout d'un coup, aussi subitement … et puis c'est là qu'elle avait remarqué mon bras, ce fameux bras en compote, que j'allais certainement garder dans le plâtre pendant un moment tellement il n'était pas en bon état … que j'avais cassé quand j'avais frappé mon paternel de toute mes force, de toute ma haine que je portais envers lui, pour espérer une seule chose, lui casser tous les os de son misérable corps qui ne méritait plus de bouger. Oui je le haïssais, c'était même pire que ça, il était tellement plus bas que terre pour moi. « Ne t'inquiète pas pour moi, tu sais très bien que ça va toujours bien … pour mon bras, je l'ai cassé en frappant … un mur ... » l'excuse de merde … Kol franchement, tu croyais vraiment qu'elle allait te croire avec une excuse pareil, t'étais vraiment pas futé par moment. « Et concernant mon départ … ma mère n'allait vraiment pas bien … et malgré les problèmes de Keyla, je me voyais mal l'abandonner … je voulais pas laisser toute seule, elle avait besoin de moi ! Ma mère n'est pas vraiment aider par l'autre con qui lui sert de mari. » Ma voix tremblait presque en repensant à cette personne plus que désagréable, voir ma mère dans un tel état n'avait pas été facile tout les jours, et pourtant aujourd'hui, tout était rentré en état … une délivrance pour moi, puisque l'épreuve n'avait pas été de tout repos, c'est pour dire, j'y avais presque laisser un bras.
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« Tu sais très bien que nous deux on est un peu maso sur les bords, c'est ce qui fait qu'on s’accorde si bien, et qu'on peut … que je peux pas te lâcher … on finit toujours par se retrouver, à chaque fois … » « Je le sais bien mais... mais tu as oublié tout ce que je t'ai dit et demandé la dernière fois Kol ? Tu sais que c'est important pour moi. Beaucoup d'importance. » tu lui réponds d'une voix calme mais déçue à la fois. Tu savais que vous deux, c'était à la vie à la morte, ce lien indestructible vous unissez, qu'il fallait peut-être apprendre à vivre éternellement avec ? Mais peut-être qu'il était temps de faire changer les choses ? D'avancer de l'avant ? Et nous vivre dans le passé. C'est sur qu'en revenant toujours l'un vers l'autre, la seule chose que vous vous procurez c'est de la souffrance. Cette douleur qui tiraille vos deux coeurs. Tu t'étais alors approchée de lui, tu savais que ce n'était peut-être pas la meilleure chose à faire, mais tu l'avais fait. Tu ne sais pourquoi, comme si une force inconnue t'avais pousser. Ton regarde s'attarde sur le bras plâtré du jeune homme, tu soupires à ses mots « Ne t'inquiète pas pour moi, tu sais très bien que ça va toujours bien … pour mon bras, je l'ai cassé en frappant … un mur ... » « Si j'ai raison de m'inquiéter Kol. T'as disparu je ne sais combien de mois, et tu me reviens avec un bras cassé. Puis en plus tu mens très mal. J'croyais que j'avais assez d'importance à tes yeux pour qu'au moins à moi tu me dise la vérité. » tu savais qu'il te cachait quelque chose que tu ne mis pas longtemps à comprendre « Et concernant mon départ … ma mère n'allait vraiment pas bien … et malgré les problèmes de Keyla, je me voyais mal l'abandonner … je voulais pas laisser toute seule, elle avait besoin de moi ! Ma mère n'est pas vraiment aider par l'autre con qui lui sert de mari. » « Ta mère va mieux ? » tu lui demandes inquiète en relevant le regard vers le jeune homme. Cette question te brûles les lèvres mais tu devais lui la poser pour en avoir le coeur net Tu t'es battu avec ton père c'est ça ? tu ne voulais pas Kol redevienne violent, tu ne voulais pas que ça détruise la partie que tu aimais encore du jeune homme.
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