WYWY, LIZZY & RYRYS ► Welcome home, wywy <3

Nous avions dit "aurevoir" à la Winthrop House à notre grand regret et avec plein de nostalgie ainsi j'avais naturellement proposé à mon meilleur ami et soutien de venir vivre avec nous parce que plus on est fou, plus on rit mais surtout, je paierais moins cher le loyer -mouahahah !- non je déconne ! je ne savais pas vraiment comment ça allait se passer surtout qu'on allait tous les deux etre papa, que j'étais en couple et que ma furie de copine risquait de vouloir passer beaucoup de temps avec moi, à mon appartement plus que dans sa chambre alors bon, ça serait chaud parce que c'était pas non plus la maison de Rox et Apple mais ça restait spacieux ; chacun avait sa chambre plus ou moins grande.. ils avaient une salle d'eau, moi une salle de bain et on pouvait squatter respectivement. Enfin, ce serait cool et j'étais heureux d'aider mon ami ainsi ce soir, j'allais dans la cuisine finir mes préparations pour un diner entre colocataires. Quand tout fut prêt, je préparais la table basse devant le canapé avec les apéros et j'appelais mes colocataires : L’hôte de maison vous attend wesh ! Je m'esclaffais en les voyant arriver.

Je l’avais fait. J’avais quitté la Winthrop. Mes frères, ma seconde famille. Derrière moi, je laissais six ans. Six ans chez les Winthrop. Le cœur lourd, je m’étais retrouvé sans logement. La pluie battante, la respiration difficile, mon meilleur ami était venu me chercher dans ma voiture. Il ne m’avait pas laissé le choix et m’avait dit de venir vivre dans son appartement, qu’une chambre m’y attendais. Prenant possession de ma chambre, je me perdais dans mes pensées, oubliant tout ce qui m’entourait. C’est la voix d’Emrys qui me ramenait à la réalité. « L’hôte de maison vous attend wesh ! » Un pâle sourire sur mes lèvres, je sortais de ma nouvelle chambre. En apercevant la silhouette d’Elizabeth, je me rappelais qu’elle était la colocataire d’Emrys. J’avais été plongé dans un état de choc qui m’avait empêché de prendre conscience qu’elle serait réellement là. « On est synchro dit donc! » C’était le cas de le dire. « Et nos chambres pile en face s’il vous plait ! » Un sourire aux lèvres, je rejoignais rapidement Emrys. « Tu t’es pris pour le padre » lançais-je à son attention. Non, mais regardez-le ! Il ne lui manquait plus que le tablier de maman. Entre temps, Lizzie lui demandait ce qu’il avait préparé. « En espérant que tu ne nous empoisonne pas (a) »

J’accueillais mes deux nouveaux colocataires car c'est vrai que ça faisait pas longtemps non plus que elizabeth était là puisque j'avais du attendre de plus avoir mon coloc' d'avant et c'était vraiment la première vraie soirée colocataire ce soir. Pour l’occasion, j'avais fait des verrines et canapés pour l'apéro et ensuite directement plat principal, une moussaka, plat de chez moi ; la Grèce. La surprise viendrait au dessert des petits glaces sympathiques. J'étais donc ravie que directement les deux sortent de leur chambre à mon appel prouvant ainsi leur motivation pour notre petite soirée. Ils étaient tout excité et directement la curiosité de la demoiselle fut piquée puisqu'elle voulait savoir ce que j'avais préparé mais évidemment, l'autre me coupa pour me faire suer et dire que j'allais les intoxiquer peut être. Je venais le taper quand il s'approchait de moi. Je répondais alors d'une voix claire et sympathique ; Au menu, Madame, Monsieur, En entrée Verrines de choix diverses et variées de style apéritifs avec quelques canapés faits maison, par la suite, nous passerons à la moussaka met typique de chez moi et pour finir, quelques gourmandises vous seront offertes ... dis-je en jouant les coquins parce que c'était quand meme comique surtout la fin. Je me marrais en leur indiquant du regard qu'il devait s'assoir et j'allais vite chercher au frigidaire une bouteille de champagne en revenant la bouteille dans ma main levée : Allez nous allons fêter ça mes amis ! J'avais dans l'autre main trois coupes que je posais sur la petite table devant eux, je versais de la chic boisson dans les verres avant de leur donner et m'assoir à coté d'eux, je levais en disant ; A nous ... a notre amitié et à notre emménagement ensemble ! Je leur adressais alors un sourire franc.