Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityQuand un plan drague tombe à l'eau ¤ June


Quand un plan drague tombe à l'eau ¤ June

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crazy little thing called love

Il n'y a pas d'heure pour draguer !

Tout le monde le sait ! Que la bibliothèque est le meilleur endroit pour draguer. En tout cas, moi je suis une adepte du concept pour trois bonnes raisons ! Tout d’abord, c’est là que se cache les mecs les plus intelligents. Eh oui, c’est bien un moment de sortir avec des sportifs, mais les seuls qui ont de l’avenir sont ceux qui utilisent leurs méninges. Deuxièmement, ce genre de lieu éloigne la majorité des rivales les plus dangereuses. C’est triste à dire, mais les jolies filles ne s’y rendent que rarement. Une aubaine pour moi qui a quartier libre. Mais surtout troisièmement, personne ne risque de m’accompagner lorsque je prétends aller réviser à la bibliothèque, contrairement à celle qui dise aller faire du shopping. C’est le meilleur moyen d’être seul et libre de faire ce que l’on veut sans les copines. Non pas que je ne veuille pas tout partager avec elle. Mais le champ de possibilité est déjà suffisamment réduit entre les règles « ne touche pas aux copains », « ne touche pas aux frères », « ne touchent pas aux futurs pères » et surtout la règle du « prem’s ! Je l’ai vu avant». Certaines respectent même la règle du « ne touche pas aux ex » mais j’ignore si je souhaite en faire parti.
Je m’étais donc d’une tenue soigneusement choisi par mes soins. Inutile qu’elle soit trop aguicheuse. Je ne portais d’ailleurs se genre de vêtement que très rarement. Tout était dans la séduction et le charme. Un mec ne voulait que très peu d’une fille qui dévoilait déjà tous ses atouts. Avec mes chaussettes hautes, mes mocassins brun et caramel à talons haut que j’avais du payer deux cents dollars en promotion, ma jupe écolière, mon chemisier et mon gilet sans manche sur lequel était brodé mes initiales et qui était assorti à mon sac et mes chaussures. Je pensais revêtir la tenue idéale ! J’avais la tenue idéale !

Me voilà donc, à la bibliothèque, à moitié assise sur une table à rire et discuter avec ce mec craquant. Alexandre, cinquième année en politique, il n’appartenait à aucune confrérie, mais qu’importe. Il était canon ! Je riais, parlais et plaisantais avec lui sans retenue, je lui faisais part de mes plans d’avenirs écoutant les siens avec une attention mesurée au détail près. Tout se déroulait à merveille – je pensais – mais c’était sans prévoir ce qui allait suivre.
Une voix féminine s'élevait dans un silence de notre conversation. Je n'avais pas écouté ce qu'elle disait mais c'était à moi qu'elle s'adressait. Je levais la tête et me tournais, la cherchant du regard avant de voir cette petite tête blonde me regarder avec affront. Je levai un sourcil et disais à son attention :

Pardon ?... C'est à moi que tu parlais


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June avait décidé d'investir la bibliothèque pour l’après-midi, étant sur là-bas au moins de pouvoir travailler. Elle avait de gros examens le lendemain, et bien qu'elle adorait la Quincy House, elle préférait la bibliothèque pour travailler. Elle si était rendu dés la fin du déjeuner, car les places un peu reculées était chères. Quand elle trouva derrière un rayon poussiéreux, elle mis ses écouteurs et commença. C'était sans compter sur une fille à la table d'à coté, ou plutôt sur la table d'à côté qui draguait tranquillement un apollon sans faire attention au autres. June n'avait pas vraiment la patience ce jour là d'attendra que madame se décide à aller se trouver un autre terrain de jeu. Elle enleva ces écouteurs pour s'adresser à elle. "Et oh toi là-bas, la pimbêche aux mocassins, tu pourrais pas faire moi de bruit?" Bon très directe mais au moins elle avait compris. Au moins elle l’espérait car elle avait pas vraiment de temps à perdre à lui répéter. La fille se retourna, ne sachant pas trop si je m'était adressée à elle. "Oui c'est à toi que je parle. Tu pourrais pas aller faire ça ailleurs, il y en a qui travaille ici. C'est un peu la fonction principale d'une bibliothèque en faite." Qu'es que ce genre de fille pouvait l'agacer, elle regrettait que Ike ne soit pas avec elle, il était encore meilleurs à ce jeu qu'elle. Elle pourrait lui raconter quand ils se verrait, je pense que ça ferrait un bon fou rire.
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La blondinette ne manquait pas de toupet. Moi qui étais persuadée qu’elle n’oserait jamais répéter ce qu’elle m’avait dit voilà qu’elle le faisait. J’hésitais entre être outrée ou amusée. Je restai un moment bouche bée, à la fois surprise et choquée. La phrase qu’elle avait alors dit lorsque je n’étais pas tellement attentive à ses paroles résonnaient en écho dans ma tête. De tous les mots et toute l’argumentation pleine de sens qu’elle avait sortie à mon encontre seul un mot semblait m’être resté en mémoire.

La pimbêche ? Je répétais en insistant sur chaque syllabe en fronçant les sourcils comme si je n'étais pas certaine d'avoir bien entendu. C’est une plaisanterie ! Terminais-je en lâchant un rire nerveux

Oh non, je n’avais pas apprécié. Je n’étais pas si prétentieuse que ça !... … Si ? J’avais grande peine à trouver mes mots tant j’étais en colère. Je regardais vers l’étalon à qui je parlais, ce dernier avait baissé le nez sur ses cours. Il venait de perdre tout ces crédits avec moi celui la. Je me levai donc de la table pour aller m’asseoir directement face à la provocatrice qui s’était adressée à moi. Je prenais avant de lui répondre de la regarder de haut en bas, ou du moins ce que je pouvais voir du bas. Je faisais taper mes ongles manucurés sur la table de manière désordonnée et me penchais en avant pour lui répondre. Mon timbre de voix était aussi élevé que le sien, il restait pourtant hypocritement courtois mais j'avais perdu mon sourire. Je la regardais droit dans les yeux.

Tu sais ce que la pimbêche te dit ? Que les plus gênés s’en vont chérie ! Alors remets donc tes écouteurs ou va donc véhiculer ta jalousie ailleurs.

Je me doutais bien qu’elle ne s’en irait pas. En tout cas j’en étais presque certaine. J’admirais presque son insolence et me plaisais fortement au rôle qu’elle m’avait donné. J’adorai jouer à ce genre de jeu, j’adorai gagner et j’étais une très mauvaise perdante. Alors que la meilleure gagne !
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La brune s'était approchée, renvoyant le mec -devrais-je dire le toutou?- qu'elle draguait quelques minutes avant, et elle s'était assise juste en face de June. Une expression entre la colère, l'indignation et bien d'autre chose se peignait sur son visage. Elle ne devait pas avoir l'habitude qu'on lui parle ainsi. Surtout si le seul mot qu'elle retenait était "pimbêche. Pathétique. June ne pouvait s'empêche d'avoir son petit sourire sans quoi elle aurait surement explosée de rire. "Vu ta tête, ça toi pas t'arriver souvent mais non non ce n'est pas une plaisanterie, tu veux que je recommence? Certaines personnes peuvent être longues à comprendre." June s'amusait bien à vrai dire, tenir tête à ce genre de filles pouvait être très distrayant. Tan-pis pour ses révisions, elles pouvaient attendre un peu. La fille assise en face de June avait repris un peu d'aplomb, et ses ongles -manucurés évidements- tapaient sur la table, rien de plus énervant. C'était à présent à son tour d'être décontenancée, jalouse? Cette fille pensait vraiment que je pouvait être jalouse? Le mot qui me revenait encore à l'esprit était pathétique. "Jalouse? Tu te fiche de moi? Es ce que toutes les filles de ton espèces pensent que le monde tourne autour d'elle ou toi tu es vraiment au dessus de la moyenne? Et pour info je ne compte pas partir non. On sait très bien toutes les deux celle qui à le plus sa place ici." Elle savait qu'elle n'était pas toute comme ça, il y avait des exception comme Maëlys qui était une crème ou encore Sharon ma meilleur amie bitch et complètement folle que s'adorais à mort.

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Cà va je ne suis pas sourde ! lâchais-je sèchement

Oh que non ça ne m'arrivais pas souvent. L'insolence, l'arrogance et les remarques déplacées et désobligeantes c'était moi qui les sortaient d'ordinaire. Alors bien entendu j'avais quelque peu été prise au dépourvu. Mais je retombais aussi bien vite sur mes pattes en lui faisant face comme je le faisais actuellement. Ce qui n'avait d'ailleurs pas l'air de la déboussoler non plus !
La jolie blonde rétorquait avec aplomb qu'elle n'était pas jalouse. Elle ne réussissait pourtant pas à me convaincre. "De mon espèce ?!" répétais-je intérieurement alors que je fronçais les sourcils à ses mots. Bien sur que le monde tournait autour de moi et toutes les jeunes adolescentes rêvaient qu'il en soit de même pour elle. Savait-elle au moins de quoi et à qui elle parlait !

Ma place ici ? commençais-je tout bas. MA place ici ! reprenais-je plus haut. Qui se fout de qui dis moi ? J'ai certainement plus ma place à Harvard que toi ma p'tite et par conséquent dans cette bibliothèque qu'importe ce que je peux bien y faire ! Pourtant je me garde de le dire tout haut ! Qu'Harvard fasse du social n'est pas mon problème mais que des arrivistes comme toi remette en question ma légitimité à y étudier c'est carrément le pompon !

Les autres étudiants autour étaient eux aussi dérangé par notre houleuse conversation. Certains jetaient de rapide coup d'oeil sans oser dire mot. Je savais pertinemment qu'elle ne parlais pas de ma place à Harvard et je savais aussi qu'elle avait du travailler comme dix pour avoir cette place dans cette université prestigieuse. Mais que voulez vous... C'était si tentant ! Et puis quand on me cherche...
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Cette fille dont June ne connaissait pas le nom commençait vraiment à l'exaspérer au plus au point, montant sur ses grands chevaux toutes les trente secondes. Elle ne se rendait pas comptait qu'elle ne l’impressionnait pas, et que June n'avait aucune envie de finir cette conversation houleuse en crêpage de chignon. Ça serait vraiment trop Kitsch. Quand June aborda la question de sa p;lace ici, c'était repartit. Elle criait presque dans la bibliothèque, et June s'attendait d'un moment à l'autre à voir débarquer un des membres du personnel pour leurs dire de parler moi fort. La brune s'engagea sue une pente dangereuse, elle voulait qu'on lui sorte ses quatre vérités ou quoi? "Ta légitimité ici ? Tu es ici seulement parce que tes parents on donnés du fric à l'université! Peut-être que les miens n'ont pas les moyen de faire ça, mais au moins je suis ici parce que j'ai travailler pour! Alors les arrivistes comme tu dis, tu te les gardes pour toi!" Elle avait vraiment réussi à la faire sortir de ses gonds, et June n'aimait vraiment pas se mettre dans ce genre d'état.
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J'étais presque certaine qu'elle était aussi outrée qu'elle. Outrée n'était d'ailleurs pas le terme, mais la jeune blonde ne semblait pas aimé ce genre de comportement. Mes yeux bleus ne quittait pas son regard. Je me permettais même de la regarder de haut en bas avec dédain. Après tout, elle m'assimilait déjà à une catégorie de personne, alors pourquoi se priver ! J'arquais un sourcil lorsqu'elle me rétorqua ses quelques mots. Ma respiration était calme, cependant intérieurement je bouillonnais. Je cherchais un moyen de tourner la situation à mon avantage et manqua même de sourire lorsque je trouvai enfin.

Mes parents !... Pfff lâchais-je amèrement avec un sourire parfaitement hypocrite qui s'effaça aussitôt.

Quelque part, la blondinette n'avait pas tord, nombreux étaient ceux qui devait leur place ici grâce aux billets verts de leurs géniteurs. Si Harvard était si prestigieuse, c'était surtout parce qu'elle ne gardait que les meilleurs. Aussi fallait-il que ces derniers soient en mesure de survivre à ces années de scolarité sans être surendetté à vie. A l'aide de bourse pour certains, grâce aux revenus et dons impressions de leur parent pour d'autre.
Ma mère avait d'ailleurs grandement contribué à la reconstruction des bâtiments d'Harvard touché par les attentats de 2013. Mais pour ce qui était de mon affectation, je ne le devais qu'à moi ! Si je n'avais pas été la meilleure de mon lycée privé je n'aurais jamais pu prétendre à un place dans cette université. Je prenais un ton aussi macabre que profond en prononçant ces mots

Tu ne sais rien de ma vie ! Si tu as encore tes parents, je n'ai que ma mère alors garde ton venin. Tes paroles font surgir des souvenirs peu agréable !


Je n'étais pas plus touché que cela, mais je me servais sournoisement des paroles de mon thérapeute et du suicide de mon père comme d'un sournois outil. Je me levai vigoureusement, tandis que la chaise sur laquelle j'étais assise. Cette dernière fit un bruit significatif sur le sol de la bibliothèque, quelques têtes se tournaient à nouveau.
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June était assez contente de sa réplique bien qu'elle savait que les billets vert ne faisaient pas tout. Si tes résultats une fois ici ne suivaient pas, tu pouvais dire adieu à l'université. Malgré ça, il ne fallait pas qu'elle dise que sa vie ici était dure. Elle répliqua sur ses parents quand la blonde eu fini. Elle n'aimait pas parler des parents, et encore moins quand on les utilisait comme des pions dans une conversation. June ne savait pas trop quoi penser de ses dernières paroles, et sa gêne qui disparu pourtant bien vite du se lire sur son visage. Elle avait réussi à la faire vaciller. "Tu n'es pas la seule à ne pas apprécier qu'on parle de ses parents, j'ai encore les miens mais ça veut pas dire que c'est génial." La brune se leva, faisait traîner sa chaise sur le parquet ciré. "Bon, notre règlement de compte est fini? Tu penses qu'on a assez dérangé tout le monde? Je peux me remettre au boulot?" Elle l'espérait, parce qu'elle avait pris du retard et qu'elle avait bien besoin d'une petite pause maintenant que la brune l'avait mis en rogne.
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Avais-je rêvé ou la jolie blonde avait été déstabilisée par mon semblant de tristesse. Faisais-je d'ailleurs semblant ? Les douloureux souvenirs que j'avais évoqué surgissaient à présent en masse dans mon esprit. Des souvenirs, par seulement de mon père et de la vidéo qu'il m'avait laissé - vidéo que je n'avais d'ailleurs jamais regardé - mais aussi et surtout des moments que j'avais passé avec mon frère. Mon esprit se bloqua d'ailleurs aussitôt peut désireux de souffrir encore. J'espérais de toute mes forces que mon visage pâle ne me trahirais pas.
Si la blondinette semblait gênée d'aborder ce sujet, je nous avais alors trouvé un point en commun. Après m'être levée, je demeurais là -  face à elle - sans jamais la quitter des yeux. Elle avait l'air de prendre congé de moi. Mon orgueil se gonfla un fois encore. Je rétorquais alors :

Ça m'est égal de déranger ! Je te l'ai dit pourtant ; les plus gênés s'en vont. Mais comme tu l'as dit toi même : Certaines personnes ont du mal à compr... Je rétorquais avant d'être coupée par la bibliothécaire.

MESDEMOISELLES ? commençait-elle pour attirer notre attention, elle terminait ensuite avec de gros yeux en fronçant les sourcils Chuuuut ! Ou prenez une salle d'étude pour faire vos exposés !

Je manqua de pouffer de rire, un sourire s'étirait sur mon visage tandis que je regardais dans sa direction. Moi ? Travailler avec elle ! L'air s'était électrifié tout autour de nous ! Ca se voyait quand même que nous ne travaillions pas ensemble ! Je la regardais s'éloigner puis je reportai son attention sur ma rivale. Puisque je ne connaissais pas son nom, je la rebâptisais Rivale numéro... Un ? Je ne savais plus à combien j'étais mais elle venait officiellement de déclasser toutes les autres !
Je répondais donc enfin à sa question, mais pour qu'elle soit la seule à l'entendre cette fois.

... Mes règlements de compte ne sont jamais fini ! Mais, même Je me serai fait un plaisir de te faire virer de la bibliothèque avec moi... Tu as plus besoin de travailler que moi ? Je suis pétée de tune pas vrai ! J'ai rien à craindre pour les prochains partiels.

Mon humour "frisait" la moquerie. J'en étais pourtant fière. Cette fille s'imaginait vraiment que son compte en banque était envié par les habitants de l'Eldorado ?! A vingt cinq mille dollars l'année et depuis le décès de mon père ! Ma mère m'avait fait comprendre qu'on ne se reverrait pas avant mon anniversaire. Et encore ! Pourrait-elle même quitter l'Australie avant que la construction de son nouveau projet ne soit aboutit ?
Conserver le train de vie qu'elles avaient sans l'argent que lui envoyait mon père, l'avait obligé à diversifier et surtout multiplier les contrats.
Avec un sourire hypocrite je prenais mon sac et m'éloignais.
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Si l'une d'elles n'avait pas décidé de prendre congés, cette altercation aurait surement pu être sans fin. June avait fait comprendre à la brune qu'il fallait que ça se termine, et c'était à ce moment là que la bibliothécaire avait débarqué. June avait fahit pouffer de rire -même si se n'était pas son genre de se moquer en règle générale- quand elle avait insinuer qu'elles travaillaient ensemble. Euh pardon? Avec elle? Pas possible. La sexagénaire était repartit, et celle que June pouvait appeler son ennemi lui avait fait une dernière déclaration, qu'on pourrait comparer à un avertissement doublé d'un semblant de moquerie. Tanpis, le temps de répliquer était fini, et tout ce que voulait June c'était que cette fille arrête de lui pourrir son espace personnel. Enfin, elle tourna les talons et partit. June ramassa elle aussi ses affaires, elle avait besoin de prendre l'air.



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