Jaycéé✰You make me crazy, I wan't you.

C'était le dernier jour de cours avant les vacances, le jeune homme avait beau aimer ce qu'il faisait il avait hâte que cette journée se termine. Non seulement parce que c'était les vacances et que dans deux jours ils partaient avec Holden, Luke et Alice en Australie, ce voyage lui ferait du bien il le savait, il avait besoin de se reposer de souffler un peu pendant une semaine, pas de taff , de shooting, de défilée juste de l'amusement. Le jeune homme était impatient de finir sa journée afin d'aller célébrer les vacances en boites avec les Winthrop. Le jeune mannequin traînait toujours dans on immense villa, il était parti chercher son courrier et comme chaque matin il tria les lettres, pub direction poubelles, factures... Une lettre retint toute son intention. Elle était assez différente des autres, qui pouvait bien lui envoyer une lettre on était passé aux nouvelles technologies, peut être est-ce une fan qui a réussi à avoir mon adresse? La lettre n'était même pas timbré on aurait dit qu'elle avait été déposée par l'éméteur même, il ouvrit la lettre tout en découvrant le contenue.

Cher Damen,

Le bal approche, je sais que beaucoup de filles attendent avec impatience que tu les invite et elles seront prêtes à tout pour te plaire et écraser les autres concurrentes.
Fais le bon choix, souvent il se trouve juste sous ton nez ou sur le siège à côté du tien...

Cupidon.



Encore un coup de ce Cupidon d'Harvard, Damen lâcha un soupire agacé, de quoi se mêlait-il celui là où bien celle là. Peu importe, Damen ne savait même pas qu'il y avait un bal de toute façon il ne comptait pas y aller, c'était réservé au couple ça, il détestait ce genre de délire. Il plia cette lettre avant de la mettre dans sa poche. Il prit son sac et son skate et sorti enfin de chez lui avant de filer dans sa voiture. Il ne lui fallut pas moins de 20 minutes afin d'arriver au campus où il se gara à sa place habituel qui lui était bien réservé. Il attrapa son sac enfourcha son skate avant de bloquer les portières et de se diriger dans les couloirs afin d'aller à son cours d'audio visuel. Comme à son habitude il dû s'arrêter presque toutes les cinq minutes afin de serrer des poignets de mains ainsi que saluer quelque belle jeune femmes. Une fois à son cours d'audio visuel, il se jeta sur les places du fond avec son amie Billie, ils détestaient tout deux ce cours qui ne servait strictement à rien. C'est deux heures allaient être longues! Le jeune homme ne pouvait s'empêcher de parler avec son ami de tout et de rien, heureusement qu'elle était là pour le sauver de ce cours ennuyant, ceci dit à la deuxième heures les deux étudiants était bien trop fatigué pour pouvoir parler.

Respirer, c'est tout ce dont avait besoin le jeune homme actuellement, il essayait d'aligner ses pensées de façon cohérente vis-à-vis des paroles du prof, mais tout se bousculait dans sa tête .J 'appelle cela le Spleen à défaut d'autre terme. Il luttait contre la fatigue moral c'était toujours comme ça la veille des vacances surtout lorsque l'on a seulement deux heures dans la journée exceptionnel à Harvard sauf lorsque l'on étudie les arts visuel . La concentration n'y était vraiment pas les paroles du prof inintéressantes faisaient offices de berceuse. Le cerveau du jeune Winthrop saturé. D'ordinaire il était très dynamique en cours, mais là le cours était d'un tel ennui vous voyez ce genre de cours où l'on vous bourre le crâne avec des choses que vous savez déjà? Ou le prof est tellement mou qu'il vous donne envie de le secouer ? Son amie et lui posèrent leur tête en même temps sur la table. Le jeune homme se mit soudain à repenser à cette lettre qu'il avait reçut ce n'est pas tous les jours que l'on reçoit une lettre comme celle-ci. Il savait que ce Cupidon avait raison et c'est ce qu'il l'énervait le plus, insouciant, le jeune Winthrop n'avait même pas fait gaffe à toutes les tentatives de ses prétendante pour l'invitation au fameux bal de fin d'année. "Fais le bon choix, souvent il se trouve juste sous ton nez ou sur le siège à côté du tien..." Cette phrase était la plus troublante, entre toutes les prétendantes, il enleva tout ces plans cul avant de lister dans sa tête les filles qui le troublaient le plus, parmi elles Jaycée, il avait une relation très particulière avec cette nana, ils agissaient comme un couple au grand public, ça en devenait troublant pour tous. La jolie Cabot ne le laissait pas indifférent,s'il devait y aller au bal avec une fille ce serait bien elle.

A peine la sonnerie eut-elle retentit que le jeune homme se précipita dehors sous le regard stupéfait de son proffesseur. A la sortie du cours il remarqua une belle blonde à la silhouette parfaite qui ne pouvait être que Jaycée elle était en compagnie de Poppy. Il ne put s'empêcher d'aller vers elles , il put entendre leurs conversations celles-ci parlaient justement du bal comme toutes les filles j'imagine. Le jeune mannequin passa son bras autour du coup de la jeune cabot tout en saluant Poppy, il la connaissait grâce à Jaycée et s'était découvert de nombreux points commun comme la haine qu'ils entretiennent tout deux envers Keanu. Poppy décida de les laisser seul, une fois qu'elle fut parti, le jeune Winthrop, déposa un baiser sur les lèvres de la jeune femme sous le regard jalousé de certaines étudiantes. Il la gratifia d'un sourire amusé " Ca fait un bon bout de temps que je ne t'ai pas croisé dans les couloirs, je dois avouer que ca m'a manqué" Damen esperait qu'elle ne soit pas préssée vu que lui avait tout son temps étant donné qu'il était désormais en vacance.

Jaycée appréhendait particulièrement la fin de cette journée. Dés l'instant où elle aura franchi les portes de l'établissement pour en sortir, la jeune femme se sentira revivre. Le pire est, que comme elle savait que c'était sa dernière journée avant les vacances, les heures semblaient être une éternité. Cela se voyait très bien à sa tête. Elle n'écoutait rien de ce que le professeur disait. Ce n'est pas parce qu'elle était entrain de bavarder avec Poppy -vu qu'elle avait la flemme d'ouvrir sa bouche pour en faire sortir des mots, mais bien parce qu'elle était dans son petit monde intérieure. Elle avait beau avoir les yeux posés sur le professeur qui parlait encore et encore, ce qu'il disait rentrait dans une oreille pour ressortir aussi vite de l'autre. C'est limite si elle savait quel sujet celui-ci a abordé. Elle n'était vraiment pas motivée aujourd'hui. Elle se concentrait plus particulièrement sur l'aiguille de l'horloge qui faisait le tour du cadran à une vitesse trop lente à son goût. Elle pensait à ce qu'elle allait faire de ses vacances. Rien ? Non du tout. Rester chez sois à rien faire était loin d'être le passe temps de notre blondinette. Elle avait pas mal d'idées qui se bousculaient dans sa tête. Mais de toute manière, elle vit au jour le jour. Elle verra ainsi le jour venu.

Elle avait envie de poser sa tête et de dormir comme un gros bébé sur le banc. Pourtant, avant de venir à ce cours, elle était en forme, loin d'être fatiguée étant donné qu'elle avait pris la bonne résolution d'aller dormir tôt cette nuit. Disons donc que c'est plutôt le cours qui l'avait fatigué. Puis rester assise sur une chaise, sans même pouvoir bouger pendant un petit moment devient énervant. Elle sentait un gros coup de pompe l'envahir toute entière. Comme tous les jours d'école en fait. Et là, bam, comme par hasard, en rentrant chez vous, vous êtes pleine d'énergie, prête à faire le truc le plus crevant qu'on peut faire, avoir le reste de la journée mouvementé. C'est bizarre, mais c'est pourtant réaliste! C'est complètement psychologique pour la peine. Une fois qu'on est plus à l'école, on se sent plus libre, du coup on a envie d'en profiter.

Je pense que le bruit de la sonnette annonçant que deux heures de cours ennuyant venaient de s'écoulées a été un moment fort apprécier par Jaycée. Sans doute l'une des raisons pour laquelle bizarrement, la blondinette s'était soudainement remise en forme pour s'empresser de sortir de cette classe avec sa meilleure amie Poppy. Elles deux ne se quittent jamais. Elle sait tout de Poppy, comme Poppy sait tout d'elle. A deux, elles ne formaient plus qu'une personne tellement les points communs étaient nombreux et que leur amitié soit fusionnelle. Marchant dans les couloirs, l'une à côté de l'autre, elles se parlaient de tout et de rien avant d'en venir au sujet concernant le bal de fin d'année. Vous savez, ce sujet que toutes ses filles super excitées parlent tous les jours entre elles et se vantent d'y aller avec tel ou tel garçon. On n'entendait plus que parler de ça dans le bahut. Le bal, le bal, et encore le bal. « Alors Jaycée, ça y est, tu l'as trouvé ce fameux cavalier ? » Elle s'y attendait à cette question. Normal, vu qu'à chaque fois qu'elles se voient, elle en venait toujours à le lui demander. Et la réponse était toujours la même. « Non, tu sais bien qu'au sinon je te l'aurais dis. Puis, le bal n'est pas l'une de mes premières préoccupations tu sais. » C'est vrai que notre jeune femme n'était pas emballée comme certaine concernant cet événement. Si ça ne tenait d'ailleurs qu'à elle, elle ne s'y rendrait même pas. Mais Poppy l'avait supplier de faire un effort pour y aller, et elle l'avait convaincu. Oui Jaycée est une Cabot, mais cela n'empêchait pas le fait qu'elle n'ait pas vraiment l'envie d'y aller. C'est pas non plus comme si c'était la soirée du siècle. C'est tout simplement un bal, où on est accompagné par un valeureux jeune homme, et où le roi et la reine sont désignée, et puis voilà quoi. Elle était du tout emballée comparé à son amie qui était limite entrain de sauter dans tous les sens. Puis même, elle avait encore bien largement le temps pour trouver le cavalier idéal. Elle n'allait pas non plus s'y rendre seule.

Leur conversation sur le bal continuait, alors qu'un bras vint se déposer sur ses épaules. Ce bras ne pouvait être autre que celui de Damen. Il le faisait souvent. Voyant le jeune homme, Poppy décida de les laisser en tranquillité. Elle lui fit ainsi un petit geste de la main en guise d'au revoir, et d'un petit sourire avant que Damen ne vienne poser ses lèvres sur les siennes. « Ca fait un bon bout de temps que je ne t'ai pas croisé dans les couloirs, je dois avouer que ca m'a manqué » Elle sourit amusée également, surtout par le fait de voir certaines filles qui l'enviait par ce simple baiser tout en lui répondant. « Ça t'as manqué? Je dirai plutôt que JE t'ai manqué, oui. Allez, avoue le ! »

[justify] Le bal le sujet de discussion de tout Harvard, si Cupidon ne lui avait pas envoyé de lettre l'idée daller au bal ne lui aurait même pas effleuré l'esprit, Claes était bien un je m'en foutiste il ne pensait jamais aux conséquences de ses actes bien trop insouciant pour le faire, ce n'était pas méchant c'était juste dans sa nature, puis sérieusement le bal c'était pas vraiment son truc, mais cette foutu lettre l'avait frappé de pleins fouet. Damen et les choix ça fait deux il sait ce qu'il veut certes, mais dès que sa touche aux femmes aux sentiments c'est une tout autre histoire. Il fallait donc faire un choix si on enlève tous ses plans cu,l ça en fait déjà un sacré nombres de noms en moins dans la liste, si on regarde dans ses conquêtes il faut donc voir celles de libre, Jaycéé donc, il ne l'a pas prit par dépit bien évidemment, mais parce qu'il appréciait sa compagnie.


Oui leur relation était vraiment étrange, t'es à moi, mais on est pas en couple, je t'embrasse je te tiens la main, je couche avec toi mais ya pas de sentiments. Peut être que Claes a tout simplement peur de s'attacher à la jeune femme, surtout que l'amour est quelque chose qu'il essaye de bannir de sa vie, c'est juste une source de conflits de jalousie servant à détruire les jeunes tourtereaux, pessimiste le petit Damen? A peine ... , mais bon ne cherchez pas à comprendre qu'est ce qu'ils sont l'un pour l'autre, c'est tellement compliqué...

Il était enfin sorti de ce cours, des plus ennuyant c'est fou comme dès qu'il avait franchit la porte de sorti son énergie était revenue, non seulement parce que Monsieur était en vacances, mais surtout parce qu'il avait vu Jaycéé. Cette sulfureuse blonde aux courbes parfaite qui en ferait craqué plus d'un. Il avait donc posé son bras autour du cou de la jeune femme tout en la saluant avant que celle-ci ne les laisse tranquille, il peut donc profiterde sa petite Jaycée en paix tout en déposant ses lèvres contre les siennes admirant les regards des jeunes étudiantes, oui ça l'amusait.« Ca fait un bon bout de temps que je ne t'ai pas croisé dans les couloirs, je dois avouer que ca m'a manqué »- « Ça t'as manqué? Je dirai plutôt que JE t'ai manqué, oui. Allez, avoue le ! »- Le jeune Espagnol fit mine de réfléchir tout en plongeant son regard dans le siens, bien trop fière pour approuver cette remarque « Peut être bien...» Il se mit à marcher faisant glisser son bras autour de la taille de la jeune Cabot.


Une étudiante était justement en train d'afficher une fiche pour promouvoir le bal, Damen n'allait pas tourner longtemps autour du pots ni trouver tout un stratagème pour lui demander de l'accompagner, sa façon directe de dire les choses pouvait parfois lui faire défauts « Tu comptes allé au bal? » demanda t-il « Il se pourrait bien que je cherche une magnifique blonde aux yeux bleu, pour m'accompagner au bal.... » lança t-il tout en sortant du campus longeant alors dans le grand jardin de la fac afin de gagner le Parking, le jeune homme comptait l'inviter à déjeuner, le soleil était aux beaux fixe autant sortir en bonne compagnie. Il regardait la jeune femme tout en attendant sa réponse.

Jaycée n'avait pas de cavalier pour le bal. C'était limite un scandale pour Poppy. Elle s'était même proposée pour lui en trouver un, mais elle estime qu'elle est assez grande pour pouvoir de débrouiller. Non qu'elle n'avait reçu aucune demandes pour y aller, mais plutôt qu'aucunes de celles qu'on lui avait faites ne la ravivait. Déjà qu'elle n'était pas si emballée que ça d'y aller, il fallait ainsi donc absolument trouver le cavalier idéal, qui saura comment l'amuser. Personnellement, elle n'avait pas une idée bien précise en tête, ou du moins, c'est bien ce qu'elle se dit jusqu'ici. Puis elle avait encore le temps de le trouver. C'est pas comme si il y avait le feu au lac, cependant il fallait quand même qu'elle se bouge, si elle ne veut pas passer cette fameuse soirée avec le plus ringard des garçons du campus parce que mademoiselle aura attendu trop le temps pour enfin se décider. Logique, les beaux cavaliers partent comme des petits pains ici. Elle ne savait d'ailleurs pas qui était libre ou non.

Liberté, bonheur, tranquillité, vacances ! Voilà les quatre mots qui dansaient la samba au son de la cloche. Fini ce cours qui lui cassaient les oreilles. Elle avait hâte de faire quelque chose. Juste parce que c'était enfin les vacances, là, maintenant, elle se sentait bien d'attaque d'aller en profiter au plus vite. Elle se sentait motivée plus que jamais tout à coup. On ne la reconnaissait plus, par rapport à il y a 5 minutes, quand elle était encore assise en cours -dont allongée sur son banc surtout, où là elle ne disait pas un mot, que maintenant, de la voir parler avec Poppy du sujet dont tout le monde parle. Pourtant, les deux amies ne seront rester que pendant une bonne dizaine de minutes à s'attarder sur cette conversation, où Poppy était décidée à lui trouver le THE cavalier à sa place. car en effet, monsieur Claes vint s'interposer entre les deux jeunes femmes, Poppy les laissant ainsi rien qu'à deux. Et sous les yeux envieux des filles qui traversaient les couloirs, Damen lui vola un baiser. Et telle que Jaycée peut l'être aussi souvent avec lui, elle appuya à sa manière sur la réplique qu'il venait de lui faire. Bien évidemment, elle le connaissait assez bien pour savoir qu'il avait bien trop de fierté pour l'avouer haut et fort. Et c'est ainsi qu'un « Peut être bien...» sortit de sa bouche. Elle savait qu'elle aurait eu une réponse ainsi venant de lui. C'est d'ailleurs bien pour ça qu'elle n'ajouta rien de plus à cette acquisition confuse.

On pourrait très bien croire que Jaycée et Damen filent le parfait amour, vu la complicité et la fusion qui les lie, mais au fond, ils se sont impliqué dans une relation en se promettant qu'il n'y aurait rien de plus que ce petit jeux entre eux. Des sexfriends comme on dit si bien. C'est tout à fait ce qu'ils sont. Pas de sentiment, juste un jeu et rien qu'un jeu. Pourquoi cette idée d'entretenir cette relation compliquée ? Peut-être pour pouvoir vivre quelque chose de bien, sans même se préoccuper de tous ces tracas quotidien qu'on se fait quotidiennement quand on s'engage en couple ? Elle-même ne savait pas apporter de réponse à cette question. Ça s'est fait ainsi. Au fil du temps, et ça ne la déplaisait pas, au contraire. Elle s'en vantait même par moment et profitait de la situation pour faire rager ses amies. C'était d'ailleurs le cas en ce moment. Elle le voyait bien du coin de l'oeil, que beaucoup des filles les fixaient d'un regard rempli de jalousie. Lui, elle, l'un à côté de l'autre, marchant dans les couloirs, lui la tenant par la taille, elle amusée de voir toutes ces envieuses. Elle adorait ça, il ne fallait pas se le cacher.

« Tu comptes allé au bal? » A peine sa meilleure amie venait de la quitter, en laissant derrière elles leur conversation inachevée sur le bal, que Damen décida de prendre le relais. Mais venant de lui, elle le prenait autrement. Ce n'était pas la même chose de parler de cet événement avec une amie, qu'avec surement l'un des plus beaux garçons du campus. Non, non, c'était même très différent. Et il enchaina aussi vite « Il se pourrait bien que je cherche une magnifique blonde aux yeux bleu, pour m'accompagner au bal... » Sur le coup, la jolie blonde ne savait pas trop dans quel sens prendre la tournure de sa phrase. Était-ce sa manière dans l'inviter au bal pour l'accompagnée, ou alors, il attendait d'elle qu'elle lui donne des noms des filles qu'elle connait. Mais au fond, après réflexion, elle savait que la première hypothèse était la bonne. C'était Damen. Il avait sa façon à lui de demander les choses indirectement. Mais n'en étant pas certaine, elle décida de poursuivre sa faon de dire les choses. « Tiens c'est bizarre, je me disais justement que pour ma part je cherche un beau brun aux yeux noisettes. » rétorqua-t-elle alors que tout deux venaient d'atterrir sur le parking, sous un soleil éblouissant.