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I just wanna hold ya • Barès

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Tu fous rien de ta journée. Tu balances juste ton argent, par ci, par là. T'es toute jolie, aujourd'hui. T'es tellement chic, élégante et belle au naturel de toute façon, t'as même pas besoin de faire un seul effort pour plaire. Téléphone dans une main, sac à main dans l'autre, tu renvois tellement l'image de la parisienne pleine aux as. Occupée par tes textos, tu finis par emprunter une ruelle, assez étroite, où, justement, tu cognes quelques chose de dur. Réflexe humain : tu lèves la tête. Argh, un mec moche. Tout ce qui pouvait manquer pour embellir ta journée. Casquette mise à l'envers, survette de rappeur, tu te moquais de lui du regard, te disant que le pauvre petit n'avait pu dépasser les années 2000. Pauvre enfant. Vulgairement, s'adresse-t-il à toi, sans aucune finesse. Tu recules, par simple précaution. Il se rapproche, t'aime pas ça. Ça te rappelle un truc moche du passé, alors d'un coup, tu devins vulgaire, très. Tu l'insultes, tu essayes de l'éloigner de toi, mais il reste toujours insistant, très. fais pas ta difficile, ma biche. Tu déteste ces petits pronoms possessifs, tu hais ce genre de familiarité, surtout avec quelqu'un d'aussi moche. Con. Sale. mais J't'emmerde, laisse moi passer, merde. il sourit. Il se fout bien de ta gueule, te voir impuissante face à lui. Dear lorde... Il te tient par le bras, tu devins toute pâle et tu déglutis, péniblement, tu te rappelles encore une fois de toute la scène et tu as cette envie de lui en mettre une, en plein dans la tronche, mais tes pieds et tes mains tremblent, faiblement. Mais lâche-moi enfoiré, tu vas t'en manger une. C'est au moment où tu sentis sa main se renfermer violemment sur ton poignet, que ta gorge devint bien sèche, que ce parfum très familier apparut, te mettant comme en confiance. La main se détacha peu à peu de ton poignet et tu le caressa douloureusement en grimaçant alors que tu vis Arès, te protégeant, une nouvelle fois. Tu eus un pincement au coeur quand tu le vis, comment tu avais pu le traiter de la sorte. Comment il est capable de se comporter toujours de la sorte avec une conasse comme toi.
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Il fallait vraiment que je pense à racheter un petit sachet aujourd'hui, sinon j'allais être à sec pour le restant de la semaine. Pas que je sois totalement accro à cette petite herbe bien sympathique, mais tout de même, ça reste quelque chose que j'aime. Du coup, je me décide à sortir pour aller voir mon dealer, que je dois normalement rejoindre à Central Square. Je lui ai envoyé un texto en début de matinée pour lui dire que je passais dans l'après-midi, mais aucune réponse. Tant pis, il faut quand même que je me pointe au lieu de rendez-vous, on ne sait jamais. Habillé d'une façon plutôt simple - un petit jean et une chemise grise - je m'avance dans la grande rue passante pour emprunter une plus petite rue sur la gauche. Un deal n'a jamais lieu dans des endroits bondés comme celui-ci, tout le monde le sait n'est-ce pas ? Mains dans les poches, je marche donc jusqu'à atteindre le lieu. Mais rien. J'attend quelques minutes, je finis même par m'allumer une clope, mais pas de dealer. J'essaie de l'appeler, mais il fait la sourde oreille, alors je décide de rentrer chez moi. Fais chier. Je devrais peut-être passer chez les Mather avant, ils doivent avoir ce qu'il faut. Bref, en voulant sortir de la ruelle, j'aperçois un espèce de clochard entrain d'agresser une jeune femme. Euh, what the fuck ? Je m'avance un peu pour voir de quoi il retourne, et je reconnais rapidement à qui j'ai affaire. Toujours fourrée dans ce genre d'histoire la Babe. Je lâche un soupir en m'avançant vers ce pauvre type, l'attrapant par les épaules pour le plaquer contre un mur. « Tu veux de l'aide peut-être ? » demandais-je d'un ton ironique, affichant un air menaçant envers cet homme. Je le relâche en le poussant contre le mur, adressant un bref regard à l'Eliot pour repartir en direction de la grande rue. Et surtout pour rentrer chez moi. Et pour oublier le visage d'Héla aussi.
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Il insiste, ce crevards. Et puis toi, tu te crois tellement haut que tu joues à la fille qui n'a peur de rien, qui pourrait le dévisager un instant ou l'autre alors que la seule chose dont tu es capable est de tomber dans les pommes à cet instant précis. Mais tu as de la chance, d'avoir une si belle gueule, à toujours attirer les bons et les beaux mecs là où il faut. C'est lorsque le beau brun, qui, maintenant, devrait logiquement te haïr, plaqua l'autre petite chose contre le mur, que ton arrogance revint au galop. Je veux pas d'l'aide, j'ai BESOIN d'aide. T'es con parfois quand même. Drôle de façon de remercier les gens, babe. Tu croises les bras comme fier de ton chevalier et fixa avec moquerie la petite chose. Tu attendais quelque chose de beau, quelque chose comme coups de poings suivis et infinis jusqu'à le mettre K.O. Mais non, il l'avait laissé partir, comme ça, sans ne rien dire. L'enfoiré..... Tu resta quelques secondes choquée avant de te remettre à te plaindre, comme une bonne fille à papa. Non mais oh ! Attend ! C'est quoi ça ? T'aurais pu au moins lui botter le cul... Disais-tu insatisfaite alors que tu ne pus récolter aucun regard de sa part, chose qu'il ne faut jamais faire à une Jagger. C'est alors que tu balançais ton téléphone au fond de ton sac et que tu pris le risque de te casser un talon de chaussures à semelle rouges. Footing Time : tu courus assez rapidement jusqu'à le rattraper et te mettre devant lui, comme si ton petit corps chétif pouvait l'arrêter s'il voulait passer... Tu ne prend pas un quart d'heure à le contempler mais quelques secondes pour t'assurer qu'il est toujours aussi beau. Non mais c'est quoi cette façon de me traiter toi ? Tu me laisses plantée là-bas... T'aurais pu m'prendre dans tes bras, genre rassurer ma petite âme fragile, ou encore juste me faire un bisou... Chez pas moi, j'm'attendais à quelque chose de plus affectif venant de TA part. Arès. Disais-tu alors qu'un petit sourire vint déchirer tes lèvres rouges. Tu appuyais bien sur son prénom, juste pour lui rappeler que vous vous connaissiez, juste pour lui montrer que tu ne l'avais pas oublié, un sorte de miracle que tu aies retenu son prénom, ça voulait peut-être dire qu'il t'avait marqué, en quelque sorte. Qu'il t'avait peut-être manqué. Ou encore qu'il comptait, mais tu n'avais juste pas su comment le lui faire savoir, dans le passé.
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Oh god, qu'est-ce qu'elle peut m'exaspérer celle-là. Autant avant, quand on s'entendait bien, je la supportais. Mais depuis que j'ai - qu'elle a - coupé les ponts, je ne peux définitivement plus me l'encadrer. Je me demande même comment j'ai fait pour la supporter aussi longtemps. Je l'ignore complètement, laissant ce vieux clochard contre le mur et Babe à côté. Je ne vais pas non plus défoncer la tête de ce type sous prétexte que Madame me le demande. D'ailleurs, elle m'incite à lui botter le cul comme elle dit si bien, mais je préfère ne pas me retourner de son côté. Je ne veux plus la voir, elle ne méritait même pas mon aide de toute façon.. J'ai plutôt envie de lui foutre une bonne tarte pour qu'elle comprenne qu'elle n'est pas la reine du monde. Sérieusement, elle se prend pour une princesse là ? Babe vient alors se planter devant moi, je crois rêver. Et tout ce qu'elle trouve à me dire, ce n'est pas un merci ou quoi que ce soit, non. Elle se contente de m'en mettre plein la gueule parce que je n'en ai pas fait assez. Je rive mon regard brièvement dans ses yeux pour lui répondre, sans aucune gentillesse. « Tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre de ta gueule ? » Ouais, moi aussi je peux être méchant, et vaut mieux pas qu'elle me chauffe trop sinon je pourrais être pire.
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T'es pas vraiment méchante toi. T'es juste... En manque d'amour et d'affection. T'es comme un petit chiot abandonné. Et les gens, eux, ils ont jamais compris ça. Ils ont jamais rien compris les gens, de toute manière. Alors tu forces certains a comprendre, parfois violemment, agressivement, vulgairement. Tu ne sais pas t'exprimer comme les autres. Alors tu gueules. Mais tu ne gueules pas sur n'importe qui toi. Tu gueules sur les gens que t'aimes bien. C'est con, mais t'es comme ça. T'aime pas la niaiserie, donc tu ne fais jamais dans la douceur. Toujours dans la violence. T'es comme ça. On t'a changé. Avant, t'étais une jolie poupée toute mignonne. Aujourd'hui, t'es une jolie poupée toute chiante. Son regard bleu froid se planta dans le rien quelque secondes. Tu compris bien facilement que tu l'avais blessé. Et que donc tu comptais. C'est alors que tu ne quittais pas son regard et rajoutais, au tac au tac. Ouais, t'en a quelque chose à foutre de ma tronche sinon tu m'aurais laissé dans ma merde. T'as pas tord non plus. Tu le regardes quelques secondes, l'autre toi lui aurait bien dit merci, l'autre toi lui aurait bien dit oh, qu'est-ce que t'es beau, l'autre toi lui aurait bien sauté au cou être serait excusé. Mais là, tu le regardes juste, incapable d'agir autrement. Arrête d'éviter mon regard. Je sais que je t'ai manqué. Disais-tu en le regardant toujours fixement mais d'une manière tellement mignonne. En fait, t'es toujours une jolie poupée toute mignonne. T'es juste un brin plus chiante. Tu affichais ton plus beau sourire d'ange avant de rajouter. Allez fais moi voir ce regard bleu petit homme, on en voit pas très souvent. T'es vraiment chiante.
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Comme si j'allais laisser une pauvre femme en détresse, n'importe quoi. Même si je la déteste, je n'aurais jamais pu me résoudre à la laisser se faire violer par cet espèce de gros porc, je ne suis pas sans coeur non plus - contrairement à elle. Je lève donc les yeux au ciel en lâchant un soupir, elle m'agace. Vraiment hein. « J'laisserais jamais une femme se faire agresser, quelle qu'elle soit. » dis-je d'un ton ferme, rebroussant chemin pour rejoindre la grande rue, je n'ai pas envie de lui parler davantage. Pourquoi, tout d'un coup, Babe s'obstine à vouloir me parler ? Elle m'a clairement rejeté il y a quelques mois, je ne vois pas pourquoi je ferais l'effort de revenir. Je m'arrête dans ma course en rigolant, la scrutant d'un air moqueur. « Ah oui tu crois ça ? Arrête de t'prendre pour le centre du monde steuplait, ça me ferait des vacances. » J'arbore un sourire des plus mesquins, je n'ai envie de faire aucun effort. Vraiment aucun. On me la fait à l'envers une fois, pas deux. « Tu veut pas m'lâcher là ? » Cette fois, je prend un air un peu plus méchant, afin de lui faire comprendre que si elle veut avoir un signe de ma part, il va falloir faire mieux que ça.
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Tu levais les yeux au ciel, comme agacée par le comportement d'Ares. T'aimes pas quand il trouve réponse à tout, ça t'agace, surtout quand il te fit savoir que tu n'étais pas réellement une exception, ce si t'agace encore plus. T'es peut-être pas très méchante, mais tu n'as jamais su comment être gentille non plus. Mais tu ne peux tellement rien lui dire que tu te contentes de le regarder et dire un tout petit Ok. juste pour avoir le dernier mot. Mais monsieur, aimant te faire chier décidément, te laissa en plan tout en te demandant de redescendre sur terre. C'est d'un mignon petit sourire que tu croisais tes bras et répondis sans hésitation : Ok. on dirait la réincarnation féminine du chat botté. Ave tes petits yeux de biches qui scientillent, et ton petit sourire craquant et ton air de petit chiot à l'abandon, il n'y a qu'Ares pour te résister décidément. C'est quand il demandait que tu t'éloigner de lui que tu fis totalement le contraire et t'approcha de lui, passant ton bras au-dessus du sien pour finir avec le beau brun bras-dessus, bras-dessous. J'ai pas envie de te lâcher. Je sais que je t'ai manqué ET j'essaie pas de me prendre pour le nombril du monde parce que tu m'as manqué aussi. Dis comme ça, c'est extrêmement niais et tu sais que je déteste la niaiserie mais je suis obligé de parler ainsi parce que je dois me rattraper parce que je sais que tu me détestes après ce qui s'est passé et que tu te sens blessé parce que, remarque, j'ai compté, sinon tu t'en foutrais carrément. Et tu comptes aussi t'sais, parce que sinon j'aurais pas parlé d'une manière aussi niaise juste pour te faire plaisir. Si ça c'est pas de l'amour. DONC, tu vas arrêter de me foutre des vents monumentaux et de me laisser en plan et tu vas me faire ton joli sourire et me faire un joli bisou sur la joue, ou sur la bouche aussi s'tu veux, j'm'en fou, tant que c'est un bisou, ou c'est moi qui vais t'embrasser. Choisis. tu parles trop, trop, trop. Tu parles vite, vite, vite. T'es chiante, conne mais bordel ce que t'es mignonne.
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Je crois que je vais vraiment péter un câble avec cette chère Héla qui me suis comme la merde au cul. Et elle ne s'arrête pas là quand elle m'attrape le bras pour ne pas avoir à me laisser partir. Je grince des dents, et me défais directement de ce contact en lui lançant un regard noir. Elle commence à partir sur une tirade qui ne m'intéresse pas le moins du monde, et j'ai juste envie de lui cracher dessus, je n'ai pas la moindre envie de lui faire un bisou ou un câlin. En réalité, elle se fiche totalement de ma figure non ? Je suis vraiment choqué qu'elle ait un tel comportement envers moi, car jamais je n'aurais imaginé qu'elle revienne me parler un jour. De mon côté, j'ai totalement oublié cette fille et j'ai surtout oublié ce qu'elle était. Tout ce qui me vient là, c'est de lui mettre une tarte dans la gueule si elle continue à raconter sa vie. « J'ai plus envie de rien avec toi, alors j'te le demande gentiment une dernière fois, casse toi. » Cette fois, c'est un air las et dépité que je prend, car elle est vraiment entrain de me faire monter en pression.
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Ce qu'il était pas facile du tout ce gamin. Tu gonflais tes joues quand il se défait de votre seul contact et d'un ton bien froid, te demanda de partir sans faire la moindre attention à ton si doux discours - pas si doux que ça. Le début de sa phrase te fit sourire bêtement, avant que tu ne te retiennes, regonflant tes joues pour te redonner cet air enfantin et boudeur. Tu croisais tes bras et marchais quelques pas avant de te décider à lui répondre, les bras croisées au-dessus de ta poitrine, l'air boudeur. Non. Tu marchais à ses côtés comme par obligation. Comme un enfant punis par son papa. Tu finissais à un moment donné par marmonner une petite remarque, d'une voix extrêmement enfantine. t'es pas cool, Ares. tes bras te démangeais pour les bouger, tu voulais simplement le prendre dans tes bras mais non. Tu allais résister à la tention. Tu continuais d'avancer à ses côtés jusqu'à ce que, ennuyée, tu lâchais prise : d'un geste brusque, tu lui attrapais la main et le trainais en courant vers la petite ruelle qui s'offrait à vous sans lâcher sa main, tu t'arrêtais brusquement, lui lâchais la main pour ne pas lui offrir l'occasion de se défaire brutalement du contact et tu te retournais en soupirant, légèrement essoufflée. Ares. soupirais-tu en cherchant son regard, tu le regardais quelques instants avant de soupirer d'ennui, de lassitude, t'as juste envie qu'il revienne quoi, merde. Tu m'as manquée. disais-tu difficilement, t'es pas très bonne dans l'art d'être gentille et douce.... Mais tu l'avais dis sincèrement et tu ne pus résister bien longtemps pour le prendre dans tes bras, tu le serrais une fraction de seconde contre toi avant de le lâcher, restant proche de lui juste le moment de prendre son briquet de sa poche et tu reculais, sortant une cigarette, tu l'allumais en avouant. J'suis désolée... Disais-tu en levant ton regard vers lui, lui souriant avant de repartir, glissant pour son briquet dans ta poche...
Tu lui rendrais. Un jour.
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