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I'M FILLED WITH STARS ❋ FELDT

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La jeune femme se démerdait toujours pour voir les gens dans des lieux neutres. Disons que si elle devait rendre l'invitation, elle voulait éviter d'avoir à présenter sa médiocre chambre d'étudiante à la Lowell House. C'était aussi bête que ça, mais pour Lindley, c'était une raison suffisante. Sauf que cette fois-ci, l'étudiante bouscula les règles qu'elle s'était imposée à elle-même, décidant de rendre visite à Feldt de son propre chef, comme ça, en mode yolo. En fait, c'était aussi pour changer d'air et sortir de Harvard, de sa chambre, de sa dépression post-rupture, elle avait besoin de voir des gens, se préoccuper des problèmes des autres pour pas avoir à faire face aux siens. Se fiant à ce que la rousse avait pu lui dire, elle se dirigea vers Imman Square, cherchant l'habitation de Crossroad, et quand enfin, il lui sembla que ça correspondait à la description que Feldt avait pu lui faire de son chez-elle, s'avança au devant de la porte. Après une brève hésitation, elle frappa contre la porte avant de pousser celle-ci, passant sa tête pour un vérification rapide. Rassurée de voir qu'elle était effectivement au bon endroit, elle entra franchement. « Je m'invite. » Elle s'approchant, le pas dansant comme si de rien était de la jeune femme. « Ça va bien mon petit ? »
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J’aimais pas ma situation, j’aimais pas dans quoi je me laissais aller. Seulement, il y avait plus personne sur qui je pouvais compter, envers qui je pouvais me confier sans vraiment trop de problemes. Ils etaient tous partis. Tout le monde finit par partir. C’etait la vie et je ne pouvais rien y faire. Je n’avais plus que les jumeaux. Ma famille etait en morceaux a cause de mes conneries. Je regrette pas ce qu’il s’est passe avec Wyatt, je regrette juste de pas avoir tendu mon bras a temps pour recuperer Elios. Maintenant, c’etait trop tard. Il ne reviendra pas et a vrai dire, je pense qu’importe ce que je ferais, cela sera en vain. Mon coeur est juste en morceaux et c’est tellement pire quand les jumeaux ne sont pas la. Elios les avaient pris pour la journée. Maintenant, j’etais juste seule dans cette enorme maison. J’avais recemment renvoye la pluspart des majordomes en rentrant de vacances. J’etais seule ici, personne n’avait besoin de m’aider. Il n’y avait plus que les gardes du coeur pour la protection des jumeaux. Alors, c’etait juste vide la maison, vide comme tout. Je n’avais pas envie de faire grand chose aujourd’hui. Je m’etais juste refermée dans le salon, sombre comme tout. Je n’avais meme pas vraiment fait attention quand la porte s’ouvrit. C’etait seulement une fois que j’entendis la voix de Joan que je decidais de sortir de mes pensées. J’essuyais rapidement mes larmes en voyant mon amie venir. “Hey. Oui ca va et toi? Qu’est-ce que tu fais la?” Je ne me souvenais pas avoir convenue avec elle pour la voir.
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La jeune femme finit par prendre conscience de la présence de Joan dans la pièce. D'ailleurs la brune eut juste le temps de voir quelques larmes rapidement essuyées par Feldt. Ce n'était pas la première fois que la Lowell voyait faire la rousse, chaque fois, la jeune femme ressentait un certain pincement au cœur. Mais la jeune femme n'arrivait pas à concevoir qu'elle se laisse aller comme ça. Lindley savait bien qu'elle était loin d'avoir son mot à dire, la petite étudiante à la vie facile, ses seuls gros soucis étant sa récente rupture et son futur mariage. Cependant elle ne voulait pas laisser faire la Mather, elle estimait qu'elle avait le droit à sa part de bonheur et ce n'était pas en se morfondant qu'elle allait atteindre ceci. C'était toujours à prendre avec des pincettes bien sur, la brune hésitait souvent sur les conseils qu'elle pouvait lui donner, sur ce qu'elle exigeait de la rouquine, sachant qu'elle avait peu vécu comparé à elle. « Je passais te voir, me changer les idées. » dit-elle avec un demi-sourire avant de croiser les bras, fixant la jeune femme. « Tu es sure que ça va bien ? » Joan connaissait la réponse qu'elle allait lui donner, elle savait surtout ce qu'elle en pensait, la question était de savoir le fin mot de l'histoire.
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Je ne me sentais vraiment pas bien en ce moment et même si je refusais de m’en convaincre, je le savais. J’avais ce sentiment en moi qui faisait que j’étais vraiment au fond. J’avais perdu bien trop de choses au cours des derniers moi. J’aurais aimé que toutes ses choses n’arrivent pas et que ma vie serait restée calme. Cependant, je savais que ce n’était pas vraiment possible. Ma vie n’était jamais calme et il y avait toujours quelque chose pour venir foutre le bordel. En ce moment, ce n’était même plus la mort d’Hendrix mais le rejet d’Elios. Il n’y avait plus rien entre nous a cause de mes conneries. A présent, il ne pensait plus qu’a nos enfants et quand il les avait, je mentirais si je disais que cela ne m’affectait pas et que je ne me sentais pas seule dans ce genre de moment. J’essayais toujours de me dire que cela allait mieux et que j’irais mieux mais au fond c’était juste une image que je me donnait. C’est pour cela que j’étais en vérité contente que Joan vienne me voir, bien que c’était sorti de nulle part. Je pourrais vraiment me changer les idées ainsi. “Ouais, je me sens juste un peu seule quand les jumeaux sont chez leur père.” C’était vrai. Je ne disais peut-être pas toute la vérité, mais c’était vrai.
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Feldt allait mal, souvent la jeune femme l'avait vu au fond du trou, se battant tout juste pour ses jumeaux. Joan ne pouvait pas lui en vouloir d'être comme ça, peut-être que Lindley n'aurait pas fait mieux face à des épreuves du destin comme ça. Elle n'avait pas à se plaindre si on comparait, après tout dépendait de la façon de percevoir les choses. La Lowell était du genre à se relever à chaque fois, elle ne s'apitoyait pas longtemps sur son sort, chaque minute était bien trop précieuse pour la gâcher à se demander trois cents fois si ça valait le coup de se battre pour s'en sortir. Joan était d'un naturel optimiste, une battante, une survivor, si la rousse ne l'était pas d'elle-même, elle voulait l'aider à l'être. Elle ne l'avait pas vu depuis un moment, elle ne savait pas trop ce qui n'allait pas exactement, elle était au courant du décès de son meilleur ami Hendrix évidement, seulement, Frances aurait aimé la voir se battre, se bouger les fesses. Elle voulait la tirer dehors, la faire sortir, et la jour pas la nuit cachée dans le noir pour aller se saouler la gueule ou autre. « Il va comment leur père justement ? »
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On pourrait peut-être croire que j’étais une drama queen, que je cherchais l’attention avec mon attitude et ma manière de rester au fond pendant une longue période de temps. Cependant, toutes personnes qui me connaissaient savaient que ce n’était pas le cas. Mon inaptitude de remonter venait du fait que j’avais perdu mes parents a un très jeune âge, que j’avais vu ma maison bruler et que depuis ce jour-la, j’étais incapable de passer par dessus une perte facilement. Hendrix avait été la deuxième personne proche a moi qui était morte et a vrai dire, la douleur que j’avais senti en l’apprenant ne me faisait que rappeler ce que j’avais senti quand mes parents sont morts. Perdre quelqu’un alors qu’il est encore vivant, ce n’était pas comme perdre quelqu’un pour toujours que tu savais qu’il n’allait plus jamais revenir dans ta vie. Je me disais vraiment que je n’avais aucune chance dans ma vie et j’aurais aimé avoir une vie normale, avec un couple normal et une famille normale. Je crois cependant que cela n’allait pas arriver surtout alors que Joan me demandait comment allait le père des jumeaux. J’haussais les épaules. On n’avait même pas parlé quand il est venu les chercher ce matin. Pas un mot échanger. C’était tellement morbide. “Je sais pas. On se parle plus.” Lui dis-je d’un ton blasé.
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Que pouvait donner Joan comme conseils ? Elle s'y connaissait pas en vie de merde, elle avait toujours eu une existence tranquille, posée, ce n'était certainement pas elle qui allait conseiller Feldt sur la façon dont elle devait gérer ses enfants, gérer ses relations avec le père de ceux-ci. C'était pas simple, c'était comme ça. La Lindley allait faire quoi si ce n'est encourager un peu la rouquine à sortir de sa torpeur. La jeune femme pouvait l'inviter à sortir, la pousser à s'ouvrir, lui tirer les vers du nez de temps à autres. Mais sitôt que la Lowell serait sortie de la villa, son amie ressombrerait dans ses noires pensées, c'était même pas envisageable, c'était certain. Joan s'installa sur le bord du canapé, un peu à la façon de quelqu'un qui ne sait pas s'il doit rester ou pas, être prête à partir à la moindre demande de Feldt. Joan ne pouvait faire grand chose pour lutter, elle ne pouvait pas se battre à la place de la jeune femme, mais elle s'y efforcerait. « Aucun moyen de revenir en arrière ? » demanda-t-elle doucement. Parce qu'au fond après tout ce temps, savaient-ils encore pourquoi ils ne se parlaient plus ? Joan en doutait.
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Entre Elios et moi, c’était genre le froid hivernal, limite le froid sibérien. Il ne voulait plus rien n’avoir avec moi. Je pouvais le comprendre aussi. Je l’avais blessé et j’avais trahi sa confiance en couchant avec Wyatt. Mais que pouvais-je y faire? Il m’avait blessé quand il m’avait abandonné a Tokyo, seule, incapable de bouger. Ca avait fait mal. Est-ce qu’on allait a présent jouer un jeu de celui qui pourrait le plus blesser l’autre? Je pense que ça serait Elios car avec cette distance qu’il imposait, il me faisait le plus mal. J’essayais de me concentrer sur autre choses mais je devais dire que j’avais un peu des difficultés. Mon passé me hantait bien souvent. Je ne voulais pas redevenir la petite fille qui avait perdu ses parents et je ne voulais pas redevenir la catastrophe ambulante de quand Wyatt m’avait trompé, mais je voulais Elios et je ne l’aurai pas. Joan me demandait si on pouvait revenir en arrière. Je secouais la tête. “Non. Il a été assez clair que ce que j’ai fait, l’a blessé et qu’on devrait juste en rester aux enfants.” Dis-je d’un ton froid, le même que celui qu’Elios me parlait a présent.
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