Les cours venaient enfin de se terminés pour mon plus grand bonheur. Cette journée avait été longue, puisant toute mon énergie à ne rien faire. Je n'étais décidément pas faite pour l'école, et pourtant je n'avais d'autres choix que de continuer si je ne voulais pas finir à la rue dans les années qui suivent. Il suffisait juste de s'accrocher, encore un peu avant de voir le bout du tunnel s'approcher. J'avais été l'une des premières au sortir de l'auditoire, trop dans le besoin de prendre une bonne bouffée d'air frais. Avant ça, j'avais pris le temps de traîner avec quelques amies rencontrées dans le couloir alors que je m’apprêtait à quitter l'établissement. Les cours entre les bras, je marchais en suite en direction du parking, profitant de cette nouvelle air qui me ré-oxygénait le cerveau. Le temps était ensoleillé aujourd'hui, bien que la température ne suivait pas le ciel bleu. L'automne était officiellement tombé sur la ville, et se voyait au nombre de feuilles qui traînaient à terre. Et alors que je m'approchais un peu plus de ma voiture, j'aperçu Konrad de loin avec une femme dont je ne connaissais pas. Je l'observais un instant de loin, ou l'espionnais plus précisément. Pour je ne sais quelle raison, j'avais décidé de marcher en sa direction, curieuse de savoir ce qu'il faisait avec elle. Pourtant, je n'étais pas dupe, et avais compris à la seconde où je l'avais aperçu que son côté dragueur était en pleine action. Ça ne me plaisait pas du tout, et je ne manquais pas l'occasion pour m’immiscer dans leur conversation. « Hey chéri. Je ne savais pas que tu m'attendrai ici. » dis-je avant de déposer un bref baiser sur ses lèvres, le sourire grandement affiché, fière de ce que je venais de faire. Je prenais plaisir à jouer le rôle de sa fausse petite copine juste pour faire déguerpir cette blonde décervelée, qui mal à l'aise, avait agit de la sorte. Je sentais que ma réaction n'allait pas plaire à Konrad, mais il m'avait cherchée.
une journée de cours des plus chiantes, non vraiment, j'avais passer je ne sais plus combien de temps à explorer toute l'histoire de l'art contemporain italien, magnifique matière de ce domaine d'art visuel, ou encore me défoncer le poignet à dessiner pendant deux heures, enfin ça c'est encore moins chiant que presque crever en natation. ouais, une matinée de majeur et une aprèm de mineur, autant dire qu'en finissant les cours vers seize heure, j'étais heureux de me rendre au parking avec une clope au bec et à peine arrivé à ma caisse, une blonde m'accoste, elle voulait que je lui paye une clope, vu la paire qu'elle a et les yeux bleus, je peux pas refuser alors c'est avec un joli sourire bien charmeur que je lui tend mon paquet de blonde, ça nous a laissés ensuite le temps de fumer notre clope ensemble et de discuter d'à peu près tout et rien. puis nous voilà rendu à mon moment préféré, là où on doit se quitter, et adorable comme elle est, elle me tend son portable où je ne perd pas de temps à lui passer mon numéro, histoire de la revoir en soirée, sur le campus ou qui sait et j'espère, sous mes draps. je n'ai rien vu venir, d'un coup orlane qui se pointe en déposant ses lèvres sur le coin des miennes, cassant ainsi notre petite conversation et en l'occurrence ma drague si bien débutée, oui je l'ai un peu mauvaise mais ça m'amuse aussi de la voir réagir ainsi, la belle blonde tire un peu une drôle de tête quand elle entend m’appeler "chéri' et ne perd pas de temps pour me dire au revoir de la main et se barrer, merci orlane. ah parce que je devais t'attendre chérie ? j'avais un sourire taquin même si je l'avais assez mal pris mais quelque part, elle a mon numéro, même si elle s'est barrer, je perds rien t'as finie les cours et au plus grand hasard t'es venu parce que tu devais aller au parking ou juste parce que tu m'a vu t'as voulu jouer ma go' pour qu'elle se barre avant que tu retournes en cours ? c'est vrai que depuis cette fois où on a couchés ensemble, une jalousie et possession se sont mise en place et avec une fille aussi attirante qu'orlane, je ne peux qu'apprécier malgré tout.
Ça avait été plus fort que moi. Au lieu de reprendre sagement la voiture et de rentrer chez moi, j'avais été obligée d'aller foutre la merde. Je n'avais juste pas su me retenir, en le voyant là avec cette blonde qui lui faisait des yeux de biche. Non sérieusement, je n'avais pas pu lutter. J'étais apparue de nulle part, me plaçant bien en face de sa proie pour marquer mon territoire. Un baiser en coins des lèvres de Konrad, un petit surnom, et le tour était joué. Assez pour la laisser sous-entendre que j'étais sa copine, ce rôle que je m'étais permis de m'attribuer juste pour la voir partir. Ma position s'était bien fait entendre, elle était partie sans plus attendre, se sentant de trop. Le sourire aux bords des lèvres, je me tournais vers le jeune homme. Ma fierté de victoire s'affichait clairement das mon regard. "Ah parce que je devais t'attendre chérie?" Rétorquait-il à mon appellation. Je sentais sa taquinerie dans le ton de sa voix, bien que je voyais qu'il n'était pas vraiment enjoué que je lui ai gâché son coup. "Non, mais maintenant oui." Je haussais les épaules, prenant un air innocent alors que je jetais un coup d'oeil aux alentours, ne voyant plus aucune trace de la blonde. Tant mieux. "T'as finie les cours et au plus grand hasard t'es venu parce que tu devais aller au parking ou juste parce que tu m'a vu t'as voulu jouer ma go' pour qu'elle se barre avant que tu retournes en cours ?" La question fatidique pour le pourquoi du comment de ma venue. "Ni l'un, ni l'autre. Je suis venue en bonne âme et conscience pour t'empêcher de faire la plus grosse connerie de ta vie." Ouais, bon ça, c'était une vision figurative des choses. Je n'allais pas non plus lui avouer en face que j'avais été prise par une vague de jalousie, et que j'étais clairement venue pour la faire déguerpir. Ca aurait été trop facile, et j'avais un minimum de fierté à préserver.
je ne m'attendais pas à voir orlane débarquée, non c'est vrai, j'étais là à discuter avec cette belle blonde juste parce qu'elle m'a demandée une clope et en parfait gentleman et surtout dragueur, je n'ai pas refusé et je ne l'ai pas laissé filer, pas avant d'avoir eu son numéro. orlane à débarquée comme si de rien était, prétextant être ma copine en m'appelant "chéri" juste devant cette blonde, j'avais aussi le droit à un baiser sur le coin des lèvres, tout était d'actualité pour dégoûter la blonde et la faire partir, et c'est ce qui se passa, elle tournait les talons vers je ne sais oui, orlane avait réussit son coup et j'étais assez dégoutté mais ayant quand même eu l'occasion de lui filer mon numéro, rien est perdu. t'es pas croyable putain. lui répondis-je sourire aux lèvres, elle était venue là parce qu'elle m'avait vu avec une autre fille qu'elle et ça a été plus fort qu'elle, la jalousie à parler et même si là elle me dit juste que c'était pour m'éviter de faire une belle gaffe en venant s'incruster, elle a sa fierté mais ça se voit à des kilomètres qu'elle n'a pas vu accepter qu'une autre me parle. on va dire ça. c'est que je je disais à haute voix mais j'en pensais autre chose qu'elle devait surement se douter, de toute façon entre nous possession et jalousie, c'était loin d'être un mystère. je me dirige vers ma caisse t'as prévu quoi maintenant ? lui demandais-je, c'est vrai elle avait réussi son coup, qu'avait-elle prévu de faire après ? j'en savais rien mais si elle voulait rester avec moi, j'allais pas l'envoyer chier, j'en serais incapable après cette fameuse nuit passée ensemble qui a rendu notre relation des plus intéressantes.
Un vrai jeu d'enfant. Ca avait été tellement facile de faire fuir cette femme. Une petite confrontation entre femelles aurait pu être amusant, mais elle avait préféré faire comme si de rien était et tracer sa route. "T'es pas croyable putain" Je prenais ça pour un compliment, et même comme une fierté. Je portais actuellement un sourire machiavélique, satisfaite d'avoir interrompu les plans de Konrad. "Oh arrête de faire comme si. Je suis sur que tu as aimé le fait que je t'appel chéri." Je décidais de le titiller juste un peu. Et sans doute aurait-il voulu le pourquoi du comment de ma venue soudaine, mais je n'allais pas le satisfaire. Jamais je n'avouerai ma jalousie, encore moins envers lui. Je sais quel genre de gars il est, et je m'étais toujours jurée de ne jamais faire partie de ses trophées. Mais sous un moment de faiblesse, j'avais craqué et maintenant, notre relation avait un peu, beaucoup basculée. "On va dire ça." Je ne m'attendais pas à ce qu'il me croit. Le mensonge se voyait clairement sur mon visage, mais peu importe. "T'as prévu quoi maintenant ?" Sur ces mots, il s'était avancé vers sa voiture. "Rien. A moins que tu ne me proposes quelque chose?" Ayant terminé les cours, j'étais désormais disponible et si ça pouvait m'empêcher de rentrer chez moi, je suivrai son plan. Enfin, ça dépendra du quel. Je le connaissais suffisamment pour savoir ses idées farfelues.
Elle était vraiment pas croyable, venir faire foirer un plan avec cette fille qui aurait probablement fini dans mon lit, elle m'a quand même laissée son numéro mais Orlane a su s'y prendre pour la faire partir. Exagères pas. lui répondais-je, depuis cette fois où on n'a couchés ensemble, acte qui s'est passé après de long moi sà être sur elle, elle a fini par craquer et depuis cette fois, je sais pas mais c'est différent, un lien s'est crée entre nous, un lien possessif ou émane une certaine jalousie, et comment elle a agit devant moi il y a quelques instants montre clairement ce lien, mais elle ne veut pas l'avouer, elle jalouse d'une autre pour un mec comme moi ? Non, pas possible d'accepter ça pour elle, pourtant c'est le cas et même si elle insiste pour me dire le contraire, je sais que j'ai raison, et au fond je suis sûr qu'elle le sait, question de fierté voilà tout. Bah, j'avais prévu de faire une virée dans Cambridge avec ma caisse, me changer les idées quoi. lui répondais-je, c'était ce que j'avais prévu, je voyais clairement qu'elle avait fini les cours, soit elle rentrait chez elle, soit elle allait aller je ne sais où ou soit elle venait avec moi J'te demande pas si tu veux venir ? je savais très bien qu'elle allait de son plein gré poser ses fesses dans ma caisse, c'est que je la connais, et ça me faisait sourire.
J'étais plutôt fière de mes talents d'actrice, surtout si ceux-ci avaient le don de mettre en rogne d'autres personne. Faire déguerpir cette femelle avait été si facile. Un petit sourire, une mine attendrissante et me glisser dans la peau de sa petite-copine avait été tout naturel. "Exagères pas." Je ne m'attendais certainement pas à ce qu'il appuie mes propos en allant dans mon sens, pourtant je savais que cette attention ne l'avait pas laissé indifférent. "Pffff, même pas capable de te l'avouer." Je pris faussement une mine boudeuse avant de basculer la tête sur le côté et de changer de sujet. Maintenant que sa proie avait filé, je supposais que les plans de sa journée allait changé et qu'il déciderait d'un nouveau planning. "Bah, j'avais prévu de faire une virée dans Cambridge avec ma caisse, me changer les idées quoi." Il ne lui avait pas fallu bien longtemps avant de me répondre et de me dévoiler ses intentions des plus anodines. "J'te demande pas si tu veux venir ?" Il semblait si certain que je le suivrais dans sa démarche que cette aisance me dérangeait. "Qu'est-ce qui te fait croire que je veux venir avec toi?" Evidemment, cette question avait été posée dans le seul but de converser ma fierté. Je comptais me joindre à lui, mais y mettre un peu de suspense et d'hésitation ne ferait pas de mal.
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Les cours venaient enfin de se terminés pour mon plus grand bonheur. Cette journée avait été longue, puisant toute mon énergie à ne rien faire. Je n'étais décidément pas faite pour l'école, et pourtant je n'avais d'autres choix que de continuer si je ne voulais pas finir à la rue dans les années qui suivent. Il suffisait juste de s'accrocher, encore un peu avant de voir le bout du tunnel s'approcher. J'avais été l'une des premières au sortir de l'auditoire, trop dans le besoin de prendre une bonne bouffée d'air frais. Avant ça, j'avais pris le temps de traîner avec quelques amies rencontrées dans le couloir alors que je m’apprêtait à quitter l'établissement. Les cours entre les bras, je marchais en suite en direction du parking, profitant de cette nouvelle air qui me ré-oxygénait le cerveau. Le temps était ensoleillé aujourd'hui, bien que la température ne suivait pas le ciel bleu. L'automne était officiellement tombé sur la ville, et se voyait au nombre de feuilles qui traînaient à terre. Et alors que je m'approchais un peu plus de ma voiture, j'aperçu Konrad de loin avec une femme dont je ne connaissais pas. Je l'observais un instant de loin, ou l'espionnais plus précisément. Pour je ne sais quelle raison, j'avais décidé de marcher en sa direction, curieuse de savoir ce qu'il faisait avec elle. Pourtant, je n'étais pas dupe, et avais compris à la seconde où je l'avais aperçu que son côté dragueur était en pleine action. Ça ne me plaisait pas du tout, et je ne manquais pas l'occasion pour m’immiscer dans leur conversation. « Hey chéri. Je ne savais pas que tu m'attendrai ici. » dis-je avant de déposer un bref baiser sur ses lèvres, le sourire grandement affiché, fière de ce que je venais de faire. Je prenais plaisir à jouer le rôle de sa fausse petite copine juste pour faire déguerpir cette blonde décervelée, qui mal à l'aise, avait agit de la sorte. Je sentais que ma réaction n'allait pas plaire à Konrad, mais il m'avait cherchée.
Elle était vraiment pas croyable, venir faire foirer un plan avec cette fille qui aurait probablement fini dans mon lit, elle m'a quand même laissée son numéro mais Orlane a su s'y prendre pour la faire partir.